9841 réponses à ce sujet

[Polochon]

va le prouver 

 

Ca me paraît simple au contraire.

1°) Trouver un président qui prétend avoir été contacté
2°) Vérifier le registre des appels qu'il a reçu pour trouver celui de Laporte/Simon
3°) Lister tous les appels passés par ce numéro à des présidents de clubs après la deadline 

Dans un pays "normal", ça devrait être bouclé en 2 jours.

Là, il pourrait être convoqué dans 3 ans si l'affaire n'est pas enterré avant

[Jesus Hans Hubert Vorme]

minable,le rugby français est minable,les présidents(ah ça,ils sont contents d'être présidents,le titre leur suffit)sont contents,ils auront leurs invitations aux prochains matchs du XV de France,devant 1.000 personnes!!!
la tristesse,c'est que les malhonnêtes ont le dessus aujourd'hui
vous avez vu la gueule d'honnête homme de Laporte ??? et de Simon ???
merci aux présidents du secteur amateur de s'être fait enc...pardon,sodomiser

Ils ne se sont pas du tout fait sodomiser. Ils ont voté pour le margoulin qui leur en promettait. Ils sont parfaitement conscients de ce qui se passe, des bidouilles avec les règles de l'élection, de la tâche sans leur slip. C'est juste l'espoir de tirer son épingle du jeu, du gain marginal, même sur un champ de ruines.

[Bru]

Un pèlerinage au Père Lachaise, sur la tombe de Victor Noir.

Tout ce qui brille n'est pas d'or !!!

Dans un pays "normal", ça devrait être bouclé en 2 jours.

Là, il pourrait être convoqué dans 3 ans si l'affaire n'est pas enterré avant

 

 

Ancien ministre, ça crée aussi des liens et coupe du monde en vue donc ..... on connaît la suite, même si j'espère me tromper.

Laporte est le fils caché d'un croisement improbable défiant les grandes lois de la nature, entre Carignon et Balkany (ou d'autres, y'a le choix !).

[marco43]

Notre seule chance, c'est que la justice le rattrape ! Un président en cabane, ça ferait riche ! 

laporte, une cabane, une opposition qui passe par la fenêtre, ça sent plus une démolition qu'une reconstruction

[cocotte 63]

🤮🤮🤮 je men doutais de sa réélection mais quand même ça me fait 🤮🤮🤮 les mecs ils regardent linstantané avec des promesses ou des situations financières « améliorées » sans vouloir voir ce qui (se passe réellement) et ce qui va se passer dans les prochains mois quand il ny aura plus une thune. Ils ne viendront pas pleurer, ils me font gerber 🤮🤮🤮

[George Abitbol]

c'est à peu de chose prés le systémie de sélections sénatoriales.

 

Oui tu as raison.

 

Mais c'est moins grave (à mon sens) vu que, d'une part le sénat (en France du moins) est censé représenter les territoires locaux, et d'autre part c'est l'assemblée nationale qui a le dernier mot en cas de désaccord (Et là aussi on pourriat discuter du fait que les députés ne sont pas tous élus avec le même nombre de voix et que les circonscriptions sont redécoupées tous les 10 ans par celui qui possède les ciseaux pour favoriser son camp lors de la prochaine élection. En général avec un succès mitigé.).

 

Et aussi, on élit un législateur qui a 1/348e des voix (et qui ne vaut rien si l'AN passe derrière) alors que dans l'autre cas on élit le mec qui a le bouton nucléaire de la plus grosse armée du monde.

[Rugby ?]

 

Oui tu as raison.

 

Mais c'est moins grave (à mon sens) vu que, d'une part le sénat (en France du moins) est censé représenter les territoires locaux, et d'autre part c'est l'assemblée nationale qui a le dernier mot en cas de désaccord (Et là aussi on pourriat discuter du fait que les députés ne sont pas tous élus avec le même nombre de voix et que les circonscriptions sont redécoupées tous les 10 ans par celui qui possède les ciseaux pour favoriser son camp lors de la prochaine élection. En général avec un succès mitigé.).

 

Et aussi, on élit un législateur qui a 1/348e des voix (et qui ne vaut rien si l'AN passe derrière) alors que dans l'autre cas on élit le mec qui a le bouton nucléaire de la plus grosse armée du monde.

Elections au suffrage indirect ou suffrage universel. Le résultat est à peu de chose près le même.

Un Président de la République en France est élu dans un affrontement gauche/droite républicaine, avec environ 2% de voix d'écart.

