Chaque rêve mérite un combat.
Je ne sais pas si il mérite un combat, mais aujourd'hui, j'ai fait un rêve ... intense et court. Faut dire que c'était pendant la sieste !
Fin de match dantesque, suffocante, sous 222 222 volts de tension, à la hauteur des deux titans qui s'affrontent. Restent 2 minutes dans le temps réglementaire. 2 points d'avance pour les hommes du croissant rouge déjà étoilé. Clermont récupère la possession et repart courageusement à l'assaut de la tour de Londres. 22 temps de jeu plus tard, Camille Lopez décoche un drop ... contré à l'unisson par les frères Vunipola, cramés mais toujours vivants, toujours debout ! La gonfle, se barrant en vrille, est smashée vers l'arrière, du bout des doigts, avec l'énergie du désespoir, par le très précieux Arthur Iturria et retombe dans les bras ......... d'Etienne Falgoux, alors isolé 22 mètres face aux poteaux ..., lequel, à son tour, claque LE drop, planant pour l'éternité, comme ralenti - suspendu, qui passe finalement entre les perches ... malgré la tentative de contre en double salto carpé de mister Farrell.
Coup de sifflet final. L'ASM champion !!! D'un point ... c'est tout ...
La "old town" tremble, l"Edinburgh castle" se fissure sous les grondements des volcans en liesse.
Etienne, Etienne, Etienne ... qui tient bien son exploit, non sans avoir serré respectueusement en passant la main d'Owens médusé, se dirige vers Owen, également médusé ... Va-t-il lui mettre une fourchette ? NON ! Il le relève avec bienveillance pour lui déposer une douce tape chaleureuse et amicale entre les 2 omoplates, assortie d'un "Good game, man !". Notre Jonny à nous quoi !
ASM !!! ASM !!! ASM !!! ASM !!! ASM !!! ASM !!! ASM !!! ASM !!! ASM !!!
PS 1 : ça fait beaucoup de 2 me direz-vous ? C'est vrai. Mais une finale, c'est comme l'amour, c'est mieux à 2 ! 
PS 2 : Viktor is back ! 