941 réponses à ce sujet

[xdderf63]

Toi t'es un sacré pêcheur, chaque fois que tu lance, t'as une touche 

Je revenais de la pêche et j'étais devant ma télé
Je n'en croyais pas mes yeux...
Le gros Whetton...
Une équipe ultra dominée
30 ans plus tard je n'en reviens toujours pas...
J'ai l'impression que c'était il y a moins de 10 ans, ce vol...

[el landeno]

Sam Whitelock, un géant dans les Pyrénées La Section Paloise a réussi un gros coup en attirant le deuxième-ligne néo-zélandais Sam Whitelock après la Coupe du monde (8 septembre - 28 octobre). Voici cinq choses à savoir sur l'un des plus grands joueurs de l'ère moderne.

Futur recordman en noir

Du haut de ses 143 sélections avec les All Blacks, Sam Whitelock, qui a débuté sa carrière internationale en 2010, n'a pas n'importe quelle stature dans le monde du rugby. Avec la Coupe du monde qui approche, il devrait même devenir le All Black le plus capé de l'histoire et dépasser le légendaire Richie McCaw (148 sélections).

 

 

lire aussiSam Whitelock signe à Pau

En revanche, le deuxième-ligne de 34 ans ne pourra pas dépasser le néo-retraité gallois Alun-Wyn Jones, recordman absolu avec 158 capes (170 en comptant ses test-matches avec les Lions britanniques et irlandais). Même s'il dispute tous les matches de la Nouvelle-Zélande jusqu'à une potentielle finale mondiale le 28 octobre, Whitelock sera trop court, pour une fois.

 

Sam Whitelock (à gauche) et Richie McCaw, ici lors de la Coupe du monde 2015, sont les deux joueurs les plus capés du rugby néo-zélandais. (P. Lahalle/L'Équipe)

Capitaine épisodique

Après les mandats de Richie McCaw puis de Kieran Read, Sam Whitelock était le favori légitime pour prendre le capitanat des All Blacks après la Coupe du monde 2019, d'autant qu'il avait déjà occupé la fonction à partir de 2017. Mais le sélectionneur Ian Foster a préféré installer le flanker Sam Cane à la pointe du haka néo-zélandais.

 

 

« J'aurais adoré avoir cette opportunité d'être capitaine, expliquait Whitelock en mai 2020. Mais en même temps, je sais ce que tout cela implique et je pense qu'il ne faut pas forcément avoir le brassard de capitaine pour aider les autres et faire une différence. Sam (Cane) va avoir besoin de toute l'aide et tout le soutien possible chez les All Blacks et il pourra évidemment compter sur moi. » Depuis, Whitelock a eu l'occasion de reprendre le brassard, comme face aux Bleus lors de la tournée d'automne en 2021 (40-25).

Ferme familiale

Avec ses 2,05m, ses 115 kg, sa grosse barbe et son regard sombre, Whitelock a le profil du terrien taiseux, du genre à jouer dans un western de Sergio Leone. Un peu cliché ? Peut-être, mais le deuxième-ligne des Crusaders part tout de même régulièrement se ressourcer à la ferme familiale que tiennent ses parents, Braeden et Caroline, à Linton. Là-bas, les Whitelock élèvent 2 700 vaches laitières.

lire aussiBienvenue à la ferme de Sam Whitelock, capitaine des All Blacks

Mais la famille n'a pas seulement l'agriculture dans le sang. Avant Sam, le grand-père Nelson Delzell, ainsi que le grand-oncle Allan Elsom avaient joué pour les All Blacks. Et ses frères George et Luke ont aussi porté le maillot noir, alors qu'Adam, le deuxième de la fratrie, a joué avec la sélection à 7.

Un palmarès de mammouth

Il n'y a pas beaucoup de joueurs qui peuvent afficher un tel palmarès. Sam Whitelock fait partie de la génération des All Blacks qui a gagné deux Coupes du monde, en 2011 et 2015. Et s'il venait à gagner celle de cet automne, il deviendrait le premier joueur triplement sacré dans l'histoire de la compétition.

