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Eric De Cromières


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#3031 Rugby ?

Rugby ?

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Posted 16 March 2020 - 18:45 PM

Le scénario 1 est le plus équitable sportivement / classement.

Mais effectivement, est il possible de faire jouer des gars tous les 4/5 jours ? Sachant qu'en plus ce sont des matchs couperets.

De toute façon, ces scénarios ne sont que de vagues suppositions. On ne sait absolument pas combien de temps va durer le confinement.

Les calculs se basent sur la Chine: 40 jours, de strict confinement.

Mais en réalité en Chine, il va y avoir un long retour à la normale. Pas certain que du jour au lendemain, tout redevienne comme avant.



#3032 Frédéric58

Frédéric58

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Posted 16 March 2020 - 19:17 PM

Mon fiston est" acteur.." .confirmation de 45 jours de confinement dans un lieu à définir avec 48 h de délais ;  et puis couvre feu à 18 h (mercredi probablement )….des engins halfs tracks de l 'armée montent sur Paris ...j 'ai reçu des photos prés de Rosny sous bois ...Créteil...pour contrôler l 'application des directives mises en place...attendons l 'allocution du Président Manu ce soir à 20 h pour plus de détails...

 

On y est , on met le paquet et maintenant l'opinion est prête à en accepter les inconvénients ce qui n 'aurait pas été le cas pour tous il y a une semaine...hélas ! ! ! ! ! 

 

Allez malgré les sacrifices consentis il faut se sortir tous ensemble de cette merde !

Y a pas un organe de presse qui ne relaie cette info... Avant de balancer ça, faudrait pas un peu attendre de savoir ce que Manu va dire? Ça sert à quoi d'alimenter la psychose? Pourquoi 45 jours et pas 72 ou 90? Des info qui viennent de la cousine de l'attaché parlementaire d'un député ou je sais pas quoi, est ce que c'est fiable? Y a quelque chose qui l'annonce sur un site officiel?

On peut pas se contenter de parler de rugby sur le forum et laisser le reste aux réseaux sociaux?


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#3033 el landeno

el landeno

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Posted 16 March 2020 - 20:59 PM

l'hypothese des épidémiologistes est qu'en l'absence de confinement 30 millions de personnes seront atteintes en France avec un pic dans 50 jours

 

seule une mobilisation massive  avec au moins 50% de la population en confinement strict permettra de réduire le pic de l'épidémie

 

message reçu Dimanche par un expert international dans le cadre de mon métier. le message etant off, je ne peux citer la source

tu en fais ce que tu veux mon pote

 

a bon entendeur ...


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#3034 Frédéric58

Frédéric58

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Posted 16 March 2020 - 21:39 PM

https://factuel.afp....r-base-dorigine

Pour ceux qui savent tout mieux que les autres.

Maintenant, est il possible de laisser ce pauvre De Cromières tranquille?



#3035 dj0e

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Posted 16 March 2020 - 22:16 PM

Perso , au delà  des déclarations médiatiques , je pense qu'il sait très bien ce qu'il dit ou fait...De Cro , je crois que c'est quand même une pointure du groupe et tout sauf un "canard " de l 'année....!

Il défend son bout de gras avec raison.
Lui, son boulot c'est de défendre le club ASM. Il défend la santé des joueurs, pas leurs revenus. Et il le fait bien.

Pour le moment ces gesticulations publiques de présidents tous sports confondus ne sont que de la com' visant à essayer de protéger au mieux la santé financière de chacune de leurs entreprises. Le reste, les vraies postures, ça se tient à huis-clos (sans mauvais jeu de mot).

On n'en saura pas plus tant que le temps n'aura pas coulé.
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#3036 el landeno

el landeno

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Posted 17 March 2020 - 08:22 AM

l'hypothese des épidémiologistes est qu'en l'absence de confinement 30 millions de personnes seront atteintes en France avec un pic dans 50 jours

 

seule une mobilisation massive  avec au moins 50% de la population en confinement strict permettra de réduire le pic de l'épidémie

 

message reçu Dimanche par un expert international dans le cadre de mon métier. le message etant off, je ne peux citer la source

tu en fais ce que tu veux mon pote

 

a bon entendeur ...

et pour completer cet article du monde du 15/03 qui recoupe ce que j'ai reçu :

 

Le Covid-19 sera-t-il au XXIe siècle ce que la grippe espagnole a été au XXe siècle ? C’est en tout cas le scénario le plus alarmiste sur lequel a travaillé le conseil scientifique, ce groupe de dix experts mis en place mercredi 11 mars à la demande du président de la République Emmanuel Macron « pour éclairer la décision publique ».

