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[Rugby1475]

Et sans doute le meilleur de tous, Jean Cachassin 1,62 m

Licencié par la FFT et visé par une enquête pour agression sexuelle. Mais il faut savoir distinguer l'homme de l'artiste    

[Y&B]

Licencié par la FFT et visé par une enquête pour agression sexuelle. Mais il faut savoir distinguer l'homme de l'artiste 

Il a été poursuivi pour des dysfonctionnements de frais de bouche et de voiture de fonction (du Laporte Petit joueur ….) , pas entendu parler d’agression sexuelle.

[herve-beaulon]

Il a été poursuivi pour des dysfonctionnements de frais de bouche et de voiture de fonction (du Laporte Petit joueur ….) , pas entendu parler d’agression sexuelle.

https://www.lequipe....exuelle/1339933

[GUY03]

Il a été poursuivi pour des dysfonctionnements de frais de bouche et de voiture de fonction (du Laporte Petit joueur ….) , pas entendu parler d’agression sexuelle.

Embrasser de force sur la bouche une jeune femme dans le cadre d'une assemblée générale, effectivement ce sont des dysfonctionnements  de  frais de bouche qui peuvent coûter chers .

[Alex chocolatines]

Embrasser de force sur la bouche une jeune femme dans le cadre d'une assemblée générale, effectivement ce sont des dysfonctionnements  de  frais de bouche qui peuvent coûter chers .

ça dépend si le gars pue du bec 

[Bon Chasseur]

Dan Carter 1m78 défenseur hors pair et le meilleur 10 de tous les temps avec Wilkinson (1m78 également). Je ne pense pas qu il faut s arrêter à la taille d un joueur, surtout à ce poste la

non non, bien sûr. Je m'interrogeais simplement sur le cas Gibert. Après Carter mais surtt Wilko, c'était des tanks pour des 10, et Gibert n'est peut-être pas petit de taille, mais ça reste plutôt un 10 de poche par rapport aux 10 qu'il y a autour dans le circuit int'l. C'est bien ça dont il s'agit ici. Est ce qu'un mec comme lui peut percer et assurer une certaine pérennité au niveau int'l. Ma réponse: je ne pense pas. A ce style de joueurs de me faire mentir. Il y a bien George Ford qui est plutôt frêle, et qui a des tas de sélec avec l'Angleterre, certes. Mais ses pbs défensifs par ex ont tjrs été soulignés par les supporters anglais, et il n'est qu'un 10 parmi des dizaines plus costauds. Il y a Marcus Smith, plutôt léger, mais c'est un profile différent: explosif, crocheteur etc.

[Codorplusàvie]

non non, bien sûr. Je m'interrogeais simplement sur le cas Gibert. Après Carter mais surtt Wilko, c'était des tanks pour des 10, et Gibert n'est peut-être pas petit de taille, mais ça reste plutôt un 10 de poche par rapport aux 10 qu'il y a autour dans le circuit int'l. C'est bien ça dont il s'agit ici. Est ce qu'un mec comme lui peut percer et assurer une certaine pérennité au niveau int'l. Ma réponse: je ne pense pas. A ce style de joueurs de me faire mentir. Il y a bien George Ford qui est plutôt frêle, et qui a des tas de sélec avec l'Angleterre, certes. Mais ses pbs défensifs par ex ont tjrs été soulignés par les supporters anglais, et il n'est qu'un 10 parmi des dizaines plus costauds. Il y a Marcus Smith, plutôt léger, mais c'est un profile différent: explosif, crocheteur etc.

Ce n'est pas la taille qui compte, mais la façon dont tu t'en sers.
Et c'est ma nana qui le dit.
Du coup ça m'arrange.

[el landeno]

Le Sud-Africain Siya Kolisi rejoindra le Racing 92 après la Coupe du monde 2023 Siya Kolisi, capitaine charismatique des Springboks, champions du monde en 2019, rejoindra le Racing 92 après la Coupe du monde 2023. Avec l'intention de porter le club vers le haut et de l'aider à décrocher le Brennus après lequel il court depuis 2016.

