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Racing Toulousain


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6078 réponses à ce sujet

#4936 Bon Chasseur

Bon Chasseur

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Posté 12 août 2022 - 10:19

https://www.allrugby...ousain/effectif
Plutôt faible derrière je trouve

tout en appréciant ce sarcasme, je rajouterai quand même que malgré certains postes bien doublés (Ramos, Jaminet, Capuozzo) la ligne 3/4 du ST peut manquer un peu d'envergure malgré tout, et ce depuis le départ de Kolbe. A une époque, ils avaient Clerc Médard Heymans Poitrenaud Jauzion Fritz David, tout en même temps. Là, Lebel par ex. confirme qu'il est bon, Barassi a des cannes... mais on ne voit pas des attaquants de classe mondiale non plus dans cette ligne. Y a du costaud, mais ce n'est pas effrayant pour les défenses pour autant. Après Capuozzo peut confirmer très tôt...on verra.



#4937 casquette

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Posté 12 août 2022 - 11:58

tout en appréciant ce sarcasme, je rajouterai quand même que malgré certains postes bien doublés (Ramos, Jaminet, Capuozzo) la ligne 3/4 du ST peut manquer un peu d'envergure malgré tout, et ce depuis le départ de Kolbe. A une époque, ils avaient Clerc Médard Heymans Poitrenaud Jauzion Fritz David, tout en même temps. Là, Lebel par ex. confirme qu'il est bon, Barassi a des cannes... mais on ne voit pas des attaquants de classe mondiale non plus dans cette ligne. Y a du costaud, mais ce n'est pas effrayant pour les défenses pour autant. Après Capuozzo peut confirmer très tôt...on verra.

ne pas oublier Epee qui va bien exploser à un moment donné



#4938 PPR

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Posté 12 août 2022 - 21:31

Pour en revenir à dupont, son salaire était de 600k brut annuel avant sa prolongation (selon la presse). Il serait bien con d'être resté à ce salaire là en tant que meilleur joueur de la galaxy.
Je ne suis pas devin, je ne sais pas à combien il émarge mais il ne s'est sûrement pas contenté d'une augmentation de 3.5% comme la plèbe

#4939 Manolito

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Posté 12 août 2022 - 21:58

tout en appréciant ce sarcasme, je rajouterai quand même que malgré certains postes bien doublés (Ramos, Jaminet, Capuozzo) la ligne 3/4 du ST peut manquer un peu d'envergure malgré tout, et ce depuis le départ de Kolbe. A une époque, ils avaient Clerc Médard Heymans Poitrenaud Jauzion Fritz David, tout en même temps. Là, Lebel par ex. confirme qu'il est bon, Barassi a des cannes... mais on ne voit pas des attaquants de classe mondiale non plus dans cette ligne. Y a du costaud, mais ce n'est pas effrayant pour les défenses pour autant. Après Capuozzo peut confirmer très tôt...on verra.

Tu n'oublieras pas que Pita Akhi est un superbe joueur, peut-être sous évalué (sauf par Toulouse)...
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#4940 Néophyte

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Posté 13 août 2022 - 06:38

Tu n'oublieras pas que Pita Akhi est un superbe joueur, peut-être sous évalué (sauf par Toulouse)...


Mais très fragile.

#4941 63manu

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Posté 13 août 2022 - 07:36

Un attaquant de classe mondiale ? C est un attaquant qui sait où il a rangé son passeport ?

#4942 Bon Chasseur

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Posté 13 août 2022 - 09:51

Tu n'oublieras pas que Pita Akhi est un superbe joueur, peut-être sous évalué (sauf par Toulouse)...

ah non pas moi, je trouve que c'est tout simplement le meilleur arrière du ST des qqs dernières années ! Son rôle en défense, sa capacité à tout le temps gagner la ligne d'avantage, sa régularité font qu'il a ce statut pour moi. Mais ce n'est pas un George Moala. Le but de mon dernier post était donc de dire: le ST manque d'attaquants de classe mondiale dans cette L 3/4. Penaud, s'il vient, sera certainement ce joueur. Lebel n'a que 23 ans... mais bon de toute façon manque un peu de peps non ? Crochets tout ça ouais, mais c'est pas un avion de chasse non plus.



#4943 Rugby ?

