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[Pottok]

Je ne suis pas convaincu que ce soit si facile que ça. Les stars étrangères, gros salaires, doivent avoir des contrats bien ficelés.
Le staff est en situation d'attente du procès en appel de La Binocle.
Tu vas me dire avec du pognon tout s'arrange. C'est vrai.
Mais le MHR, c'est une grosse cylindrée, la descente aura plus de conséquences que sur un club comme Oyonnax.

Les "stars" retrouveront tjs plus facilement un autre club que les autres, que ce soit en France ou ailleurs. Et probablement que laporte adepte du grand menage va accepter d'en libérer quelques uns de leurs dernières années de contrat.

[Lourugby]

Malgré l'incertitude sportive et en coulisse, le MHR continue de se renforcer avec le talonneur international australien Jordan Uelese : https://www.lequipe....pellier/1474217

[soiru63]

Malgré l'incertitude sportive et en coulisse, le MHR continue de se renforcer avec le talonneur international australien Jordan Uelese : https://www.lequipe....pellier/1474217

Encore un jiff... et dire qu'ils finiront par avoir plus de njiff que nous.

[el landeno]

Barrage, Laporte, vestiaire : les mystères d'Altrad à Montpellier Alors que son club va disputer un barrage de maintien dimanche à Grenoble, le président du MHR entretient le flou : va-t-il maintenir sa confiance à Bernard Laporte, dont une grande majorité des joueurs ne veut plus ?

mi-mai qui a condamné Montpellier à un barrage de maintien, ça s'agite dans tous les sens à Montpellier. L'échéance fatidique approche - c'est pour dimanche à Grenoble -, la parole publique se concentre sur la nécessité de sauver le club mais, en coulisses, chacun fourbit ses armes.

 

 

D'abord les joueurs, loin d'être innocents dans les mauvais résultats du club, qui ont fait remonter leurs doléances. Il a été question de réajustements stratégiques auprès du manager Patrice Collazo et son staff. Et d'un ras-le-bol envers le management du directeur du rugby Bernard Laporte, le groupe s'en ouvrant directement auprès du président Mohed Altrad lors d'une réunion fin mai.

Depuis, silence radio dans le groupe, logiquement tourné vers le barrage, ce qui ne veut pas dire que la colère est retombée. Mais il faut désormais sauver le club pour être légitime dans les tractations. Une question agite le club : que va décider Mohed Altrad vis-à-vis de Bernard Laporte, au centre de nombreux reproches en interne ? Contacté à de multiples reprises, le président du MHR n'a jamais répondu à nos sollicitations. « Il n'y a rien, s'est-il contenté d'affirmer au Midi libre, le 30 mai. Il n'y a pas de cassure (... ) Ce ne sont que des frictions. »

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Selon plusieurs sources, Mohed Altrad attendrait le résultat du barrage dimanche pour trancher. « Vous verrez bien ce qui sera annoncé dans dix jours », nous avait confié Laporte il y a... quinze jours. Parlait-il d'une nomination à la présidence du club, comme évoqué depuis par nos confrères de Midi olympique et RMC ? Mystère, puisque rien n'a été officialisé. Selon nos informations, dans un tel scénario, Bernard Laporte envisagerait même de nommer à la direction générale du club Laurent Gabbanini, son ancien DG à la FFR.

Des rapports tendus entre Laporte et la direction actuelle

C'est une tendance, qui serait mal vécue par le vestiaire, mais ce n'est pas la seule. Car les opposants en interne font aussi du lobby auprès de Mohed Altrad. À commencer par la directrice générale Jessica Casanova, précieuse aux yeux du président depuis qu'il a repris le club en 2011, et Djena Altrad, son fils et DG adjoint. Comme révélé dans nos colonnes fin mars, les rapports sont très tendus entre la direction générale et Bernard Laporte, qui s'en est aussi pris verbalement à Joris Loupien, le directeur juridique et ressources humaines - car « pas assez réactif », selon les mots de l'ancien président de la FFR. Un épisode qui n'était pas passé inaperçu dans les bureaux du GGL Stadium.

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Selon nos informations, Jessica Casanova a annoncé qu'elle quitterait le club si Bernard Laporte restait. Ce dernier envisage donc de la remplacer et d'étendre ses pouvoirs au sein du club. Reste à savoir quel clan Altrad favorisera après le barrage.

Et le staff dans tout ça ? Là aussi, beaucoup de bruits circulent dans un flou total sur l'avenir de Patrice Collazo (50 ans), sous contrat jusqu'en 2025. L'ancien demi de mêlée Benoît Paillaugue, qui travaille depuis sa retraite sportive mi-novembre auprès des Espoirs, s'est rapproché de l'équipe première. Pourrait-il prendre du galon à l'avenir ? S'appuyer sur d'autres illustres anciens préoccupés par la situation du club ? C'est une autre possibilité qui ressort de ce grand bazar. Jean-Baptiste Élissalde, viré à l'arrivée de Laporte mi-novembre, a aussi été sondé par certains joueurs et dirigeants mais il n'a pas donné suite. Un épisode de plus qui montre à quel point ce club a du mal à se stabiliser et l'a payé cher sportivement. Très cher ? Il le saura dimanche soir.

