6010 replies to this topic

[Alex chocolatines]

Tout a fait mais ce serait bizarre qu'un Meafou ou qu'un Mauvaka accepte moins que ce que Penaud aurait pu avoir a Clermont

Il y a des tendances certes approximatives mais des tendances malgré tout.

Par exemple en basket on connaît les salaires et c'est très cohérent

En proA le plus haut salaire Français c'est De Colo et pas loin il y a les Okobo, Lauvergne
Chez les étrangers Mike James est très loin devant des Motiejunas, Paris Lee ou Alpha Diallo.

Mis a part le très joli coup sur un an Maledon c'est très cohérent

Pourquoi ça ne le serait pas en rugby ?

Les Américains sont décomplexés par rapport à l'oseille, ce qui est loin d'etre le cas sur le vieux continent. Donc on suppose, on imagine, mais on sait rien d'officiel.

Le basket étant un sport Américain, pas étonnant qu'on adopte les memes codes en France. 

[Fanchic]

Les Américains sont décomplexés par rapport à l'oseille, ce qui est loin d'etre le cas sur le vieux continent. Donc on suppose, on imagine, mais on sait rien d'officiel.
Le basket étant un sport Américain, pas étonnant qu'on adopte les memes codes en France. 

Je parle de proA en France et non de NBA

Et c'est pareil dans toute l'Europe

[Alex chocolatines]

Je parle de proA en France et non de NBA

Et c'est pareil dans toute l'Europe

Bah oui, et je te dis que le Basket étant à la base un sport Américain, pas étonnant qu'on retrouve les mêmes codes en France.

[Silhouette]

Les Américains sont décomplexés par rapport à l'oseille, ce qui est loin d'etre le cas sur le vieux continent. Donc on suppose, on imagine, mais on sait rien d'officiel.
Le basket étant un sport Américain, pas étonnant qu'on adopte les memes codes en France. 

C'est pas tant une question de decomplexion (même si c'est vrai), c'est surtout que ce sont des ligues fermées avec de vrais salary cap, pas des ententes plus ou moins floues autour d'une espèce de fair play financier, et un vrai faux plafond qui est plus ou moins respecté.

[Y&B]

Convaincu que Usap est mouillé dans le truc aussi
Voir Jaminet également
Et que l'argent n'a pas disparu...

Par contre s'il y a médiation, le grand public ne saura peut être jamais rien de toute la vérité
Ce qui serait dommage...

Alors toujours convaincu de la blancheur immaculée du ST ?
Toujours persuadé que le SC Manager a toutes les billes pour œuvrer en toute liberté dans les comptes de certains club ?
De quoi perdre la foi non ?
Au passage, c’est pas très sympa de balancer sur l’USAP au passage

[Bon Chasseur]

HEY !! Qui c'est qui fait une fête Basket en cachette dans le topic Stade Toulousain sans dire aux autres là !!

[Alex chocolatines]

HEY !! Qui c'est qui fait une fête Basket en cachette dans le topic Stade Toulousain sans dire aux autres là !!

Va chercher du pop corn et pose toi là 

[Bad Zé]

Bon je sors de réunion avec Lacroix, tout est bouclé.
On va faire des efforts mais on pourra pas garder tout le monde. Ça veut dire plan de départ volontaire.
En gros on garde leurs meilleurs : Mauvaka, Baille, Meafu, Flament, Willis, Cros, Dupont, Ntamak, Costes et Ramos, tout le reste on gicle.
Côté staff, Urios directeur du rugby. Mola sera en charge de la liaison talonneur - ailier gauche. On garde Poitrenaud pour les arrières et le reste aux assedoc.
On jouera 3 fois à Clermont, une fois à Toulouse pendant deux ans, le temps de la construction du grand stade. Après on jouera tout à Clermont.
On va recevoir bientôt l'ensemble du personnel pour des entretiens individuels au curs desquels il leur sera signifié qu'ils devront se démerder.
Voilà. Comme entendu dans les Affranchis, "désolé on n'a rien pu faire."

