Ce qui a été bien avec Cotter, c'est l'effet de surprise. Son style commando et discipline de fer au tout début a révolutionné le club.
Ne pas oubliez que dès le début il n'a que très peu fait tourner.
Par la suite, l'effet "soufflante de Cotter" a tout doucement disparu. De ce fait, privé de son arme fétiche, l'effet Cotter s'est estompé au fil du temps, pour en arriver au crash de cette saison.
Mais la disparition de son "effet soufflante" date du 12-11 perdu à MDM, ou il avoue lui même ce jour là avoir décidé ensuite de laisser les joueurs se gérer un peu plus eux mêmes, dixit "être indépendants mais interdépendants".
Donc ca a débouché sur des résultats positifs, un titre.
Faut être honnête, le second cycle de Cotter, avec objectifs sur les deux tableaux, est un échec, mais un échec de combien? 5 cm de bras à Bordeaux pour Wesley, une relance à la con à Dublin.
Après, l'année de trop oui, on sait tous.