[el landeno]

Geoffrey Doumayrou (Montpellier) : « J'aimerais garder des points de vie » À 34 ans, Geoffrey Doumayrou va jouer dimanche (18 heures) le dernier match de sa carrière à Grenoble dans un match pour le maintien qui s'annonce brûlant pour le MHR. Une fin atypique pour le centre qui a accepté d'évoquer cette décision et de revenir sur sa carrière.

 

« Quand avez-vous pris votre décision d'arrêter ?
Vers septembre-octobre... Je me fais les croisés (du genou) la saison dernière (le 22 janvier 2023 face aux London Irish en Coupe des champions) et quand je reviens à l'entraînement, je me fais trois fois le mollet. Je me posais déjà des questions mais la troisième fois, là, je me dis que c'est bon. En plus, quand je finis par revenir (il rejoue contre Castres le 23 décembre 2023), je me blesse à l'adducteur après quelques matches. Donc ça a conforté ma décision.

 

 

Est-ce vous faites un lien entre votre grave blessure au genou et toutes ces blessures musculaires ?
Forcément, mais le problème remonte à l'année d'avant, celle du titre (2021-2022), où j'avais déjà eu un souci très particulier qui, je pense, m'avait déjà déstabilisé le corps.

C'est-à-dire ?
Je me suis blessé au quadriceps (début novembre 2021) et j'ai fait une calcification... J'ai eu comme un deuxième os qui a poussé sur celui de la cuisse. J'ai l'impression que depuis, j'ai le corps qui est parti dans tous les sens, ça m'a un peu désorganisé physiquement et j'ai enchaîné ces blessures musculaires. Je pense que ça vient de là car je n'avais jamais eu autant de problèmes musculaires avant ça.

« Quand je joue avec les enfants, je me dis à chaque fois, est-ce que si je fais ci ou ça, je vais réussir à m'entraîner normalement lundi ? Quand vous en êtes là, il faut savoir arrêter. »

 

 

 

 

 

Donc c'est autant le corps que la tête qui a dit stop...
Oui. J'ai envie de faire d'autres choses après le rugby, j'aimerais garder un peu des points de vie. Quand j'ai vu que j'enchaînais les blessures, que je vivais à l'extérieur du groupe et que je ne prenais aucun plaisir...

Vous disiez aussi récemment vouloir arrêter de faire attention dans votre vie de tous les jours...
Si je fais du jardinage, je ne sais pas si je ne vais pas avoir mal au dos et le payer à l'entraînement. J'aime bien le padel mais je n'en fais pas vis-à-vis de mes mollets... Pareil quand je joue avec les enfants, je me dis à chaque fois, est-ce que si je fais ci ou ça, je vais réussir à m'entraîner normalement lundi ? Quand vous en êtes là, il faut savoir arrêter.

Malgré toutes ces blessures, vous décrochez l'année de votre retour à Montpellier le premier Bouclier de Brennus de l'histoire du club (en 2022)... Est-ce que c'est le plus beau moment de votre carrière ?
Comme Montpelliérain depuis plusieurs générations, avec une histoire particulière avec ce club (son père et son grand-père y ont joué), c'était magnifique. Je suis revenu pour décrocher ce titre, donc c'est un des plus beaux moments. Mais quand je suis parti dans la capitale à 20 ans (il a quitté le MHR pour le Stade Français en 2012) et que j'y gagne mon premier Bouclier (en 2015), c'était aussi très fort car ça voulait dire que mon pari était gagnant.

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Vous avez cumulé 13 sélections avec l'équipe de France entre 2017 et 2019. Quand vous y repensez, c'est une grosse fierté, ou vous vous dites que ce n'est pas assez ?
Je suis quelqu'un de très humble donc je ne permettrais jamais de dire que j'en méritais plus. Le regret que j'ai, c'est que j'ai été sélectionné pas forcément à la meilleure période de l'équipe de France avec un jeu où, je trouve, je ne pouvais pas trop m'exprimer. C'était beau d'être international mais c'est vrai que ce n'est pas là où j'ai pris le plus de plaisir dans ma carrière.

D'autant plus que ça a beaucoup mieux tourné après votre dernière sélection en mars 2019...
Je rate la Coupe du monde (2019) sur blessure alors que j'avais fait la prépa, donc c'est dur...

