6180 réponses à ce sujet

[Binche63]

Le talon de Colomiers qui a signé à Castre viens de chez nous...

En huit tu as Goujon et dans les moindres mesures Gourdon et un certain Yato je crois....

En 9 tu as Cazenave. Cassang et pas mauvais non plus plus...

En quinze tu as Murimurivalu et Tuicuvu international tous les deux....

Faut pas confondre le niveau des joueurs et leurs intégration dans la rotation de la une de ASM il faut mettre aussi en perspective les blessures et la concurrence...

Par contre je suis daccord pour le poste de demi d ouverture les deux qui on eu une carrière c est Sadourny et Etienne (ça fait pas beaucoup...).

[Loup blanc]

Pas que en 10.

Sur les postes charnières, 2,8,9,10,15, l'ASM n'a sorti aucun titulaire en puissance hormis Floch depuis 20 ans...

 

Et Roro , il pouvait jouer tous les postes non !

[Jesus Hans Hubert Vorme]

 
Et Roro , il pouvait jouer tous les postes non !

Il avait fait quelques super matchs à l'arrière. Coup de pied de mammouth et remontées surpuissantes.

[Bougnat et Breton]

Il avait fait quelques super matchs à l'arrière. Coup de pied de mammouth et remontées surpuissantes.

Sans compter son 100% de réussite au drop

[el landeno]

Salary-cap ou pas cap ? Le cas de trois joueurs de Montpellier à la loupe Mis en cause par le passé puis disculpé par la Commission d'appel de la FFR, Montpellier est de nouveau dans le collimateur du salary-cap manager pour la saison 2018-2019. Le cas de trois joueurs (Picamoles, Goosen et Cruden) pose question.

Quand l'idée de rapatrier Louis Picamoles à Montpellier se concrétise, au printemps 2017, le troisième-ligne centre possède encore deux années de contrat avec le club anglais de Northampton. Un an plus tôt, son salaire chez les Saints avait été négocié autour de 750 000 euros par saison. Malgré la dévaluation de la livre (12 % environ), cela restait une rémunération conséquente, à laquelle on ne renonce pas facilement. Plusieurs désirs vont alors se télescoper. Élu à la présidence de la FFR en décembre 2016, Bernard Laporte a l'intention de ficeler les joueurs du quinze de France avec des contrats fédéraux. Germe ensuite l'envie d'exfiltrer le seul international basé hors de nos frontières. Ce projet recoupe la volonté d'Altrad de récupérer un joueur « historico-local », Picamoles ayant porté les couleurs du MHR pendant dix ans, de 1999 à 2009.

 

Dans les négociations, menées en parallèle, il était prévu que la FFR, via ses contrats fédéraux, s'acquitte de la moitié du futur salaire de Picamoles, laissant le MHR régler l'autre part. Tout ce montage s'écroule quand le projet des contrats fédéraux, une promesse de campagne de Laporte, part en fumée, en mai-juin 2017. Pour autant, Picamoles est bel et bien redevenu un joueur du MHR à l'été 2017. Le club du président Altrad a-t-il pris en charge, même partiellement, la quote-part (environ 350 000 euros) qui devait à l'origine incomber à la FFR ?

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Pas de sanction contre Montpellier pour le dépassement du salary cap

« Non, répond l'avocat du club, Me Antoine Vey. La Fédération n'a pas suivi et le MHR a payé la part qui devait être la sienne. » Picamoles a donc renoncé à un contrat lucratif en Angleterre pour percevoir aujourd'hui un salaire d'environ 450 000 euros brut par saison. « Louis a reçu de Montpellier une proposition qui assurera dans le futur la stabilité financière de sa famille », écrivait le club de Northampton dans un communiqué, au moment d'annoncer le transfert, qui coûta un million d'euros à la 26e fortune de France, tenue d'indemniser le club anglais pour la rupture prématurée de contrat. L'argument de la « stabilité financière dans le futur » se comprend difficilement dans les conditions que nous venons de décrire.