[xdderf63]

Alors toujours convaincu de la blancheur immaculée du ST ?
Toujours persuadé que le SC Manager a toutes les billes pour œuvrer en toute liberté dans les comptes de certains club ?
De quoi perdre la foi non ?
Au passage, c’est pas très sympa de balancer sur l’USAP au passage

 

Heu,

Tu devrais relire ce que j'écris (il doit y avoir 20 messages), il doit pas y en avoir un seul ou je dis que Toulouse est blanc sur l'affaire Jaminet

 

 

On verra pour Usap

Je cherche pas des excuses, je cherche des explications

Et j'espère bien qu'on saura tout

[frednirom]

on sait déjà tous que le ST va passer par la case D2 comme les Sarries .Un titre de champion D2 c'est tout ce qui leur manque ,d'ailleurs je me demande si c'est pas intentionnel leur suicide au salary.

[Murena]

Un nouveau mur de briques est prévu pour payer les 2 millions d'amende ?

[Codorplusàvie]

Un nouveau mur de briques est prévu pour payer les 2 millions d'amende ?

Peut-être devraient-ils le faire avec des parpaings.
Pardon des parpines.

[el landeno]

Après ses fulgurances de la saison passée, Paul Costes cherche le deuxième souffle pour confirmer Révélation du printemps dernier, Paul Costes (21 ans), le trois-quarts centre du Stade Toulousain, éprouve davantage de difficultés à tenir le cap cette saison. Il aura une autre occasion de redevenir lui-même face à Bayonne, ce samedi (21 h 05), lors de la 17e journée du Top 14.

Tous les sportifs de haut niveau le disent, la deuxième saison est souvent plus difficile que la première. Parce que vous êtes davantage attendu, que l'insouciance des débuts s'est sensiblement étiolée, que la pression est fatalement plus forte. Paul Costes en est là aujourd'hui.

 

À 21 ans, le fils d'Arnaud, ancien troisième-ligne international de Clermont, cherche encore les fulgurances qui avaient fait de lui le joueur le plus prometteur de la saison dernière. Le trois-quarts centre du Stade Toulousain reste un très bon rugbyman, notamment en défense, où son tempérament de feu impacte sacrément ses vis-à-vis, mais ses coups d'éclat se voient désormais un peu moins que ses imprécisions. « La saison de la confirmation n'est simple pour aucun jeune joueur, admet Clément Poitrenaud, l'entraîneur des trois-quarts toulousains. Forcément, la première année, ce n'est que du bonus en permanence. Tu as l'étiquette du petit jeune qui démarre, à qui on passe beaucoup de choses, donc c'est assez facile à gérer d'un point de vue mental. L'An II est plus difficile parce que ton statut a changé. »

lire aussiLa 17e journée du Top 14

Tout est allé très vite pour Paul Costes. Un titre de champion du monde U20 en 2023, les sept premiers matches du Top 14 d'août à novembre de la même année, une fin de saison dernière tonitruante auréolée d'un doublé Coupe des champions-Top 14, une première convocation chez les Bleus de Fabien Galthié pour préparer les derniers tests de novembre : il n'en faut souvent pas davantage pour filer le « boulard » à un jeune joueur.

L'ancien columérin s'est-il vu trop beau avant d'être complètement arrivé ? Il estime que non. « J'ai toujours eu les pieds sur terre, dit-il. La différence entre les deux saisons, c'est que j'étais dans une position d'outsider lors de la première. J'avais tout à gagner. J'ai bien sûr été prévenu de la dureté de la deuxième saison. Je n'en avais pas conscience en début d'exercice. Maintenant, je le sais. J'essaie donc de réagir sur les choses que je peux maîtriser, parce qu'il y a plusieurs éléments qui échappent à mon contrôle. »

« C'est plus difficile parce que les adversaires ont un regard différent sur lui »

Clément Poitrenaud, entraîneur des trois-quarts toulousains.

 

 

 

 

Un élément, surtout : ce n'est pas lui qui fait les compos d'équipe. Soumis à une énorme concurrence à son poste, notamment à celle de l'excellent Pierre-Louis Barassi, Costes n'a ainsi participé qu'à 12 des 20 matches de son club cette saison (8 fois comme titulaire), dont un seul en Coupe des champions, face à l'Ulster (61-21), en tant que remplaçant.