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Posté 13 août 2022 - 10:07

Pour en revenir à dupont, son salaire était de 600k brut annuel avant sa prolongation (selon la presse). Il serait bien con d'être resté à ce salaire là en tant que meilleur joueur de la galaxy.
Je ne suis pas devin, je ne sais pas à combien il émarge mais il ne s'est sûrement pas contenté d'une augmentation de 3.5% comme la plèbe

En même temps, c'est la loi du marché.

Quelle somme le ST met sur le tapis et qui est capable de suivre.

Mise de départ: 621 K.



#4944 el landeno

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Posté 16 août 2022 - 08:40

Série quand j'étais joueur (1/3) : Didier Lacroix, président du Stade Toulousain, a essayé de se rendre indispensable Presque vingt ans avant de devenir le président du Stade Toulousain, Didier Lacroix campait un troisième-ligne aile à l'abattage défensif impressionnant. Du genre à se rendre incontournable.

 

La question est difficile, presque troublante. Didier Lacroix (52 ans), le président actuel du Stade Toulousain, recruterait-il le joueur Didier Lacroix ? Celui qui trônait avec ses coéquipiers rouge et noir sur le toit du rugby français et européen à la charnière des années 1990 et 2000 ? « C'est toujours difficile de répondre à ça, parce que ça revient à parler de soi-même à soi-même », s'amuse l'intéressé.

 
 

Vingt ans après, le boss de Toulouse en est pourtant persuadé. La réponse est non. Non, le troisième-ligne aile qu'il était alors, avec son gabarit de trois-quarts (1,81 m, 90 kg), et malgré son courage et son appétence pour les taches obscures et le combat, n'aurait aucune chance de percer dans le rugby de biscotos actuel, et donc de séduire le dirigeant qu'il est devenu.

« J'étais un joueur de club avec un certain devoir. Pas un joueur de niveau international, même si j'aurais peut-être pu, comme certains, galoper quelques minutes en équipe de France ou avec les Barbarians »

Didier Lacroix, président du Stade toulousain

 
 
 

Mais l'affaire n'est pas si simple, car un Didier Lacroix qui se serait conformé aux exigences du rugby moderne, sans pour autant perdre ses qualités naturelles, aurait peut-être pu, lui, trouver grâce à ses yeux de recruteur en chef d'aujourd'hui. « Peut-être qu'avec un encadrement similaire à celui de maintenant j'aurais transformé mon jeu pour pouvoir jouer, observe-t-il. Peut-être que j'aurais développé d'autres aptitudes, que j'aurais fait plus de musculation, mieux traité mon corps pour gagner en vitesse et en explosivité, mieux utilisé mes neurones pour contrer la touche adverse, et davantage tiré profit d'un outil qui n'existait quasiment pas à l'époque, à savoir la vidéo. »

Il faut se replonger dans les archives de l'époque pour bien saisir l'importance du joueur Didier Lacroix. Son palmarès dit déjà beaucoup de lui : six boucliers de Brennus (1994, 1995, 1996, 1997, 1999, 2001) et une Coupe d'Europe (1996) soulevés entre 1994 et 2001. « Je n'ai eu qu'une grosse carrière de six ou sept ans parce qu'avant c'était trop tôt et qu'après c'était trop tard », résume-t-il aujourd'hui. Mais quels six ou sept ans !

« J'étais un joueur de club avec un certain devoir, dit-il. Pas un joueur de niveau international, même si j'aurais peut-être pu, comme certains, galoper quelques minutes en équipe de France ou avec les Barbarians. J'aurais préféré avec les Barbarians, d'ailleurs, pour leur art de vivre (sourire). Disons qu'à Toulouse j'ai essayé de me rendre le plus indispensable possible, notamment grâce au travail effectué et à mon efficacité défensive. »

Plus qu'un flanker kamikaze qui plaquait sans relâche

Mais pas que, évidemment. Car le joueur Lacroix était plus qu'un flanker kamikaze qui plaquait sans relâche et plongeait sa tête aux cheveux parfois peroxydés dans des rucks aux allures de traquenards. C'était aussi un leader, parfois un capitaine, un type au bagou exceptionnel qui parvenait à embarquer ses partenaires dans son sillage par ses mots et son exemplarité sur le terrain. Et une précieuse courroie de transmission pour son manager d'alors, Guy Novès.

