5325 replies to this topic

[cetotomatos]

Hors sujet les anti-douleurs même en amateur tu en prends, anti inflammatoire ou autres produits pour récupérer c'est pareil.

 

Je parle des cas de dopage avérés dans le rugby, pas des fantasmes d'anciens joueurs ou de pseudos journalistes.

 

Tu oublies que certains anti-douleurs masquent souvent la morphine.

 

Rajouter à la liste les corticoïdes qui repoussent le seuil de fatigue mais entrainent des accidents musculaires...

[bazooka]

et couilles en béton

 

Brossage de dents avec Toniglandyl...

[RCV06]

Bon je n’avais que ça à faire de ma journée donc j’ai fais une recherche sur les produits dopants en rapport avec le rugby.

On trouve donc :

• Les stéroïdes anabolisants. (surtout de la nandrolone d'ailleurs)
• Divers dérivés des stéroïdes.
• Les capsules de testostérone.
• Certaines drogues pour être dans un état second au moment des matchs.
• Et le Meldonium du coup.

Aucune autre trace de dopage dans le rugby avec d’autre produit.
 

Et après on s'étonne que les mecs loupent de touches capitales ou font des passes à l'adversaire

Peut être bien que certains arbitres en croquent aussi d'ailleurs

[Rugby ?]

Bon je n’avais que ça à faire de ma journée donc j’ai fais une recherche sur les produits dopants en rapport avec le rugby.

On trouve donc :

• Les stéroïdes anabolisants. (surtout de la nandrolone d'ailleurs)
• Divers dérivés des stéroïdes.
• Les capsules de testostérone.
• Certaines drogues pour être dans un état second au moment des matchs.
• Et le Meldonium du coup.

Aucune autre trace de dopage dans le rugby avec d’autre produit.
 

Il faut peut être s'interroger sur le dopage à l'ASM !

Car je trouve que notre club a une fâcheuse habitude de se retrouver à l'état second lors des échéances capitales!

[marco43]

 

Brossage de dents avec Toniglandyl...

chabat président, bigard vice-président. le rire pour un dopage sain et naturel, je l'emploi depuis toujours et cela ma permis de traverser pas mal d'épreuves sans avoir recours à de quelconques médocs 

[RCV06]

Depuis que le sport de compétition existe, les athlètes comptent sur les fortifiants les plus divers -certains peu ragoûtants, d'autres carrément dangereux- pour remporter des médailles, sans se soucier de leur santé.

 

Pour booster leur testostérone, les Grecs anciens mangeaient des testicules de mouton, tandis que le médecin gladiateur Claudius Galen prescrivait du sabot bouilli d'ânes abyssins, aromatisé avec des pétales de rose.

"Outre l'utilisation de la strychnine (...) les athlètes de l'antiquité ont aussi utilisé le haschich, la cola, des stimulants à base de cactus et des champignons, avec un succès variable" écrivait en 2006 Yush Lee, un juriste californien auteur de recherches sur la loi et le dopage.

Dès la fin du 19e siècle, l'arsenal de dopage des sportifs inclut la cocaïne et l'héroïne, les deux substances pouvant être associées -on parle aujourd'hui de "speedball"-, comme l'atteste le décès d'un cycliste lors d'une course en 1886 après avoir pris ce mélange.

En 1904, Thomas Hicks a couru le marathon olympique après avoir absorbé un cocktail de cognac et de strychnine, ce dernier composant étant utilisé autrefois pour tuer les rongeurs. Il a gagné la course, mais a failli en mourir.

- Extraits de glandes de singe -

Dans les années 1930, un club de football britannique vantait pour sa part les injections d'extraits de glandes de singe.

"Le dopage a vraisemblablement toujours existé, ce n'est pas quelque chose de nouveau", souligne Carsten Lundby, un expert en dopage sportif à l'Institut de physiologie de l'Université de Zurich.

Pour de nombreux athlètes professionnels, dit-il à l'AFP, "le désir de gagner" l'emporte sur les risques pour la santé ou la honte de figurer dans le peloton des tricheurs déshonorés, à l'instar du cycliste Lance Armstrong ou du sprinter Ben Johnson.

Interrogés lors d'un sondage réalisé dans les années 1980 et 1990, la moitié des athlètes d'élite se déclaraient prêts à prendre une drogue indétectable pour gagner, même si elle devait les tuer dans les cinq ans.

La même attitude existe, selon M. Lundby, face à la drogue favorite des cyclistes, l'érythropoïétine (EPO), qui stimule la production de globules rouges transportant l'oxygène.

Utilisé à des fins de dopage, l'EPO et d'autres produits similaires -dont beaucoup ne sont pas encore enregistrés pour un usage médical- peuvent augmenter le risque de maladie cardiaque, d'accident vasculaire cérébral et de caillots sanguins.

Le problème ne semble pas prêt de disparaître, comme vient de le montrer le scandale du dopage d'Etat en Russie avant les jeux Olympiques de Rio 2016.

Selon le sociologue du sport Fabien Ohl, de l'Université de Lausanne, "il est illusoire de penser qu'on va pouvoir se débarrasser du dopage", même si pour l'instant les experts relèvent que la course aux nouveaux produits dopants semble au point mort.

La plupart des produits utilisés aujourd'hui -EPO, transfusions sanguines, hormones de croissance et stéroïdes- existent en effet depuis des décennies.

Quant au "dopage génétique", qui pourrait constituer la prochaine menace, il ne s'est pas encore matérialisé, selon les observateurs.

 

[Loulou]

Hors sujet les anti-douleurs même en amateur tu en prends, anti inflammatoire ou autres produits pour récupérer c'est pareil.
 
Je parle des cas de dopage avérés dans le rugby, pas des fantasmes d'anciens joueurs ou de pseudos journalistes.