 

Sam Whitelock face aux Bleus de Thierry Dusautoir (numéro 6) à la Coupe du monde 2011. (B. Papon/L'Équipe)

Il a aussi remporté dix fois le Rugby Championship (2010, 2012, 2013, 2014, 2016, 2017, 2018, 2020, 2021, 2022) et cinq fois le Super Rugby avec les Crusaders (2017, 2018, 2019, 2020, 2022). Cette saison, la franchise de Christchurch fait de nouveau partie des favorites pour le titre. Après 13 journées, elle figure à la 2e place du classement, derrière les Chiefs.

Dans la lignée des All Blacks palois

En débarquant dans le Béarn après la Coupe du monde, Sam Whitelock va devenir le huitième All Black de l'histoire du club. Avant lui, l'ouvreur Colin Slade (2015-2020, 21 sélections entre 2010 et 2015), le centre Conrad Smith (2015-2018, 94 sél. entre 2004 et 2015), le trois-quarts polyvalent Tom Taylor (2016-2020, 3 sél. en 2013), l'arrière Ben Smith (2019-2020, 84 sél. entre 2009 et 2019) et son frère cadet, le troisième-ligne Luke Whitelock (depuis 2019, 7 sél. entre 2013 et 2018), ont joué avec les couleurs de la Section.

 

Les anciens All Blacks Simon Mannix (à gauche) et Carl Hayman ont été entraîneurs de la Section Paloise. (R. Perrocheau/L'Équipe)

Deux anciens internationaux néo-zélandais ont également officié à Pau, mais au sein du staff : l'ancien ouvreur Simon Mannix, comme manager (2014-2019, 1 sél. en 1994) et l'ancien pilier droit Carl Hayman, comme entraîneur des avants (2016-2018, 45 sél. entre 2001 et 2007).

[zeguest]

Je revenais de la pêche et j'étais devant ma télé
Je n'en croyais pas mes yeux...
Le gros Whetton...
Une équipe ultra dominée
30 ans plus tard je n'en reviens toujours pas...
J'ai l'impression que c'était il y a moins de 10 ans, ce vol...

Peux tu arrêter de parler de ce vol infâme? Tout le monde sait que c est le plus gros scandale sportif de l après guerre. Il semble que le CO n aura jamais la dignité de reconnaître ce premier vol qui en a amené d autres, plus sournois, mieux organisés. Alors ne remue pas le couteau dans la plaie. Parlons plutôt de la section qui a de belles valeurs, avec une grande histoire et représente le pays de terroirs plutôt que d un club qui abuse de ses appuis poltico financiers

[Alex chocolatines]

Peux tu arrêter de parler de ce vol infâme? Tout le monde sait que c est le plus gros scandale sportif de l après guerre. Il semble que le CO n aura jamais la dignité de reconnaître ce premier vol qui en a amené d autres, plus sournois, mieux organisés. Alors ne remue pas le couteau dans la plaie. Parlons plutôt de la section qui a de belles valeurs, avec une grande histoire et représente le pays de terroirs plutôt que d un club qui abuse de ses appuis poltico financiers

On parlait juste de pêche dans l'Agout 

[L'Eclair]

Sam Whitelock, un géant dans les Pyrénées La Section Paloise a réussi un gros coup en attirant le deuxième-ligne néo-zélandais Sam Whitelock après la Coupe du monde (8 septembre - 28 octobre). Voici cinq choses à savoir sur l'un des plus grands joueurs de l'ère moderne.

Futur recordman en noir

Du haut de ses 143 sélections avec les All Blacks, Sam Whitelock, qui a débuté sa carrière internationale en 2010, n'a pas n'importe quelle stature dans le monde du rugby. Avec la Coupe du monde qui approche, il devrait même devenir le All Black le plus capé de l'histoire et dépasser le légendaire Richie McCaw (148 sélections).

 

 

lire aussiSam Whitelock signe à Pau

En revanche, le deuxième-ligne de 34 ans ne pourra pas dépasser le néo-retraité gallois Alun-Wyn Jones, recordman absolu avec 158 capes (170 en comptant ses test-matches avec les Lions britanniques et irlandais). Même s'il dispute tous les matches de la Nouvelle-Zélande jusqu'à une potentielle finale mondiale le 28 octobre, Whitelock sera trop court, pour une fois.

