ça se précise ...
oufff j’ai cru que c'était une mauvaise nouvelle...
Posté 26 juin 2021 - 17:55
ça se précise ...
oufff j’ai cru que c'était une mauvaise nouvelle...
Posté 26 juin 2021 - 21:03
Et le jeune Barraque à l'ASM c'est pas possible ?
visionnaire...
Posté 26 juin 2021 - 21:40
visionnaire...
Posté 06 juillet 2021 - 11:47
Posté 06 juillet 2021 - 12:05
Posté 06 juillet 2021 - 12:11
Si ça peut leur éviter de perdre tous leurs matchs comme agen cette saison , tant mieux pour le spectacle . Et s'ils se mettent sur la paille à la fin , je ne ferai pas la tronche.
Posté 06 juillet 2021 - 12:15
Si ça peut leur éviter de perdre tous leurs matchs comme agen cette saison , tant mieux pour le spectacle . Et s'ils se mettent sur la paille à la fin , je ne ferai pas la tronche.
En effet. Déjà qu'ils ne m'étaient pas très sympathiques des années 2000, avec le nouveau président, c'est pas près de s'arranger...
Posté 09 septembre 2021 - 06:12
je ne peux pas vous faire passer le texte intégral
peut être un abonné peut il le faire ?
très interessant et instructif article sur le nouveau mécène du BO qu'il veut toujours délocaliser dans le Nord et qui vient d'exfiltrer le President de l'Association en voulant le remplacer par Serge Blanco qui peut être y voit une bonne occasion d'éponger ses dettes ( faillite ) ...
https://www.liberati...obox=1630911573
Posté 09 septembre 2021 - 07:45
je ne peux pas vous faire passer le texte intégral
peut être un abonné peut il le faire ?
très interessant et instructif article sur le nouveau mécène du BO qu'il veut toujours délocaliser dans le Nord et qui vient d'exfiltrer le President de l'Association en voulant le remplacer par Serge Blanco qui peut être y voit une bonne occasion d'éponger ses dettes ( faillite ) ...
Le personnage fait rêver, en tout cas ! Il va largement rejoindre Momo du MHR en tête des détestables présidents.
Posté 09 septembre 2021 - 08:03
Un nouveau Racing ? à Biarritz ?Le personnage fait rêver, en tout cas ! Il va largement rejoindre Momo du MHR en tête des détestables présidents.
Posté 09 septembre 2021 - 08:31
Les mecs étaient au bord du dépôt de bilan et ils crachent les internationaux par paquet de 4...
Posté 09 septembre 2021 - 20:21
Le personnage fait rêver, en tout cas ! Il va largement rejoindre Momo du MHR en tête des détestables présidents.
Je crois qu'on est sur un tout autre niveau là... Je ne sais pas comment on va pouvoir fair epire que lui.
Par contre, ça fait deux présidents qui sont nés dans la région d'Alep. Ça ne nous réussit pas vraiment !
Posté 24 septembre 2021 - 06:13
Elle est posée là, presque à l'abandon. Plusieurs de ses carreaux sont cassés, certains de ses volets décrépits partent en lambeau, sa peinture s'effrite, bref, la digne bâtisse fatigue et appelle à l'aide. Nous sommes au coeur du site d'Aguiléra, devant son bâtiment le plus ancien, à quelques mètres seulement du stade éponyme. La maison de maître à la couleur ocre en question porte le doux nom de Villa Rose. Elle appartient à la municipalité mais est comprise dans le périmètre du bail emphytéotique administratif (BEA) concédé au Biarritz Olympique (BO).
Jean-Baptiste Aldigé s'anime devant elle : « Serge Betsen a vécu là-dedans, les joueurs du centre de formation y résidaient avant », souligne-t-il, déplorant sa dégradation apparente. Si l'état de l'entité BO devait être matérialisé, il pourrait prendre la forme de cette villa, noble mais usée, prise en étau dans un conflit qui oppose le club pro et la municipalité, dont les acteurs se renvoient la balle au sujet de sa rénovation, ainsi que celle du stade.
