

La FFR et ses magouilles
#2791
Posted 06 April 2018 - 11:48 AM

#2792
Posted 06 April 2018 - 12:46 PM
on peut se rejouir des déboires de laporte, de toute facon cette hsitoire est sans doute un premice d'une prise de pieds dans le tapis, car pire pour moi que le bidouillage d'un sondage vote c'est la connerie d'avoir organisé un truc pareil pour decaller un match de 10 mn
ils se foutent eux même dans la merde avec cette histoire , et pour moi ca fait aucun doute qu'ils feront la connerie de trop (peut etre deja faite) qui les fera sauter en esperant que seul eux seront impactés
ce qui me gene la dedans c'est l'entreprise de demolition entamée par l'equipe qui tire a vu :
sur laporte, a juste titre sans doute mais pourquoi dans le sport des pourris a manque pas
sur rugbyrama, bon peut pas dire qu'on a faire à la fine fleur du journalisme mais ca ressemble quand même a un etentative d'elimination d'un concurrent
et sur le rugby, enfin j'ai l'impression que ca me donne, alors le rugby paye sans doute toutes les leçons sur les valeurs qu'il a donné tout le monde et tout le temps mais l'equipe y va gaiement et on voit les conséquences sur l'image de notre sport (un recent sondage du JDD il me semble) et ca commence sérieusement a battre de l'aile et à avoir des répercussions sur les licenciés
l'equipe ne serait elle pas entrain d'essayer de redorer l'image de marque relative de son fond de commerce "le foot"
sans parler de la phrase suivante :
« Il n'y a pas eu de triche », assure Latour sans en apporter la preuve
que je trouve particulièrement deguelasse , car normalement la charge de la preuve appartient à l'accusateur
sur ce mon analyse est totalement objective j'ai jamais pu supporter l'equipe depuis le "petit tourneur fraiseur" , journal d'intello parisien
PS ne me taxer de pro laporte, on est en guerre sur la reforme des championnats féminin
- bazooka and xdderf63 like this
#2793
Posted 06 April 2018 - 13:48 PM
Un autre article ce jeudi sur le fonctionnement interne de la FFR avec toujours des problèmes de recrutement et d’effectif (et de démissions et d’arrêts maladie…) qui a conduit à des retards de salaires d'une semaine.
FACE AUX NOMBREUX DÉPARTS ET ARRÊTS MALADIE, LA GESTION OPÉRATIONNELLE DE LA FÉDÉRATION SE TROUVE RALENTIE, AVEC DES CONSÉQUENCES PARFOIS FÂCHEUSES.
Puisqu’on en est à parler d’engagements, vous vous remémorez sans doute le premier ? Dissolution du comité directeur et création d’un Conseil national supérieur du rugby (CNSR). Visiblement, cette mesure-là non plus n’est pas encore prête. D’ailleurs, le comité directeur était en séminaire sur l’île de Porquerolles pour le week-end de Pâques. Un chouette endroit pour réfléchir, créer du lien, renforcer les équipes. Un autre bon moyen, c’est de payer ses collaborateurs en temps et en heure. Figurez-vous que ce mois-ci, à la Fédération française de rugby, cela n’a pas été possible. D’ordinaire, à la FFR, les salaires tombent le 28 de chaque mois. Les salariés ont cette fois été payés entre le 30, pour ceux qui avaient un compte à la Société générale, et le 4 avril, soit avec une semaine de retard. Les salariés s’étant retrouvés face à des difficultés en raison de cet ajournement ont toutefois reçu un courriel les informant que : « Compte tenu de cette situation exceptionnelle, nous vous informons que tout frais subi par les collaborateurs, du fait de cet incident, sera intégralement pris en charge par la Fédération sur présentation des justificatifs à la DVRH. »