Selon ces modélisations confidentielles, dont Le Monde a eu connaissance, l’épidémie de Covid-19 pourrait provoquer en France, en l’absence de toute mesure de prévention ou d’endiguement, de 300 000 à 500 000 morts.Précision extrêmement importante : ce scénario a été calculé en retenant les hypothèses de transmissibilité et de mortalité probables les plus élevées, et ce en l’absence des mesures radicales de prévention et d’éloignement social qui viennent d’être prises. Dans ce cas de figure, entre 30 000 et 100 000 lits de soins intensifs seraient nécessaires pour accueillir les patients au pic de l’épidémie.

Suivez notre direct : Municipales et coronavirus : « Il n’y a aucune précaution mise en place, je regrette amèrement d’être allé voter »

Cette modélisation a été réalisée par l’épidémiologiste Neil Ferguson, de l’Imperial College à Londres. Son équipe a été sollicitée par plusieurs gouvernements européens pour établir différents scénarios de progression de l’épidémie. Elle s’appuie sur l’analyse de différentes pandémies grippales et l’évaluation de différentes interventions possibles pour endiguer la propagation d’un virus, comme la fermeture des écoles, la mise en quarantaine des personnes infectées, ou encore la fermeture des frontières.

Les résultats pour la France ont été présentés jeudi 12 mars à l’Elysée. Quelques heures avant que le président ne prenne solennellement la parole devant les Français pour expliquer « l’urgence » de la situation.

Il existe des incertitudes quant aux hypothèses retenues et au comportement du virus – pourcentage d’asymptomatiques, transmissibilité, impact des mesures de quarantaine – mais, « même en divisant par deux, trois ou quatre, c’est une situation très sérieuse », insiste Simon Cauchemez, l’épidémiologiste de l’Institut Pasteur qui a présenté ces modélisations. « S’il y a une situation où je serais heureux que les modèles se trompent, c’est celle-là », ajoute le scientifique, en insistant sur le fait que les observations de terrain coïncident avec les prédictions du modèle et ont tout autant concouru au processus de décision.

Doublement des cas toutes les 72 heures

Invité à réagir à ces chiffres, l’Elysée confirme que différentes modélisations ont été présentées jeudi matin puis jeudi après-midi à Emmanuel Macron par le conseil scientifique, mais qu’il n’existe pas de consensus parmi les scientifiques qui le composent.

« Il y a eu plusieurs documents de travail qui ont été présentés, pas de document de synthèse, explique un conseiller du chef de l’Etat. On ne peut donc pas considérer qu’une étude fournie par l’un de ses membres reflète l’avis du conseil scientifique dans son ensemble. »

C’est sur la base de ces échanges que le chef de l’Etat a décidé de fermer les établissements scolaires. « Mais si l’un des scientifiques avait mis son veto à l’une des mesures envisagées, cela aurait été pris en compte. Cela n’a pas été le cas », explique-t-on à l’Elysée.

Ce conseil scientifique a été de nouveau consulté samedi matin par le premier ministre, Edouard Philippe, et le ministre de la santé, Olivier Véran. C’est à la suite de ces échanges, et devant l’accroissement du nombre de cas de Covid-19, que l’exécutif a décidé d’étendre les fermetures à tous les commerces non alimentaires hors pharmacies.

« Mais les chiffres évoqués [de 300 000 à 500 000 morts en cas d’absence de mesures d’endiguement] sont infiniment supérieurs à ceux communiqués par le ministère de la santé, ils apparaissent disproportionnés », affirme l’Elysée.

Synthèse des travaux du conseil scientifique

Selon nos informations, le gouvernement devrait présenter au plus tard lundi une première synthèse des travaux du conseil scientifique, tels qu’ils ont été exposés samedi au premier ministre. « Nous avons demandé au conseil de nous rendre un document dimanche soir et nous le communiquerons lundi au grand public », explique-t-on au cabinet d’Olivier Véran. « Il y aura désormais un document publié après chaque réunion, reprenant les conclusions des membres du conseil scientifique », ajoute-t-on à l’Elysée. Une décision prise pour éviter les procès en dissimulation, qui fleurissent sur les réseaux sociaux.