 

Sam Whitelock (à gauche) et Richie McCaw, ici lors de la Coupe du monde 2015, sont les deux joueurs les plus capés du rugby néo-zélandais. (P. Lahalle/L'Équipe)

Capitaine épisodique

Après les mandats de Richie McCaw puis de Kieran Read, Sam Whitelock était le favori légitime pour prendre le capitanat des All Blacks après la Coupe du monde 2019, d'autant qu'il avait déjà occupé la fonction à partir de 2017. Mais le sélectionneur Ian Foster a préféré installer le flanker Sam Cane à la pointe du haka néo-zélandais.

 

 

« J'aurais adoré avoir cette opportunité d'être capitaine, expliquait Whitelock en mai 2020. Mais en même temps, je sais ce que tout cela implique et je pense qu'il ne faut pas forcément avoir le brassard de capitaine pour aider les autres et faire une différence. Sam (Cane) va avoir besoin de toute l'aide et tout le soutien possible chez les All Blacks et il pourra évidemment compter sur moi. » Depuis, Whitelock a eu l'occasion de reprendre le brassard, comme face aux Bleus lors de la tournée d'automne en 2021 (40-25).

Ferme familiale

Avec ses 2,05m, ses 115 kg, sa grosse barbe et son regard sombre, Whitelock a le profil du terrien taiseux, du genre à jouer dans un western de Sergio Leone. Un peu cliché ? Peut-être, mais le deuxième-ligne des Crusaders part tout de même régulièrement se ressourcer à la ferme familiale que tiennent ses parents, Braeden et Caroline, à Linton. Là-bas, les Whitelock élèvent 2 700 vaches laitières.

lire aussiBienvenue à la ferme de Sam Whitelock, capitaine des All Blacks

Mais la famille n'a pas seulement l'agriculture dans le sang. Avant Sam, le grand-père Nelson Delzell, ainsi que le grand-oncle Allan Elsom avaient joué pour les All Blacks. Et ses frères George et Luke ont aussi porté le maillot noir, alors qu'Adam, le deuxième de la fratrie, a joué avec la sélection à 7.

Un palmarès de mammouth

Il n'y a pas beaucoup de joueurs qui peuvent afficher un tel palmarès. Sam Whitelock fait partie de la génération des All Blacks qui a gagné deux Coupes du monde, en 2011 et 2015. Et s'il venait à gagner celle de cet automne, il deviendrait le premier joueur triplement sacré dans l'histoire de la compétition.

 

Sam Whitelock face aux Bleus de Thierry Dusautoir (numéro 6) à la Coupe du monde 2011. (B. Papon/L'Équipe)

Il a aussi remporté dix fois le Rugby Championship (2010, 2012, 2013, 2014, 2016, 2017, 2018, 2020, 2021, 2022) et cinq fois le Super Rugby avec les Crusaders (2017, 2018, 2019, 2020, 2022). Cette saison, la franchise de Christchurch fait de nouveau partie des favorites pour le titre. Après 13 journées, elle figure à la 2e place du classement, derrière les Chiefs.

Dans la lignée des All Blacks palois

En débarquant dans le Béarn après la Coupe du monde, Sam Whitelock va devenir le huitième All Black de l'histoire du club. Avant lui, l'ouvreur Colin Slade (2015-2020, 21 sélections entre 2010 et 2015), le centre Conrad Smith (2015-2018, 94 sél. entre 2004 et 2015), le trois-quarts polyvalent Tom Taylor (2016-2020, 3 sél. en 2013), l'arrière Ben Smith (2019-2020, 84 sél. entre 2009 et 2019) et son frère cadet, le troisième-ligne Luke Whitelock (depuis 2019, 7 sél. entre 2013 et 2018), ont joué avec les couleurs de la Section.

 

Les anciens All Blacks Simon Mannix (à gauche) et Carl Hayman ont été entraîneurs de la Section Paloise. (R. Perrocheau/L'Équipe)

Deux anciens internationaux néo-zélandais ont également officié à Pau, mais au sein du staff : l'ancien ouvreur Simon Mannix, comme manager (2014-2019, 1 sél. en 1994) et l'ancien pilier droit Carl Hayman, comme entraîneur des avants (2016-2018, 45 sél. entre 2001 et 2007).