Si on arrivait à définir un corps électoral pour l'élection à la FFR, rien ne dit, qu'au suffrage "universel" direct, Laporte n'aurait pas gagné.

[George Abitbol]

Elections au suffrage indirect ou suffrage universel. Le résultat est à peu de chose près le même.

 

Parfois, mais pas toujours.

 

On a déjà eu un sénat d'un bort et l'AN de l'autre (bon le renouvellement par tiers aide aussi).

 

Et aux dernières élections présidentielles aux USA, le résultat a été carrément différent.

[Rugby ?]

 

Parfois, mais pas toujours.

 

On a déjà eu un sénat d'un bort et l'AN de l'autre (bon le renouvellement par tiers aide aussi).

 

Et aux dernières élections présidentielles aux USA, le résultat a été carrément différent.

Je ne parlais que de la France.

Quand aux législatives en France, c'est une grosse connerie de Jospin (je crois) de les avoir programmées derrière la Présidentielle. Là elles ne peuvent servir que d'entériner la présidentielle. Positionnées avant, elles ouvriraient l'éventail politique, la présidentielle pourrait davantage se placer en contre pouvoir. On aurait un meilleur respect de la séparation des pouvoirs exécutif et législatif.

Le sénat, est une assemblée des sages, censée modérer ou conseiller l'AN. Il est donc forcément plus statique voir réactionnaire.

Quoiqu'il en soit, Laporte est une pourriture, mais il a bien été élu.

[Bad Zé]

Quoi qu'il en soit et eu égard aux casseroles, ce n'aurait pas dû se jouer dans un mouchoir. Laporte aurait dû se faire sortir à coups de pied dans le cul. Ça démontre une appétence majoritaire pour ce type de gouvernance nauséabonde et clientèliste. L'intérêt général versus la somme d'interets particuliers, on voit bien où ça penche. Les principaux concernés étant largement informés, on peut considérer ce vote comme un vote d'adhésion. Que Laporte soit une ordure, ça n'engage qu'une personne, qu'il soit élu ça engage beaucoup plus de gens qui, de ce fait, s'approprient le qualificatif. Ces gens là n'ont aucune excuse. Pas besoin de se repasser Le chagrin et la pitié.

[el landeno]

FFR - Florian Grill sur Bernard Laporte : « Je ne l'imagine pas nous tendre la main » Battu d'un rien, le candidat d'opposition ne désarme pas. Et ne croit pas aux promesses d'unité de Bernard Laporte, qu'il place face à ses responsabilités.

Dans l'attente angoissante du résultat du scrutin puis de la venue de leur champion et de sa garde rapprochée, les supporters de Florian Grill s'étaient rassemblés à la Brasserie Artisanale, un établissement rustique et convivial à l'entrée de Marcoussis. Quelques minutes plus tard, leur tête de liste arrivait, marquée par la déception de sa très courte défaite, mais émue par l'accueil qui lui était réservé. Entre applaudissements et larmes de sa famille et de ses amis, il a d'abord remercié ses soutiens avant de tenir un discours combatif et de fierté.

 

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Bernard Laporte réélu à la présidence de la Fédération française de rugby

« Qu'est-ce qui vous a manqué pour remporter cette élection ?
Je ne sais pas si on aurait pu mieux faire. On n'a pas fait de la politique. On a été sincères tout au long de la campagne et peut-être que cette sincérité n'a pas emporté la décision des clubs ? C'est la vie. Ce fut néanmoins une formidable aventure humaine avec une équipe en béton. On a parlé avec les tripes et le coeur. Je suis très fier des 450 personnes qui ont bossé bénévolement, très fier que l'on ait respecté le code électoral jusqu'au bout, très fier que l'on ait fait une campagne à l'image de ce que je pense devoir être le rugby. On a défendu de belles idées, justes, pour un rugby à l'engagement éducatif et citoyen, pas simplement de la compétition. Enfin, le résultat extrêmement serré devrait inciter Bernard Laporte à de la mesure et de l'écoute.