De Villiers c'est quoi ?
Pour les produits festins ton avis c'est ton avis mais un flic de la brigade des stups c'est pas vraiment un ancien sans gloire ou un journaleux de rien

En plus Perso je pense qu'il vaut mieux être un ancien fantasmant que .... Bin que je sais pas un rien :-)

[marco43]

Depuis que le sport de compétition existe, les athlètes comptent sur les fortifiants les plus divers -certains peu ragoûtants, d'autres carrément dangereux- pour remporter des médailles, sans se soucier de leur santé.

 

 

Dans les années 1930, un club de football britannique vantait pour sa part les injections d'extraits de glandes de singe.

 

ce qui pour le football(sauf peut être le gardien) est stupide

encore à la rigueur pour les barres asymétriques ou parallèles en gym

[Loulou]

Depuis que le sport de compétition existe, les athlètes comptent sur les fortifiants les plus divers -certains peu ragoûtants, d'autres carrément dangereux- pour remporter des médailles, sans se soucier de leur santé.

 

Pour booster leur testostérone, les Grecs anciens mangeaient des testicules de mouton, tandis que le médecin gladiateur Claudius Galen prescrivait du sabot bouilli d'ânes abyssins, aromatisé avec des pétales de rose.

"Outre l'utilisation de la strychnine (...) les athlètes de l'antiquité ont aussi utilisé le haschich, la cola, des stimulants à base de cactus et des champignons, avec un succès variable" écrivait en 2006 Yush Lee, un juriste californien auteur de recherches sur la loi et le dopage.

Dès la fin du 19e siècle, l'arsenal de dopage des sportifs inclut la cocaïne et l'héroïne, les deux substances pouvant être associées -on parle aujourd'hui de "speedball"-, comme l'atteste le décès d'un cycliste lors d'une course en 1886 après avoir pris ce mélange.

En 1904, Thomas Hicks a couru le marathon olympique après avoir absorbé un cocktail de cognac et de strychnine, ce dernier composant étant utilisé autrefois pour tuer les rongeurs. Il a gagné la course, mais a failli en mourir.

- Extraits de glandes de singe -

Dans les années 1930, un club de football britannique vantait pour sa part les injections d'extraits de glandes de singe.

"Le dopage a vraisemblablement toujours existé, ce n'est pas quelque chose de nouveau", souligne Carsten Lundby, un expert en dopage sportif à l'Institut de physiologie de l'Université de Zurich.

Pour de nombreux athlètes professionnels, dit-il à l'AFP, "le désir de gagner" l'emporte sur les risques pour la santé ou la honte de figurer dans le peloton des tricheurs déshonorés, à l'instar du cycliste Lance Armstrong ou du sprinter Ben Johnson.

Interrogés lors d'un sondage réalisé dans les années 1980 et 1990, la moitié des athlètes d'élite se déclaraient prêts à prendre une drogue indétectable pour gagner, même si elle devait les tuer dans les cinq ans.

La même attitude existe, selon M. Lundby, face à la drogue favorite des cyclistes, l'érythropoïétine (EPO), qui stimule la production de globules rouges transportant l'oxygène.

Utilisé à des fins de dopage, l'EPO et d'autres produits similaires -dont beaucoup ne sont pas encore enregistrés pour un usage médical- peuvent augmenter le risque de maladie cardiaque, d'accident vasculaire cérébral et de caillots sanguins.

Le problème ne semble pas prêt de disparaître, comme vient de le montrer le scandale du dopage d'Etat en Russie avant les jeux Olympiques de Rio 2016.

Selon le sociologue du sport Fabien Ohl, de l'Université de Lausanne, "il est illusoire de penser qu'on va pouvoir se débarrasser du dopage", même si pour l'instant les experts relèvent que la course aux nouveaux produits dopants semble au point mort.

La plupart des produits utilisés aujourd'hui -EPO, transfusions sanguines, hormones de croissance et stéroïdes- existent en effet depuis des décennies.

Quant au "dopage génétique", qui pourrait constituer la prochaine menace, il ne s'est pas encore matérialisé, selon les observateurs.

 

le dopage est la tricherie en generale ont bien sur sans doute toujours existé

mais attention a ce que ce discours ne soit pas un debut d'acceptation de la chose

 

quoi qu'on fasse il y en aura toujours, malgré tout il faut tout faire pour l'éradiquer même si c'est le mythe de Sisyphe

[RCV06]

le dopage est la tricherie en generale ont bien sur sans doute toujours existé

mais attention a ce que ce discours ne soit pas un debut d'acceptation de la chose

 

quoi qu'on fasse il y en aura toujours, malgré tout il faut tout faire pour l'éradiquer même si c'est le mythe de Sisyphe

Ça doit quand même être très déprimant pour ceux qui luttent contre le dopage d'être toujours en retard d'un tour.

Un peu comme les flics avec les trafiquants !!

[Silhouette]

Lacourt qui s'est bien lache hier soir : http://rmcsport.bfmt...et-1024286.html

[bazooka]

Je dis bravo !

La dop existe aussi par les silences complaisants.

Camille met les pieds dans le plat mais se retrouve isolé très vite, il n'y a qu'à voir le bémol mis par son propre entraîneur...

[cetotomatos]

Lacourt est pavée de bonnes intentions. 

[Pave-man-t]

Il ne faut à Lacourt ni trop voir, ni trop dire !

 

Jean de la Fontaine était en fait un grand devin.

[marco43]

emission très instructive hier à c à vous sur France 5, je n'ais malheureusement pas pu tout suivre, mais les méthodes de dopage semblent multiples et celle qui consiste à stimuler le cerveau par le casque(apparemment légale) je ne connaissais pas