Picamoles victime principale d'un échafaudage bancal

L'ex-numéro 8 de l'équipe de France (34 ans, 82 sél.) est finalement devenu la victime principale d'un échafaudage bancal dès le départ quand sonnait l'heure du dernier gros contrat de sa carrière. Ses conseils ont simplement pu négocier une prime conséquente pour pallier une partie du manque à gagner lié à la défection de la FFR sur ses projets de contrats fédéraux.

Selon une de nos sources, il fut envisagé de placer Picamoles, à l'issue de sa carrière, à un poste d'entraîneur au centre de formation, pour signer ensuite une rupture conventionnelle de contrat qui lui aurait permis de récupérer l'argent manquant à son contrat de joueur. Cela aurait eu l'avantage (pour le club) d'esquiver le salary-cap mais le défaut (pour le joueur) de devoir attendre. Cette hypothèse a immédiatement été démentie par l'entourage du joueur et même qualifiée de « fantasme ».

Jannie du Plessis, pionnier du genre

En novembre dernier, nous révélions que le pilier sud-africain du MHR, Jannie du Plessis, avait accepté de signer un avenant à son contrat qui le faisait renoncer à un tiers de son salaire. Un volontarisme d'autant plus étrange que le contrat de l'aîné des frères du Plessis courait encore un an et que sa rémunération de départ avait été fichée comme anormalement basse par le salary-cap manager. D'après nos recoupements, le salaire du pilier droit aurait dû se chiffrer autour de 400 000 euros par saison. Elle n'était que d'environ 270 000 euros au cours de la saison 2016-2017 et venait donc de tomber autour de 180 000 euros un an plus tard.
C'était à n'y rien comprendre, sauf à se souvenir des déclarations de Mohed Altrad dans L'Équipe du 19 mai 2017 : « Le salaire est bas parce que j'ai promis à Jannie de lui bâtir un hôpital dans son pays à l'issue de sa carrière. » Aujourd'hui, rien n'indique que ce projet hospitalier a vu le jour. La question, elle, subsiste : comment est compensé le salaire fortement amoindri de Jannie du Plessis ? Ces deux dernières saisons, le salary-cap manager a imputé au MHR un dépassement du plafond salarial avant qu'en bout de chaîne, la Commission d'appel de la FFR ne disculpe le club de ce grief, tout en le sanctionnant d'une amende pour manquements à l'obligation de coopération. Le nouveau rapport du salary-cap manager s'intéresse à la saison 2018-2019. On devrait y retrouver Jannie du Plessis mais aussi trois autres joueurs dont les vicissitudes salariales posent question.

Goosen, petit salaire et gros taureaux

En signant à Montpellier, Johan Goosen (27 ans ; 13 sél.) a triplé son dernier salaire. Celui de vendeur de selles de chevaux chez Newline Saddle Horse, une reconversion qui avait sidéré tout le monde en janvier 2017. Si on parle rugby, le cours du Goosen a en revanche subi une terrible décote. En 2016, le Sud-Africain obtenait du Racing une augmentation pour émarger à un peu plus de 550 000 euros par saison, un salaire plus en rapport avec la qualité du jeune trois-quarts, qui sera d'ailleurs élu MVP de la saison.

Après son intermède chevalin, il a pourtant accepté de rejoindre Montpellier pour un salaire mensuel d'environ 15 000 euros. C'est moins du tiers de sa dernière rémunération au Racing, qu'il ne trouvait pas assez élevée, au point de changer d'agent. Christian Joyard fut alors remplacé par Eduard Kelder, l'agent des Springboks Willie Le Roux ou Franco Mostert. Ex-agent puisque la Fédération sud-africaine a suspendu sa licence pour trois ans après avoir découvert que Kelder donnait ses propres coordonnées bancaires au lieu de celles de son agence, encaissant ainsi le paiement de commissions.