Au matin du 1er janvier, Siya Kolisi était frais et dispos pour évoquer, depuis Durban en Afrique du Sud, son avenir qui s'inscrira dans quelques mois au Racing 92. Le capitaine de l'Afrique du Sud portait ce matin-là un maillot de Liverpool, et lui, le fan des Reds, sait qu'après la Coupe du monde 2023, il pourra plus souvent aller les voir à Anfield, et « même à l'entraînement ». « Mais tout ça, je n'en profiterai que si je joue bien ! », a-t-il prévenu. Et c'est ce sur quoi le troisième-ligne des Sharks a insisté, ce désir de venir dans la force de l'âge pour apporter toute son expérience et s'inscrire dans les pas d'un Dan Carter, la star all black qui avait porté le club des Hauts-de-Seine vers son dernier Brennus, en 2016.

 

 

 

« Certains disent qu'ils partent pour vivre une expérience, pas moi : je veux apporter une valeur ajoutée. Je veux bien jouer, être compétitif

Siya Kolisi

 

 

 

« Qu'est-ce qui a guidé votre choix pour le Racing 92 ?
Ça n'a pas été une chose facile de décider de quitter l'Afrique du Sud. C'est tout ce que j'ai connu ! Jouer ici, jouer pour la sélection, c'est spécial. Je m'étais toujours dit, depuis que je suis jeune, que si je devais partir un jour, ça serait pour la France, ou peut-être le Japon. À mon âge et à ce moment de ma vie, je dois aussi faire des choix pas seulement pour moi-même, mais aussi pour ma famille. Je vais avoir 32 ans (le 16 juin prochain), et je me sens toujours bien, mon corps est en forme. Alors si je veux partir dans un autre club, autant le faire tant que je suis encore un bon joueur, pas quand je suis au bord de la retraite ou que mon corps ne suit plus. Certains disent qu'ils partent pour vivre une expérience, pas moi : je veux apporter une valeur ajoutée. Je veux bien jouer, être compétitif. Ce qui était important, c'était aussi de pouvoir être avec ma famille au quotidien, parce qu'en Top 14, il n'y a pas tant de déplacements que ça (en URC, les clubs sud-africains se déplacent souvent en Europe). Sur une saison, tu es éloigné de chez toi seize jours à peu près, ce qui n'est pas trop. Je veux pouvoir emmener mes enfants à l'école et passer plus de temps avec eux. Être présent pour ma femme.

Aviez-vous déjà eu la tentation de quitter l'Afrique du Sud avant ?
Non, je voulais rester, il n'était pas question de partir avant la Coupe du monde 2023. Là, c'est le moment idéal pour moi de partir. Et le Racing est le club parfait pour moi : j'ai rencontré le président, Jacky (Lorenzetti), j'ai vu à quel point il aimait son club. C'était une leçon d'humilité. Et il m'a dit tout de suite, quand on s'est vus : "Je veux que tu puisses tout donner sur le terrain". C'est tout ce qu'il attend de moi. Mais il peut aussi soutenir mon action philanthropique et ça veut tout dire pour moi, parce que c'est mon lien avec mon pays, c'est aussi la raison pour laquelle je joue au rugby : je veux aussi laisser un héritage même hors du terrain. C'était spécial pour moi, alors je ne pouvais pas dire non !

