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USAP


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#1186 darkminimouf

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Posté 28 août 2025 - 11:24

Mais probablement le meilleur deuxième ligne la saison dernière sur l'ensemble de la saison.

 

Mouai il y a match avec Simmons et Ceyte tout de même.



#1187 Codorplusàvie

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Posté 28 août 2025 - 12:05

Plutôt Lanen et Ceyte pour moi.

#1188 Néophyte

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Posté 28 août 2025 - 12:10

Mais probablement le meilleur deuxième ligne la saison dernière sur l'ensemble de la saison.

 

On a déjà payé sportivement et économiquement d'avoir voulu (ou de n'avoir pas su se séparer à temps) de nos talentueux intermittents. 



#1189 DOUDOU63

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Posté hier, 19:49

https://www.msn.com/...5fd893421&ei=66

 

Pour info...



#1190 el landeno

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Posté hier, 19:49

Nicolas Mas, de retour à l'USAP après avoir été mécanicien : « Certains joueurs feraient bien d'aller voir ce qui se passe dans la vraie vie »
Après neuf ans loin du rugby professionnel, l'ex-pilier emblématique de l'USAP et du quinze de France, a replongé, dans le staff de Perpignan, comme entraîneur de la mêlée. Il raconte cette nouvelle vie et ses années à oeuvrer dans un garage.

Ce samedi, il s'est assis en tribunes, dans la partie réservée au staff de Perpignan, lors du match contre Bayonne (19-26). Au téléphone la semaine dernière, il ne le cachait pas : « Revenir à Aimé-Giral avec le logo de l'USAP sur le coeur, c'est quelque chose de fort ». Nicolas Mas est depuis cet été l'entraîneur de la mêlée de Perpignan, où il a notamment pris le relais de Perry Freshwater.

 
 

Né et formé à Perpignan, l'ancien pilier droit (45 ans) y a joué jusqu'en 2013 - champion de France en 2009 - et a cumulé 85 sélections avec le quinze de France, record absolu pour un pilier. Malgré un CV qui lui aurait aisément permis de continuer sa carrière dans le rugby, il a claqué la porte à sa retraite de joueur en 2016 pour devenir mécanicien. Loin d'un milieu qu'il ne comprenait pas...

« Comment se sont passées ces premières semaines dans le staff de Perpignan ?
J'ai pris mes marques. L'USAP, je connais bien, mais dans ce rôle d'entraîneur, et après quelques années passées loin du rugby professionnel, il a fallu que je reprenne mes repères. Comme je le fais toujours, j'observe d'abord et petit à petit, je m'installe.

Est-ce que ça vous a fait bizarre de replonger dans le rugby au quotidien ?
Oui, forcément. C'est un quotidien qui m'a assez - comment dire - occupé avant ma retraite (de joueur). En 2016, j'ai voulu vraiment couper avec ce quotidien et le retrouver maintenant, dans un club où j'ai passé quasiment toute ma carrière, c'est quelque chose de fort.

 
 
 

« Quand on joue au rugby, on est privilégié, on a des bons salaires, on est bichonné »

 
 
 

Qu'est-ce qui vous a motivé à vous lancer dans ce projet, neuf ans après la fin de votre carrière de joueur ?
D'abord, c'est Perpignan... C'était ici et nulle part ailleurs que je pouvais envisager ça. C'est le club où j'aurais voulu faire toute ma carrière de joueur mais les circonstances en ont fait autrement (Il a fini sa carrière à Montpellier). Ensuite, dans le staff, il y a Franck (Azéma, le manager) et David (Marty, l'entraîneur principal). Franck, il était entraîneur quand on est champion en 2009, David, c'est peut-être le joueur avec qui j'ai le plus de matches en commun. Ce sont des amis, des gens que j'estime énormément. Ils m'ont parlé de ce projet, et, pour une fois, je n'ai pas dit non tout de suite (sourire). C'est un club qui m'a tellement donné, où les anciens m'ont beaucoup transmis et je me suis dit que c'était à mon tour de transmettre.

