Aller au contenu


Photo

L'image de l'asm clermont auprès des médias


  • Veuillez vous connecter pour répondre
528 réponses à ce sujet

#316 RCV06

RCV06

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 50 415 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Mandelieu la Napoule
  • Mon club:

Posté 18 juillet 2017 - 13:03

On a beau dire pour vivre heureux, vivons cachés..........................

Je constate en lisant les titres d'articles, que presque tous les clubs arrivent à faire parler d'eux. Mais point d'articles sur l'ASM.

Il n'y a pas que des déclarations fracassantes à la MB, mais, un coup c'est le maillot, un coup la reprise, un coup c'est untel qui vient, ou qui ne vient pas, un AB ou un Sud Af, etc, ect......  

On est sur d'avoir un service communication à l'ASM.? Si oui, en cette période de recherche d'économies de tout poil, en voilà une qui serait opportune.!

Ça nous a pas empêché de gagner, donc quand on a rien a dire autant la fermer.

Par contre ce midi 4 mousquetaires de l'ASM était au départ du Tour au Puy avec Bardet et le Bouclier


  • Silhouette et George Abitbol aiment ceci

#317 Rugby ?

Rugby ?

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 17 335 messages
  • Genre:Homme
  • Mon club:

Posté 19 juillet 2017 - 06:30

Ça nous a pas empêché de gagner, donc quand on a rien a dire autant la fermer.

Par contre ce midi 4 mousquetaires de l'ASM était au départ du Tour au Puy avec Bardet et le Bouclier

Pour le point 2, existe-t-il une photo, une vidéo, j'aurais bien aimé voir ça.

Pour le point 1, sur le principe tu as raison. Mais on est dans un monde professionnel, concurrentiel médiatique. Cette médiatisation est, qu'on le souhaite ou non, indispensable pour les recettes (sinon on  ne serait pas envahi par la pub).

Mais je constate que les vacances du service com' sont finies. Un article aujourd'hui dans RR.

Tu admettras avec moi qu'il "n'a rien à dire" et qu'il aurait pu la fermer! -boxe02-       :bisous:   :D 



#318 OliveR

OliveR

    Joueur de Fédérale 1

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 2 278 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:St-Éloy-les-Mimines
  • Mon club:

Posté 19 juillet 2017 - 10:54

Pour le point 2, existe-t-il une photo, une vidéo, j'aurais bien aimé voir ça.

http://www.asm-rugby...au-puy-en-velay



#319 ASM63000

ASM63000

    Joueur de Fédérale 3

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPip
  • 1 218 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Clermont
  • Mon club:

Posté 19 juillet 2017 - 16:04

Peut-être tout simplement qu'on ne va pas changer de maillot non?

Il me semble bien que ça nous est arrivé récemment, de garder le même maillot deux saisons de suite,mais pas sûr...

 

Je crois bien que c'était sur les deux saisons où on joue Perpignan en finale (2008/2009 et 2009/2010)

 

PS : après vérification ce n'est plus "je crois" mais je suis sur !


  • Gourine63 aime ceci

#320 Rugby ?

Rugby ?

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 17 335 messages
  • Genre:Homme
  • Mon club:

Posté 19 juillet 2017 - 18:10

merci


 

Je crois bien que c'était sur les deux saisons où on joue Perpignan en finale (2008/2009 et 2009/2010)

 

PS : après vérification ce n'est plus "je crois" mais je suis sur !

P.....c'est pas bon signe 1 maillot et un Brennus :crying:



#321 George Abitbol

George Abitbol

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 22 907 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Créteil
  • Mon club:

Posté 25 juillet 2017 - 17:49

TOP 14 - "Les entraîneurs français, on n'est pas plus couillons que les autres"

 

TOP 14 - Depuis plusieurs saisons, le recours à des entraîneurs étrangers concerne une majorité de clubs du Top 14. Face à cet effet de mode, de nombreux techniciens français se retrouvent sur la touche. Témoignage.

 

Le sujet est souvent tabou. Mais au-delà des polémiques faciles, le débat sur le recours à des entraîneurs étrangers inquiète de nombreux observateurs, à commencer par Tech XV (le syndicat des entraîneurs et éducateurs du rugby, ndlr) présidé par Alain Gaillard. Si les présidents des clubs de Top 14 contournent la loi en prenant la plupart du temps des managers/directeurs sportifs/consultants qui ne possèdent pas le DES (Diplôme d’Etat Supérieur, NDLR) et n’entrent donc pas dans le cadre législatif français, c’est bien souvent au détriment des techniciens français.

 

"C’est un cycle normal, un effet de mode. Et puis, il ne faut pas se voiler la face, il fait bon vivre en France", nous confie un entraîneur tricolore sans club, malgré un CV significatif. "Prenez Vern Cotter : quand vous connaissez le montant de son contrat avec Montpellier, vous comprenez mieux pourquoi il n’est pas rentré en Nouvelle-Zélande pour s’occuper de ses vaches."

