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Commotion cérébrale


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#1711 Loulou

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Posted 13 November 2018 - 14:34 PM

remarque  pour le coup c'est bien d'en parler 

 

rien qu'entre nous on est pas d'accord sur ce qu'il faut faire, je nous imagine remy gigi et le marseillais avec le viok de vichy qui vient nous parler du temps des BMC accolés a la tente medicale  :D organiser un espace debat avec un demi cadavre sur le terrain

 

faut des consignes simples et a mon sens même si dans l'absolue le mec a peut etre raison et qu'il faut pas bouger le joueur, il est à mon sens extrement regretable d'aller à l'encontre des consignes validées par des organismes que tu prends en référence pour demander les obligations a respecter pour etre sur un banc de touche 


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#1712 gigi

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Posted 13 November 2018 - 14:45 PM

très sincèrement, a notre niveau, c'est PLS, point barre.

deux raisons a cela, la premiere comme tu dis, on respecte les consignes enseignées en SST

ensuite, ben a notre niveau, sur chocs et donc commotion, il est plus que rare d'avoir un gros trauma sur les cervicales, donc entre respiration et moelle, le risque 1 est plus élevé.

 

a haut niveau, cela n'est plus forcément vrai, mais eux, ils ont des médecins présent


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#1713 Le Marseillais

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Posted 13 November 2018 - 15:00 PM

Bien d'accord avec les deux derniers messages.



#1714 George Abitbol

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Posted 13 November 2018 - 17:50 PM

remarque  pour le coup c'est bien d'en parler 
 
rien qu'entre nous on est pas d'accord sur ce qu'il faut faire

Il faut dire que c'est un sujet compliqué.

Entre les formations (PSC1, PSE1/2, SST), les médecins, les sociétés savantes (genre la Société française d'Anesthesie et de réanimation), les instances officielles (états, communes, organismes de santé type oms), les discours varient selon l'interlocuteur et selon le temps.


Il fut un temps où on préconisait de prendre le pouls d'une personne avant de faire quoi que ce soit. Désormais, c'est déconseillé et réservé aux professionnels.

Dans la plupart des formations, on apprend aux gens le massage cardio-respiratoire avec bouche à bouche, alors que les informations grand public disent plutôt de se concentrer principalement sur le massage et de ne tenter le bouche à bouche que si on est sûr de soi.

Pareil on apprend à « compter » (« et un, et deux, et trois, ... »), alors que les informations grand publics conseillent plutôt de se baser sur des musiques dont le tempo est proche du rythme du massage (la bien nommée « Staying alive », la macaréna, etc.).



On a aussi des consignes difficiles à suivre :
* Quand quelqu'un fait un malaise (sans perte de connaissance), on est supposé aller voir si tout va bien. Le problème c'est que si on s'arrête pour demander si ça va à chaque personne qui semble un peu fatiguée ou met les mains sur les genoux, on y passe la journée.
* En théorie une personne qui ne respire pas doit être massée sauf dans 3 cas particuliers (tête détachée du tronc, corps froid ou présence de vers). C'est quand même un critère très large.



Après c'est à l'appréciation personnelle sur le moment, avec ses qualité et sa sensibilité. Personne ne reprochera à quelqu'un d'avoir mal géré.

Moi on m'a toujours dit qu'entre deux maux de choisir le moindre. Et si un mec ne respire pas, on masse, même si on a un doute. Tant pis si on casse une côte.



Là c'est plus subtil, c'est sûr, parce qu'il est très difficile (voire impossible) d'estimer les probabilités des deux risques (obstruction des voies, ou mobilisation qui impacte les cervicales).

Autant jouer à pile ou face.

Perso je pense que je mettrais en PLS. Étant incapable d'évaluer de manière rationnelle (et même de manière irrationnelle) les deux risques, j'évacue le pire risque.
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#1715 Panasonic

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Posted 14 November 2018 - 18:30 PM

C'est vrai.

Mais danger aussi d'obstruction des voies aériennes par la langue, du vomi, etc...

Moi, je ferai quand même une PLS.

 

 

Tétraplégique mais qui respire bien c'est un choix :P

en somme, mort étouffé mais intact ou paralysé respirant... moi je demanderais au blessé de choisir avant d'avoir a me justifier devant la cour d'assise



#1716 el landeno

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Posted 27 November 2018 - 21:03 PM

Les plaquages hauts dans le rugby, un débat sans fin
Publié le  mardi 27 novembre 2018 à 17:36 dans l'Equipe
La tournée de novembre a été émaillée de nombreux incidents mettant en lumière l'incohérence de certaines décisions d'arbitrage sur les plaquages dangereux. Difficile d'y voir clair.
Dominique Issartel
Chaque week-end, ou presque, les mêmes discussions, que ce soit en Top 14, en Premiership anglaise, en Coupe d'Europe ou, tout récemment, lors des test-matches de la tournée de novembre. Pourquoi le plaquage d'Owen Farrell, l'ouvreur anglais, n'a pas été sanctionné ? Celui d'un autre numéro dix, son compatriote Danny Cipriani, méritait-il vraiment un carton rouge ? La suspension de Jérôme Kaino, l'ex-All Black du Stade Toulousain, n'est-elle pas trop lourde ? Certains Toulonnais avaient-ils raison de mettre en doute le carton rouge reçu par Romain Taofifenua le week-end dernier ?

