Prochaine étape le juge de touche colin maillard

La FFR et ses magouilles
#2821
Posté 18 mai 2018 - 09:57
- ELSAZOAM aime ceci
#2822
Posté 18 mai 2018 - 16:07
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La vache!!!! Ils viennent d'ouvrir la boite de Pandore!!!! Comme tu le dis si bien si cela fait jurisprudence on va bien rigoler (ou pas!!) avec Ruiz et compères on n'a pas fini de rejouer des matchs!!! Il va falloir des équipes avec des effectifs de football américain car on va avoir des saisons à 60 matchs!!! Et avec un peu de chance tu joues la finale pour le titre de champion Top14 2019 en............ juin 2020!!!
c'est indéniable le rugby est un sport formidable et unique!!!
A priori il s'appuie sur un texte de loi qui dirait que c'est le juge de touche qui a invalidé l'essai et celui ci n'a aucun pouvoir décisionnaire sur ce genre d'action et doit juste juger les touches et le jeu deloyal... Si c'est l'arbitre qui juge l'en avant il aurait rien dit donc.
Mais je me dis qu'on aurait du porter réclamation lors de la demis à Sainté vu que c'est Péchambert qui dit à Garces que l'essai est valable .
Bon ceci dit à l'époque on était pas dans les petits papiers de la fédé pas sur que cela serait passé
#2823
Posté 18 mai 2018 - 16:32
La prescription sur ce genre de cas c'est de combien ?
Non, passke bon... Y'a la demi finale contre le Racigne d'y a 2 ans qu'on pourrait rejouer, non ? (avec les mêmes joueurs qu'à l'époque évidemment ! )...
- Silhouette aime ceci
#2824
Posté 21 mai 2018 - 10:29
A priori il s'appuie sur un texte de loi qui dirait que c'est le juge de touche qui a invalidé l'essai et celui ci n'a aucun pouvoir décisionnaire sur ce genre d'action et doit juste juger les touches et le jeu deloyal... Si c'est l'arbitre qui juge l'en avant il aurait rien dit donc.
Mais je me dis qu'on aurait du porter réclamation lors de la demis à Sainté vu que c'est Péchambert qui dit à Garces que l'essai est valable
.
Bon ceci dit à l'époque on était pas dans les petits papiers de la fédé pas sur que cela serait passé
C'est plus exactement une question de procédure... L'arbitre central peut consulter son JT avant d'accorder l'essai (pour en-avant ou autre), mais s'il l'a déjà accordé, il ne peut revenir sur sa décision que si le JT lui signale un passage en touche ou touche de but ou du jeu déloyal.
#2825
Posté 22 mai 2018 - 04:25
A priori il s'appuie sur un texte de loi qui dirait que c'est le juge de touche qui a invalidé l'essai et celui ci n'a aucun pouvoir décisionnaire sur ce genre d'action et doit juste juger les touches et le jeu deloyal... Si c'est l'arbitre qui juge l'en avant il aurait rien dit donc.
Mais je me dis qu'on aurait du porter réclamation lors de la demis à Sainté vu que c'est Péchambert qui dit à Garces que l'essai est valable
.
Bon ceci dit à l'époque on était pas dans les petits papiers de la fédé pas sur que cela serait passé
La décision est in fine toujours du ressort de l'arbitre central, étant donné qu'il la signifie par le coup de sifflet et la gestuelle appropriée (bras en l'air pour un essai), qui valident sa décision. L'avis du juge de touche n'est que consultatif... Mais la décision reste celle de l'arbitre.
Sur le fait de revenir sur une première décision, ça ne semble pas tellement problématique à priori, ça se voit régulièrement justement avec l'arbitrage video, non ? Ou me trompe je ?
#2826
Posté 09 juin 2018 - 11:07
Je sais pas si certains ont eu des retours sur les fameux CTC, que notre fédé devait offrir au monde amateur grâce a l'argent du rugby pro
Visiblement ce dernier devait en garder sous la main parce que du coup , seul les salures seront finances par la fédé et pour un nombre infereieur a ce qui avait été annoncé et les frais de fonctionnement afférents a ces cades devront été pris en charge par les nouvelles ligues qui pour certaines n'ont même pas de quoi se payer une secrétaire pour faire l'administratif donc bye bye les ctc
Le rugby pro a gagner malgré les gesticulations de Bernie , et d'ici quelques années le rugby français sera quasi inxistant
De moins en moins de licenciés , de moins de moins de scolaire, des compétitions unss erratique (exemple d'une section sportive unss, pas d'une AS pour ceux qui voient la différence, en ile de France pas le plus petit comite qui joue dans sa saison un match
- JB 03 aime ceci
#2827
Posté 09 juin 2018 - 17:08
alors ? aucune mise en examen ?