 

Azéma le cohérent, admiratif de Collazo et Mignoni l'exemplaire

 

Si personne ne contestera les compétences et l’expertise de la plupart de ces techniciens étrangers, leur méthodologie étouffe malgré tout l’exception rugbystique française, bercée par les théories de René Deleplace (basée sur la liberté d'initiative qui préside au mouvement général, ndlr), les travaux de Pierre Conquet et Jean Devaluez sur les fondamentaux du rugby. "Je ne dis pas qu’ils n’apportent rien mais ils n’ont pas révolutionné le rugby non plus", souligne notre interlocuteur.

 

"Qu’ont apporté Bernard Jackman à Grenoble ou Richard Cockerill à Toulon ? Ça me fait davantage plaisir quand un club est sacré champion de France avec un entraîneur français. Regardez ce que fait Franck Azéma à Clermont ! Je dis chapeau bas, c’est cohérent ! Et Collazo avec son staff à La Rochelle... Je suis admiratif ! Je pense aussi à Pierre Mignoni à Lyon. C’est exemplaire."

    " Le véritable problème, ce sont ces joueurs qui enfilent le survêtement dès qu’ils ont retiré le maillot"

 

Certains entraîneurs étrangers, conscients de cette problématique, ont bâti leur staff avec le souci d’apporter une sensibilité française, à l’image de Greg Cooper au Stade français qui s’est entouré de Julien Dupuy et Olivier Azam. Mais à l’instar de Carl Hayman (Pau) ou de Chris Masoe (Racing 92), beaucoup de joueurs étrangers intègrent les staffs des clubs du Top 14 à peine leur carrière terminée. "Le véritable problème, ce sont ces joueurs qui enfilent le survêtement dès qu’ils ont retiré le maillot", regrette notre témoin. "Ils ne font que reproduire ce qu’on leur a montré sans s’enrichir de nouvelles expériences, sans recul. Et quand je vois également qu’en Pro D2, le staff du Biarritz Olympique est 100% étranger (Gonzalo Quesada, Simon Raiwalui, Jack Isaac), je suis surpris. Le travail de David Darricarrère n’était-il pas bon ? Je n’ai pas l’impression."

 

Face à cette réalité si difficile à maîtriser, de plus en plus de techniciens français risquent donc d’être poussés vers la sortie. "Pour les entraîneurs, c’est dur. Il faut aller au charbon. Si on reste recroquevillé, ce n’est pas bon", insiste notre interlocuteur. "C’est bien pour ça que j’espère que Guy Novès et son staff réussiront avec le XV de France pour donner une autre image des techniciens français. On n’est pas plus couillons que les autres."



#322 Le Marseillais

Le Marseillais

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 22 187 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Marseille
  • Mon club:

Posté 25 juillet 2017 - 17:53

On apprend quand même que Vern élève...des vaches en NZ!



#323 George Abitbol

George Abitbol

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 22 907 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Créteil
  • Mon club:

Posté 25 juillet 2017 - 17:59

TOP 14 - Il n’y a quasiment plus aucun club du Top 14 qui, aujourd’hui, n’a pas recours à un technicien étranger pour occuper un rôle au sein de son staff. De la fonction suprême de manager ou entraîneur au simple consultant ou spécialiste, notre championnat s’est internationalisé également sur ses bancs. Analyse d’une évolution rapide pas sans effets.

 

Le Top 14 va bientôt débuter et, cette saison, trois clubs du Top 14 seront dirigés par un technicien étranger : Montpellier (Vern Cotter), Paris (Greg Cooper) et Pau (Simon Mannix). Une constante depuis maintenant plusieurs saisons. 3, c’est aussi le nombre de clubs qui présenteront un staff 100% tricolore (Brive, Clermont, Toulouse). Ils sont devenus des exceptions. 79% des écuries du Top 14 ont, à l’heure actuelle, une touche étrangère.

 

Ce constat montre à quel point le championnat s’est internationalisé en l’espace de 10 ans, et pas que dans la composition des effectifs. En 2006 s’achevait la première saison de Top 14 qui avait débuté avec uniquement des techniciens français sur les bancs et même 100% d’adjoints tricolores ! "C’est une progression inéluctable au vu de l’économie du Top 14", constate Alain Gaillard, président de Tech XV, le syndicat des entraineurs et des éducateurs.

 

Le phénomène s’accentue depuis 2012, un pic en 2017

 

Les chiffres montrent précisément que la tendance s’est accélérée depuis 2012 puisqu’à partir de cette date, au moins la moitié des clubs du Top 14 ont eu un technicien étranger au sein de leur staff. Le pic a été atteint la saison dernière, notamment en raison des multiples changements d’entraineurs à Toulon. Diego Dominguez, Mike Ford et Richard Cockerill se sont succédés sur le banc varois en l’espace de quelques mois.

