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Racing Toulousain


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6010 réponses à ce sujet

#6001 InASMWeTrust

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    Raoul Bitenbois III

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Posté 01 avril 2025 - 07:41

Ca va être un véritable séisme quand on va leur enlever 2 pts au classement général avant les phases finales. 


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#6002 lecoon

lecoon

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Posté 01 avril 2025 - 07:41

Poisson d avril pour Kockott 😄

#6003 coucouleszouzous

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Posté 07 avril 2025 - 14:52

6 semaines pour Capuozzo.

Ca va nous couter surement la Ccup.

 

(on est trop faible au poste de 9)

 

Mais il sera là et en forme pour les demies et la finale de Top14, on s'en sort très bien.



#6004 Alex chocolatines

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Posté 07 avril 2025 - 19:44

6 semaines pour Capuozzo.

Ca va nous couter surement la Ccup.

 

(on est trop faible au poste de 9)

 

Mais il sera là et en forme pour les demies et la finale de Top14, on s'en sort très bien.

Ben pour être honnête, chuis pas très emballé par ce que propose NTK actuellement, sans Dupont il est un peu perdu et pas revenu à son meilleur niveau. 

J'espère voir Ramos 10 ou meme Mallia à Toulon, je serais plus rassuré, leur charnière avec serin à la baguette peut faire très mal. 



#6005 HugoltBolt

HugoltBolt

    Joueur de Fédérale 3

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Posté 08 avril 2025 - 08:18

Mallia va être testé en 9 selon vous ? Etant donné qu'il est incroyable à absolument tous les postes, je serais pas étonné qu'il soit bon aussi en 9.


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#6006 Bon Chasseur

Bon Chasseur

    Champion d'Europe

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Posté 08 avril 2025 - 09:12

Ben pour être honnête, chuis pas très emballé par ce que propose NTK actuellement, sans Dupont il est un peu perdu et pas revenu à son meilleur niveau. 

J'espère voir Ramos 10 ou meme Mallia à Toulon, je serais plus rassuré, leur charnière avec serin à la baguette peut faire très mal. 

tu mettrais Ntamack sur le banc et Ramos voire Mallia en 10 (qui n'en sont généralement pas) ? Ntamack 2025 n'est pas Ntamack 2021, mais il n'est qd mm pas cata pour justifier un tel choix de nulle part.



#6007 el landeno

el landeno

    Champion d'Europe

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Posté 17 avril 2025 - 06:02

« J'ai hâte de vivre cette fin de saison, de vivre le plus de matches possibles » : après deux graves blessures, Anthony Jelonch a faim de rugby Affecté par deux graves blessures aux genoux en moins d'un an, le troisième-ligne international Anthony Jelonch n'a toujours pas remporté le moindre titre sur le terrain avec le Stade Toulousain. Il fonde donc beaucoup d'espoir sur cette fin de saison pour rattraper le temps perdu.

 
 

Il n'y a pas si longtemps, Anthony Jelonch a vécu un cauchemar en deux actes. Deux ruptures d'un ligament croisé d'un genou en moins d'un an. D'abord le genou gauche en février 2023, dans un match du Tournoi des Six Nations avec les Bleus face à l'Écosse. Puis le droit, en janvier 2024, lors d'une rencontre de Coupe des champions face à Leicester, avec le Stade Toulousain. À chaque fois, il est revenu. Juste à temps, la première fois, pour disputer la Coupe du monde 2023, et suffisamment tôt, la seconde, pour remporter le dernier Tournoi des Six Nations et espérer enfin vivre un printemps triomphant sur le terrain avec son club.

 
 
Sa reconstruction physique

 

« J'avais besoin de jouer des matches durs, à haute intensité »

 
 
 

Le flanker toulousain estime aujourd'hui être proche de son meilleur niveau. « Physiquement, je sens que ça revient bien, dit-il. Le Tournoi m'a fait du bien, aussi bien à la tête qu'aux jambes. J'avais besoin de jouer des matches durs, à haute intensité, et je les ai joués. » L'appréhension des premiers temps, la peur d'une rechute, d'une troisième blessure similaire à un genou, ont disparu. « Il faut avoir confiance, assure-t-il. Un mec qui a peur, ça se voit tout de suite sur le terrain. Le plus dur, c'est de reprendre les bons automatismes. Il faut se reconnecter avec l'équipe, avec le rugby pratiqué. Une fois que c'est fait, t'as l'impression que c'est comme avant, qu'il ne t'est rien arrivé. »

