On est bons les gars, on est bons ! le Niçois va encore rien pomper, mais on a l'habitude
PS. j'attend le calambour ultime du maitre Parigot
Posté 17 juillet 2023 - 22:24
On est bons les gars, on est bons ! le Niçois va encore rien pomper, mais on a l'habitude
PS. j'attend le calambour ultime du maitre Parigot
Posté 17 juillet 2023 - 22:31
Le racing a posé la question essentielle avant toute négociation.
"Ford, il ne serait pas un peu gras ?"
"Nada !"
Posté 18 juillet 2023 - 07:25
Wouah cette blague de merde ‼️
Posté 18 juillet 2023 - 07:42
Surtout qu'il ne sera peut-être que de passage au racing. En transit quoi.
Genre bed ford
Posté 18 juillet 2023 - 08:06
En tout cas, Ford ne vient pas au racing pour la dope, il préfère prendre le thé.
Posté 18 juillet 2023 - 09:03
Super pioche si ça se confirme, très bon animateur, grosse expérience, encore jeune. Associé à un coach anglais qu'il connait faciliterait son intégration, ce qui est plutôt bien vu.
En revanche, ça ne règle toujours pas le problème majeur du Racing depuis quelques années : le paquet d'avants.
Posté 18 juillet 2023 - 10:53
On est d'accord, FORD joue pour la rose, pas pour les pumas?
Une chose est certaine c'est un Ka
Le racing se constitue une belle galaxy de 3/4
Posté 18 juillet 2023 - 11:10
On est bons les gars, on est bons ! le Niçois va encore rien pomper, mais on a l'habitude
PS. j'attend le calambour ultime du maitre Parigot
Pas sûr qu'il soit le plus Ford d'entre nous ...
Posté 18 juillet 2023 - 18:20
Re bof ...
Rere bof. George Ford de 2014, putain wow ouais svp. Mais là euh, George Ford c'est un peu le 10 que tout le monde dit "sous-coté" en Angleterre mais qui va être bon sans plus, on ne le voit plus au niveau int'l, et ça ne peut pas être par pure injustice.
Posté 18 juillet 2023 - 18:35
Rere bof. George Ford de 2014, putain wow ouais svp. Mais là euh, George Ford c'est un peu le 10 que tout le monde dit "sous-coté" en Angleterre mais qui va être bon sans plus, on ne le voit plus au niveau int'l, et ça ne peut pas être par pure injustice.
Mais kèke tu me dis mon bon chat-sseur ?
Posté 19 juillet 2023 - 08:22
Rere bof. George Ford de 2014, putain wow ouais svp. Mais là euh, George Ford c'est un peu le 10 que tout le monde dit "sous-coté" en Angleterre mais qui va être bon sans plus, on ne le voit plus au niveau int'l, et ça ne peut pas être par pure injustice.
Posté 19 juillet 2023 - 19:09
Pourquoi ça marque int'l au lieu de inter sur tes posts ?
Ah, mais ! On ne remet pas en question ces choses là. C'est comme pour qui t'a voté aux dernières présidentielles, ça ne se demande pas. Moi, j'écris int'l. Voilà. Oh...
Posté 19 juillet 2023 - 19:47
Ah, mais ! On ne remet pas en question ces choses là. C'est comme pour qui t'a voté aux dernières présidentielles, ça ne se demande pas. Moi, j'écris int'l. Voilà. Oh...
Posté 13 août 2023 - 17:22
Posté 22 août 2023 - 20:35
Stuart Lancaster n'est plus tout seul à la maison. Pendant ses années dublinoises, le technicien anglais s'infligeait au bas mot soixante-dix vols aller-retour à l'année pour retrouver femme et enfants restés à Leeds. « Je peux vous dire que tout le monde me connaissait à l'aéroport de Dublin », rigole-t-il
. L'ancien sélectionneur de l'Angleterre (53 ans), fusible tout trouvé après l'élimination dès la phase de poules à la maison en 2015, réhabilité en grande pompe par son passage au Leinster (une Coupe des champions en 2018 et trois autres finales), a emménagé au Plessis-Robinson, dans les Hauts-de-Seine, avec madame et leurs deux chiens. La semaine dernière, avant sa première réussie à l'Arena contre l'UBB (23-18), Lancaster a détaillé ses ambitions.