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Didier Lacroix dans une des attitudes qui le caractérsait lorsqu'il était joueur : celle d'un troisième ligne guerrier et conquérant. (Marc Francotte/L'Équipe)

C'est pour cette aura, plus que pour ses qualités intrinsèques de joueur, qu'il est toujours parvenu à se défaire d'une sévère concurrence. « Je pense que le président de l'époque (René Bouscatel) connaissait la relation que je pouvais avoir avec mes coéquipiers et le relais que je pouvais être pour mes entraîneurs, souffle-t-il. Je crois que ça fait aussi partie des choses qu'il faut savoir aller quérir chez les hommes. »

S'il fallait chercher un Didier Lacroix dans l'effectif actuel du Toulouse, on le trouverait sûrement sous les traits de François Cros. Un troisième-ligne d'un seul club, lui aussi, capitaine à ses heures, garant d'une identité de jeu et d'un certain état d'esprit toulousains. « C'est certainement celui qui me ressemble le plus, confirme Lacroix. Mais il est vingt fois plus fort que moi à l'époque, et c'est d'ailleurs pour ça qu'il est international. »

En 2002, la dernière année de contrat qu'il espérait ne lui a jamais été proposée

Lacroix a mis fin à sa carrière de joueur à 32 piges. À un âge où la grande majorité des joueurs ont encore de l'essence dans le réservoir. Il lui en restait aussi, mais à l'instar de ses coéquipiers trentenaires de l'époque, les Jérôme Cazalbou, Sylvain Dispagne, Stéphane Ougier, Franck Belot ou Hugues Miorin, il appartenait à une génération qui avait beaucoup gagné et qui commençait à ressentir les effets d'une légitime usure.

C'est en tout cas ce qu'estimaient Bouscatel et Novès, les décideurs de l'époque. En 2002, la dernière année de contrat qu'il espérait ne lui a donc jamais été proposée. « J'ai arrêté alors que je me sentais encore bien physiquement, relate-t-il. Mais force est de constater que le président et Guy Novès ont eu raison, puisqu'en tirant un trait sur cette génération, le Stade Toulousain s'est régénéré et a réussi à gagner la Coupe d'Europe en 2003 et en 2005. »

Certaines règles avaient changé aussi. Notamment, où les sauteurs pouvaient désormais se faire aider de lifteurs pour s'élever dans les airs. Et c'est ainsi que des troisième-ligne comme Lacroix, qui tiraient profit du caractère plus aléatoire des touches sans lift d'antan pour engager un farouche combat à la retombée du ballon ou pour se lancer dans une chasse haletante de l'ouvreur adverse, furent progressivement dépassés par des flankers longilignes au profil plus aérien.

« Le lift a considérablement raccourci le temps de transmission du ballon entre le sauteur et le 9, puis entre le 9 et le 10, si bien que le rôle du chasseur du 10 est devenu de moins en moins important, explique-t-il. À Toulouse, c'est cette nouvelle règle qui a précipité l'éclosion d'un garçon comme Jean Bouilhou (actuel entraîneur des avants du club rouge et noir). Et moi, même si j'avais envie de continuer à jouer, je n'ai eu aucun regret à laisser ma place à un joueur comme Jean qui était devenu plus fort que moi. »

« Tu es dans cette position compliquée qui consiste à dire non à un joueur historique du club qui est un peu moins bon mais qui a toujours l'appui du vestiaire et beaucoup d'influence sur le reste de l'équipe »

Didier Lacroix

 
 
 

Prié de laisser sa place en 2002 donc, Didier Lacroix a vécu une expérience similaire vingt ans plus tard, ce dernier printemps. Mais dans l'autre sens. Cette fois, c'est en tant que président qu'il dut annoncer à l'ailier ou arrière international Maxime Médard (34 ans), en concertation avec l'entraîneur Ugo Mola et le responsable du haut niveau Jérôme Cazalbou, qu'il ne répondrait pas favorablement à la prolongation de contrat d'un an qu'il escomptait. Sa propre mésaventure l'a évidemment aidé.

