Pire, c’est La Montagne
Pas étonnant que Clermont soit a feu et à sang
Posted 22 August 2025 - 13:21 PM
Pire, c’est La Montagne
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Posted 22 August 2025 - 13:50 PM
Stérin, il confond sans doute Dupont et Superdupont.
Posted 22 August 2025 - 16:16 PM
Posted 27 August 2025 - 05:13 AM
Posted 28 August 2025 - 05:58 AM
Pascal Bovis est président des sections féminine et masculine du club de football de Fleury. © Crédit photo : Icon Sport
Le propriétaire des clubs de football féminin (D1 Arkema) et masculin (National 1) de Fleury explique être en « phase d’étude » quant à une reprise du BO. Que le milliardaire Pierre-Édouard Stérin entend quitter
À peine racheté, le BO déjà revendu ? Alors que Pierre-Édouard Stérin a récupéré les parts du président du conseil de surveillance Shaun Hegarty cet été, le milliardaire proche de l’extrême droite cherche déjà à revendre le club, dont il est actionnaire majoritaire. Un potentiel repreneur tient la corde : Pascal Bovis, comme révélé par “Rugbyrama”. Contacté par « Sud Ouest », l’entrepreneur explique être en « phase d’étude » et précise que les choses vont s’accélérer « d’ici 15 jours ».
« Le Biarritz Olympique est un club mythique avec un gros centre de formation. Mais les comptes ne sont pas à l’équilibre et il y a un gros travail à faire là-dessus. On en a l’habitude, promet Pascal Bovis, président du club de football de Fleury, dont la section masculine vient d’accéder au National, quand la féminine évolue en D1 Arkema.
460e fortune françaiseLe Groupe Bovis est spécialisé dans le transport de « tout ce qui est lourd, fragile et précieux », comme certaines sculptures de la cathédrale Notre-Dame de Paris après l’incendie de 2019. Classé au 460e rang des fortunes françaises par le magazine Challenges, Pascal Bovis affirme avoir suffisamment de force de frappe financière pour reprendre le BO sans pour autant vendre l’une ou l’autre des sections de son club de football.
« Si on vient, c’est que c’est compatible. Et ce ne serait pas pour faire de la figuration », clame l’homme d’affaires, précisant cependant que « l’argent est un moyen nécessaire mais non suffisant » et qu’une restructuration est nécessaire pour refaire du Biarritz Olympique une place forte du rugby français. Ses représentants sont à la recherche de sponsors pour assurer le modèle économique du club.
Le lien entre l’entrepreneur et les dirigeants biarrots a été facilité par la présence régulière sur place d’un des fils Bovis, Alexandre. Des rencontres ont eu lieu, notamment en présence de la maire Maider Arosteguy, au cours de l’été. « Nous avons l’avis favorable de beaucoup de parties prenantes du dossier », avance Pascal Bovis. Les négociations vont se poursuivre dans les semaines à venir, et la famille Bovis pourrait être présente dès vendredi à Aguilera, pour le match d’ouverture contre Béziers (19 heures)
Posted 05 September 2025 - 11:30 AM
Boris Bouhraoua, manager de Biarritz, s'est dit "énervé", après la lourde défaite des siens à Colomiers (44-10), pour le match avancé de la 2e journée. Il regrette amèrement le visage affiché et appelle à une remise en question collective.

Posted 16 October 2025 - 17:48 PM
Posted 30 October 2025 - 21:03 PM
INFO L'ÉQUIPE Au printemps dernier, comme celui d'avant, le Biarritz Olympique (Pro D2) avait échappé à la rétrogradation administrative en Nationale. Sanctionné de trois points de pénalité au classement de la saison en cours (les Rouge et Blanc sont aujourd'hui 11e sur 16 équipes), le club basque restait placé en « liberté économique conditionnelle », tenu de suivre à la lettre l'échéancier prévu par l'Autorité de régulation du rugby (A2R), le gendarme financier du rugby français, et donc de procéder au versement d'une caution de 2,7 millions d'euros en trois tranches.
Le premier paiement, de 945 000 euros, devait tomber le 15 septembre. Rien le 15, rien le 16, rien le 17... Il a fallu attendre dix jours pour que l'argent arrive sur le compte du BO. Pour ce retard, l'A2R fit preuve de mansuétude et assura ne pas vouloir sanctionner le club dirigé par le fonds d'investissement Odyssée (ex Otium), propriété du milliardaire Pierre-Édouard Stérin dont le projet réactionnaire « Périclès » est assumé. L'été dernier, suite au transfert des parts que détenait le président du Conseil de surveillance Shaun Hegarty, Stérin était devenu actionnaire majoritaire du club.