 

 

Cet automne, on vous a vu vous entraîner sur les installations du RC Toulon. Des amis proches y jouent ou y ont joué, Cheslin Kolbe et Eben Etzebeth. Leur avez-vous demandé conseil ?
Non. Parce que je n'ai eu de discussions qu'avec le Racing. Je sais que Toulouse ou Toulon sont de très grands clubs, mais je veux écrire ma propre histoire, quelque chose qui puisse rester bien après que j'ai arrêté de jouer. Oui, cet automne, je me suis entraîné à Toulon, un super club, c'était bien, mais je savais déjà où je voulais aller et ça ne m'intéressait pas de parler avec d'autres équipes. Je voyais à quel point le Racing me voulait et c'était tout ce dont j'avais besoin. J'y connais aussi quelques joueurs, ce qui est bien, comme Warrick (Gelant) avec lequel j'ai joué en Afrique du Sud, Christian Wade, que j'affronte depuis mes 18 ans, et Gaël (Fickou) bien sûr, avec lequel j'ai beaucoup échangé. Il y a tellement de talents dans ce groupe, et j'espère pouvoir apporter ma contribution !

Votre amitié avec Yannick Nyanga, ancien joueur du club et actuel entraîneur des Espoirs, a-t-elle fait pencher la balance pour le Racing 92 ?
Oui, sans aucun doute (rires). C'est comme ça que tout a commencé. Je connais Yannick depuis que j'ai 21 ans, on avait joué l'un contre l'autre et on avait échangé nos maillots à la fin du match. Et depuis notre amitié n'a jamais cessé, elle n'a fait que se renforcer. Je le respecte beaucoup, parce qu'il a joué, et, maintenant, son savoir et sa passion sont énormes : il y a beaucoup à apprendre de lui. Quand il te parle, il faut l'écouter parce qu'il l'a vécu ! Je le considère comme une grande légende et je pense qu'il n'est pas apprécié à sa juste valeur. Et ce qu'il fait aujourd'hui est incroyable. J'ai toujours voulu travailler avec lui et, en parlant avec lui, j'ai pris conscience que je voulais tenter le coup. Et, bien sûr, il va pouvoir m'aider à apprendre le français !

La langue, c'est important pour vous ?
Oui. Si mes actions sont la chose la plus importante sur le terrain, ma parole est aussi un outil que j'utilise pour encourager mes coéquipiers. Et je veux le faire en français ! En plus, Gaël m'a déjà prévenu qu'il ne s'adresserait à moi qu'en français...

« C'est une telle légende ! C'est quelqu'un qui a été un grand ambassadeur du rugby, qui a changé le jeu dans beaucoup d'aspects. Il fait partie des raisons pour lesquelles je suis venu au Racing

Siya Kolisi à propos de Dan Carter

 

 

 

Vous vous inscrivez aussi dans les pas de Dan Carter...
C'est une telle légende ! C'est quelqu'un qui a été un grand ambassadeur du rugby, qui a changé le jeu dans beaucoup d'aspects. Il fait partie des raisons pour lesquelles je suis venu au Racing. Je lui en ai beaucoup parlé, je l'ai appelé pour lui poser des questions et il n'avait que de bonnes choses à me dire sur le club. Il m'a prévenu qu'ici, il y avait beaucoup de sollicitations pour les joueurs, mais qu'il faut faire en sorte que le rugby soit ta préoccupation numéro 1, d'abord bien jouer pour profiter de cet environnement. Surtout, le plus important, c'est de ne pas se laisser aspirer par l'incroyable mode de vie. Tu dois garder en tête que tu es d'abord là pour jouer au rugby, tout le reste n'est qu'un bonus. On doit attirer le public en étant performant, parce que je sais qu'il y a un autre club sur le pas de la porte, et aussi une grande équipe de foot. Il se passe tellement de choses autour !

« C'est bien que le propriétaire veuille te recruter, mais si l'entraîneur ne t'imagine pas dans ses plans... J'ai hâte de voir comment il peut m'aider à progresser

Siya Kolisi évoquant Stuart Lancaster, futur entraîneur du Racing 92

 

 

 

Avez-vous pu échanger avec Stuart Lancaster, le futur entraîneur ?
Bien sûr. Quand un entraîneur comme lui, qui réussit très bien au Leinster en ce moment, te désire vraiment, qu'il a une vision pour toi, qu'il sait comment utiliser ton jeu, c'est important. C'est bien que le propriétaire veuille te recruter, mais si l'entraîneur ne t'imagine pas dans ses plans... J'ai hâte de voir comment il peut m'aider à progresser.