Aujourd'hui, Jelonch ne ressent plus aucune douleur à ses genoux. « J'ai juste un peu plus de soins à faire. Je dois faire de la prévention, du renforcement, mais c'est davantage pour garder mon corps au top. »

 
 

Le Toulousain dit ne pas avoir vécu ses deux blessures de la même façon. La première fois, c'était une découverte. Une urgence, aussi. Celle de revenir le plus tôt possible pour disputer la Coupe de monde 2023 en France avec ses coéquipiers de la sélection. « Je voulais absolument jouer cette compétition. Donc je n'ai pas eu le temps de me poser trop de questions. La seconde fois, comme je savais à quoi m'attendre, j'ai mieux géré ma convalescence. J'ai bossé encore plus pour revenir, en prenant le temps qu'il fallait. J'ai repris au bout de huit mois, alors qu'il m'en avait fallu sept après la première blessure. Avec du recul, il me semble que ça a été plus facile pendant la rééducation, mais plus difficile ensuite pour revenir à mon niveau sur le terrain. Ça vient peut-être du fait que j'avais coupé plus longtemps avec le rugby. Quand tu reviens, il faut réapprendre à encaisser les chocs. Au début, ton corps est beaucoup plus mâché qu'en temps normal, quand t'enchaînes les matches. Tu le ressens au niveau des épaules, des cervicales. Le paradoxe, c'est que j'ai plutôt été bon quand j'ai repris. C'est quelques semaines après que j'ai connu un coup de moins bien. Derrière, il m'a bien fallu deux mois pour me sentir bien. »

Forcément, Jelonch a partagé son expérience avec son pote Antoine Dupont, lui aussi opéré d'un genou pour la deuxième fois de sa carrière. Le cas du demi de mêlée est sensiblement différent du sien. Dupont a été opéré du même genou, le droit, quand lui a été opéré des deux. « Sa blessure actuelle se rapproche plus de ma première, raconte-t-il. Parce que le ménisque est également touché. Du coup, tu te retrouves à être immobilisé trois semaines, à marcher avec des béquilles sans pouvoir poser le pied par terre. C'est ce qu'a vécu Antoine. Moi, la deuxième fois, comme je n'avais rien eu au ménisque, je n'avais pas subi d'immobilisation. Trois jours après l'opération, je remarchais normalement. Après, ça ne change rien à la durée d'indisponibilité. C'est juste que quand tu ne peux pas bouger, ta jambe perd un peu de volume. Un volume que tu devras regagner à ton retour à l'entraînement. »

Le flanker a évidemment partagé la peine de son ami. Une peine immense, la frustration de ne pas pouvoir participer aux matches les plus excitants de la saison s'ajoutant à la douleur physique. « Une grave blessure comme ça, ça fait mal, admet-il. Quand t'as déjà eu une blessure identique, tu te dis ''ça y est, c'est reparti, je vais devoir bosser deux fois plus pendant huit mois pour revenir, et en plus je ne sais même pas dans quel état je serai au moment de ma reprise''. Au début, c'est vrai, tu te poses des questions. C'est complètement normal. Antoine se les est posées aussi. Mais je ne me fais pas de souci pour lui, je suis persuadé que ça va bien se passer. Il est revenu une fois, il reviendra une deuxième. »

Sa fin de saison

 

« Si on continue à se régaler sur le terrain, avec le groupe qu'on a, on aura peut-être la possibilité de faire encore de belles choses »

 
 
 

Aussi paradoxal que cela puisse paraître, Anthony Jelonch n'a donc encore jamais gagné de titres sur le terrain avec Toulouse. Son club en a pourtant amassé trois depuis qu'il y joue (deux Brennus en 2023 et 2024 et une Coupe des champions en 2024), mais lui avait suivi ça des tribunes, avec un genou encore en vrac. « Les seules phases finales que j'ai jouées avec Toulouse sont celles où l'on perd en demies des deux compétitions, en 2021-2022, rappelle-t-il. La saison d'avant, celle du premier doublé (2020-2021), j'étais encore à Castres. Et les deux saisons d'après, j'étais blessé. J'espère que ce sera enfin la bonne année pour moi. »