Satanée informatique. Et aucun moyen de faire ça manuellement. Il a fallu faire appel à de l’aide extérieure. Car la première raison à ce retard de versement tient aux nombreuses défections au sein du département des ressources humaines. À l’origine, ce service recensait neuf membres sous la responsabilité du directeur général Sébastien Conchy. La patronne des RH fut la première à poser un arrêt maladie longue durée, mal à l’aise avec le nouveau management au sein de l’institution. Depuis, c’est l’hémorragie. Son adjointe et leur assistante se sont elles aussi récemment mises en indisponibilité. Un membre du service a démissionné et le départ d’un second est imminent. Le département est donc sinistré, sur un mois loin d’être anodin puisqu’il fallait y ajouter le traitement des émoluments des joueurs du quinze de France pour le Tournoi. La vérité des salariés a semble-t-il rattrapé Bernard Laporte. Le patron de la FFR aurait mis son DG devant ses responsabilités et réclamé un audit. Encore un, après celui qui a servi aux licenciements de Guy Novès et de son staff. Rappelons aussi que, depuis plusieurs mois, un numéro vert a été mis en place pour gérer le mal-être de ceux qui en ressentaient le besoin, une enquête du CHSCT a été ouverte pour des problèmes de harcèlement et l’inspection du travail a déjà opéré une première visite in situ.
Ni directeur administratif financier ni contrôleur de gestion depuis un an
Ce flottement au niveau des ressources humaines vient s’ajouter à un climat général encore loin d’être apaisé. Les élus multiplient pourtant les efforts. Si les barbecues costumés n’ont pas rencontré un franc succès, le tirage au sort d’une tombola interne désignera bientôt les dix salariés invités à accompagner les Bleus pour une semaine en Nouvelle-Zélande. Par ailleurs, quatre places additionnelles ont été offertes à chacun pour le match France-Angleterre en plus du quota habituellement attribué. Un geste historique qui visait surtout à limiter la casse d’une billetterie en berne sur le Tournoi, avec pour la première fois depuis de très longues années un Crunch disputé à guichets ouverts.
À l’heure où il va falloir commencer à rédiger les budgets, la Fédération n’a toujours pas recruté de directeur administratif financier ni de contrôleur de gestion, des postes vacants depuis plus d’un an maintenant. Claude Atcher, lui, devait devenir le grand patron du département « business ». Cette création de poste, annoncée le 21 juillet 2017, ne fut jamais formalisée. La Fédération a pris possession de bureaux dans le centre de Paris, dans lesquels l’un des patrons annoncés du GIP s’est déjà installé. Pour l’heure, aucun retard sur les loyers n’est à déplorer.
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#2794
Posted 06 April 2018 - 15:10 PM
Sebastien Conchy, Bègles connection.
#2795
Posted 06 April 2018 - 15:24 PM
Sebastien Conchy, Bègles connection.