Craignez-vous que l'énergie que vos équipes et vous-même avez déployée pendant la campagne reste lettre morte ?
Je regrette qu'il n'y ait pas eu de débat parce que je pense qu'il y avait des choses à dire. J'espère néanmoins que nos propositions seront entendues. Et puis mes quarante années de campagnes territoriales et régionales ne s'arrêtent pas à cette élection nationale. Outre mes vingt années de joueur, j'en suis à vingt années de bénévolat et je vais continuer. Je m'engage d'ores et déjà à fond dans la campagne pour la Ligue Île-de-France (dont il est président, élection le 7 novembre), où il y a plein de choses à faire, où j'ai envie de continuer à tester mes idées. On a un plan sur les quartiers prioritaires de la ville, un vrai boulot sur le scolaire déjà activé, deux sujets majeurs pour le rugby, mais cette fois-ci francilien. Ce sport mérite qu'on s'y engage. Je sais à quel point le rugby m'a construit et je ne renie rien de tout cela, malgré le résultat de la campagne qui forcément fait mal. Et je suis content de pouvoir me regarder dans la glace pour me dire que ce que j'ai fait, je l'ai bien fait.

Vous avez gagné du terrain, par rapport à il y a quatre ans, et six sièges de plus au comité directeur. Qu'est-ce que cela va offrir comme latitude à l'opposition ?
Malheureusement, étant donnée la manière dont le comité directeur est géré, cela ne changera rien. C'est une chambre d'enregistrement. Mes colistiers et moi continuerons à rester constructifs et à voter ce qui nous paraît bien et à nous opposer sur ce qui nous dérange. Je ne vais pas changer aujourd'hui. Je suis persistant, déterminé et je garde mes convictions. Paradoxalement, je n'ai jamais douté, parce que je suis convaincu que c'est ce dont le rugby a besoin.

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Élection FFR : Bernard Laporte et l'unité de combat

Compte tenu des déclarations de votre adversaire à votre endroit, notamment dans la dernière ligne droite, imaginez-vous pouvoir dialoguer avec lui ?
Je ne l'imagine pas nous tendre la main. Ce n'est ni dans son tempérament ni dans sa manière de faire. Il utilise les mots mais il n'est pas rassembleur. En tout cas ses priorités ne me semblent pas être celles-là. Après, tant mieux pour le rugby si je me trompe.

Le rugby reste sur quatre années d'un climat délétère et de clivages. Que redoutez-vous des quatre prochaines ?
Ce que nous avons déjà vécu : le comportement clanique, l'implication de la Fédération dans la campagne des Ligues, chose qu'elle devrait s'interdire, parce que quand on est président de la Fédération, on est le président de tous les clubs, pas d'un camp, et le devoir d'exemplarité n'est pas une option.

La LNR a lancé un référé contre la FFR, elle attaque World Rugby, dont Bernard Laporte est le vice-président, la crise économique va chevaucher la crise sanitaire en cours et vous avez souvent émis des doutes sur la gestion financière de la FFR...
(Il coupe.) Mais tout est à l'avenant avec eux. Tout est sujet à inquiétude pour moi. Je crois que Bernard Laporte est à présent face à ses responsabilités. Il a promis beaucoup. Il va falloir qu'il gère dans un contexte de crises économique et sanitaire majeures. Après, moi je suis là pour le rugby et tant mieux s'il s'en sort. Et même si (le fonds d'investissement) CVC arrive, la question sera : qui rachètera les parts de CVC dans quatre ou cinq ans ? C'est une planche de salut très inquiétante. »

 

Élection FFR : Bernard Laporte et l'unité de combat Réélu samedi, le président de la Fédération française a délivré un discours rassembleur. Passer des paroles aux actes sera une nécessité pour l'avenir du rugby français.

Des hurlements au coeur du silence. Autour de l'auditorium du CNR de Marcoussis, l'ambiance s'était faite pesante durant une demi-heure, mines figées, regards inquiets, paroles rares. Attendus à 12 h 05, soit cinq minutes après la clôture du scrutin fixée aux dirigeants de clubs amateurs pour l'élection à la présidence de la FFR, les résultats du vote ne sont tombés que trente minutes plus tard. À leur annonce par les membres de la commission de surveillance électorale, donnant Bernard Laporte vainqueur avec 51,47 % des voix, les soutiens du dirigeant ont soudain laissé éclater leur joie, libérant la tension qu'ils avaient accumulée depuis la fin de la matinée.

 

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Bernard Laporte, réélu à la présidence de la FFR : « Je n'ai jamais douté »

Quelques minutes plus tôt, le président pas encore réélu avait quitté son bureau, à l'étage du bâtiment, où il se trouvait avec sa garde rapprochée, pour prendre place dans l'auditorium. Sourire goguenard après avoir appris sa reconduction à la tête de l'instance, il remercia sur scène son équipe, mais aussi les clubs de lui avoir maintenu leur confiance, estimant que « la démocratie avait parlé ». Puis il eut droit, au bas de l'auditorium, à un défilé de félicitations, recevant notamment le check du poing de ses opposants, Florian Grill et Jean-Marc Lhermet, l'accolade de Serge Simon et l'étreinte de sa femme.