« Que la défense fasse partie de mes qualités, OK, mais on me parlait tout le temps de ma défense et jamais de mon attaque »

 

 

 

Est-ce que vous êtes fier de votre carrière quand vous regardez dans le rétroviseur ?
Il y a des plus grandes carrières que la mienne, il y a aussi des moins bonnes. Je me satisfais de ce que j'ai fait. Je suis plutôt content, même si je suis un peu déçu pour cette Coupe du monde 2019 ratée et ces gros pépins ces dernières années. J'ai évolué dans des équipes (Montpellier, Stade Français et La Rochelle) qui jouaient quasiment tout le temps les six premières places, j'ai joué des phases finales, des finales.

Si on cherche un fil rouge dans votre carrière, on peut dire que c'est votre gros caractère ?
Oui, mais ça m'a aussi desservi vis-à-vis des médias. Oui, j'ai du caractère, ça n'a pas plu à certaines personnes, ça a plu à d'autres, qui aiment s'appuyer sur des joueurs comme ça.

Quand vous dites que ça vous a desservi vis-à-vis des médias, vous pensez à quoi en particulier ?
Vous vous êtes beaucoup régalé à me critiquer ou me mettre une image qui n'est pas vraie. On m'a collé une étiquette... Au début, ça me prenait la tête. Après, j'ai vite compris qu'il fallait faire abstraction sinon on donne trop d'importance aux commentaires et on se rend compte que ça ne sert à rien.

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Sur l'aspect jeu, vous avez souvent regretté qu'on vous catégorise comme un joueur "défensif"...
Que la défense fasse partie de mes qualités, OK, mais on me parlait tout le temps de ma défense et jamais de mon attaque. Dans le foot, c'est la même chose, on parle de ceux qui marquent les buts, mais moins de ceux qui font des passes ou organisent le jeu. En rugby, on est tombé dans ces travers-là depuis 10-15 ans et je trouve ça dommage.

Des entraîneurs vous ont quand même encensé, comme Greg Cooper au Stade Français qui disait que si vous étiez Néo-Zélandais, vous joueriez avec les All Blacks...
Une phrase qui vous a régalé... Ça été repris par je ne sais pas combien de personnes et vous m'en parlez encore aujourd'hui. C'est un entraîneur que j'appréciais, notamment pour sa philosophie de jeu. Pour moi, c'était plus que flatteur mais on se rend compte qu'avec les réseaux sociaux et les médias qui cherchent à faire du clic, ça a plus été négatif que positif.

« Quand on démarre mal une saison, c'est difficile de relever la tête »

 

 

 

Ce barrage de maintien dimanche à Grenoble, vous arrivez à l'imaginer ?
Je n'ai pas vécu ça mais c'est un match couperet et j'en ai déjà connu. Là on va jouer pour ne pas descendre, donc est-ce que ça va nous faire jouer petit bras par rapport à un match de vraie phase finale ? Je ne pense pas. Il ne faut surtout pas se dire qu'on a tout à perdre, mais il faut faire les choses bien, bien amener la stratégie de match, être dans l'engagement pendant 80 minutes.

En revenant à Montpellier, vous n'auriez jamais imaginé lutter pour le maintien à ce point-là, non ?
Non, c'est sûr. Quand on joue à Montpellier, on a plus l'habitude de jouer le top 6 que le maintien. Je ne m'attendais pas à ça mais on sait dans le rugby que ça va très vite. Je l'ai connu à Paris, on a été champions en 2015 et on s'est sauvé à trois journées de la fin en 2016. Quand on démarre mal une saison, c'est difficile de relever la tête. Ça nous est arrivé cette année, donc maintenant le principal objectif, c'est de gagner ce barrage.

On imagine que vous n'envisagez pas une seule seconde finir sur une descente avec le MHR ?
Non. C'est hors de question.

De quoi sera fait votre avenir personnel ? Est-ce que vous resterez dans le rugby ? À Montpellier ?
Honnêtement, je ne sais pas. C'est un sujet délicat. On verra après le barrage. »

[frednirom]

Dehors !!!

[Alex chocolatines]

N'y voyez rien de méchant mais je l'ai jamais trouvé bon le Doum', très décevant pour un all black 

[el landeno]

Patrice Collazo avant le barrage à Grenoble : « On sait qu'on n'aura pas une deuxième cartouche »

 

Patrice Collazo, manager de Montpellier (F.Faugere/L'Equipe)

À trois jours du barrage de maintien à Grenoble (dimanche, 18 heures), Montpellier peaufine sa préparation, lui qui est fixé sur ce rendez-vous depuis près d'un mois, conscient du lourd enjeu qui l'attend au Stade des Alpes.