Ces estimations ont permis de réaliser que les premières dispositions prises par les autorités françaises pour tenter de freiner la vague épidémique – notamment les limitations des rassemblements et l’isolement des personnes âgées – s’étaient avérées insuffisantes.

Le nombre de cas de Covid-19 double maintenant toutes les 72 heures et 300 personnes sont déjà hospitalisées en réanimation. Dans les régions où le virus est le plus présent, les services de réanimation font depuis quelques jours face à un afflux de patients graves, et redoutent de ne plus pouvoir tenir si le rythme de l’épidémie ne ralentit pas. Mardi 10 mars, le directeur général de la santé, Jérôme Salomon, a annoncé que 5 000 lits de réanimation étaient disponibles en France et 7 364 lits dans les unités soins intensifs. Mais ces capacités risquent d’être vite débordées.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi Covid-19 : « Les hôpitaux de l’AP-HP n’ont jamais été confrontés à un phénomène d’une telle ampleur », selon Martin Hirsch

Dans l’urgence, des mesures de confinement exceptionnelles ont été annoncées par le chef de l’Etat et le premier ministre, dans deux allocutions prononcées à seulement 48 heures d’intervalle. Vendredi soir, la totalité des écoles françaises ont fermé leurs portes, et depuis samedi minuit tous les commerces, cafés, restaurants et cinémas ont aussi tiré le rideau.

Avec le passage officiel au « stade 3 » de l’épidémie et ces dispositions exceptionnelles, valables « jusqu’à nouvel ordre », le gouvernement espère enrayer la propagation du virus et « sauver des vies quoi qu’il en coûte », a assuré Emmanuel Macron dans son adresse aux Français le 12 mars.

Le premier tour des élections municipales n’a, en revanche, pas été reporté, et les bureaux de vote ont ouvert comme prévu dimanche, malgré les mises en garde de certains experts.

« Ethique personnelle »

L’impact de ces mesures exceptionnelles est difficile à chiffrer. « Les modèles suggèrent que cela peut être suffisant pour endiguer la première vague de l’épidémie, mais cela dépend beaucoup du comportement des gens et de la façon dont ils vont appliquer ces consignes », souligne Simon Cauchemez, en rappelant que, « dans un Etat qui n’est pas totalitaire, il s’agit d’une question d’éthique personnelle ». « Cela peut faire mentir le modèle dans un sens ou dans l’autre », a-t-il insisté, appelant chacun à participer à cet « énorme effort ».

Cette dimension était au cœur du discours du premier ministre, Edouard Philippe, samedi soir : « Je le dis avec gravité, nous devons, tous ensemble, montrer plus de discipline dans l’application des mesures », a martelé le chef du gouvernement.

« Tous ceux qui combattent la maladie supplient l’ensemble des Français d’appliquer les mesures annoncées » Martin Hirsch, le directeur général de l’AP-HP

Dans tous les cas, l’effet de ces nouvelles mesures dites de « distanciation sociale » ne se fera pas sentir avant plusieurs semaines. « Compte tenu du délai d’incubation cinq jours en moyenne et de l’évolution de la maladie sur plusieurs jours, il faut s’attendre à une augmentation du nombre de cas graves au cours des deux-trois prochaines semaines », explique Simon Cauchemez.

Lors d’une réunion de crise samedi soir, le modélisateur a présenté ce scénario à la direction de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP). De nombreux établissements parisiens sont déjà à saturation, et des mesures d’urgence ont été prises en fin de semaine pour libérer de nouveaux lits, notamment en réanimation.

« Tous ceux qui combattent la maladie soutiennent à 100 % les mesures qui ont été annoncées et supplient l’ensemble des Français de les appliquer intégralement pour éviter que les contacts se multiplient », a déclaré Martin Hirsch, le directeur général de l’AP-HP, lors d’une intervention au journal télévisé de France 2 samedi.

Toute la difficulté consiste à calibrer la réponse, alors que les contours de l’épidémie sont encore mal définis. « C’est une situation nouvelle pour tout le monde. On n’a pas vu ce genre de choses depuis au moins une génération », souligne Simon Cauchemez. « Il faut qu’on s’y habitue tous : ce qui est vrai un jour ne le sera pas forcément le lendemain ou le surlendemain et il faut qu’on vive comme cela plusieurs mois », juge Xavier Lescure, infectiologue à l’hôpital Bichat et membre du conseil scientifique.