Comment vous êtes-vous préparé avant la reprise, il a fallu bachoter ?
C'est très différent du rôle de joueur donc je m'y suis préparé. Je n'avais pas décroché dans le suivi des matches et j'ai mes deux garçons qui jouent au rugby. Le grand, Paul, a arrêté avec les études, mais il a joué jusqu'en Espoirs à l'USAP. Le petit, Louis, joue en Crabos deuxième année, donc je les accompagne. J'ai aidé notamment les Crabos sur le jeu au poste de pilier certains soirs.

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Nicolas Mas en 2021. (T.Chene /L'Équipe)

Passez-vous vos diplômes ?
Oui, je suis un apprenti (Il rigole). Je commence mi-septembre une formation à Montpellier, le BPJPES (Brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport), sur deux ans, avec des rassemblements réguliers. C'est important pour moi de valider ça, et ça va m'aider sur la pédagogie, la communication avec les joueurs.

Revenons en 2016. Vous finissez donc votre carrière à Montpellier et vous coupez complètement du milieu du rugby professionnel. Que faisiez-vous depuis neuf ans ?
Je suis un passionné de voitures anciennes, j'ai un petit faible pour les Coccinelle (sourires), et je voulais travailler dans la mécanique. Quand j'ai arrêté le rugby, j'ai passé mes diplômes. Un CAP, pas un diplôme de fou. J'ai eu mes examens et j'avais fait mon alternance à Prestige Auto, un garage à Perpignan. Au bout de mes deux ans de formation, un mécanicien est parti, j'ai postulé et ils m'ont embauché, en 2018. En CDI, mécanicien salarié, je faisais mes 39 heures par semaine, avec mes 5 semaines de congés payés, comme tout le monde...

Vous racontez ça comme si c'était normal, alors que ce n'est pas banal, surtout pour un joueur de votre pedigree...
Ça m'a permis aussi de voir autre chose. De voir la vraie vie quoi. Quand on joue au rugby, on est privilégié, on a des bons salaires, on est bichonné. Certains joueurs feraient bien d'aller voir ce qui se passe dans la vraie vie. Quand vous êtes professionnel, vous êtes dans une bulle, et vous oubliez un peu la chance que vous avez de faire de votre passion votre métier...

« Il y a des choses qui se sont dites, qui n'étaient pas vraies. Je ne suis pas parti (à Montpellier en 2013) pour l'oseille »

 
 
 

Suiviez-vous l'actualité du rugby quand même ?
Je n'allais pas voir des matches à Aimé-Giral, ou très rarement, je n'aime pas trop m'afficher... Mais je suivais ça à la télé, ça reste mon sport préféré, que j'ai commencé à 11 ans donc je ne peux pas tirer un trait comme ça...

Le rugby, le terrain, vous ont-ils manqué ?
Oui. Pas l'aspect physique, la muscu, courir, les entraînements (rires). Mais la camaraderie, le vestiaire, ce côté enfantin... Parce qu'on était des enfants en fait, des gamins qui gagnaient leur vie en jouant au rugby, qui s'amusaient, finalement. Vous retrouvez moins ça dans le monde de l'entreprise.

Vous aviez quitté Perpignan en 2013, à contrecoeur, pour finir votre carrière à Montpellier. Y'avait-il en 2016 une forme de ras-le-bol du rugby professionnel ?
Oui oui... Je suis rancunier, mais j'ai tourné la page, vous ne pouvez pas rester sur du passé éternellement. Mon départ de Perpignan, ça a été très dur. C'était vraiment le club où je voulais rester toute ma carrière. J'ai dû partir à Montpellier... C'est moi qui ai choisi, je ne dis pas le contraire, mais il y a des choses qui se sont dites, qui n'étaient pas vraies. Je ne suis pas parti pour l'oseille. J'avais des gosses qui étaient bien à Perpignan, il a fallu déménager avec ma femme, ce n'était pas évident. Tout ce chamboulement, ces rumeurs, l'argent... En 2016, j'avais vraiment envie de me couper de ce monde-là. Ces neuf ans m'ont aussi permis de me poser, d'y réfléchir.

Vous revenez en étant toujours méfiant de ce milieu-là ?
Franchement, non. Si j'avais cet état d'esprit, je n'y serais pas retourné.