Romain Bergogne, à Montpellierpublié le 13 juin 2024 à 19h51

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Les Montpelliérains se sont entraînés une dernière fois au GGL Stadium jeudi après-midi, devant des salariés du club. Soleil de plomb, playlist dance très rétro... ça sent bon l'été dans l'Hérault mais les vacances doivent attendre. Et pour cause, la délégation du MHR prendra vendredi matin la route de Grenoble en bus, à quarante-huit heures d'un barrage de maintien aussi anxiogène qu'attendu par le groupe si l'on en croit le manager Patrice Collazo.

 

 

« C'est sûr que c'est plus sympa de jouer une phase finale, on sait que ce match a beaucoup d'enjeux et qu'on n'aura pas droit à une deuxième cartouche, a-t-il résumé en conférence de presse. Mais c'est peut-être la première fois de la saison que je sens une telle impatience dans le groupe. Il n'y a pas de peur au ventre, je ne l'ai pas sentie, contrairement à certains autres moments de la saison. Sur les entraînements, on voit des signaux positifs dans l'implication. Ça va être long jusqu'à dimanche mais cette impatience est bon signe. »

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Dans son malheur, Montpellier a eu l'avantage d'être fixé sur son sort dès le 18 mai et une défaite à domicile contre Toulouse (22-29) qui l'a condamné à la treizième place. Le MHR a eu plus de trois semaines pour préparer ce match, avec une répétition réussie sur 70 minutes contre Lyon (41-26, le 1er juin) puis un voyage sans certains cadres à Clermont samedi (52-15).

 

 

 

« Je sais que Grenoble sera prêt. Il y aura des paramètres, la chaleur, la longueur de la saison mais dans ces matches, il n'y a pas de fatigue qui compte »

Patrice Collazo, manager de Montpellier

 

 

 

« Ceux qui n'ont pas fait le voyage à Clermont se sont retrouvés pour regarder la finale de Pro D2 (remportée par Vannes contre Grenoble samedi), raconte le troisième-ligne Lenni Nouchi. Ça nous a permis de savoir qui on allait jouer puis de se plonger dans l'analyse de l'adversaire. » Le champion du monde des moins de 20 ans fait partie de ceux qui ont pu refaire du jus quand les Grenoblois enchaînaient trois matches de phase finale.

La compo officialisée samedi

« Je sais que Grenoble sera prêt, répond Collazo à propos d'un potentiel avantage physique. Il y aura des paramètres, la chaleur, la longueur de la saison mais dans ces matches, il n'y a pas de fatigue qui compte. Ce qu'il faut quand on est dans la zone rouge, c'est être précis, faire des choses justes. »

Des détails, notamment dans le jeu au sol, sur lequel le MHR a mis un focus ces dernières semaines. « On arrive avec un maximum d'envie et d'énergie, enchaîne Nouchi. On en a pris notre gueule toute la saison, on veut gagner pour oublier cette saison et repartir du bon pied. On veut prouver qu'on n'est pas des pompes... »

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Il pourrait être associé en troisième ligne à Janse van Rensurg et Alexandre Bécognée, Yacouba Camara (commotion) et Sam Simmonds (mollet) étant a priori trop justes pour reprendre dans cette semaine cruciale. Selon les derniers échos, Jan Serfontein et Auguste Cadot devraient eux être associés au centre, tandis que Geoffrey Doumayrou débuterait sur le banc et Arthur Vincent serait hors feuille de match. La composition d'équipe sera officialisée samedi en fin d'après-midi.

 

 

[Alex chocolatines]

Si les Grenoblois pouvaient fermer les grandes gueules de tous ces prétentieux ... Ce serait le bonheur 

[Rugby ?]

Suite à 'article posté par Landerno.

J'ai beaucoup de mal a imaginer Altrad virant Laporte. Ils se tiennent par la barbichette.

[Un jaune dans un ballon]

On va encore se les taper l'année pro je suis dégouté.

[InASMWeTrust]

Le sponsor du rugby mondial ne pouvait pas se retrouver en pro D2. 

[Schell]

Le couperet est tout de même passé pas loin...

[Alex chocolatines]

Si un modo pouvait modifier le titre du topic en : " MHR le club qui a bien failli descendre en D2 " ça ferait pas avancer le schmilblick mais ça me consolerait de les voir encore en top 14 .

 

On en a gros ! 

[jm12]

Le couperet est tout de même passé pas loin...

Ben ils ont eu pas mal de chance avec ces essais casquette donnés généreusement en 1 mi-temps par le FCG qui au passage rate deux occasions très  nettes de tuer le match....

 

Si à ça on ajoute le taux de réussite assez passable comme réalisateur de Sam Davies d'ordinaire très bon dans l ' exercice , ils s'en sortent plus que bien grâce à une pénalité accordée généreusement par Tranini alors que e joueur ne gênait en rein la sortie et l 'utilisation de la gonfle , pour leur offrir sur un plateau la gagne du maintien