À ces questions, dans la bouche des uns et des autres, sur les plateaux télé et les réseaux sociaux, vous trouverez toutes les réponses possibles. Supporters, consultants renommés, joueurs, entraîneurs et mêmes arbitres, chacun a son avis et le partage parfois avec virulence.

«Encore un match de foutu ! Pas de chance pour ceux qui ont payé leurs billets...», lâche un jour sur Twitter le troisième-ligne centre de l'équipe d'Angleterre, Billy Vunipola, en regardant Munster-Gloucester en Coupe d'Europe, deux cartons jaunes et un rouge pour plaquage haut. Les sanctions sont parfois jugées trop sévères. Si on n'a plus le droit d'asséner un bon gros tampon au-dessus des épaules... «On dénature le jeu, s'exclame, furibard, Geordan Murphy, l'entraîneur de Leicester, après l'expulsion d'un de ses joueurs, Will Spencer, auteur d'un plaquage à hauteur d'épaule. Ce sport est devenu politiquement correct.» Le lendemain, il fera volte-face, regrettant des propos jugés irresponsables par beaucoup, au moment où le rugby essaie d'éradiquer le fléau des commotions et de se débarrasser d'une image de sport dangereux qui, depuis quelques saisons, lui colle à la peau.

Car l'argument du rugby qui devient «soft», comme disent les Anglais, ne tient pas. Les plaquages hauts n'ont pas toujours existé et personne n'irait dire que le jeu pratiqué dans les années 1980 et 1990 était trop moelleux.

En revanche, ils ont toujours été sanctionnés, ce qu'a justement rappelé le flanker international du Munster, Peter O'Mahony, après le match polémique contre Gloucester : «Les joueurs n'ont pas à s'occuper des interprétations de l'arbitre (favorisées par un règlement où il est demandé de prendre en compte le côté accidentel du geste). Il faut leur faire confiance à 100 % parce qu'on a suffisamment de choses à faire par ailleurs. Les plaquages hauts ont toujours été interdits au rugby, ce n'est pas comme si on le découvrait ! Si tu plaques en position debout et juste au-dessus des épaules, tu prends une pénalité depuis toujours. Aujourd'hui, à cause des commotions, les sanctions se durcissent mais c'est un geste qui n'a jamais été autorisé.»

Rappel à l'ordre de World Rugby, qui réclame plus de cartons

Le problème, et c'est là où la confusion est grande, c'est qu'il l'est parfois. C'est arrivé à au moins deux reprises lors des tests de novembre. Lors de la victoire du pays de Galles contre l'Australie, le centre des Wallabies Samu Kerevi a percuté en pleine tête Leigh Halfpenny, sans qu'aucune sanction ne soit prononcée. Remplacé pour commotion cérébrale, l'arrière gallois n'a pu tenir sa place ni contre les Tonga, ni contre l'Afrique du Sud samedi.

Et l'Anglais Owen Farrell s'en est tiré sans pénalité lorsqu'il a heurté plein fer le Sud-Africain André Esterhuizen dans les ultimes secondes du match entre le quinze de la Rose et les Springboks. Récidiviste, Farrell a encore été pointé du doigt le week-end dernier fac aux Wallabies. Au moment où World Rugby, qui a imposé un durcissement des sanctions pour plaquages hauts en 2017 afin de répondre à l'augmentation des commotions cérébrales, demande la plus grande sévérité, ces exemples font tache et la communication opaque de l'instance internationale n'aide pas à clarifier les choses.

Muette pendant deux semaines, la Fédération a tenu à rappeler, jeudi dernier, par la bouche de son directeur général Brett Gosper, que «la seule façon de changer le comportement des joueurs est de les sanctionner d'un carton rouge. Nous n'avons pas été assez durs, il n'y a pas eu autant de cartons jaunes que nous le voulions et peut-être même pas assez de cartons rouges».