Lire aussi : Coronavirus : le Grand Est, « région pilote » de l’épidémie

Dans les hôpitaux, la tension est palpable. « Nous avons déjà 61 patients Covid hospitalisés, dont vingt en réanimation. Tous les lits sont occupés », constate M. Lescure. Lundi, il ouvrira la dernière aile de son service, soit dix-huit lits, pour accueillir les nouveaux malades. « Le facteur limitant, ce ne sont pas les lits, mais le personnel soignant. Nous ne comptons pas les heures, mais nous manquons de médecins, d’infirmières et d’infirmiers », s’inquiète l’infectiologue.

Dans ce contexte tendu, il regrette que de précieuses ressources soient encore consacrées à identifier des patients zéro et des chaînes de transmission, alors que le virus circule maintenant partout. « Dans certaines zones, cela n’a plus aucun sens. On va épuiser tout le monde à faire cela », s’alarme-t-il. « Les Anglais sont beaucoup plus pragmatiques : ils ont compris que cette première bataille était perdue et qu’on allait se faire passer dessus. »

 

D’autres médecins sont encore plus sévères. « La parole politique n’a pas été à la hauteur, juge Djillali Annane, chef du service de réanimation de l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches (Hauts-de-Seine). Ce n’est donc pas surprenant qu’il n’y ait pas eu une très forte adhésion des Français aux mesures prises. Ils n’ont pas saisi l’urgence. Ils continuaient de se faire la bise dans la rue. Cela relevait de l’inconscience ! »

« La parole politique n’a pas été à la hauteur » Djillali Annane, chef du service de réanimation de l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches

Dans son établissement, le nombre de patients Covid augmente de 20 % à 30 % par jour, et rien que dans la journée de samedi quatre nouveaux cas ont été hospitalisés en réanimation. « Nous sommes armés pour affronter la vague dans les deux-trois jours qui viennent. L’enjeu est de tenir dans la durée », insiste-t-il.

D’autant que les mesures prises par le gouvernement ne régleront sans doute pas la totalité du problème. « Avec des mesures fortes comme celles qui ont été prises samedi et une très forte implication de la population, on peut potentiellement éteindre la première vague », explique Simon Cauchemez. « Mais dans la mesure où il n’y aura pas suffisamment d’immunité, qui ne peut être conférée que par la vaccination ou par une infection naturelle, il peut y avoir une seconde vague, et la question des mesures à prendre se reposera, poursuit-il. C’est toute la difficulté de cette stratégie, qui n’avait jusqu’à présent jamais été envisagée pour un virus circulant de façon globalisée, en raison de son coût économique et social. »

 

 
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#3037 Eria

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Posted 17 March 2020 - 12:19 PM

Enfin, il faut être réaliste, dans une situation d'une telle ampleur, le championnat est terminé, c'est une évidence. Rechercher des solutions pour limiter la casse financière est tout à l'honneur des dirigeants, mais imaginer une reprise même minime, c'est tout bonnement de l'utopie pure...Le confinement est une perspective presque certaine. .Alors, le championnat est terminé.;;;;  

et la bonne nouvelle pour Parigot le SF est sauvé,on comptabilisera plus rien ,le calendrier est gelé jusqu’à la reprise et voila tout! pas de champion ,pas de relégués...


il faut décontaminer le forum qui part en couille,merci de ne pas ramener les fake news des bestiaux sociaux et alimenter la peur,ici le sujet c'est Decromiere et le rugby merci...



#3038 pims

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Posted 17 March 2020 - 12:24 PM

 

et pour completer cet article du monde du 15/03 qui recoupe ce que j'ai reçu :

 

Le Covid-19 sera-t-il au XXIe siècle ce que la grippe espagnole a été au XXe siècle ? C’est en tout cas le scénario le plus alarmiste sur lequel a travaillé le conseil scientifique, ce groupe de dix experts mis en place mercredi 11 mars à la demande du président de la République Emmanuel Macron « pour éclairer la décision publique ».

Selon ces modélisations confidentielles, dont Le Monde a eu connaissance, l’épidémie de Covid-19 pourrait provoquer en France, en l’absence de toute mesure de prévention ou d’endiguement, de 300 000 à 500 000 morts.Précision extrêmement importante : ce scénario a été calculé en retenant les hypothèses de transmissibilité et de mortalité probables les plus élevées, et ce en l’absence des mesures radicales de prévention et d’éloignement social qui viennent d’être prises. Dans ce cas de figure, entre 30 000 et 100 000 lits de soins intensifs seraient nécessaires pour accueillir les patients au pic de l’épidémie.