#2828
Posté 10 juin 2018 - 08:00
Les auditions menées mercredi par le conseil supérieur de la Direction nationale d'aide et de contrôle de gestion (DNACG) l'ont conduit à ne pas sanctionner Montpellier et Toulon. Les deux clubs du Top 14 avaient été renvoyés par le bureau de la Ligue devant le gendarme financier après des anomalies relevées par Samuel Gauthier, le salary cap manager, portant sur la saison 2016-2017. Il leur était reproché une « inobservation des dispositions relatives aux procédures de contrôle et à la production des informations » ainsi que, au MHR seulement, « un dépassement du salary cap », estimé à 400 000 €. Selon nos informations, la LNR devrait interjeter appel devant la commission d'appel de la FFR. Elle dispose pour cela d'un délai de sept jours après la réception de la notification des décisions.
Mercredi, le dossier du RCT a, le premier, été examiné par les trois membres du conseil supérieur de la DNACG qui officiaient : Jean-Claude Franceschi, son président, Fabrice Fricou et Alain Lajugie. D'emblée, Franceschi a déclaré ne pas vouloir présider la séance, se départant de son rôle au motif qu'il connaît Mourad Boudjellal. Lajugie l'a remplacé, ce qui n'a pas empêché Franceschi de siéger. Or, les liens de ce dernier avec le président du club varois vont au-delà de la simple « connaissance ». Franceschi détient en effet 25 % du capital de la société d'expertise-comptable GF Consultants, basée à Toulon, qui est partenaire du RCT. Il est aussi le trésorier général du comité Côte d'Azur de rugby, qui a d'ailleurs confié cette saison une mission de sous-traitance à... GF Consultants. Piloté par Henri Mondino, le vice-président de la FFR chargé de la réforme territoriale, ce comité avait pris une part prépondérante dans la campagne de Bernard Laporte.
Au premier trimestre 2017, Franceschi a été nommé à la présidence du conseil supérieur de la DNACG à la suite d'un passage en force de Laporte. À la demande de Paul Goze, le président de la Ligue, les deux dirigeants étaient pourtant convenus oralement que Lajugie serait d'abord nommé pour deux ans, avant que Franceschi lui succède. L'expert-comptable toulonnais pouvait-il donc raisonnablement siéger mercredi pour statuer sur le RCT ? Boudjellal, lui, n'a en tout cas pas jugé bon de se déplacer. Pour défendre son club, il est intervenu seul, en visioconférence, moquant là un lapsus de Lajugie (« bureau fédéral » au lieu de « bureau directeur »), répliquant ici aux membres de la DNACG sans crainte : « Je suis rond, vous êtes carrés ! »
Mohed Altrad offensifEnfin, le président du RCT a reconnu ses torts avant de promettre, en substance, qu'il ne recommencerait plus... Franceschi a ensuite repris la présidence pour examiner le cas de Montpellier. Mohed Altrad était accompagné par trois avocats, dont Me Antoine Vey, associé d'Éric Dupond-Moretti et spécialiste du droit pénal des affaires, mémoire de cinquante pages à l'appui. D'emblée, ceux-ci ont demandé que les non-membres de la DNACG sortent de la salle, visant Gauthier et Rémi Pallincourt, le secrétaire général de la LNR. Après un aparté, Franceschi, Lajugie et Fricou ont autorisé ces derniers à rester, à la condition qu'ils ne s'expriment pas... Les avocats ont alors démonté la procédure de contrôle du salary cap.
Ils ont aussi posé une question prioritaire de constitutionnalité (QPC), en remettant en cause les articles L 131-16 et L 132-2 du code du sport, un droit reconnu à toute personne qui est partie à un procès ou à une instance de soutenir qu'une disposition législative porte atteinte aux droits et libertés garantis par la Constitution. Ainsi, les avocats du MHR ont argué que le plafonnement de la rémunération des rugbymen induit par le salary cap constitue un obstacle à la liberté d'entreprendre, à la liberté d'association ou encore au respect du droit de la vie privée. Altrad, lui, a soupçonné tout haut Gauthier de délit de faciès à son encontre. Franceschi a compati, confiant qu'il avait lui-même un ami proche prénommé « Khaled ».