 

"Les staffs sont de plus en plus pléthoriques et il y a un tas d’entraineurs spécifiques", constate dans un premier temps Alain Gaillard. Cela permet de porter le total d’entraineurs et spécialistes ayant officié sur la saison 2016-2017 à 53 et seulement 51% étaient de nationalité française ! "C’est un phénomène de mode chez les présidents, penser que ce qui se fait ailleurs est forcément meilleur. Un temps c’était les All Blacks, les Australiens ou les Sud-Africains", poursuit-il.

 

2133824.jpg

 

L’attractivité des salaires n’est pas en reste tout comme le nombre grandissant de joueurs étrangers dans notre championnat mais, de plus, "c’est certainement dû aux relations qui peuvent exister entre les présidents. Lorsque certains entraineurs français ont fait certains clubs, ils hésitent peut-être à les recruter", s’interroge Alain Gaillard. Ce dernier constate qu’à l’heure actuelle, davantage de techniciens ne retrouvent pas de postes "mais il y en a toujours eu car les places sont chères en Top 14".

 

Et certaines écuries se sont fait la spécialité de confier les clefs du camion à des entraineurs étrangers à l’instar de l’ère Jake White à Montpellier. Autre constat, c’est l’évolution du nombre d'entraîneurs par club avec des staffs qui se sont enrichis, en moyenne, d’un élément sur les dix dernières années. Et c’est cet apport supplémentaire qui est quasi exclusivement un ajout venant de l’étranger.

 

Un constat fort, les techniciens français sont globalement champions de France

 

Si la réflexion actuelle porte beaucoup sur la place de nos joueurs français dans les clubs du Top 14, la place des techniciens tricolores est toute aussi importante. Pour le président de Tech XV, l’internationalisation a ses limites quand un club aux ambitions modestes choisit un entraineur spécifique venu d’autres horizons. "Ce ne sont pas des plus-values. Je ne vois pas l’intérêt si ce n’est d’appauvrir notre culture rugbystique sur le mouvement. Il y a d’excellents techniciens français qui ne sont pas sollicités et capables d’assumer ces tâches".

 

Et ils font souvent part de leur frustration au syndicat qui constate, lui, que les staffs champions de France ont toujours l’accent français à mesure que le Top 14 se mondialise. "Un constat fort et objectif", insiste Alain Gaillard. Pendant ce temps "la formation française, dans le mouvement général et la lecture du jeu, est parfois absente dans certains clubs".



#324 Rugby ?

Rugby ?

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 17 335 messages
  • Genre:Homme
  • Mon club:

Posté 25 juillet 2017 - 19:13

TOP 14 - Il n’y a quasiment plus aucun club du Top 14 qui, aujourd’hui, n’a pas recours à un technicien étranger pour occuper un rôle au sein de son staff. De la fonction suprême de manager ou entraîneur au simple consultant ou spécialiste, notre championnat s’est internationalisé également sur ses bancs. Analyse d’une évolution rapide pas sans effets.

 

Le Top 14 va bientôt débuter et, cette saison, trois clubs du Top 14 seront dirigés par un technicien étranger : Montpellier (Vern Cotter), Paris (Greg Cooper) et Pau (Simon Mannix). Une constante depuis maintenant plusieurs saisons. 3, c’est aussi le nombre de clubs qui présenteront un staff 100% tricolore (Brive, Clermont, Toulouse). Ils sont devenus des exceptions. 79% des écuries du Top 14 ont, à l’heure actuelle, une touche étrangère.

 

Ce constat montre à quel point le championnat s’est internationalisé en l’espace de 10 ans, et pas que dans la composition des effectifs. En 2006 s’achevait la première saison de Top 14 qui avait débuté avec uniquement des techniciens français sur les bancs et même 100% d’adjoints tricolores ! "C’est une progression inéluctable au vu de l’économie du Top 14", constate Alain Gaillard, président de Tech XV, le syndicat des entraineurs et des éducateurs.

 

Le phénomène s’accentue depuis 2012, un pic en 2017

 

Les chiffres montrent précisément que la tendance s’est accélérée depuis 2012 puisqu’à partir de cette date, au moins la moitié des clubs du Top 14 ont eu un technicien étranger au sein de leur staff. Le pic a été atteint la saison dernière, notamment en raison des multiples changements d’entraineurs à Toulon. Diego Dominguez, Mike Ford et Richard Cockerill se sont succédés sur le banc varois en l’espace de quelques mois.