Suivez notre direct : Municipales et coronavirus : « Il n’y a aucune précaution mise en place, je regrette amèrement d’être allé voter »

Cette modélisation a été réalisée par l’épidémiologiste Neil Ferguson, de l’Imperial College à Londres. Son équipe a été sollicitée par plusieurs gouvernements européens pour établir différents scénarios de progression de l’épidémie. Elle s’appuie sur l’analyse de différentes pandémies grippales et l’évaluation de différentes interventions possibles pour endiguer la propagation d’un virus, comme la fermeture des écoles, la mise en quarantaine des personnes infectées, ou encore la fermeture des frontières.

Les résultats pour la France ont été présentés jeudi 12 mars à l’Elysée. Quelques heures avant que le président ne prenne solennellement la parole devant les Français pour expliquer « l’urgence » de la situation.

Il existe des incertitudes quant aux hypothèses retenues et au comportement du virus – pourcentage d’asymptomatiques, transmissibilité, impact des mesures de quarantaine – mais, « même en divisant par deux, trois ou quatre, c’est une situation très sérieuse », insiste Simon Cauchemez, l’épidémiologiste de l’Institut Pasteur qui a présenté ces modélisations. « S’il y a une situation où je serais heureux que les modèles se trompent, c’est celle-là », ajoute le scientifique, en insistant sur le fait que les observations de terrain coïncident avec les prédictions du modèle et ont tout autant concouru au processus de décision.

Doublement des cas toutes les 72 heures

Invité à réagir à ces chiffres, l’Elysée confirme que différentes modélisations ont été présentées jeudi matin puis jeudi après-midi à Emmanuel Macron par le conseil scientifique, mais qu’il n’existe pas de consensus parmi les scientifiques qui le composent.

« Il y a eu plusieurs documents de travail qui ont été présentés, pas de document de synthèse, explique un conseiller du chef de l’Etat. On ne peut donc pas considérer qu’une étude fournie par l’un de ses membres reflète l’avis du conseil scientifique dans son ensemble. »

C’est sur la base de ces échanges que le chef de l’Etat a décidé de fermer les établissements scolaires. « Mais si l’un des scientifiques avait mis son veto à l’une des mesures envisagées, cela aurait été pris en compte. Cela n’a pas été le cas », explique-t-on à l’Elysée.

Ce conseil scientifique a été de nouveau consulté samedi matin par le premier ministre, Edouard Philippe, et le ministre de la santé, Olivier Véran. C’est à la suite de ces échanges, et devant l’accroissement du nombre de cas de Covid-19, que l’exécutif a décidé d’étendre les fermetures à tous les commerces non alimentaires hors pharmacies.

« Mais les chiffres évoqués [de 300 000 à 500 000 morts en cas d’absence de mesures d’endiguement] sont infiniment supérieurs à ceux communiqués par le ministère de la santé, ils apparaissent disproportionnés », affirme l’Elysée.

Synthèse des travaux du conseil scientifique

Selon nos informations, le gouvernement devrait présenter au plus tard lundi une première synthèse des travaux du conseil scientifique, tels qu’ils ont été exposés samedi au premier ministre. « Nous avons demandé au conseil de nous rendre un document dimanche soir et nous le communiquerons lundi au grand public », explique-t-on au cabinet d’Olivier Véran. « Il y aura désormais un document publié après chaque réunion, reprenant les conclusions des membres du conseil scientifique », ajoute-t-on à l’Elysée. Une décision prise pour éviter les procès en dissimulation, qui fleurissent sur les réseaux sociaux.

Ces estimations ont permis de réaliser que les premières dispositions prises par les autorités françaises pour tenter de freiner la vague épidémique – notamment les limitations des rassemblements et l’isolement des personnes âgées – s’étaient avérées insuffisantes.