« Pourquoi avoir choisi de quitter le Leinster, une des meilleures équipes d'Europe et un staff où vous sembliez vous épanouir avec Leo Cullen ?
J'ai passé sept ans au Leinster. Au fil des années, j'ai reçu pas mal de propositions mais rien de vraiment assez fort pour m'en aller. Le Racing a été très bon dans sa démarche. Déjà, ils m'ont approché dès juin 2022 pour une prise de fonction un an plus tard. C'est rare dans le sport pro. En général, les clubs sont dans le "réactif". Autre chose : pendant une courte période, juste après mon éviction de la sélection, Laurent Travers et Jacky Lorenzetti m'avaient fait venir comme consultant.
« Je n'avais pas envie de ce job pour une histoire d'ego. Le moteur, c'est de bâtir quelque chose de nouveau. D'apprendre des choses, d'en transmettre d'autres. Le pouvoir solitaire, je n'aime pas ça. J'aime travailler en équipe »
La petite graine était plantée...
Quand six ans plus tard, les mêmes personnes reviennent vers vous, ça compte. Ils m'ont dit qu'ils me voulaient moi, qu'ils n'avaient pas de plan B. Après, ça restait difficile de quitter le Leinster. Je ne pouvais partir que pour un projet trop tentant pour être refusé. Je ne veux pas finir ma carrière en me disant que j'aurais pu essayer ceci ou cela mais que j'ai privilégié la facilité, la zone de confort. Être sélectionneur de l'Angleterre pour une Coupe du monde à la maison, ce n'est pas confort. Se relancer à l'étranger dans un rôle de numéro 2, ce n'est pas évident. Venir dans un pays dont je ne parle pas la langue, découvrir le Top 14, un Championnat que je ne connais pas, avoir la possibilité de redevenir le numéro 1, de construire son propre projet, c'était trop tentant.
Même en sachant que votre prédécesseur Laurent Travers serait votre président ?
Je suis très relax avec cette relation. Avec Laurent, la saison dernière, on coachait nos équipes et le soir on passait du temps, beaucoup de temps, à parler recrutement, élaboration du staff... J'ai senti que c'était quelqu'un d'intègre. C'est lui qui m'a fait venir, donc ça devrait marcher. Redevenir numéro 1, c'est certes redevenir celui qui a le final cut, celui qui dit au gars : "Tu ne joues pas ce week-end" ou "désolé, on ne va pas te garder". Les relations avec les joueurs changent forcément. Mais je n'avais pas envie de ce job pour une histoire d'ego. Le moteur, c'est de bâtir quelque chose de nouveau. D'apprendre des choses, d'en transmettre d'autres. Le pouvoir solitaire, je n'aime pas ça. J'aime travailler en équipe. Je m'appuie sur Laurent, sur sa connaissance du Top 14, plus que les gens peuvent le penser.
Si le Racing a recruté un entraîneur étranger, extérieur au Top 14, c'est pour bousculer certaines habitudes. Qu'avez-vous changé ?
On a commencé à modifier des choses. La salle de gym (tout l'équipement a été renouvelé à la demande de Paul Stridgeon, le nouveau préparateur physique en chef), le planning des journées (elles commencent plus tôt, finissent moins tard, les pauses déjeuner sont raccourcies), l'emplacement des bureaux du staff avec moins de cloisons pour donner plus de chances aux discussions d'arriver.
« J'essaie de ne pas être trop directif mais en même temps il faut qu'il y ait une direction claire. Plus les joueurs voient le sens et comprennent qu'il y a du sens dans ce qu'on fait, mieux ça fonctionne »
Il paraît que vous avez demandé à remplacer les canapés de la salle vidéo par de vieilles bonnes chaises...
C'est vrai. Nous venons pour faire une séance vidéo, pas de la relaxation. Donc les chaises, c'est parfait. C'est mieux pour se concentrer. Surtout, ce vers quoi nous souhaitons aller, c'est un contenu rugby avec des séances courtes. Intenses, précises et courtes. Cela implique d'apprendre et de travailler plus hors du terrain. L'idée, c'est que le plan de jeu soit très vite très clair pour tout le monde, et ainsi donner plus de responsabilités aux joueurs, leur donner du pouvoir dans le jeu. J'essaie de ne pas être trop directif mais en même temps il faut qu'il y ait une direction claire.