 

Le journaliste aurait pu ajouter Benson Stanley qui (même si c'est ici qu'il s'est le plus fait connaitre) a passé 2 saisons à la Section et a connu 3 capes et Jamie MacIntosh 1 cape et 3 saisons.

[Ptolémée]

 

T'ignore quoi en fait : 

 

Que Pau n'a pas d'argent : donc tu ignores que c'est Total le gros sponsor ? 

Ou bien autre chose ? 

 

Et vous, pareil... : 

 

T'ignore quoi en fait ? 

On est bientôt le 05 juin... 30ans déjà 

 

je te pose la question , ignorer que Total est le sponsor principal de Pau suffit t'il à être un crime ?

pourquoi toujours ce ton agressif ?

[zeguest]

Total c est officiellement 14% du budget de la Section. Comme Michelin avec l ASM.

[bazooka]

On ne compte pas les dividendes ?

[Codoràvie]

C'est moche ce que nous a fait Bukaroo.
Très moche.
Je lui en veux terriblement.

[xdderf63]

 
je te pose la question , ignorer que Total est le sponsor principal de Pau suffit t'il à être un crime ?
pourquoi toujours ce ton agressif ?

Je trouve incroyable que tu trouves tout incroyable
Ou disons 50%
Les autres 50% sont des choses qui te font peur...
Je ne suis pas agressif. Je prend ce ton (pas facile par écrit d'avoir le ton qu'on veut) quand j'hallucine


1- As tu la moindre idée du salaire que va avoir le joueur ?
2- Sais tu que Pau a une marge de près de 3 Million d'euros par rapport au SalaryCap

Pour trouver quelque chose "incroyable" il faut au moins avoir 2 ou 3 références ou 2 ou 3 éléments

Je critique pas le fond
Et je dis pas que Total est un truc que tu devrais connaître ni que c'est la raison de sa venue
Je critique l'escalade des superlatifs employés
Et "crime" est hors de propos
Mais tu fais comme tu veux. Ce que tu écris est public
Je te demande ce qui te semble "incroyable financièrement" pour comprendre ce qui te choque
Et je te signale que tu n'as pas répondu, préférant jouer les vierges effarouchées

[Buckaroo]

C'est moche ce que nous a fait Bukaroo.
Très moche.
Je lui en veux terriblement.

Il n'aura pas supporté les brimades dont je fais l'objet sur ce forum, en raison du logo de son club préféré. Il fallait y réfléchir à deux fois, les gars...

[Ptolémée]

Je trouve incroyable que tu trouves tout incroyable
Ou disons 50%
Les autres 50% sont des choses qui te font peur...
Je ne suis pas agressif. Je prend ce ton (pas facile par écrit d'avoir le ton qu'on veut) quand j'hallucine


1- As tu la moindre idée du salaire que va avoir le joueur ?
2- Sais tu que Pau a une marge de près de 3 Million d'euros par rapport au SalaryCap

Pour trouver quelque chose "incroyable" il faut au moins avoir 2 ou 3 références ou 2 ou 3 éléments

Je critique pas le fond
Et je dis pas que Total est un truc que tu devrais connaître ni que c'est la raison de sa venue
Je critique l'escalade des superlatifs employés
Et "crime" est hors de propos
Mais tu fais comme tu veux. Ce que tu écris est public
Je te demande ce qui te semble "incroyable financièrement" pour comprendre ce qui te choque
Et je te signale que tu n'as pas répondu, préférant jouer les vierges effarouchées

 

là tu me connais trés mal ...

j'ai envie d'arrêter ce dialogue de sourds

fin de l'échange pour moi

à+

[Codoràvie]

Il n'aura pas supporté les brimades dont je fais l'objet sur ce forum, en raison du logo de son club préféré. Il fallait y réfléchir à deux fois, les gars...

Tu restes bien, toi.
Alors il aurait pu venir, lui.
De toutes façons, à partir de dorénavant, à mes yeux, il va devenir nul... ou blessé souvent.

[zeguest]

Moi j ai toujours aimé la section. Un vrai club omnisports avec de belles valeurs. Et une belle filière all black.

[Alex chocolatines]

Moi j ai toujours aimé la section. Un vrai club omnisports avec de belles valeurs. Et une belle filière all black.

Et ils n'ont pas volé de titre.