Le nombre de cas de Covid-19 double maintenant toutes les 72 heures et 300 personnes sont déjà hospitalisées en réanimation. Dans les régions où le virus est le plus présent, les services de réanimation font depuis quelques jours face à un afflux de patients graves, et redoutent de ne plus pouvoir tenir si le rythme de l’épidémie ne ralentit pas. Mardi 10 mars, le directeur général de la santé, Jérôme Salomon, a annoncé que 5 000 lits de réanimation étaient disponibles en France et 7 364 lits dans les unités soins intensifs. Mais ces capacités risquent d’être vite débordées.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi Covid-19 : « Les hôpitaux de l’AP-HP n’ont jamais été confrontés à un phénomène d’une telle ampleur », selon Martin Hirsch

Dans l’urgence, des mesures de confinement exceptionnelles ont été annoncées par le chef de l’Etat et le premier ministre, dans deux allocutions prononcées à seulement 48 heures d’intervalle. Vendredi soir, la totalité des écoles françaises ont fermé leurs portes, et depuis samedi minuit tous les commerces, cafés, restaurants et cinémas ont aussi tiré le rideau.

Avec le passage officiel au « stade 3 » de l’épidémie et ces dispositions exceptionnelles, valables « jusqu’à nouvel ordre », le gouvernement espère enrayer la propagation du virus et « sauver des vies quoi qu’il en coûte », a assuré Emmanuel Macron dans son adresse aux Français le 12 mars.

Le premier tour des élections municipales n’a, en revanche, pas été reporté, et les bureaux de vote ont ouvert comme prévu dimanche, malgré les mises en garde de certains experts.

« Ethique personnelle »

L’impact de ces mesures exceptionnelles est difficile à chiffrer. « Les modèles suggèrent que cela peut être suffisant pour endiguer la première vague de l’épidémie, mais cela dépend beaucoup du comportement des gens et de la façon dont ils vont appliquer ces consignes », souligne Simon Cauchemez, en rappelant que, « dans un Etat qui n’est pas totalitaire, il s’agit d’une question d’éthique personnelle ». « Cela peut faire mentir le modèle dans un sens ou dans l’autre », a-t-il insisté, appelant chacun à participer à cet « énorme effort ».

Cette dimension était au cœur du discours du premier ministre, Edouard Philippe, samedi soir : « Je le dis avec gravité, nous devons, tous ensemble, montrer plus de discipline dans l’application des mesures », a martelé le chef du gouvernement.

« Tous ceux qui combattent la maladie supplient l’ensemble des Français d’appliquer les mesures annoncées » Martin Hirsch, le directeur général de l’AP-HP

Dans tous les cas, l’effet de ces nouvelles mesures dites de « distanciation sociale » ne se fera pas sentir avant plusieurs semaines. « Compte tenu du délai d’incubation cinq jours en moyenne et de l’évolution de la maladie sur plusieurs jours, il faut s’attendre à une augmentation du nombre de cas graves au cours des deux-trois prochaines semaines », explique Simon Cauchemez.

Lors d’une réunion de crise samedi soir, le modélisateur a présenté ce scénario à la direction de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP). De nombreux établissements parisiens sont déjà à saturation, et des mesures d’urgence ont été prises en fin de semaine pour libérer de nouveaux lits, notamment en réanimation.

« Tous ceux qui combattent la maladie soutiennent à 100 % les mesures qui ont été annoncées et supplient l’ensemble des Français de les appliquer intégralement pour éviter que les contacts se multiplient », a déclaré Martin Hirsch, le directeur général de l’AP-HP, lors d’une intervention au journal télévisé de France 2 samedi.

Toute la difficulté consiste à calibrer la réponse, alors que les contours de l’épidémie sont encore mal définis. « C’est une situation nouvelle pour tout le monde. On n’a pas vu ce genre de choses depuis au moins une génération », souligne Simon Cauchemez. « Il faut qu’on s’y habitue tous : ce qui est vrai un jour ne le sera pas forcément le lendemain ou le surlendemain et il faut qu’on vive comme cela plusieurs mois », juge Xavier Lescure, infectiologue à l’hôpital Bichat et membre du conseil scientifique.

Lire aussi : Coronavirus : le Grand Est, « région pilote » de l’épidémie

Dans les hôpitaux, la tension est palpable. « Nous avons déjà 61 patients Covid hospitalisés, dont vingt en réanimation. Tous les lits sont occupés », constate M. Lescure. Lundi, il ouvrira la dernière aile de son service, soit dix-huit lits, pour accueillir les nouveaux malades. « Le facteur limitant, ce ne sont pas les lits, mais le personnel soignant. Nous ne comptons pas les heures, mais nous manquons de médecins, d’infirmières et d’infirmiers », s’inquiète l’infectiologue.