Quel est votre pire et meilleur souvenir avec l'USAP ?
Le pire, c'est évidemment mon départ en 2013. Un déchirement. Mais comme je l'ai dit, il faut arrêter de ''rouméguer'' (bougonner) avec ça. Et le plus beau, c'est le titre en 2009. Ramener le Bouclier 54 ans après à Perpignan... Je me souviens que j'avais fait des photos avec le capitaine du titre de 1955, André Sanac, c'était un moment très fort.

Les photos de l'équipe de 2009 sont un peu partout dans les lieux de vie du centre d'entraînement... Vous pensez à quoi en les revoyant ?
Que le temps passe vite ! On se croit jeunes, mais ça file (rires). J'ai 45 ans donc ça va, mais ça ne me rajeunit pas. »


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#1191 el landeno

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Posté aujourd'hui, 05:45

Une nouvelle fois, l'USAP s'est inclinée lors de la première journée du Championnat À nouveau, Perpignan a perdu son premier match en Top 14, ce samedi face à Bayonne (19-26). Et comme la saison dernière, le club est déjà handicapé par des blessures importantes.

Mis à part une bonne fin de première période qui a permis à l'USAP de mener à la pause (14-10) après les essais de Joseph (37e) et Buliruarua (40e), il n'y avait pas beaucoup de satisfactions à retirer de ce premier rendez-vous raté contre Bayonne (19-26), ce samedi à Aimé-Giral. Depuis leur retour en Top 14 en 2011, les Sang et Or perdent leur premier match et « se rajoutent un peu plus de pression », comme le concédait le pilier gauche Giorgi Beria. À chaud, le manager Franck Azéma pointait, lui, des erreurs d'exécution techniques, notamment dans les passes et le jeu au pied, qui ont empêché Perpignan de s'exprimer.

 
 

« Très pauvre pendant les 20 premières minutes », « inconstants de bout en bout », « faibles dans notre exécution »... Azéma avait des mots durs et s'inquiétait déjà alors qu'il faut rendre visite à Toulouse ce samedi : « Si on ne prend pas de plaisir à tenir le ballon, à bien exécuter ce qu'on met en place dans la semaine, alors on va en prendre cinquante ! »

L'USAP avait pourtant reçu une belle alerte une semaine plus tôt face à Montpellier en amical (24-34), mais n'a pas réussi à redresser suffisamment la barre. Face à Bayonne, les 31 ballons perdus ont pesé lourd malgré huit franchissements, tout comme les deux pénalités concédées en mêlées et les deux munitions égarées en touche.

 
 

« Il faut sortir de ça, arrêter de parler de la saison dernière »

Franck Azéma, manager de Perpignan

 
 
 

Pour ne rien arranger, deux cadres sont déjà sur le flanc. Posolo Tuilagi (21 ans), annoncé comme titulaire contre Bayonne, a finalement renoncé. Le deuxième-ligne international (5 sélections avec les Bleus) a été victime d'une fracture de fatigue à la jambe droite - C'est la gauche qui avait été lourdement touchée en début de saison dernière - et sera absent quatre à cinq semaines selon les premiers échos. L'ouvreur Jake McIntyre (31 ans), lui, déjà absent de longs mois la saison dernière pour des blessures au pectoral puis au genou droit, s'est blessé en première période ce samedi au... genou droit, sur un changement d'appui anodin. L'Australien, qui a passé des examens ce lundi, souffre d'une rupture du ligament croisé, ce qui va le rendre indisponible sur une période de six à huit mois..

Des coups durs qui rappellent évidemment la poisse qui collait à l'USAP la saison dernière. « Il faut sortir de ça, arrêter de parler de la saison dernière, fulminait Azéma. On ne va pas dire dès demain qu'on joue l'access match à la fin de la saison... J'ai confiance dans la qualité du vestiaire pour réagir, on sait sur quoi travailler et des joueurs vont revenir pour nous aider à progresser. » Absents face à Bayonne, le troisième-ligne Jamie Ritchie, arrivé cet été, l'ouvreur ou arrière Tommaso Allan, le centre Alivereti Duguivalu ou encore l'ailier Tavite Veredamu font partie des joueurs qui pourraient aider l'USAP à se remettre d'aplomb, d'abord en essayant de résister à Toulouse ce samedi après-midi puis pour la réception du Racing (20 septembre).

 
 
 


#1192 xdderf63

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Posté aujourd'hui, 07:40

Putain de pelouse Hybride... 






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