Oui et Christophe Reigt aussi
https://www.20minute...ard-laporte-ffr
#2796
Posted 06 April 2018 - 15:30 PM
Plus c est gros plus ça passe
#2797
Posted 06 April 2018 - 15:57 PM
entreprise de démolition justifiée par les antécédents du nanard, ils ont flairé le bon filon les journalistes, tu as juste à le suivre à la culotte et tu es sûr de trouver du croustillant car en plus les ficelles sont relativement grosses en général!on peut se rejouir des déboires de laporte, de toute facon cette hsitoire est sans doute un premice d'une prise de pieds dans le tapis, car pire pour moi que le bidouillage d'un sondage vote c'est la connerie d'avoir organisé un truc pareil pour decaller un match de 10 mn
ils se foutent eux même dans la merde avec cette histoire , et pour moi ca fait aucun doute qu'ils feront la connerie de trop (peut etre deja faite) qui les fera sauter en esperant que seul eux seront impactés
ce qui me gene la dedans c'est l'entreprise de demolition entamée par l'equipe qui tire a vu :
sur laporte, a juste titre sans doute mais pourquoi dans le sport des pourris a manque pas
sur rugbyrama, bon peut pas dire qu'on a faire à la fine fleur du journalisme mais ca ressemble quand même a un etentative d'elimination d'un concurrent
et sur le rugby, enfin j'ai l'impression que ca me donne, alors le rugby paye sans doute toutes les leçons sur les valeurs qu'il a donné tout le monde et tout le temps mais l'equipe y va gaiement et on voit les conséquences sur l'image de notre sport (un recent sondage du JDD il me semble) et ca commence sérieusement a battre de l'aile et à avoir des répercussions sur les licenciés
l'equipe ne serait elle pas entrain d'essayer de redorer l'image de marque relative de son fond de commerce "le foot"
sans parler de la phrase suivante :
« Il n'y a pas eu de triche », assure Latour sans en apporter la preuve
que je trouve particulièrement deguelasse , car normalement la charge de la preuve appartient à l'accusateur
sur ce mon analyse est totalement objective j'ai jamais pu supporter l'equipe depuis le "petit tourneur fraiseur" , journal d'intello parisien
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PS ne me taxer de pro laporte, on est en guerre sur la reforme des championnats féminin
Quand tu as un client comme lui, tu le lâche pas et m'etonnerai pas que l'attribution de la CDM en France nous apporte quelque pages encore à venir 😉
- bazooka likes this
#2798
Posted 06 April 2018 - 16:26 PM
entreprise de démolition justifiée par les antécédents du nanard, ils ont flairé le bon filon les journalistes, tu as juste à le suivre à la culotte et tu es sûr de trouver du croustillant car en plus les ficelles sont relativement grosses en général!
Quand tu as un client comme lui, tu le lâche pas et m'etonnerai pas que l'attribution de la CDM en France nous apporte quelque pages encore à venir
oh oui...
Pour ça, il faut suivre Augustin Pichot qui a changé son vote en notre faveur...
- ESQ4 likes this
#2799
Posted 06 April 2018 - 18:50 PM
#2800
Posted 07 April 2018 - 09:04 AM
Ça commence vraiment à devenir pénible ces manières de mafieux. Qu'attend le ministère pour mettre un bon coup de pression sur ces margoulins !
Au ministère c'est les mêmes.
Bah non, le bourrage d'urne, c'est comme le bourrage de dinde à Noël, une sorte de tradition dans les démocraties.
Pour le coup, l'élection de vals est beaucoup, beaucoup plus suspecte.
Ca évite le fis...
#2801
Posted 07 April 2018 - 13:30 PM
San vouloir me faire l'avocat du diable,
je vais peut être en choquer certain,6000 euros dans le privé c'est le salaire d'un cadre A dirigeant qui travaille dans une bonne boite commerciale, celui de mon ancien chef "directeur de région" ,sans les primes et les frais ,maintenant que BL fasse bosser ses potes ,les autres faisaient pareil et le prochain fera de même ...
Si on ramene ces salaires a ceux de leur homologue de la FFF ,on va passer pour des petits joueurs...
Je parle pas de Carter qui palpe 150 Ke par mois au Racing assis sur le banc,la sa dérange personne...
- Jesus Hans Hubert Vorme likes this
#2802
Posted 07 April 2018 - 14:28 PM
San vouloir me faire l'avocat du diable,
je vais peut être en choquer certain,6000 euros dans le privé c'est le salaire d'un cadre A dirigeant qui travaille dans une bonne boite commerciale, celui de mon ancien chef "directeur de région" ,sans les primes et les frais ,maintenant que BL fasse bosser ses potes ,les autres faisaient pareil et le prochain fera de même ...
Si on ramene ces salaires a ceux de leur homologue de la FFF ,on va passer pour des petits joueurs...
Je parle pas de Carter qui palpe 150 Ke par mois au Racing assis sur le banc,la sa dérange personne...