Dans ce contexte tendu, il regrette que de précieuses ressources soient encore consacrées à identifier des patients zéro et des chaînes de transmission, alors que le virus circule maintenant partout. « Dans certaines zones, cela n’a plus aucun sens. On va épuiser tout le monde à faire cela », s’alarme-t-il. « Les Anglais sont beaucoup plus pragmatiques : ils ont compris que cette première bataille était perdue et qu’on allait se faire passer dessus. »

 

D’autres médecins sont encore plus sévères. « La parole politique n’a pas été à la hauteur, juge Djillali Annane, chef du service de réanimation de l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches (Hauts-de-Seine). Ce n’est donc pas surprenant qu’il n’y ait pas eu une très forte adhésion des Français aux mesures prises. Ils n’ont pas saisi l’urgence. Ils continuaient de se faire la bise dans la rue. Cela relevait de l’inconscience ! »

« La parole politique n’a pas été à la hauteur » Djillali Annane, chef du service de réanimation de l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches

Dans son établissement, le nombre de patients Covid augmente de 20 % à 30 % par jour, et rien que dans la journée de samedi quatre nouveaux cas ont été hospitalisés en réanimation. « Nous sommes armés pour affronter la vague dans les deux-trois jours qui viennent. L’enjeu est de tenir dans la durée », insiste-t-il.

D’autant que les mesures prises par le gouvernement ne régleront sans doute pas la totalité du problème. « Avec des mesures fortes comme celles qui ont été prises samedi et une très forte implication de la population, on peut potentiellement éteindre la première vague », explique Simon Cauchemez. « Mais dans la mesure où il n’y aura pas suffisamment d’immunité, qui ne peut être conférée que par la vaccination ou par une infection naturelle, il peut y avoir une seconde vague, et la question des mesures à prendre se reposera, poursuit-il. C’est toute la difficulté de cette stratégie, qui n’avait jusqu’à présent jamais été envisagée pour un virus circulant de façon globalisée, en raison de son coût économique et social. »

 

 

 

voilà c'est réglé



#3039 jm12

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Posted 17 March 2020 - 13:15 PM

Y a pas un organe de presse qui ne relaie cette info... Avant de balancer ça, faudrait pas un peu attendre de savoir ce que Manu va dire? Ça sert à quoi d'alimenter la psychose? Pourquoi 45 jours et pas 72 ou 90? Des info qui viennent de la cousine de l'attaché parlementaire d'un député ou je sais pas quoi, est ce que c'est fiable? Y a quelque chose qui l'annonce sur un site officiel?

On peut pas se contenter de parler de rugby sur le forum et laisser le reste aux réseaux sociaux?

Je comprends ton agacement...je maintiens l 'info peu importe de 45 jours évidemment non médiatisée ...mais peu importe , ça navigue à vue mais le gouvernement habitue le public en partie dur à gérer par quinzaine !

 

Je ne vais pas chercher à justifier quoique ce soit  , encore moins à me faire "mousser " c 'est pas le genre de la casa et encore moins celui des réseaux sociaux...on sera pour le voir en rêvant que ce que j 'ai divulgué n 'aie aucun intérêt...on oublie et on reparle effectivement rugby; pas de problème dont acte !



#3040 pims

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Posted 17 March 2020 - 13:58 PM

Je comprends ton agacement...je maintiens l 'info peu importe de 45 jours évidemment non médiatisée ...mais peu importe , ça navigue à vue mais le gouvernement habitue le public en partie dur à gérer par quinzaine !

 

Je ne vais pas chercher à justifier quoique ce soit  , encore moins à me faire "mousser " c 'est pas le genre de la casa et encore moins celui des réseaux sociaux...on sera pour le voir en rêvant que ce que j 'ai divulgué n 'aie aucun intérêt...on oublie et on reparle effectivement rugby; pas de problème dont acte !

Effectivement c'est pratique quand on balance au hasard



#3041 exilé-sud-ouest

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Posted 17 March 2020 - 14:32 PM

Je comprends ton agacement...je maintiens l 'info peu importe de 45 jours évidemment non médiatisée ...mais peu importe , ça navigue à vue mais le gouvernement habitue le public en partie dur à gérer par quinzaine !

 

Je ne vais pas chercher à justifier quoique ce soit  , encore moins à me faire "mousser " c 'est pas le genre de la casa et encore moins celui des réseaux sociaux...on sera pour le voir en rêvant que ce que j 'ai divulgué n 'aie aucun intérêt...on oublie et on reparle effectivement rugby; pas de problème dont acte !

les exemples chinois et italien donnent une (vague) idée du futur calendrier... il semble presque acquis que les mesures de confinement vont s'étendre jusqu'à la fin des vacances de la dernière zone scolaire soit fin avril-début mai...