Puis le président du BO entreprend une visite d'ensemble du site. Il passe devant la précaire boutique du club, « l'ancien camion de tournée de Johnny Halliday », précise-t-il, avant d'entrer dans la tribune Blanco. Le président présente les gradins aux sièges branlants, la pelouse bosselée, les bureaux usagés, les vestiaires poreux et humides, la salle de musculation et ses radiateurs de fortune « qui ont déclenché un début d'incendie en décembre ». Des portes grincent, des murs se fissurent.
Il est bien rare de voir un dirigeant exposer avec autant d'empressement la vétusté des installations de son club. Mais le président du club basque tient à montrer à quel point une rénovation des lieux est nécessaire, estimant que la mairie doit assumer les travaux de ces installations municipales quand cette dernière juge que cette responsabilité incombe au BO dans le cadre d'un BEA. Certains joueurs ont commencé à s'émouvoir de ces conditions de travail. Mais, soudés, comme hermétiques à leur environnement de travail dégradé et aux conflits qui planent au-dessus de leurs têtes, ils enchaînent les bons résultats.
« Je tiendrai mes promesses, mais je ne peux pas abuser de l'argent du contribuable en l'utilisant uniquement pour le rugby pro »
Maider Arosteguy, maire de Biarritz
Après sept années d'abstinence, ils sont enfin revenus dans l'élite au printemps dernier, réalisant une fin de saison épique, avec notamment un barrage remporté aux tirs au but contre Bayonne (6-6, 6 t.a.b. à 5). Plus petit budget du Top 14, le BO a également réussi son début de saison en Top 14, avec deux victoires convaincantes en trois matches, à la maison contre l'UBB (27-15) et le Racing (28-19). De quoi faire planer ses supporters ? Pas vraiment. Ces derniers sont régulièrement ramenés sur terre par les incessantes polémiques qui animent le club. « Dans nos discussions sur le BO, entre amis, supporters, voisins de tribune, au boulot, en famille, on finit toujours par aborder le cas de Jean-Baptiste Aldigé et de Maider Arosteguy (la maire de Biarritz) », regrette Didier, fidèle d'Aguiléra depuis plus de cinquante ans.
Pour saisir le contexte, remontons un peu le temps. Après des saisons de gloire au début du millénaire, le club a vécu une période plus sombre sportivement et économiquement dans les années 2010. En 2015, un projet de fusion avec l'Aviron a même été étudié puis abandonné. Trois ans plus tard, Louis-Vincent Gave a repris le BO bien mal en point via le fonds d'investissement Gavekal. Il a placé Aldigé, son homme de confiance, à la présidence.
Rapidement, pour combler un déficit structurel, ces dirigeants ont réclamé la mise en oeuvre d'un projet de modernisation du stade. Début 2020, dans un contexte déjà brûlant, une majorité d'élus de la ville de Biarritz, dont Maider Arosteguy, a voté l'aménagement du plateau d'Aguiléra, impliquant la création d'un centre de formation et d'un centre d'entraînement et la modernisation du stade (et de la Villa Rose). Mais un an plus tard, alors que Maider Arosteguy est devenue maire, la ville de Biarritz s'est désengagée du projet, réclamant un rééquilibrage budgétaire sur les sommes qui pouvaient y être engagées.
« Elles sont largement au-dessus de mes capacités de financement, d'autant que le Covid est passé par là, soutient l'édile d'une ville de 25 000 habitants. Je tiendrai mes promesses, mais je ne peux pas abuser de l'argent du contribuable en l'utilisant uniquement pour le rugby pro. » Cette décision, vécue comme une trahison par la direction du BO, a déclenché un conflit ouvert entre la mairie et le club pro. Estimant le BO « condamné à mourir » s'il restait à Biarritz, Jean-Baptiste Aldigé a alors envisagé de délocaliser l'équipe pro et trouvé une piste sérieuse... dans la métropole lilloise, à près de 1 000 km d'Aguiléra.