« Tu es dans cette position compliquée qui consiste à dire non à un joueur historique du club qui est un peu moins bon mais qui a toujours l'appui du vestiaire et beaucoup d'influence sur le reste de l'équipe, confie-t-il. Mais tu vas au bout parce qu'il arrive un moment où la jeunesse, la fougue et l'efficacité d'un joueur au même poste t'obligent à passer à la carte suivante. D'autant que si tu veux que cette carte-là soit meilleure, il faut qu'elle puisse être exposée le plus possible pour acquérir de la maturité. »

Didier Lacroix se voyait davantage dans la peau d'un entraîneur que dans celle d'un président

Dans ses jeunes années, quand il bataillait sur les terrains, Lacroix ne s'imaginait pas troquer son maillot de joueur contre le costard d'un président à l'orée de la cinquantaine. Lui se voyait davantage dans la peau d'un entraîneur. Un job plus raccord avec ce statut de capitaine qu'il a toujours embrassé dans les catégories jeunes du Stade et parfois aussi en équipe première.

« J'ai souvent pensé à devenir coach, reconnaît-il, je voulais continuer à être dans la recherche de la performance. Je l'ai été au niveau de l'équipe Espoirs, et j'ai même eu la possibilité de l'être au niveau d'une équipe première. Mais pour ça, il me fallait quitter le Stade Toulousain. Or j'ai préféré garder un certain équilibre de vie en restant à Toulouse où je pouvais aussi continuer à gérer la boîte que j'avais déjà (la régie commerciale À la Une, créée en 1993). » Lacroix aspirait aussi à intégrer le staff de Guy Novès en qualité d'entraîneur spécifique, mais l'offre qu'il attendait n'est jamais venue. « Je n'ai jamais été frustré de ne pas y passer », assure-t-il.

« Quand on devient président, on entre dans une stratégie qui vise à rapprocher son équipe d'une efficacité maximale »

Didier Lacroix

 
 
 

La tentation de la présidence, elle, est venue bien après. Il n'y pensait pas forcément, mais une gouvernance précédente à bout de souffle, des résultats sportifs bien en deçà du standing du club et une situation financière préoccupante ont progressivement insinué l'idée d'un « pourquoi pas moi » dans son esprit. « Je ne me suis pas préparé à devenir président, dit-il. Je n'ai pas fait des études pour ça, ni même suivi un parcours politique qui aurait pu me conduire à ça. Disons que, à un moment, sur une situation donnée, j'ai poussé les choses pour que ça devienne une réelle opportunité. »

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Didier Lacroix en 2001, l'année du dernier des six boucliers de Brennus qu'il a contribué à ramener dans la Ville Rose. (Alain Landrain/L'Équipe)

C'est arrivé en juillet 2017. Depuis, Lacroix kiffe sa vie de président, même si la plus belle reste celle de joueur. « C'est la plus tripante, parce que l'inconscience y est beaucoup plus forte, estime-t-il. On y est dans le court terme, avec un match à jouer et à gagner, une saison à réussir. Quand on devient président, on entre dans une stratégie qui vise à rapprocher son équipe d'une efficacité maximale. C'est une vision à plus long terme, qui demande beaucoup d'anticipation. Dans ce rôle-là, plus le match approche, plus tu deviens inutile, car tu n'as aucune prise sur les décisions de l'entraîneur et des joueurs sur le terrain. »

Quelques moments extatiques surviennent, quand même. Comme lors du titre de champion de France de 2019 ou du doublé Championnat-Coupe d'Europe de 2021. « Ces titres, c'est ce que tu recherches en tant que président. Parce qu'ils te mettent des shoots d'adrénaline qui nourrissent ensuite pendant des mois ta force de travail. Et parce qu'ils représentent un eden que tu as évidemment envie de retrouver le plus souvent possible. »

 
 


#4945 zeguest

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Posté 16 août 2022 - 08:46

Jamais entendu parler de ce joueur


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#4946 frednirom

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    le Var est dans le fruit.

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Posté 16 août 2022 - 10:03

Trop long à lire .

#4947 RCV06

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Posté 16 août 2022 - 10:05

Trop long surtout sur un président, pourquoi pas 2 pages sur un arbitre tant qu on y est.



#4948 frednirom

frednirom

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Posté 16 août 2022 - 10:09

Bonhoure mérite un livre. Rolland une encyclopédie .

#4949 casquette

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Posté 16 août 2022 - 15:31

Bravo à Lacroix qui fait un travail magnifique au ST. Respect et un peu de jalousie qd même
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#4950 Alex chocolatines

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Posté 16 août 2022 - 17:12

Trop long surtout sur un président, pourquoi pas 2 pages sur un arbitre tant qu on y est.

Toi, y a que Nantes 86 qui t'excite  :fume:


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