 

"Les staffs sont de plus en plus pléthoriques et il y a un tas d’entraineurs spécifiques", constate dans un premier temps Alain Gaillard. Cela permet de porter le total d’entraineurs et spécialistes ayant officié sur la saison 2016-2017 à 53 et seulement 51% étaient de nationalité française ! "C’est un phénomène de mode chez les présidents, penser que ce qui se fait ailleurs est forcément meilleur. Un temps c’était les All Blacks, les Australiens ou les Sud-Africains", poursuit-il.

 

2133824.jpg

 

L’attractivité des salaires n’est pas en reste tout comme le nombre grandissant de joueurs étrangers dans notre championnat mais, de plus, "c’est certainement dû aux relations qui peuvent exister entre les présidents. Lorsque certains entraineurs français ont fait certains clubs, ils hésitent peut-être à les recruter", s’interroge Alain Gaillard. Ce dernier constate qu’à l’heure actuelle, davantage de techniciens ne retrouvent pas de postes "mais il y en a toujours eu car les places sont chères en Top 14".

 

Et certaines écuries se sont fait la spécialité de confier les clefs du camion à des entraineurs étrangers à l’instar de l’ère Jake White à Montpellier. Autre constat, c’est l’évolution du nombre d'entraîneurs par club avec des staffs qui se sont enrichis, en moyenne, d’un élément sur les dix dernières années. Et c’est cet apport supplémentaire qui est quasi exclusivement un ajout venant de l’étranger.

 

Un constat fort, les techniciens français sont globalement champions de France

 

Si la réflexion actuelle porte beaucoup sur la place de nos joueurs français dans les clubs du Top 14, la place des techniciens tricolores est toute aussi importante. Pour le président de Tech XV, l’internationalisation a ses limites quand un club aux ambitions modestes choisit un entraineur spécifique venu d’autres horizons. "Ce ne sont pas des plus-values. Je ne vois pas l’intérêt si ce n’est d’appauvrir notre culture rugbystique sur le mouvement. Il y a d’excellents techniciens français qui ne sont pas sollicités et capables d’assumer ces tâches".

 

Et ils font souvent part de leur frustration au syndicat qui constate, lui, que les staffs champions de France ont toujours l’accent français à mesure que le Top 14 se mondialise. "Un constat fort et objectif", insiste Alain Gaillard. Pendant ce temps "la formation française, dans le mouvement général et la lecture du jeu, est parfois absente dans certains clubs".

Nei MacIlroy apprécie ce constat


  • cetotomatos et Silhouette aiment ceci

#325 cetotomatos

cetotomatos

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 27 459 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Marsat
  • Mon club:

Posté 28 juillet 2017 - 20:17

DF1EYDSXgAAJisd.jpg


  • ESQ4, julien, Frédéric58 et 9 autres aiment ceci

#326 RCV06

RCV06

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 50 415 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Mandelieu la Napoule
  • Mon club:

Posté 29 juillet 2017 - 21:27

DF1EYDSXgAAJisd.jpg

Excellent !!



#327 TH69

TH69

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 24 884 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Lyon
  • Mon club:

Posté 29 juillet 2017 - 21:53

Décidemment c'est le grand amour avec les anciens Usapistes.



#328 stephdesug

stephdesug

    Joueur de promotion

  • Membres
  • PipPipPipPipPip
  • 570 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Sugères
  • Mon club:

Posté 29 juillet 2017 - 23:03

Merci Mr Robins Tchale Watchou, un grand Mr de lovali .  

Il faut vraiment être d'une incompétence rare pour écrire des articles ou plutôt des chiffons, des torchons pareils. Ce journaleux est d'une pauvreté sans nom. Nullissime.

Critiquer Aurélien et son club de la sorte c'est scandaleux.



#329 63manu

63manu

    Joueur de Fédérale 2

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPip
  • 1 539 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Clermont ferrand
  • Mon club:

Posté 31 juillet 2017 - 19:10

Pub de rentrée de Canal.
Seuls Asm et SR cites parmi OM PSG Barcelone etc ...
O tempora, O Mores

#330 Gourine63

Gourine63

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 14 943 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Nîmes
  • Mon club:

Posté 31 juillet 2017 - 20:52

Pub de rentrée de Canal.
Seuls Asm et SR cites parmi OM PSG Barcelone etc ...
O tempora, O Mores


En ce qui concerne le rugby,c'est un changement de mentalité par rapport au jeu de bourrins mis en avant depuis X années

Canal a désormais compris(on l'espère en tout cas)que le jeu de mouvement et d'évitement était l'avenir du rugby français, et qu'ils en feront largement la promotion,pour le bien de notre sport

En tout cas,ce revirement est en adéquation avec les déclarations de plus en plus nombreuses, prônant un retour au jeu de passe, c'est de très bon augure si tout le monde maintient le cap




0 utilisateur(s) li(sen)t ce sujet

0 members, 0 guests, 0 anonymous users