La question n'est pas leur salaire; mais les compétences / expériences associées au poste
Un président qui dit "je prendrais pas de salaire" mais qui engage ses potes afin de régner en despote, c'est juste... non rien
J'attend juste qu'on le destitue pour son oeuvre
- Paolinito likes this
#2803
Posted 09 April 2018 - 19:12 PM
La ministre des sports était une sportive fabuleuse. Mais je crains qu'en tant que Ministre , la guêpe ait perdu son dard.
Le-la seule qui en ait eu a ce poste c'est Marie Georges, très très loin devant tout le monde en matière d'efficacité a son poste.
Tant que la guêpe comprend pas qu' elle doit s'y coller, le bernie et beaucoup d'autres peuvent dormir sur le magot tranquille.
Envoyé de mon SM-A310F en utilisant Tapatalk
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#2804
Posted 10 April 2018 - 05:37 AM
La saison se termine et toujours rien ! Ceux qui attendaient un verdict rapide sont déçus ! Ils le seront encore plus l'année prochaine...................
#2805
Posted 12 April 2018 - 06:08 AM
la suite :
Serge Simon, vice-président de la Fédération française de rugby, et Claude Atcher, directeur de la candidature de la France à l'organisation de la Coupe du monde 2023 et aujourd'hui pilote de son organisation, ont tous deux été perquisitionnés à leur domicile, comme l'avaient été Bernard Laporte, Mohed Altrad et le siège de la FFR à Marcoussis le mardi 23 janvier dernier. En soi, ce n'est pas une accélération ou un bouleversement brutal de l'enquête, mais une suite intéressante d'un feuilleton démarré le 29 juin de l'année dernière.
Une nouvelle intervention de la brigade de répression de la délinquance économique (BRDE), bien entendu en lien avec l'enquête pour favoritisme instruite depuis cet hiver par le parquet national financier (PNF) contre l'actuel président de la fédération et Mohed Altrad. L'institution judiciaire, créée par une loi du 6 décembre 2013 à la suite de l'affaire Cahuzac, et compétente pour traiter des dossiers de trafic d'influence, corruption, blanchiment d'argent, ne s'interdit aucune démarche dès lors qu'elle se saisit d'un dossier.

Plusieurs mois seront sans doute nécessaires pour analyser le contenu des éléments saisis et placés sous scellés. Ces nouvelles investigations policières indiquent néanmoins que l'enquête continue. Les auditions de certains membres et salariés de la FFR ont même commencé auprès du PNF. Selon l'usage, celles de Laporte, d'Altrad, voire de Simon et d'Atcher, attendront vraisemblablement la fin de l'enquête, le temps que la justice ait récolté un maximum d'éléments. « Un dossier ne commence pas par une perquisition, nous indiquait Gustave Charvet, avocat pénaliste à Paris, en marge des événements de janvier. Logiquement, cela désigne l'état d'une enquête déjà avancée. On ne procède pas à une perquisition à partir d'une simple idée. »
Les enquêteurs ont ciblé cette fois les plus proches collaborateurs de Laporte : ses deux bras droits, en quelque sorte. Vice-président rémunéré et tenant du dogme « laportien », Simon empile les casquettes. Il est à la fois manager des équipes de France et élu en charge du marketing et de la communication. C'est aussi lui qui représente l'institution lors des réunions de la Ligue nationale de rugby.
