Tékon .
Je constate que tu as de drôles de recherche sur le bon coin ...
C'est pas pour rien qu'il est sur un forum auvergnat,... c'était gratuit.
Posté 04 août 2024 - 08:21
Tékon .
Je constate que tu as de drôles de recherche sur le bon coin ...
C'est pas pour rien qu'il est sur un forum auvergnat,... c'était gratuit.
Posté 17 août 2024 - 18:05
Tevita Tatafu en partance vers l'UBB, Bayonne voudrait du coup Furlong ou Gigashvili
https://x.com/T2Rugb...851396585300284
Posté 17 août 2024 - 18:06
Posté 25 août 2024 - 07:03
Posté 25 août 2024 - 14:22
Beria parti, je voulais Baille...
Posté 26 août 2024 - 18:33
Posté 26 août 2024 - 18:49
Posté 26 août 2024 - 19:21
6 à 8 semaines d'absence pour tuilagi..
C’est obligatoire avec lui.
Posté 26 août 2024 - 19:23
C'est la tuile à Guy.
(j'ai tellement honte de ce calembour que je vais me mettre à soutenir le Stade Français)
Posté 26 août 2024 - 21:23
C'est la tuile à Guy.
(j'ai tellement honte de ce calembour que je vais me mettre à soutenir le Stade Français)
Posté 02 septembre 2024 - 06:04
Fini le maintien. Fort d’un recrutement clinquant, dont la tête de gondole est l’international anglais Manu Tuilagi, l’Aviron du manager Grégory Patat veut franchir un cap pour sa troisième saison de rang dans l’élite
Quel regard portez-vous sur la préparation estivale de l’Aviron ?
Elle a été positive et progressive, avec deux victoires contre Provence (24-7) et Biarritz (5-42). On avait laissé cinq semaines de vacances, soit une semaine supplémentaire par rapport aux autres années. On a amené l’équipe le plus près de son pic de forme, qui va nous permettre d’être performant sur ce premier bloc de championnat. Le seul point négatif, ce sont les blessés (lire par ailleurs).
Ça fait trois ans qu’on se connaît avec le chef de la performance (Loïc Louit), « Ged » Fraser qui est le responsable de rugby, et moi-même. On a nos automatismes de travail, on va beaucoup plus vite dans l’installation de notre rugby et nos contenus, en lien avec le physique. On a aussi profité de la qualité du recrutement. Aujourd’hui, on possède deux équipes plus compétitives. Cela permet d’avoir des entraînements beaucoup plus aboutis, d’aller plus vite dans les attendus techniques et stratégiques.
Estimez-vous que vous n’avez jamais eu autant de qualité dans l’effectif ?
Complètement. On a réussi à recruter des joueurs qui ont connu le top 6 (Chouzenoux, Habel-Küffner, B. Germain, Poloniati) ou le niveau international (Tuilagi, Segonds). On bénéficie de leur expertise, sans dénigrer ceux qu’il y avait précédemment. Pour encaisser un championnat comme le Top 14, très long et homogène, il fallait se renforcer sur certains postes. Lors de ma première année de contrat, on était allé chercher des soldats de Pro D2. On avait récompensé les jeunes qui avaient grandement contribué à la montée. Là, on est à la troisième année du projet. Il y a plus de maturité, d’ambition. On a des joueurs qui vont nous permettre d’être beaucoup plus consistant sur une saison. On a doublé les postes, on a des jeunes qui arrivent à maturité. On se veut un peu plus confiant, même si dans ce championnat, la marge de manœuvre est réduite.
« On est un club de territoire, de caractère. Dans ces clubs à forte identité, il y a moins cette notion d’urgence à l’extérieur »
D’où les objectifs annoncés : le top 8 en championnat et une qualification pour la phase finale du Challenge…
Ma direction, via Philippe (Tayeb, le président), estime qu’on est en capacité d’annoncer ces objectifs. Hormis Toulouse et peut-être Vannes, qu’on peut mettre dans des catégories à part, j‘estime que les douze autres équipes sont dans un entre-deux. Entre la quatrième place et la douzième place, la nuance est très subtile, mais je pense que notre groupe a les épaules pour aller chercher la 8e place. On est conscient du peu d’écart entre toutes les équipes mais on veut grandir dans ce championnat.
Comment franchir ce cap, sachant que vous avez fini à une 12e place un peu décevante la saison dernière ?
On a vécu une saison paradoxale. On a été plus consistant dans notre rugby que la saison d’avant (NDLR : où l’Aviron avait terminé 8e). On maîtrisait mieux certaines phases de jeu, certains scénarios. Mais une fois le maintien acquis, à deux journées de la fin, on a senti que la saison s’est arrêtée. Il y a une explication : tout ce qu’on avait fait précédemment pour y parvenir nous avait coûté beaucoup d’énergie. Il y avait aussi un mélange d’objectifs au sein de notre groupe qui n’était pas propice à une évolution linéaire, avec certains joueurs qui avaient participé grandement à la première saison à qui on avait annoncé très tôt qu’on ne les gardait pas. Désormais, on va essayer d’améliorer nos standards et nos exigences dans notre quotidien. Ça passera par un supplément de travail et d’efforts. La saison passée, on était fluctuant aux entraînements.
Grégory Patat, mercredi 28 août lors de la présentation du groupe bayonnais aux supporters au stade Jean-Dauger.Un des écueils des dernières saisons, c’est le différentiel domicile/extérieur, avec seulement deux victoires en deux ans en déplacement…
On a ciblé ce point. La règle de base pour aller chercher le top 8 ou le top 6, c’est de gagner chez les équipes référencées plus faibles. On est un club de territoire, de caractère. Un club où il y a une ambiance à Dauger, où les émotions sont décuplées. Dans ces clubs à forte identité, il y a moins cette notion d’urgence à l’extérieur. L’an dernier, on ramène des points chez les « gros » : Toulon, La Rochelle, Bordeaux, Stade Français, on gagne au Racing… Pourquoi ? Parce qu’on avait peur de prendre une valise. Donc mon équipe se mobilisait. Quand l’adversaire était un peu moins renommé, on baissait d’un cran.
Est-ce à dire que la douceur de vivre du Pays basque rejaillit parfois sur le caractère de l’équipe ?
Il y a de ça, oui. On se défend à domicile, un peu moins à l’extérieur. Ici, la vie est facile. Elle est belle. Tu passes de la montagne à l’océan en 45 minutes. Tu as des coins magnifiques. Dans certains endroits, il y a moins d’à-côtés. Tu as plus de concentration sur ta tâche. Ici, tu as des tentations un peu partout. On ne passe pas le même été à Bayonne qu’à Oyonnax ou dans les grandes métropoles, sans dénigrer. C’est pour ça qu’il faut rester focus sur notre rugby.
« On est à la troisième année du projet. Il y a plus de maturité, d’ambition »
Avez-vous déjà votre équipe en tête pour Perpignan ?
Elle se dégage mais j’ai encore des incertitudes médicales. Je veux commencer mon championnat avec un maximum d’expérience collective donc je vais adopter la même stratégie que les années passées, à savoir me servir des connexions existantes. Il y aura des recrues dans l’équipe et le groupe, mais elles ne seront pas toutes alignées dès le début du championnat.
Posté 02 septembre 2024 - 06:28
je parie sur une grosse saison flop genre 12e
Posté 02 septembre 2024 - 08:34
je parie sur une grosse saison flop genre 12e
oui, et on peut la jouer prédateur et viser de leur piquer Lopez en fin de saison.
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