Derrière Kelder, il y a Gerrie Swart. Agent de joueurs et/ou avocat d'affaires, il travaille si souvent avec le MHR que beaucoup le décrivent comme le personnage clé dans le système du président Altrad. L'arrivée de Swart, et de son agence Essentially, dans le dossier Goosen laisse penser qu'Altrad aurait joué un rôle dès le moment de la « fugue », lorsqu'à la mi-décembre 2016, Goosen, âgé de 24 ans, impose au Racing son départ pour un CDI extravagant. Régulièrement interrogé à ce sujet fin 2016-début 2017, Mohed Altrad, y répond toujours par la négative. Cette version est aujourd'hui démentie. « Tout de suite, le dossier s'est orienté vers Montpellier, explique Christian Joyard. En janvier 2017, j'ai été invité par Mohed Altrad qui me demandait : "Comment on peut faire ? N'y a-t-il pas moyen de faire transiger le Racing ?"

« Goosen a un caractère très vénal, et ça n'a rien de péjoratif. Il s'était lancé dans un projet fermier en Afrique du Sud qui demandait pas mal d'argent »

Christian Joyard, ex-agent de Goosen

 

 

 

Et l'ex-agent de Goosen de poursuivre : « Moi, avec le joueur, je privilégiais la patience. Son contrat au Racing aurait pu être encore revalorisé. À Toulouse, Kolbe a bien été augmenté deux fois en six mois. Mais Goosen a un caractère très vénal, et ça n'a rien de péjoratif. Il s'était lancé dans un projet fermier en Afrique du Sud qui demandait pas mal d'argent. En restant au Racing, il aurait pu le financer en cinq ans. Il a voulu aller plus vite. Il a été mal conseillé et ça fait mal au coeur. Ce n'est pas possible qu'il ait quitté le Racing en renonçant à un salaire pareil (pour un autre, chez Newline Saddle Horse, à 4 000 euros par mois). Il avait besoin d'argent pour payer les échéances de son affaire. »

La question d'une rémunération annexe reste entière

Le Racing ne voulant pas céder, Altrad a dû payer près d'un million et demi d'euros au club francilien pour qu'il accepte de débloquer la licence du Sud-Africain. Cette somme, exceptionnelle dans le milieu du rugby, comprend principalement la clause libératoire, fixée à un million, mais aussi le remboursement à Jacky Lorenzetti d'une avance de 200 000 euros sur les droits d'image ayant permis à Goosen de s'acheter sa ferme. Entre son départ du Racing et son premier jour de contrat avec Montpellier, le 1er juillet 2018, la suspicion d'une rémunération occulte d'Altrad a émergé. La semaine dernière, nos confrères de RMC indiquaient que « Goosen aurait vendu du bétail à un autre éleveur à des prix très gonflés. Ce dernier recevait alors l'argent nécessaire pour faire les achats surévalués. (...) L'argent serait passé d'un compte en Suisse sur un autre à Hongkong puis en Afrique du Sud. De cette façon, Goosen aurait été payé l'équivalent de ce qu'il aurait perçu au Racing. »

Pour n'être finalement payé que 15 000 euros par mois une fois devenu joueur du MHR ? « Je connaissais la première proposition de Mohed Altrad, dit Joyard. C'était 750 000 euros la saison. » La rémunération de Goosen, qui n'a pas répondu à nos sollicitations, se situe aujourd'hui en dessous de 200 000 euros. Syllogisme : la question d'une rémunération annexe reste entière. D'autant que l'affaire agricole de Goosen consomme beaucoup d'argent : il a acheté des terres, de gros taureaux à des ventes aux enchères...

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Johan Goosen, deuxième chance en Top 14 avec le MHR

Il n'est d'ailleurs pas difficile de retrouver sur Internet un compte-rendu d'une de ces ventes, mentionnant le caractère remarquablement haut d'une transaction mêlant Goosen. « Le montant (du salaire actuel) tient compte de l'indemnité de transfert dont l'importance, alors que le joueur était resté sans jouer pendant près de deux ans, a contribué à revoir à la baisse sa rémunération », nous a fait savoir le club par la voix de son avocat Me Vey. Si le doute sur sa forme était si important, pourquoi avoir payé au Racing près d'un million et demi d'euros ? Le delta « gros transfert-petit salaire » ne peut qu'alimenter les questions.