Claude Atcher n'a, pour sa part, pas de fonction officielle. Il devait hériter d'un département « business », annoncé par Sébastien Conchy à tous les collaborateurs par mail le 21 juillet en ces termes : « Après une mission d'audit menée par Claude Atcher, j'ai le plaisir de vous annoncer que nous allons réorganiser les départements marketing - événementiel - billetterie afin de les regrouper autour d'un département business qui concentrera tous les services qui concourent à générer des recettes pour la FFR, à l'exception des licences. [...] Les missions transverses seront mieux coordonnées et adressées et, nous l'espérons, cette réorganisation permettra de gagner en efficience par une meilleure synergie opérationnelle. »

Cette réorganisation n'a finalement jamais vu le jour, même après le succès dans la course au Mondial 2023. En revanche, celui qui pilotait déjà les opérations lors de l'édition de 2007, en France, puis la candidature victorieuse du Japon pour 2019, travaille désormais sur celle d'après. Par ailleurs, les dirigeants fédéraux s'étaient engagés à constituer un groupement d'intérêt public (GIP) dans les cent jours suivant la désignation du pays hôte. Celui-ci n'est toujours pas officiellement nommé, mais il semble acté qu'Atcher occupera un rôle important au sein de la future structure.
Une enquête qui change de natureCes dernières perquisitions étendent donc l'investigation à des personnalités jusqu'ici préservées par les remous des polémiques et franchement discrètes sur le sujet, eu égard à leur niveau de responsabilité dans l'organigramme. Après la transmission du dossier à la justice, Serge Simon avait déclaré : « La pression médiatique était telle que c'est une hypothèse (les perquisitions) qu'on envisageait. Maintenant, les choses vont suivre un cours plus classique. [...] La ministre reconnaît elle-même qu'il n'y a pas de faits avérés révélés par l'Inspection. »

Un argumentaire curieux, d'autant que Laura Flessel n'a jamais publiquement reconnu rien de tel. Par ailleurs, pourquoi aurait-elle transmis le rapport de l'Inspection générale de la Jeunesse et des Sports à la justice si celui-ci s'avérait vide ?
Voilà donc Serge Simon rattrapé par une certaine ironie du sort quand on se souvient que le jour des opérations simultanées au CNR de Marcoussis, chez Laporte à Paris ainsi qu'au siège de la société et du club d'Altrad à Montpellier, Atcher et lui s'étaient envolés pour Londres, où avait lieu une réunion du Six Nations, laissant notamment les salariés livrés à eux-mêmes devant les policiers de la BRDE.
L'importance et la nature de leurs fonctions au sein de la FFR laissent toutefois à penser que l'enquête change à présent de nature. Du moins, elle s'éloigne petit à petit du soupçon de favoritisme, qui pèse sur la décision de la commission d'appel de la FFR, par le président Laporte au profit du club du président Altrad (Montpellier), alors qu'il était lié à ce dernier par un contrat personnel. En impliquant Simon et Atcher, l'affaire paraît s'étendre notamment aux deals commerciaux et aux partenariats noués, entre autres, autour de la vente du maillot des Bleus.
Chronologie de l'affaire
Bernard Laporte est élu président de la FFR.
Un contrat de partenariat est signé entre les sociétés Altrad Investment Authority et B.L. Communication.
La commission de discipline de la LNR condamne le MHR à un match de suspension et 70 000 € d'amende pour des banderoles hostiles à la Ligue lors de Montpellier-Racing 92, le 22 avril. La commission d'appel de la FFR (Simonet, Malterre et Peyramaure) examine l'appel du MHR et maintient les sanctions. Laporte appelle Simonet et lui demande de « tenir compte » du contexte (tensions Ligue- Fédération, fusion avortée entre le Racing et le Stade Français). La décision est modifiée.
Après la révélation par le « JDD » du contrat liant Altrad et Laporte, Peyramaure et six autres membres de la commission d'appel démissionnent. Le 28 août, Laporte renonce au contrat le liant à la société Altrad, actant de fait sa réalité. Deux jours plus tard, Laura Flessel, ministre des Sports, annonce l'ouverture d'une enquête de l'inspection générale pour faire la lumière sur cette affaire de favoritisme présumé.
Laura Flessel saisit le Parquet.
La police judiciaire perquisitionne le siège de la FFR, celui du groupe Altrad et les domiciles de Laporte et Altrad.
- cocotte 63, Frédéric58, bazooka and 3 others like this
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