Plus les joueurs voient le sens et comprennent qu'il y a du sens dans ce qu'on fait, mieux ça fonctionne. Sur le terrain, la barrière de la langue n'est pas gênante. On parle la langue rugby. C'est dans les échanges spontanés que ça me frustre, quand j'ai envie de m'asseoir dans le vestiaire à côté d'un gars pour lui dire juste deux phrases sur le vif. C'est une limite du moment. Heureusement, il y a Tom (Whitford, co-manager arrivé de Montpellier) qui m'aide. Avec le staff c'est moins gênant car ils parlent tous très bien anglais.
Vous avez battu deux fois le Racing la saison dernière en poules de Coupe des champions (victoire 10-42 au Havre puis 36-10 à Dublin). Vous avez dû noter que cette équipe encaissait trop de points trop facilement...
Au match retour à l'Aviva, c'était serré jusqu'à l'heure de jeu. Mais oui, défensivement, l'équipe doit faire mieux. En préparant le Leinster l'an dernier, j'ai vu la qualité du Racing pour marquer à partir de rien. Il faut garder ça. Mais nous pensions qu'en tenant le ballon avec une bonne pression, on allait leur causer des problèmes.
Qui sera en charge de la défense ?
Ce sera moi. J'aurai la charge de la défense et de l'attaque.
Cela ne risque-t-il pas de faire beaucoup ?
C'est ce que je faisais au Leinster. C'est vrai, ici, j'aurai d'autres responsabilités en plus. Mais l'idée, c'est que mon temps ici soit divisé entre le coaching à 50 %, le management à 40 % (c'est-à-dire la vision du plan de jeu, les compositions d'équipe...) et 10 % pour les contrats, les agents, la presse...
« Si je viens ici, c'est pour développer les talents que nous avons au Racing, même s'il faudra aussi en faire venir de l'extérieur. C'est ça qui me passionne le plus : faire grandir un joueur. L'amener en équipe nationale »
Non seulement vous avez choisi de ne pas arriver avec votre propre staff, mais vous avez opté pour un staff très resserré avec Dimitri Szarzewski (avants), Frédéric Michalak et Joe Rokocoko (trois-quarts, jeu au pied). Au Stade Rochelais, Ronan O'Gara dispose par exemple de trois entraîneurs dédiés au jeu d'avants (Steenkamp, Ryan et Carmignani)...
Au Racing, ce sera le même modèle que celui que j'ai connu au Leinster, avec McBride pour les avants, Goodman pour les trois-quarts, et moi. J'aurais pu venir avec mes propres entraîneurs d'Angleterre ou d'Irlande mais ça aurait été une erreur. Je préfère m'appuyer sur Freddie, Joe et Dimitri qui sont jeunes mais forment un noyau très solide de personnes qui comprennent le rugby français.
Ces quatre dernières années, Palu, Chat, Kolingar, Spring, Le Garrec, Diallo, Klemenczak, Taofifenua sont apparus sur différentes listes de Fabien Galthié. Mais seuls Cameron Woki et Gaël Fickou, appelés par le sélectionneur avant de signer au Racing, seront à la Coupe du monde. Ça a du sens pour vous ?
Oui. Moi, si je viens ici, c'est pour développer les talents que nous avons au Racing, même s'il faudra aussi en faire venir de l'extérieur. C'est ça qui me passionne le plus : faire grandir un joueur. L'amener en équipe nationale. Ce que je veux, c'est que Fickou et Woki, quand ils reviendront de la Coupe du monde, progressent encore. C'est que Camille Chat retourne en équipe de France. Avec d'autres Racingmen. Il n'y a pas plus beau défi que ça. Au Leinster, quand je suis arrivé, Van der Flier, Doris, Sheehan, Kelleher, Larmour, Ryan, Byrne, Ringrose ou Keenan n'étaient pas ce qu'ils sont devenus. »
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