Cruden et les bouchons de liège

Coiffé d'une charlotte et affublé d'un gilet jaune, Aaron Cruden déambule dans une usine. Il s'assoit à un comptoir où on débouche pour lui une bouteille de vin, caresse l'écorce d'un chêne, monologue sur une musique pompeuse. Et nous quitte en disant : « Je suis un grand fan d'Amorim. » Détail intéressant : quand il se regarde joueur de rugby dans des cadres photo, il porte toujours le maillot des All Blacks.

Or, au moment du tournage de cette vidéo, Cruden (31 ans ; 50 sélections) a tiré un trait sur la sélection néo-zélandaise. Il est sous contrat avec Montpellier. Basée au sud de Porto, Amorim est une entreprise spécialisée dans la confection de bouchons de liège. Pour cette vidéo, qui totalise à peine une vingtaine de vues sur le site hébergeur Vimeo depuis sa mise en ligne en mai 2019, elle a rémunéré l'ouvreur néo-zélandais autour de 70 000 euros. Étonnamment, il nous a été impossible de savoir à quoi a servi ce clip promotionnel.

À nos différentes questions, Carlos de Jesus, directeur de la communication de la société, « copiait-collait » la même réponse : « Pour des raisons commerciales, nous ne donnons pas de détails sur les actions de promotion que nous menons. » C'est arrivé cinq fois de suite. S'il s'agissait d'une vidéo à destination de la Nouvelle-Zélande et de son marché viticole, pourquoi ne pas le dire ? Montpellier nous ayant assuré qu'il n'était pour rien dans ce contrat d'image, nous nous sommes tournés vers Rhys Parsons, l'agent européen de Cruden. Lui non plus ne peut rien dire.

Nous aurions aimé savoir comment un agent gallois avait pu dégoter ce contrat avec une société portugaise qui n'est pas connue pour son activité dans le secteur du sport. « Le salary-cap manager a échafaudé un scénario au prétexte que les vignobles Jeanjean (partenaires officiels du MHR) ont un lien avec Amorim, dit Me Vey, avocat du MHR. Il en déduit qu'une partie du salaire de Cruden a été payée par Amorim, sans apporter la preuve d'un paiement d'Amorim à Cruden dont le MHR aurait connu l'existence. »

Un contrat de joker Coupe du monde réévalué

Concernant Cruden, un autre élément intrigant affleure de son passage au MHR. Pour la rupture de son contrat, en 2019, à un an de son terme, il a accepté des indemnités que nous qualifierons de faibles. Mais il est resté au MHR en qualité de joker Coupe du monde (non inclus dans le salary-cap), à un salaire très supérieur à celui qu'il percevait pendant son contrat « premium ».

Montpellier s'est donc retrouvé à mieux payer un joueur dont le rendement avait été jugé fort décevant, que le même joueur lorsqu'il débarqua en France avec le statut de star internationale.

[Gourine63]

Merci El Landeno pour le partage.

C'est de pire en pire et pourtant personne n'agit, c'est quand même incroyable !

[cocotte 63]

C'est FABULEUX !!! et ils veulent nous faire croire que Goosen au top du top avec un contrat de 45000/mois sur 3 ans, et parti au MHRC pour 15000/mois alors qu'il n'y a que le pognon qui compte pour lui ! et la commission d'appel de la FFR qui blanchi et absout à tout les coups...

 

Pour Picamoles, qui peut croire, qu'après l'histoire des contrats fédéraux (drôle d'idée déjà que de penser qu'en 3 mois ou 6 mois ce type de contrat allait être possible quand il faut 10 ans en France pour passer de 18 non jiffs à 13 ...) que l'ami LOUIS rogne sur 350Ke/an pendant 2 ou 3 ans...