Le salary cap manager snobéEn fin d'audition, le salary cap manager a pu brièvement prendre la parole, tandis que les avocats du MHR bavardaient entre eux, sans l'écouter. Étonnamment, alors que les mémoires en défense de Montpellier n'étaient parvenus aux intéressés que la veille au soir, le délibéré a été rendu presque instantanément. Les membres de la DNACG savaient-ils déjà tout ? Rien ne permet de l'affirmer.
Il est certain, en revanche, que Fabrice Fricou, expert-comptable à Brives-Charensac (Haute-Loire), est un ami d'Altrad, qu'il tutoyait pendant l'audition. Le président du MHR, comme d'autres acteurs du monde de l'entreprise et du rugby, est intervenu lors de conférences que Fricou organise autour du rugby au profit de causes nobles, à l'instar du Dispositif d'accompagnement du handicap vers les loisirs intégrés et réguliers (DAHLIR). Le 7 octobre dernier, Laporte, lui aussi, avait accepté l'invitation de l'expert-comptable, participant à une conférence sur « la place du rugby amateur dans la cité ».
- Silhouette aime ceci
#2829
Posté 10 juin 2018 - 08:10
Je viens de vomir..Bal inique à la DNACG pour Toulon et Montpellier
Publié le dimanche 10 juin 2018 à 00:15| Mis à jour le 10/06/2018 à 00:17 L'instance a blanchi les clubs de Montpellier et de Toulon, auditionnés cette semaine pour des infractions présumées au salary cap. Mais la Ligue ne devrait pas en rester là.
Les auditions menées mercredi par le conseil supérieur de la Direction nationale d'aide et de contrôle de gestion (DNACG) l'ont conduit à ne pas sanctionner Montpellier et Toulon. Les deux clubs du Top 14 avaient été renvoyés par le bureau de la Ligue devant le gendarme financier après des anomalies relevées par Samuel Gauthier, le salary cap manager, portant sur la saison 2016-2017. Il leur était reproché une « inobservation des dispositions relatives aux procédures de contrôle et à la production des informations » ainsi que, au MHR seulement, « un dépassement du salary cap », estimé à 400 000 €. Selon nos informations, la LNR devrait interjeter appel devant la commission d'appel de la FFR. Elle dispose pour cela d'un délai de sept jours après la réception de la notification des décisions.
Pas de sanction contre Montpellier et Toulon par la DNACG
Mercredi, le dossier du RCT a, le premier, été examiné par les trois membres du conseil supérieur de la DNACG qui officiaient : Jean-Claude Franceschi, son président, Fabrice Fricou et Alain Lajugie. D'emblée, Franceschi a déclaré ne pas vouloir présider la séance, se départant de son rôle au motif qu'il connaît Mourad Boudjellal. Lajugie l'a remplacé, ce qui n'a pas empêché Franceschi de siéger. Or, les liens de ce dernier avec le président du club varois vont au-delà de la simple « connaissance ». Franceschi détient en effet 25 % du capital de la société d'expertise-comptable GF Consultants, basée à Toulon, qui est partenaire du RCT. Il est aussi le trésorier général du comité Côte d'Azur de rugby, qui a d'ailleurs confié cette saison une mission de sous-traitance à... GF Consultants. Piloté par Henri Mondino, le vice-président de la FFR chargé de la réforme territoriale, ce comité avait pris une part prépondérante dans la campagne de Bernard Laporte.