Évidemment, les trois titres glanés ces deux dernières saisons par le Stade Toulousain figurent bien au palmarès du Gersois. Mais ils n'ont pas tout à fait le même goût que ce titre de champion de France remporté avec le CO en 2018, alors qu'il était titulaire en demi-finale (face au Racing 92) et en finale (face à Montpellier). « Quand tu n'es pas sur le terrain, tu vis la chose différemment, ce n'est pas pareil, reconnaît-il. En tribunes, tu ressens forcément de la frustration, même si t'es content de voir tes copains gagner tous les matches. Il fait beau, il y a des supers matches à jouer, et toi tu ne peux pas les jouer. »

Aujourd'hui, Jelonch déborde d'envie de rattraper le temps perdu. Il sent que son équipe, qui vient de se qualifier pour les demi-finales de la Coupe des champions, et qui est bien parti pour en faire de même en Top 14 (Toulouse est actuellement en tête de la saison régulière après 20 journées), est capable d'ajouter une ou deux unités à son armoire à trophées. « J'ai hâte de vivre cette fin de saison, de m'éclater un maximum, de vivre le plus de matches possibles, s'emballe-t-il. Si on continue à se régaler sur le terrain, avec le groupe qu'on a, on aura peut-être la possibilité de faire encore des belles choses cette année. » Même sans Dupont ? « Antoine est toujours aussi dur à remplacer, mais on a des mecs qui sont prêts à relever le défi, promet-il. On voit que l'équipe a toujours faim de gagner, faim de s'entraîner toute la semaine. Et puis, il y a aussi cette concurrence qui permet à tout le monde de se tirer vers le haut. »

Son statut actuel de remplaçant

 

« Voir des finisseurs remplis d'énergie, ça pousse les mecs, ça les tire vers le haut »

 
 
 

Depuis son retour de blessure, le 21 septembre dernier à Montpellier, en Top 14 (11-20, 3e j.), Jelonch a disputé 21 matches, toutes compétitions confondues, dont une petite moitié comme titulaire (10). Mais dans les gros matches, à l'exception des deux dernières rencontres de la phase de poules de Coupe des champions (aux Sharks et contre Leicester), il a presque toujours fait banquette. On pense aux trois derniers matches du Tournoi avec les Bleus (il avait raté les deux premiers à cause d'une blessure à un mollet), ou encore aux deux derniers matches du Stade en Coupe des champions contre Sale et à Toulon.

Mais n'allez pas imaginer qu'il prenne ce nouveau statut comme une punition. Le bonhomme sait d'où il vient. Être rappelé en sélection en février était déjà un immense bonheur. « J'ai eu la chance d'avoir trois matches excitants à jouer. Franchement, ça m'a fait du bien à la tête de revenir après un an et demi d'absence. » Trois matches gagnés, en plus, qui ont permis aux Bleus de remporter la compétition. Mais pas le Grand Chelem. « Ça reste quand même un titre et c'est déjà bien d'en avoir gagné un cette saison. »

Jelonch se satisfait aussi de son rôle de finisseur, même s'il préférerait logiquement démarrer les matches. « Quand tu rentres à la 45e, t'as quand même beaucoup de responsabilités. La plupart du temps, surtout dans le Tournoi, il n'y a rien de fait. Les matches se décantent souvent dans les vingt dernières minutes. Donc, c'est à toi, en tant que remplaçant, de contribuer à faire gagner l'équipe. C'est quelque chose que j'apprécie. Comme je trouve chouette de remettre un coup de boost aux mecs qui sont encore sur le terrain et qui ferraillent depuis le début du match. Voir des finisseurs remplis d'énergie, ça les pousse, ça les tire vers le haut. » La saison est encore longue. Il n'est pas exclu que le troisième-ligne toulousain, qui a aussi dépanné en deuxième-ligne, la termine dans un quinze de départ.

 
 


#6008 samsara

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Posté aujourd'hui, 00:11

https://www.rugbyram...se-12656017.php

 

 

Je ne comprends pas, ils ont besoin de ça pour gagner quoi ? Ils veulent gagner tous les titres restants jusqu'à l'apocalypse ?



#6009 Silhouette

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Posté aujourd'hui, 00:23

https://www.rugbyram...se-12656017.php

 

 

Je ne comprends pas, ils ont besoin de ça pour gagner quoi ? Ils veulent gagner tous les titres restants jusqu'à l'apocalypse ?

"Etre meilleur ne s'arrete jamais" (ce qui est bien avec ce genre de phrases, c'est que ca marche avec tout et tout le temps..)



#6010 musky

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Posté aujourd'hui, 11:11

Toulouse c'est comme le real Madrid en foot.
Un très grand club mais qui se croit tout permis à l'image de l'affaire Jaminet. Je vous conseille l'article de l'équipe du jour.
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