Ces dernières semaines, la possibilité de construire un stade de rugby en Espagne, à Saint-Sébastien, et d'établir un club transfrontalier, a également été étudiée par la direction. Autant de perspectives qui ont parfois pris des contours concrets. L'équipe a disputé cet été un match de préparation contre l'UBB au Stadium de Villeneuve-d'Ascq. Engagé en Challenge européen, le Biarritz Olympique vient également de demander à l'EPCR l'autorisation de disputer ses matches à domicile dans le Nord. Par ailleurs le conflit BO-mairie a fait des petits.
Les fans se divisent et ne cessent de comparer leur situation à celle du voisin bayonnais, dont le stade Jean-Dauger est en pleine rénovation. Début septembre, Aupa BO et les Socios, les deux principales associations de supporters, ont, dans une lettre commune, réclamé des comptes à la maire. En tribune, les jours de matches, des banderoles visant la municipalité apparaissent. D'autres supporters, échaudés par le possible déménagement, se sont opposés ces derniers mois à Jean-Baptiste Aldigé, comme le groupe de jeunes de Miarritzeko Mutilak, dont font partie Nathan, Alexandre et Alizée, attablés dans un bistrot du centre-ville. « Je vis assez mal cette période, admet Nathan, 25 ans. Je m'accroche, parce que j'estime que l'institution reste au-dessus, mais je connais des gens qui ne vont plus au stade à cause de la direction actuelle du BO. Ce possible déménagement à Lille, je le prends encore plus mal que la fusion. »
En conflit depuis son arrivée avec la presse régionale et nombre d'acteurs de la vie locale, le président du BO ferraille également avec la section amateurs du club. Fin août, Sébastien Beauville, son président jusqu'à la semaine dernière, avait démenti dans Sud Ouest certaines affirmations d'Aldigé et indiqué avoir été menacé par lui. Dernier coup de théâtre en date : la semaine dernière, à l'issue d'un conseil d'administration où Beauville a démissionné de son poste, l'ancien deuxième-ligne du BO, David Couzinet, épaulé par plusieurs grands noms de l'histoire du club (Imanol Harinordoquy, Jérôme Thion, Dimitri Yachvili, Benoît Baby, Christophe Milhères, Jimmy Marlu) a été nommé président par intérim de la section amateurs. Une glorieuse bande réunie par Arosteguy, présente à leurs côtés lors de leur présentation.
Du haut de son double mètre, Couzinet, tout juste sorti d'une réunion, observe les cadets du club - dont son fils - s'entraîner sur le terrain Bendern, adossé au stade Aguiléra, et qu'il aimerait investir comme lieu de vie des amateurs. « Notre priorité, c'est de mettre dans les meilleures conditions les gamins, les éducateurs, les féminines, insiste-t-il, l'oeil inquiet. Il faut qu'ils arrêtent de se poser des questions, qu'ils aient la banane, on veut apaiser la situation. On n'est du côté de personne. » « Il faut absolument renouer le dialogue avec Jean-Baptiste Aldigé », ajoute Jérôme Thion.
Mais le président du BO, renforcé par les bons résultats sportifs, ouvrira-t-il la discussion avec un groupe initialement réuni par Maider Arosteguy ? Et le retour de la bande des anciens sera-t-il confirmé le 15 décembre prochain, lors d'une AG ordinaire ? Serge Blanco, dont la candidature n'a pas été retenue la semaine dernière, pourrait également tenter de briguer le poste, accompagné par d'autres anciens grands joueurs du club. La course à la présidence de la section amateurs promet elle aussi de nouveaux rebondissements. Le feuilleton n'est pas fini.
Posté 31 octobre 2021 - 14:36
Interview très intéressante de Jean-Baptiste Aldigé qui monte au créneau contre la commission de discipline. Il appelle à une professionnalisation de cette dernière en critiquant des sanctions trop aléatoires et basées essentiellement sur un processus opaque et incohérent.
https://www.rugbyram...956/story.shtml
Posté 31 octobre 2021 - 14:38
0 members, 0 guests, 0 anonymous users