Au premier trimestre 2017, Franceschi a été nommé à la présidence du conseil supérieur de la DNACG à la suite d'un passage en force de Laporte. À la demande de Paul Goze, le président de la Ligue, les deux dirigeants étaient pourtant convenus oralement que Lajugie serait d'abord nommé pour deux ans, avant que Franceschi lui succède. L'expert-comptable toulonnais pouvait-il donc raisonnablement siéger mercredi pour statuer sur le RCT ? Boudjellal, lui, n'a en tout cas pas jugé bon de se déplacer. Pour défendre son club, il est intervenu seul, en visioconférence, moquant là un lapsus de Lajugie (« bureau fédéral » au lieu de « bureau directeur »), répliquant ici aux membres de la DNACG sans crainte : « Je suis rond, vous êtes carrés ! » Mohed Altrad offensif
Enfin, le président du RCT a reconnu ses torts avant de promettre, en substance, qu'il ne recommencerait plus... Franceschi a ensuite repris la présidence pour examiner le cas de Montpellier. Mohed Altrad était accompagné par trois avocats, dont Me Antoine Vey, associé d'Éric Dupond-Moretti et spécialiste du droit pénal des affaires, mémoire de cinquante pages à l'appui. D'emblée, ceux-ci ont demandé que les non-membres de la DNACG sortent de la salle, visant Gauthier et Rémi Pallincourt, le secrétaire général de la LNR. Après un aparté, Franceschi, Lajugie et Fricou ont autorisé ces derniers à rester, à la condition qu'ils ne s'expriment pas... Les avocats ont alors démonté la procédure de contrôle du salary cap.
Ils ont aussi posé une question prioritaire de constitutionnalité (QPC), en remettant en cause les articles L 131-16 et L 132-2 du code du sport, un droit reconnu à toute personne qui est partie à un procès ou à une instance de soutenir qu'une disposition législative porte atteinte aux droits et libertés garantis par la Constitution. Ainsi, les avocats du MHR ont argué que le plafonnement de la rémunération des rugbymen induit par le salary cap constitue un obstacle à la liberté d'entreprendre, à la liberté d'association ou encore au respect du droit de la vie privée. Altrad, lui, a soupçonné tout haut Gauthier de délit de faciès à son encontre. Franceschi a compati, confiant qu'il avait lui-même un ami proche prénommé « Khaled ». Le salary cap manager snobé
En fin d'audition, le salary cap manager a pu brièvement prendre la parole, tandis que les avocats du MHR bavardaient entre eux, sans l'écouter. Étonnamment, alors que les mémoires en défense de Montpellier n'étaient parvenus aux intéressés que la veille au soir, le délibéré a été rendu presque instantanément. Les membres de la DNACG savaient-ils déjà tout ? Rien ne permet de l'affirmer.
Il est certain, en revanche, que Fabrice Fricou, expert-comptable à Brives-Charensac (Haute-Loire), est un ami d'Altrad, qu'il tutoyait pendant l'audition. Le président du MHR, comme d'autres acteurs du monde de l'entreprise et du rugby, est intervenu lors de conférences que Fricou organise autour du rugby au profit de causes nobles, à l'instar du Dispositif d'accompagnement du handicap vers les loisirs intégrés et réguliers (DAHLIR). Le 7 octobre dernier, Laporte, lui aussi, avait accepté l'invitation de l'expert-comptable, participant à une conférence sur « la place du rugby amateur dans la cité ».
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- Jesus Hans Hubert Vorme et ESQ4 aiment ceci
#2830
Posté 10 juin 2018 - 09:59
#2831
Posté 10 juin 2018 - 10:03
Bal inique à la DNACG pour Toulon et Montpellier
Etc . . . etc . . .
Merci pour le résumé.
Sources . . . ?
#2832
Posté 10 juin 2018 - 10:09
Pire qu'une mascade.
Un encade. Je sais il manque ..
Le salary cap n'est pas défendable. C'est un gentleman agreement qui tient tant qu'il y a des gentlemen. C'est un moindre mal, les mecs pourraient avoir recours au dopage, corrompre les instances ou les arbitres hein...
- cocotte 63 et Bad Zé aiment ceci
#2833
Posté 10 juin 2018 - 12:42
- ESQ4 aime ceci
#2834
Posté 10 juin 2018 - 13:34
Du coup on peut y aller, enfin encore plus je veux dire
#2835
Posté 10 juin 2018 - 14:06
Ou un peu de tout ça. Altrad, défendu par Dupont moretti, qui accuse l'accusation de racisme... C'est pas beau ça ?Un encade. Je sais il manque ..
Le salary cap n'est pas défendable. C'est un gentleman agreement qui tient tant qu'il y a des gentlemen. C'est un moindre mal, les mecs pourraient avoir recours au dopage, corrompre les instances ou les arbitres hein...
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