Rare moment de concorde à l'issue d'une campagne virulente, dont les plaies mettront du temps à cicatriser. Samedi, l'apaisement ne transpirait pas encore à la sortie de l'auditorium de Marcoussis. Le visage marqué, Florian Grill disait réfléchir à déposer un recours concernant l'élection tout en promettant, fort de neuf représentants contre trois auparavant, de jouer à plein son rôle d'opposant en comité directeur. Les résultats partagés du scrutin laissent aussi entrevoir un monde amateur coupé en deux.

Laporte tint, justement, un discours rassembleur. « Je serai le président de tous les clubs, d'un seul rugby, un rugby français unifié », lança-t-il au pupitre, ne mentionnant toutefois pas dans son discours de victoire le nom de son adversaire. « Tant au niveau amateur qu'au niveau professionnel, il va falloir qu'on se serre les coudes, insista-t-il. L'unité sera mon credo durant ce nouveau mandat. »

La LNR félicite Laporte et appelle à un « dialogue serein »

Mais les premières lézardes dans ce discours n'ont pas tardé à apparaître. Interrogé en conférence de presse sur les huées entendues dans son camp après l'annonce de l'élection au comité directeur de la FFR du président de la Ligue nationale (LNR), Paul Goze, Laporte répliqua : « Oui, mais ce n'est pas nous qui mettons la Fédération devant les tribunaux (référence au référé déposé par la LNR devant la justice administrative au sujet de la mise à disposition des internationaux à l'automne). Moi je souhaite que tout s'apaise et je vais me mettre autour d'une table avec le futur président de la LNR. »

Et pourquoi pas avec Goze, l'actuel, dont le second mandat s'achève en mars prochain, et qui a adressé, samedi, ses félicitations à Laporte, appelant de ses voeux l'ouverture « d'une nouvelle page dans les relations entre les deux institutions » fondée sur « la solidarité et un dialogue serein » ?

L'apaisement et l'unité, sur ce sujet brûlant qui touche directement au XV de France et à ses conditions de travail, peuvent-ils attendre le printemps prochain ? Laporte, qui maintient sa volonté de voir les Bleus jouer 6 matches cet automne (contre 5 voulus par la LNR), semble estimer que oui, qui persiste dans l'idée d'un dialogue en direct avec les présidents de clubs, lesquels ont pourtant donné quitus à l'unanimité à la Ligue pour porter son différend avec la FFR devant la justice.

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Qu'importe, Laporte se projetait déjà sur ses prochains défis, « continuer les réformes engagées » et « retrouver un XV de France qui gagne » en premier lieu. En ce qui concerne ces Bleus, le résultat du scrutin de samedi est signe de stabilité. Le sélectionneur Fabien Galthié, qui avait lié son destin à celui du président sortant pendant la campagne, poursuivra bien son travail à Marcoussis.

Ressorti libre de sa longue garde à vue devant la BRDE mais toujours sous la menace de la justice (*), Laporte, dont il s'agira du deuxième et dernier mandat à la présidence de la FFR, aura bien d'autres objectifs en tête, dont celui de maintenir à flot le monde amateur, dont la reprise a été perturbée et les budgets fragilisés par la crise sanitaire. L'organisation de la Coupe du monde 2023 représentera, elle, un élément phare et essentiel de ce voyage de quatre années. Pour la réussir, oui, il faudra plus qu'une unité de façade.

(*) Il est soupçonné d'avoir influencé la commission d'appel de la FFR, en juin 2017, pour alléger des sanctions envers Montpellier, club dirigé par Mohed Altrad, avec lequel il était alors en contrat personnel.

[bazooka]

Des moules grosses comme des belons !  

J'ai trouvé, des bouses grosses comme des melons

[dim50]

Le rugby français et ses clubs ont donc le président qu ils méritent.

Exactement !

[Alex chocolatines]

J'ai trouvé, des bouses grosses comme des melons

Moi, je vous aide plus ! Georges dit que ça gâche le plaisir ! 

[red-and-black31]

Laporte qui fait un discours de Rassemblement ça me rappelle dans Star Wars Palpatine qui unie toute l'assemblée pendant que Padmé Amidala dit "Voici comment s'éteint la République, sous un tonerre d'applaudissement".

 

Bref à moitié étonné.

On peut admettre que c'est un très bon "politicien".