Après le premier plaquage de Farrell qui, de l'avis quasi général, méritait au moins une pénalité - qui aurait pu faire perdre les Anglais -, World Rugby aurait dû prendre position, même si ce n'est malheureusement pas dans ses habitudes. L'ex-international Andy Goode l'a martelé dans une chronique : «À l'heure où on essaie de changer le comportement des joueurs, cet incident, car il implique une star du jeu dans un match international, devrait être pris en exemple. Certaines personnes me demandent comment apprendre aux enfants à plaquer bas s'ils ont vu faire Owen Farrell ?»

Pierre Mignoni, le manager de Lyon, estime lui que «si on veut vraiment aller au bout, on doit tolérer quelques incohérences. Même à la vidéo, même avec un ralenti, on a du mal à être sûrs. Un arbitre, il décide avec sa sensibilité humaine, le moment, le choc. Il y a vingt mille spectateurs, et personne n'a le même avis. Les règles du rugby laissent la part à la subjectivité.»

Les décisions disparates ne sont pas le seul problème soulevé par les joueurs qui sont, pour beaucoup, persuadés qu'un des effets pervers du durcissement de la règle est la simulation. L'épisode du plaquage de Danny Cipriani, expulsé alors que son adversaire semble délibérément se baisser, a beaucoup fait parler. Brian Moore, ancien talonneur anglais qui écrit pour The Telegraph, se demande : «Que se passe-t-il quand le porteur de balle plonge/se baisse et, par cette seule action, transforme un plaquage qui aurait été dans la règle en un plaquage illégal ? Est-ce que cela va encourager les porteurs de balle à se baisser dans l'unique but de récolter des pénalités ? Malheureusement, cela ne peut pas être résolu par le règlement tel qu'il est. On peut passer tous les ralentis qu'on veut, il y aura toujours le soupçon de la subjectivité. Cela n'arrêtera pas les actuelles controverses.» Mais, conclut-il justement : «Est-ce une raison pour ne pas essayer de réduire les risques le plus possible ?» Tout le problème est là en effet. 

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Lors des deux premières journées de Coupe d'Europe, sur vingt matches, huit cartons ont été distribués pour plaquage dangereux : six jaunes (Jérôme Kaino, George Ford, Daniel Ikpefan, Tom Savage, Stephen Archer, Logovi'i Mulipola) et deux rouges (Maama Vaipulu, Danny Cipriani).
Que dit la règle ?

Le règlement de World Rugby distingue deux types de plaquages potentiellement répréhensibles : le dangereux et l'accidentel.  

Il y a plaquage dangereux, s'il est considéré qu'il y a eu un contact dangereux, dans le cadre d'un plaquage, et si le joueur savait ou aurait dû savoir qu'il y avait un risque d'entrer en contact avec la tête de l'adversaire mais a tout de même effectué ce geste. Cette sanction s'applique même si le plaquage débute au-dessous de la ligne des épaules. Ce type de contact s'applique également à une prise et à un enroulement/une torsion autour de la zone de la tête/du cou. Sanction minimale : carton jaune. Sanction maximale : carton rouge.

Il y a plaquage accidentel lorsqu'un joueur entre en contact avec un autre joueur dans le cadre d'un plaquage et entre accidentellement en contact avec la tête d'un adversaire, directement ou si le plaquage débute au-dessous de la ligne des épaules, ce joueur peut être sanctionné. Cela inclut les situations dans lesquelles le porteur du ballon est plaqué après avoir perdu ses appuis. Sanction minimale : coup de pied de pénalité.

Pourquoi les plaquages hauts sont-ils ciblés ?

Longtemps identifiés culturellement comme une marque de fabrique des rugbymen du Pacifique, les plaquages debout et à hauteur de tête se sont propagés à la fin des années 1990 quand les joueurs, à cause de l'évolution des gabarits, se sont mis à jouer sur la ligne d'avantage en essayant de rester debout pour faire vivre le ballon. Aujourd'hui, le but est de stopper le fameux offload (passe après contact), geste venu du rugby à XIII, il y a une dizaine d'années. Les plaquages debout, souvent à deux, se multiplient.

Parallèlement, une étude diligentée par World Rugby a confirmé que les commotions (611 cas entre 2013 et 2015) étaient provoquées dans 76 % des cas par un plaquage et que le plaqueur était plus exposé que le plaqué (335 commotions contre 129, soit 72 %). En novembre 2016, World Rugby publie donc de nouvelles directives en matière de plaquages dangereux.

Les sanctions sont-elles efficaces ?

Le nombre de sanctions a augmenté lors des premiers mois de la mise en application des consignes (de janvier à juin 2017) pour atteindre 64 % de pénalités en plus et 41 % de cartons jaunes en plus. Mais, la saison suivante, les cartons jaunes n'ont progressé que de 13 %. Trop peu, selon les experts, pour obtenir le changement de comportement voulu. «Dans le Championnat anglais, révèle Simon Kemp, directeur de la commission médicale de la RFU, les cartons ont même diminué de 36 %.»