Le 25 septembre, la première échéance de 945 000 euros est enfin apparue sur le compte du BO (*). Mais selon nos informations, voilà que dès le lendemain, le 26 septembre, environ la moitié de la garantie versée, soit 450 000 euros, est ressortie du compte.
La somme serait retournée vers le garant Stérin, « afin de faire travailler l'argent », aurait-il été expliqué à l'A2R. Le problème, c'est que si on retire la moitié d'une garantie financière, la garantie n'existe plus. Ce besoin soudain de rapatrier de l'argent corrobore les révélations de Libération fin septembre et les informations parues dans le journal Le Monde de mercredi autour d'un grave manque de liquidités de la holding de Stérin.
Autre facteur problématique : le premier paiement de la caution, de près d'un million d'euros, n'a pas transité par la fiducie dont l'avocat Didier Poulmaire avait la responsabilité avant d'être, selon nos informations, peu à peu borduré. Jusqu'ici, toutes les cautions passaient par cette voie-là.
Après dix-huit mois à la tête du Conseil de surveillance, Hegarty a démissionné le 16 octobre. Était-il au courant de la disparition des 450 000 euros de caution ? D'après nos informations, il ne l'était pas, ce que la direction actuelle conteste. Le président du directoire, Cyril Arrosteguy, était-il informé de ce micmac financier ? On ne voit pas comment il n'aurait pas pu l'être. En fin de journée ce jeudi, le club nous a confirmé que « l'arrivée d'un nouvel actionnaire minoritaire (Jérémy Erlich, ancien responsable de Spotify) » a créé une « situation comptable et financière très excédentaire. La somme de 450 000 euros a été remontée du Biarritz Olympique vers Odyssée Impact dans le cadre d'un processus normal d'optimisation de la trésorerie entre un fonds et ses participations. Le Biarritz Olympique en a spontanément informé l'A2R qui a demandé de restituer les fonds, ce à quoi l'actionnaire s'est conformé immédiatement en réinjectant la somme vers le club. Le Biarritz Olympique confirme avoir bien reçu le virement. »
L'A2R n'a pas été consultée ou prévenue, spontanément ou non, de ce retrait de garantie. L'Autorité s'en est aperçue toute seule en remarquant une anomalie dans le solde bancaire du club. Elle a sommé la direction du BO de réinjecter les fonds disparus sans délai, lancé ses propres investigations et l'histoire ne devrait pas en rester là car on ne peut pas toucher à l'argent d'une garantie à sa guise. Pour se prévaloir d'avoir respecté le cadre d'un « processus normal », il aurait fallu solliciter l'A2R en amont et attendre le résultat de son étude financière.
Tout cela ne va pas aider à apaiser le climat autour d'un club qui vit de crise en crise, à un moment où un changement de gouvernance se profile (passage à un Conseil d'administration), à un moment aussi où la reprise en main du club par des cadres d'Odyssée (ex Otium), comme Edward Whalley, directeur général d'Odyssée Impact et responsable du Fonds du bien commun, se formalise.
L'A2R avait déjà avalé de travers en apprenant qu'une erreur de comptabilité de 450 000 euros (décidément, c'est le tarif maison) polluait les arrêtés de compte transmis à l'organe de contrôle en fin de saison dernière. Là encore, l'instance de régulation a tiqué et est en train de chercher les raisons d'un tel écart. Il ne manquait plus que la garantie rétractable. En ne respectant pas les conditions réclamées par l'A2R, les têtes pensantes du BO jouent avec le feu.
Posted 30 October 2025 - 21:48 PM
Une partie de la caution serait retournée vers StérinLe 25 septembre, la première échéance de 945 000 euros est enfin apparue sur le compte du BO (*). Mais selon nos informations, voilà que dès le lendemain, le 26 septembre, environ la moitié de la garantie versée, soit 450 000 euros, est ressortie du compte.
La somme serait retournée vers le garant Stérin, « afin de faire travailler l'argent », aurait-il été expliqué à l'A2R. Le problème, c'est que si on retire la moitié d'une garantie financière, la garantie n'existe plus. Ce besoin soudain de rapatrier de l'argent corrobore les révélations de Libération fin septembre et les informations parues dans le journal Le Monde de mercredi autour d'un grave manque de liquidités de la holding de Stérin.
anéfé le facho a l'air fauché
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