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[Ptolémée]

Et celle-ci ?

Prise par Jean-Luc Van Den Heede lors du Vendée 1989-1990

Les risques pris à cette époque font rétrospectivement froid dans le dos
C'était no limit dans le pacifique (extrême) sud
 

 

exact .. il n'y avait pas de porte des glaces , les skippers naviguaient

jusqu'en Mer de Ross 

photo qui fait effectivement froid dans le dos , en imaginant la nuit ...

 

 

 

 

 

...et Armel fait le trou , 144 miles d'avance 

[Toorop]

Un excellent rappel sur la zone d'exclusion antarctique (article de Libé du 28 novembre)

 

http://www.liberatio...risques_1531538

 

Certains étaient quand même de purs barjots 

[Ptolémée]

mise en bouche pour débuter le Pacifique

 

Tempête a l'entrée du Pacifique pour les leaders

[Ptolémée]

Le redoutable Indien Austral derrière pour les premiers , 

l'immense et imprévisible Pacifique Austral devant pour les premiers 

et le cap toujours dans les plus basses latitudes de la terre  

Armel avec 145 miles d'avance ..

 

 À l’orée du Pacifique Armel Le Cléac’h et Alex Thomson devraient entrer dans le Pacifique cet après-midi, après 32 jours de mer ! 

[Ptolémée]

Années de Légende :

en 1993 , lorsque la course était totalement libre , certains skippers

descendaient au milieu des glaces jusque dans les 65° degrés Sud 

dans l'Océan Austral en bordure de Mer de Ross .. !

 

 

 

 

 

Extraits : 

 

Folle descente

" Il est loin ce temps de la première édition en 1989, quand le parcours était totalement libre. Mais contrairement à aujourd’hui, les treize concurrents avaient le droit à un conseiller à terre leur indiquant par radio ou télex la route optimale en fonction des prévisions météo. Eric Mas, de Meteo Consult, qui routait à l’époque Jean-Luc Van Den Heede, prof de maths au gabarit de bûcheron canadien à la barre de 3615 Met, un «cigare» en aluminium on ne peut plus spartiate, n’a pas oublié : «La compétition imposait d’être le plus possible à la corde de l’Antarctique, et VDH [le surnom de Van Den Heede, ndlr] avait bien compris qu’en naviguant le plus sud possible, la route était nettement plus courte.»

C’est ainsi que le marin décida de plonger jusqu’à 61°52 de latitude pour couper au plus court. «C’était de la folie furieuse, de la roulette russe ! Jean-Luc s’est retrouvé dans un champ de mines. Faute de budget, il n’avait pas de radar, juste un thermomètre afin de voir si la température de la mer variait brusquement, signe de la présence d’icebergs, poursuit le météorologue. Et quand, cerné par des blocs de glace, il m’a dit à la radio qu’il allait dormir les pieds en avant de crainte d’en percuter, je lui ai dit d’arrêter de jouer au c… et de remonter au nord même s’il fallait serrer le vent.»

Quant à Alain Gautier, vainqueur du Vendée Globe en 1993 et aujourd’hui conseiller sécurité de la course, sa folle descente par 65 degrés sud un an plus tard lors du BOC Challenge (le tour du monde en solitaire mais en quatre étapes) semble tirée d’une fiction : «J’ai décidé de partir plein sud pour échapper à une grosse tempête, et bien m’en a pris. Le Sud-Africain John Martin qui lui était resté plus nord a vu couler son bateau sous ses pieds, mais a miraculeusement été récupéré par son compatriote Bertie Reed qui arrivait derrière. Comme la pluie était givrante, régulièrement je faisais partir mon bateau au lof [le couchant volontairement] pour secouer le gréement et ôter la glace qui s’agglutinait sur le mât et dans les barres de flèche. Mais en coupant au plus court, mon avance est alors passée de 15 à 350 milles, même si j’ai cabossé ma coque (en aluminium) après avoir heurté des blocs de glace.»

 

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[Rémy63]

C'est des tarés.

[RCV06]

On parle des guerriers du rugby, mais les mecs sur leur bateaux faut qu'ils en aient aussi, tout seul au milieu de nulle part avec des glaçons partout, balèzes les mecs.

[Ptolémée]

Troisième de la course , avec un monocoque d'ancienne génération et sans

hydrofoils ,  Paul Meilhat et son SMA impressionnent énormément .

Course magnifique , un duo exceptionnel d'efficacité 

[Toorop]

 

exact .. il n'y avait pas de porte des glaces , les skippers naviguaient

jusqu'en Mer de Ross 

photo qui fait effectivement froid dans le dos , en imaginant la nuit ...

 

 

 

Sûr que quand tu voyais ça au réveil ...

 

[Toorop]

Troisième de la course , avec un monocoque d'ancienne génération et sans

hydrofoils ,  Paul Meilhat et son SMA impressionnent énormément .

Course magnifique , un duo exceptionnel d'efficacité 

 

Les 2 leaders, s'ils maintiennent le rythme, auront deux semaines d'avance sur le temps de Gabart il y a 4 ans 

[Ptolémée]

Armel à dépassé la Tasmanie et rentre dans le Pacifique ,

Alex va en faire de meme ..

rien , absolument rien n'est joué ..

la longue traversée du Pacifique commence 

 

http://tracking2016....obe.org/hp5ip0/

[Le Marseillais]

 

Sûr que quand tu voyais ça au réveil ...

 

Il ne faut quand même pas oublier qu'il y a sur les bateaux des radars  et des alarmes.

Quand à l'article de Libé, ils me font bien marrer quand ils disent qu'on surveille les growlers par satellite: tu les vois au mieux 50m avant d'arriver dessus,et s'il fait jour!

 

Par contre, cette histoire d'exclusion antarctique, je trouve ça dommage.

Je trouve que ça gâche tout, mais je suis un navigateur à l'ancienne, certainement.

[Ptolémée]

Je suis un peu étonné des contre-performances de JP Dick et Jean

le Cam , trés en dessous de ce qu'on pouvait attendre de ces

deux formidables marins ,

largués à 4000 kms des leaders ...

 

 

6. Jean-Pierre Dick (FRA/StMichel-Virbac) à 1972,02

7. Jean Le Cam (FRA/Finistère Mer Vent) à 2382,03

[le nougatier]

Je suis un peu étonné des contre-performances de JP Dick et Jean

le Cam , trés en dessous de ce qu'on pouvait attendre de ces

deux formidables marins ,

largués à 4000 kms des leaders ...

 

 

6. Jean-Pierre Dick (FRA/StMichel-Virbac) à 1972,02

7. Jean Le Cam (FRA/Finistère Mer Vent) à 2382,03

 

Faut relativiser les choses. Le Cam et Dick sont dans les temps de passage de Gabart c'est quand même pas rien....

 

 

Après Dick à raté un empanage au mauvais moment dans le pot au noir et n'a jamais pu ensuite raccrocher les bonnes dépressions.

Thomson et Le Cleach surf sur un système météo qui s'enchaine parfaitement et qui bloque leur poursuivant derrière ce qui explique ces écart mais je le voie bien néanmoins finir troisième.

 

Pour ce qui est de Le Cam le marin est très bon mais le bateau loin des performance de ceux de devant et je suis pas sur que l'objectif de Le Cam soit en premier lieu la compétition.

[Ptolémée]

Armel va bientot doubler l'ile Campbell , après c'est le grand

saut Pacifique jusqu'au Horn ..

la moitié du chemin est parcouru ,

bien des épreuves encore à venir ...