Face à ce statu quo, World Rugby a deux solutions. Soit elle passe à la phase 2 de son plan et retire à l'arbitre la responsabilité de la sanction en utilisant, comme lors du Mondial U20, le High Tackle Warning (HTW, avertissement pour plaquage haut) - il s'agit de comptabiliser les plaquages dangereux des joueurs en cours de match, sans les faire sortir, et de les punir a posteriori (un match de suspension pour 3 HTW). Soit elle enclenche directement la phase 3 et baisser la ligne de plaquage au niveau des aisselles.

 

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#1717 RCV06

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Posted 27 November 2018 - 22:19 PM

Rouge ou jaune je m en fout ce qu il faut c'est que tous soient sanctionnés de la même façon quelque soit le pays l arbitre ou la notoriété du joueur, le reste c 'est de la littérature.


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#1718 bazooka

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Posted 28 November 2018 - 08:00 AM

Ils s'interrogent...jusqu'à quand ?



#1719 Arverne03

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Posted 28 November 2018 - 08:39 AM

Rouge ou jaune je m en fout ce qu il faut c'est que tous soient sanctionnés de la même façon quelque soit le pays l arbitre ou la notoriété du joueur, le reste c 'est de la littérature.

 

Absolument ! Le problème c'est que ces actions sont jugées en fonction de la perception qu'en ont les arbitres. Les sensibilités et les appréciations étant, par nature, différentes d'une personne à l'autre; on en arrive forcément à des décisions qui sont soumises à critique ! 

 

P.S : Il n'y a qu'à voir nos réactions lors d'un match, lors d'une décision ou d'une action de jeu, pour comprendre le "problème" et l'immensité de la tâche ! ! 



#1720 George Abitbol

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Posted 29 November 2018 - 03:23 AM

Face à ce statu quo, World Rugby a deux solutions. Soit elle passe à la phase 2 de son plan et retire à l'arbitre la responsabilité de la sanction en utilisant, comme lors du Mondial U20, le High Tackle Warning (HTW, avertissement pour plaquage haut) - il s'agit de comptabiliser les plaquages dangereux des joueurs en cours de match, sans les faire sortir, et de les punir a posteriori (un match de suspension pour 3 HTW).

C'est une sanction ça ?

Donc en gros, il faut se limiter à un plaquage haut par match, ce qui permet de se reposer tous les trois matchs et d'être encore plus en forme lors du match suivant.


C'est pratique pour les équipes qui ont un banc bien fourni. Il faut juste briefer les joueurs avant « Niveau talonneur ou ouvreur on est un peu juste, par contre au centre et en 3e ligne, il y a du monde, allez-y gaiement les gars »

#1721 -franfois-

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Posted 04 December 2018 - 14:28 PM

Je viens de tomber sur ce reportage de Stade 2 avec un ancien espoir de l'ASM (Cameron Pierce), ça donne froid dans le dos ... Et ça remet un peu en perspective les conséquences d'une commotion cérébrale par rapport à une fracture ou autre blessure ligamentaire !



#1722 Silhouette

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Posted 04 December 2018 - 16:19 PM

Je viens de tomber sur ce reportage de Stade 2 avec un ancien espoir de l'ASM (Cameron Pierce), ça donne froid dans le dos ... Et ça remet un peu en perspective les conséquences d'une commotion cérébrale par rapport à une fracture ou autre blessure ligamentaire !

 

Intelligemment, France 2 bloque le visionnage hors de France ... bande de blaireaux.... 

 

Sinon Pierce poursuit un peu la discussion sur twitter, et semble decider a faire bouger le choses. On ne peut que lui souhaiter de reussir ! 

 



#1723 bazooka

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Posted 04 December 2018 - 17:26 PM

Encore un témoignage édifiant qui fait froid dans le dos.

Découvrir à la fin qu'ils se sont retrouvés seuls pour faire face est sidérant, on en parle depuis plusieurs années et aucune cellule ne vient en soutien ??? j'en reviens pas. Pourtant quelques uns à juste titre on fait du bruit autour de ce problème...



#1724 JB 03

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Posted 04 December 2018 - 21:48 PM

 

Intelligemment, France 2 bloque le visionnage hors de France ... bande de blaireaux.... 

 

Sinon Pierce poursuit un peu la discussion sur twitter, et semble decider a faire bouger le choses. On ne peut que lui souhaiter de reussir ! 

 

 

Pas sûr que ça reste longtemps accessible...



#1725 Silhouette

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Posted 04 December 2018 - 22:37 PM

 

Pas sûr que ça reste longtemps accessible...

Merci ! 






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