C'est plus d'actualité ça, on est nostalgique de nos jeunes années mais dans le rugby pro ça marche plus comme ça.
L'heure n'est plus au remontage de pendule du petit caporal sur fond de Nabucco, ni au coups de tronche de Cholley dans les portes, maintenant c'est casque sur les oreilles pour tout le monde, chacun dans sa bulle. Autres temps autres moeurs.
n'empèche qu'avec Cholley, la scène de la multiplication des pains ne devait pas être triste. Les sentimentaux préfèrent le casque à pointe et les coups de tronche dans les murs au casque du smartphone à écouter le dernier tube de Moscato. J'ai aussi toujours préféré les discours à la Pascal Ondarts que ceux de Kayser.