 

Picamoles était parti en Angleterre où il a de la famille, pour un énorme contrat, ça se passait bien, et il serait retourné à Montpellier pour le même salaire voir moins en l'occurence... cette vaste blague !

 

à vomir        quand tu vois juste ça, pour 3-4 joueurs et les résultats derrière, t'imagines juste ce qu'il peut se passer au dessus entre Nanard et Mohed... et surtout ce qu'il y a pu se passer lors du choix de la France pour 2024 avec le bon docteur et surtout l'ami ATCHER..

[Jesus Hans Hubert Vorme]

Merci El Landeno pour le partage.

C'est de pire en pire et pourtant personne n'agit, c'est quand même incroyable !

C'est pas exact. Il y a des gens qui agissent pour protéger ces magouilles. Les Saracens seraient en France, ils auraient pu récupérer 10 internationaux de plus tout entre deux séances de confit-nement. La France de Goze et de Laporte, c'est comme quand tu rêves.

[Rugby ?]

C'est pas exact. Il y a des gens qui agissent pour protéger ces magouilles. Les Saracens seraient en France, ils auraient pu récupérer 10 internationaux de plus tout entre deux séances de confit-nement. La France de Goze et de Laporte, c'est comme quand tu rêves.

Mourad dans sa folie des grandeurs, voulait jouer en premiership.

Les Saracens, devraient venir en Top14.

[Alex chocolatines]

C'est pas exact. Il y a des gens qui agissent pour protéger ces magouilles. Les Saracens seraient en France, ils auraient pu récupérer 10 internationaux de plus tout entre deux séances de confit-nement. La France de Goze et de Laporte, c'est comme quand tu rêves.

Oui, mai d'autres agissent encore plus fort pour effacer les ardoise......

[Binche63]

Merci El Landeno pour le partage.

C'est de pire en pire et pourtant personne n'agit, c'est quand même incroyable !

Le Salary Cap Manager agit mais la FFR casse les faibles sanctions (au vue des révélations) de la LNR...

Par contre Canal est étrangement silencieux sur le sujet...

Mais je me répète à ce niveau cest le fisc qui devrait même se saisir de l affaire vue les manques à gagner pour l état.

[InASMWeTrust]

Le Salary Cap Manager agit mais la FFR casse les faibles sanctions (au vue des révélations) de la LNR...

Par contre Canal est étrangement silencieux sur le sujet...

Mais je me répète à ce niveau cest le fisc qui devrait même se saisir de l affaire vue les manques à gagner pour l état.

Oui. Comme souvent, ça reste en interne, dans ce petit milieu où tout le monde a des choses à se reprocher. Le fisc a quand même des trucs à aller gratter, je suis d'accord. Mais il intervient, ou non, sur demande d'autorités supérieures. Or BL ou Mohed sont couverts politiquement ou par des montages financiers très costauds. 

[Alex chocolatines]

Oui. Comme souvent, ça reste en interne, dans ce petit milieu où tout le monde a des choses à se reprocher. Le fisc a quand même des trucs à aller gratter, je suis d'accord. Mais il intervient, ou non, sur demande d'autorités supérieures. Or BL ou Mohed sont couverts politiquement ou par des montages financiers très costauds. 

Comprenez bien une chose quand même,  Les autorités ne peuvent pas taper sur Laporte ou Altrad en ce moment ! La coupe du monde arrive ! Laporte promoteur de l'affaire, Altrad Sponsor du XV de France ! Qui va prendre le risque de faire des vagues maintenant, et nous faire passer pour des baltringues et des corrompus aux yeux du monde de l'ovalie ??? Non C'est sans espoir pour le moment, j'espère qu'après la CDM, on en reparlera, mais c'est pas gagné.....Surtout si les Bleus font une compétition brillante (Ce que j'espère) ; là les dossiers iront direct dans la broyeuse ! 

[cocotte 63]

et malheureusement tout laisse à penser que tu as entièrement raison...