« L'an dernier, c'est vrai qu'il a pris part à des matches hyper importants, relève Poitrenaud. Notamment lors de la phase finale de la Coupe des champions, où il a été titulaire à chaque fois, sauf en huitièmes de finale face au Racing 92 (31-7). Il y a sûrement laissé beaucoup d'énergie. C'est pour ça qu'il n'a été que remplaçant lors de la phase finale du Top 14 (en demi-finale et en finale). Mais il a participé pleinement aux deux épopées. Aujourd'hui, c'est plus difficile parce que les adversaires ont un regard différent sur lui. Ils ont monté leur niveau d'exigence par rapport à lui, ce qui est normal. Mais ça reste un joueur avec beaucoup de tempérament et de talent. On va compter énormément sur lui à partir de maintenant. »

La période des doublons lui est favorable

Maintenant, c'est justement cette période hivernale de vrais et faux doublons qui l'avait révélé la saison dernière. Costes vient d'enchaîner deux titularisations en Top 14 face à Montpellier (27-17) et à Clermont (18-35). Il démarrera encore face à Bayonne, ce samedi (21 h 05), à Ernest-Wallon. Avec l'objectif d'épurer son jeu, d'en exclure ces péchés de gourmandises ou ces excès de zèle qui, parfois, handicapent son équipe, comme ce plaquage sur un joueur sans ballon qui offrit la pénalité de la victoire aux Rochelais début janvier.

« Je suis encore dans l'assimilation, observe-t-il. Ce que je vis aujourd'hui ne pourra que me servir dans le futur. C'est une très grosse remise en question à opérer, mais j'ai toujours eu des objectifs élevés. J'essaie de les appréhender avec sérénité et vigilance. Je veux d'abord faire les meilleurs matches possibles à chaque fois que je suis aligné. Pour ça, je dois me concentrer pleinement sur le rugby et mettre la partie émotionnelle de côté. Parce que moins tu réfléchis sur un terrain, plus tu joues avec ton instinct, de manière spontanée, et plus tu auras de chances de faire ressortir ton vrai toi et la manière avec laquelle tu veux jouer. »

 

 

[Murena]

Vous le sentez venir le petit arrangement entre amis ?

Si la carrière sportive de Melvyn Jaminet a repris son cours la semaine dernière, quand larrière international du XV de France est entré à vingt minutes de la fin du match Toulon Stade français soldé par une victoire bonifiée du RCT (24-6), le joueur aux 20 sélections est toujours au cur de lactualité, mais pas uniquement pour le sportif.

En effet ce mercredi, la LNR a confirmé à nos confrères de lAFP louverture dune médiation entre elle et le Stade toulousain, club que Jaminet avait rejoint en 2022 alors quil était encore en contrat avec lUsap, confirmant ainsi une information de nos confrères de lÉquipe du 28 janvier dernier. Pour rappel, larrière avait rejoint le club haut-garonnais en contractant deux emprunts dun montant de 450 000 euros pour payer lui-même la clause qui lautorisait à quitter le club catalan. Un montant qui naurait pas été versé par le Stade toulousain à Melvyn Jaminet, et qui aurait contraint le Stade toulousain de dépasser le salary cap auquel tous les clubs de Top 14 sont soumis. Lannée suivante (en 2023 donc) Melvyn Jaminet rejoignait les rangs de son club formateur, le Rugby Club Toulonnais.

Voir aussi :
Rugby professionnel vs rugby amateur avec Dimitri Delibes (Stade toulousain) ! Kick-Off Rugby #24

Médiation de 45 jours, menace dune lourde amende pour le Stade toulousain
Pour résoudre laffaire, la Ligue a donc ouvert une médiation avec le Stade toulousain, comme nous l'avions annoncé le 5 février dernier. Celle-ci va courir sur les 45 jours, un délai qui doit permettre aux deux parties de trouver un accord pour régler ce différend. Si ce nest pas le cas, cest la commission de discipline de la LNR qui se saisira de ce dossier dans le courant du mois de mars.

Mercredi, nos confrères de lÉquipe évoquaient que la possibilité dune lourde amende donnée au club toulousain, pouvant aller jusquà 1 ou 2 millions deuros. Lenquête du quotidien a également mis en lumière le rôle dintermédiaires par lesquels les sommes auraient dû passer pour rembourser larrière international, qui na finalement jamais perçu ladite somme. Le Stade toulousain, par le biais dun communiqué de son président Didier Lacroix diffusé au mois de février dernier, avait confirmé des "échanges formalisés" avaient lieu entre le son club et la Ligue, soulignant au passage la présence de "déclarations factuellement inexactes". Cette médiation de 45 jours devrait donc permettre aux deux parties de trouver un terrain dentente.

[Toorop]

Ca fait quand même pas riche, surtout après le précédent Kolbe.

Lundi, grande enquête à lire dans le Midol. On saura tout !