Quand Trevor Nyakane, votre coéquipier en sélection, s'est engagé avec le Racing, il a déclaré sa flamme à la Paris-La Défense Arena. Vous avez déjà eu un aperçu de ce stade particulier ?
Oui, ça ressemble... (il cherche ses mots) à un cinéma ! C'est magnifique ! On n'imagine même pas jouer un jour dans un endroit comme ça ! Et même ce qu'il s'y passe après les matches, avec tous les spectateurs qui peuvent venir sur la pelouse, ça permet de créer un lien avec les gens, c'est spécial. Alors tu te dois d'être performant pour pouvoir échanger avec eux. J'ai hâte de jouer là !

Est-ce que vous commencez à vous familiariser avec l'histoire du rugby en France, comme avec l'importance du Brennus, notamment ?
J'ai déjà vu comment certains surfent avec sur l'eau ! On sent que c'est spécial pour les joueurs de remporter ce trophée. Et je n'aurai pas d'autre objectif quand je viendrai. Je veux vivre ça.

Vous êtes très impliqué dans l'action philanthropique, notamment avec votre fondation, la Kolisi Foundation, qui oeuvre pour les populations défavorisées en Afrique du Sud. Depuis la France, aurez-vous le temps de vous y consacrer ?
Je peux avoir un impact où que je sois. Lever des fonds, je pourrai le faire ici, lors de petits déjeuners, de rencontres, pour montrer qu'on peut tous faire une différence dans ce monde. Et comme Jacky et sa femme ont aussi une fondation, on peut peut-être s'investir en France. Je vais aussi rentrer chez moi pendant les vacances faire mon travail pour la fondation. Je ne veux pas fermer cette porte. Et je pourrai montrer qu'on a un beau pays, en Afrique du Sud. Je ne sais pas l'image qui en est perçue en France, mais on a tellement de personnes fortes qui travaillent dur et cherchent des opportunités.

 

 

[bazooka]

Et sans doute le meilleur de tous, Jean Cachassin 1,62 m

Devenu très pote avec Ashley Moore dès leur première rencontre, tic tac boum

[Lima]

Pas le plus technique, pas le plus puissant, pas le plus rapide.

 

Mais un joueur inspirant, un chef de meute par essence. Ce profil nous aurait fait beaucoup de bien.

[Un jaune dans un ballon]

Pas le plus technique, pas le plus puissant, pas le plus rapide.

 

Mais un joueur inspirant, un chef de meute par essence. Ce profil nous aurait fait beaucoup de bien.

Une vraie vitrine à l'international aussi..!

[Uderzo]

Pas le plus technique, pas le plus puissant, pas le plus rapide.
 
Mais un joueur inspirant, un chef de meute par essence. Ce profil nous aurait fait beaucoup de bien.

Carrément....imagine les jeunes joueurs du racing grandir à côté d'un tel joueur.

Il ne faut pas non plus minorer l'apport en terme d'image, d'influence (lorsquun joueur de ce calibre s'adresse aux arbitres) sur le terrain.

[Buckaroo]

Mais il peut aussi soutenir mon action philanthropique et ça veut tout dire pour moi, parce que c'est mon lien avec mon pays, c'est aussi la raison pour laquelle je joue au rugby : je veux aussi laisser un héritage même hors du terrain. C'était spécial pour moi, alors je ne pouvais pas dire non !

Offrir des hôpitaux, c'est tellement 2018...

J'espère que la personne en charge du respect du "fait play financier" va se pencher là-dessus.

[PPR]

Beau recrutement, et vu la jeunesse du pack francilien, un papa avec expérience et aura ne peut pas faire de mal

[darius63]

Ceux qui pensent que Kolisi est surcôté, allez voir son match contre Bordeaux