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#3042 JB 03

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Posted 17 March 2020 - 15:20 PM

les exemples chinois et italien donnent une (vague) idée du futur calendrier... il semble presque acquis que les mesures de confinement vont s'étendre jusqu'à la fin des vacances de la dernière zone scolaire soit fin avril-début mai...

C'est effectivement très probable qu'on soit partis pour près de deux mois de confinement. Emotionnellement ça va être dur et j'avoue que dans le contexte présent, je me fous assez royalement du rugby. :unsure:



#3043 jm12

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Posted 17 March 2020 - 16:21 PM

Effectivement c'est pratique quand on balance au hasard

Rien au hasard encore moins balancé...mais ton droit , c'est de commenter , voir de le penser...mais au final quel intérêt ? 

 

J' ai répondu : dont acte ! L 'essentiel c 'est que nous sortions collectivement de cette merde le plus vite possible...alors 15j...45 j peu importe !

 

Prends soins de toi et de tes proches de tout cœur .


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#3044 jules71

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Posted 20 March 2020 - 10:22 AM

Y a pas un organe de presse qui ne relaie cette info... Avant de balancer ça, faudrait pas un peu attendre de savoir ce que Manu va dire? Ça sert à quoi d'alimenter la psychose? Pourquoi 45 jours et pas 72 ou 90? Des info qui viennent de la cousine de l'attaché parlementaire d'un député ou je sais pas quoi, est ce que c'est fiable? Y a quelque chose qui l'annonce sur un site officiel?

On peut pas se contenter de parler de rugby sur le forum et laisser le reste aux réseaux sociaux?

Manu, il annonce les choses au fur et à mesure. Mais épidémiologiquement parlant c'est au moins 45j de confinement pour une efficacité. Et le lendemain de cela, on ne va pas permettre aux gens de se réunir de nouveau à 18000 dans un stade pour ne pas que cela recommence...

Après si tu veux des études et des explications, en Corée du sud où ils ont fait beaucoup de test , ils ont pu en sortir des stats importantes: 30% des porteurs du virus ont entre 20 et 29 ans et c'est ceux qui ont la vie sociale la plus active ( études, bars, sorties, sport collectifs...) .

Comprenez bien que dans des hôpitaux de l'est, on en est à ne plus réanimer les plus de 60 ans les gars, 60ans!! ( mes sources c'est des médecins sur le terrain là-bas...) alors comprenez bien que prendre le moindre risque pour finir un championnat de rugby ou de tout autre sport, ça ne devrait même pas traverser les esprits...

Les clubs comme des milliers d'entreprises vont être en difficultés financières et on leur donnera des solutions pour qu'ils s'en sortent. Si cette saison est blanche, elle est blanche et basta.


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#3045 Frédéric58

Frédéric58

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Posted 20 March 2020 - 11:07 AM

Manu, il annonce les choses au fur et à mesure. Mais épidémiologiquement parlant c'est au moins 45j de confinement pour une efficacité. Et le lendemain de cela, on ne va pas permettre aux gens de se réunir de nouveau à 18000 dans un stade pour ne pas que cela recommence...

Après si tu veux des études et des explications, en Corée du sud où ils ont fait beaucoup de test , ils ont pu en sortir des stats importantes: 30% des porteurs du virus ont entre 20 et 29 ans et c'est ceux qui ont la vie sociale la plus active ( études, bars, sorties, sport collectifs...) .

Comprenez bien que dans des hôpitaux de l'est, on en est à ne plus réanimer les plus de 60 ans les gars, 60ans!! ( mes sources c'est des médecins sur le terrain là-bas...) alors comprenez bien que prendre le moindre risque pour finir un championnat de rugby ou de tout autre sport, ça ne devrait même pas traverser les esprits...

Les clubs comme des milliers d'entreprises vont être en difficultés financières et on leur donnera des solutions pour qu'ils s'en sortent. Si cette saison est blanche, elle est blanche et basta.

Rien à voir avec ce que je disais le 16 mars. A ce moment là, relayer des saucisses des réseaux sociaux était stupide et ça le reste. Et pour ceux qui veulent parler du coronavirus, y a un topic dédié.

Quant au fait que le rugby soit annexe dans pareille circonstance, je te rejoins.


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