La Brigitte bardot du jour n'est pas forcément celle de Et Dieu créa la Femme...
Sic transit gloria Mundi !
C'est clair ! il suffit de la regarder aujourd'hui pour s'en rendre bien compte ...
Posté 21 février 2018 - 13:40
La Brigitte bardot du jour n'est pas forcément celle de Et Dieu créa la Femme...
Sic transit gloria Mundi !
C'est clair ! il suffit de la regarder aujourd'hui pour s'en rendre bien compte ...
Posté 21 février 2018 - 13:41
Va bien finir par faire déborder le vase............
Posté 21 février 2018 - 13:53
Ou c'est ça, t'as qu'à me vouvoyer, mon gros.
Fais gâffe , le gonz se faisait appeler Dooley dans le temps ,au quotidien il soulève de la fonte avec des bras à la Vin Diesel ou par la force de la pensée quand il a la flemme.
Posté 21 février 2018 - 14:01
On dirait du Alex
Et il y a des nuls qui cherche des solutions pour redorer le niveau de l EDF, qui parlent de centre de formation.
Le modèle MB, Altrad a encore de beaux jours devant lui il en fait rêver plus d'un.
Alors je précise que ce qui me choque c'est pas la ligne 1 mais la 2.
en gros 2 ou 3 ans, jusqu'a se qu'il y est 18 jiff obligatoire par feuille de match.....
Posté 21 février 2018 - 14:22
Quoi celui d'Afeaki,Morgan et j'en passe? Non tu doit te tromper, Dooley était marrant à ses heures, lui!😎Fais gâffe , le gonz se faisait appeler Dooley dans le temps ,au quotidien il soulève de la fonte avec des bras à la Vin Diesel ou par la force de la pensée quand il a la flemme.
Posté 21 février 2018 - 14:35
Oui ben moi j'ai fait 2 ans de ping-pong.Fais gâffe , le gonz se faisait appeler Dooley dans le temps ,au quotidien il soulève de la fonte avec des bras à la Vin Diesel ou par la force de la pensée quand il a la flemme.
Posté 21 février 2018 - 14:42
Esr ce que quelqu un aurait l interview d'Azema en entier sur le site de l équipe d'aujourd'hui ?
Ça va être chiant à lire mais je n'ai pas le temps (et aussi la flemme) de le recopier.
Edit : ça ne marche pas, on ne peux pas coller des bouts de page. Désolé.
Posté 21 février 2018 - 14:49
Ça va être chiant à lire mais je n'ai pas le temps (et aussi la flemme) de le recopier.
https://www.minutesp...ee-de-clermont/
lien trouvé dans le bar des sports
Posté 21 février 2018 - 14:56
Bravo, tu as été plus efficace que moi.
En même temps, ça n'a pas été dur.
Posté 21 février 2018 - 15:00
Ça va être chiant à lire mais je n'ai pas le temps (et aussi la flemme) de le recopier.
Edit : ça ne marche pas, on ne peux pas coller des bouts de page. Désolé.
ça été mis dans un autre sujet, merci quand même
Posté 21 février 2018 - 17:36
il n'y a pas toute l'interview dans ce lien. Manque entre autres 2 questions. L'une sur Goutta ou il répond qu'il a vécu lui aussi le fait d'arriver dans un club Champion, avec en creux la question de sa légitimité. Il répond qu'il sait l'investissement et l'apport de Goutta.https://www.minutesp...ee-de-clermont/
lien trouvé dans le bar des sports
Posté 21 février 2018 - 21:49
CLERMONT-FERRAND - La météo auvergnate mardi était aussi morose que l'horizon de l'ASM. Mais son club a beau pointer au 10e rang du Top 14, à 15 points des places qualificatives pour la phase finale, Franck Azéma est apparu comme à son habitude : en short et combatif. En fin d'après-midi, l'entraîneur des champions de France s'est longuement confié sur cette saison « pas comme les autres », où tout n'est pas perdu pour ses Jaune et Bleu, encore qualifiés pour les quarts de finale de Coupe d'Europe (contre le Racing, le 1er avril). Sans éluder un seul sujet.
«Fin janvier, tout le club espérait se régénérer pendant la coupure pour repartir du bon pied. Or à Lyon, vous n'avez pu éviter une cinquième défaite d'affilée en Top 14...Pour moi, à Lyon (défaite 36-10), sur l'état d'esprit, sur ce qu'on a proposé comme rugby, on est sur quelque chose de positif. On est en train de se construire. Il faut accepter le déchet. On est dixièmes, c'est la réalité du moment et il y a des éléments objectifs pour dire pourquoi on est dans cette situation-là. Mais ce n'est pas ce qui m'intéresse. On a une expérience qui fait qu'on peut avoir confiance en ce qu'on fait ! Le fait qu'on ait gagné le titre la saison dernière, a aussi fini de casser une certaine mentalité du type "on n'est jamais récompensés". Les mecs savent que ça peut payer. Ça nous a fait du bien. On est sur une dalle consistante, une expertise, une qualité de joueurs et ça, ça va faire qu'on va remonter. Est-ce que ça sera suffisant, est-ce que le timing sera bon ? Pas sûr ! Mais on n'a pas une mentalité à lâcher ni à se plaindre. On continue de bosser.
Avez-vous changé des choses dans votre manière de travailler ?
On va chercher d'autres exercices pour stimuler sur la façon de jouer, de porter le ballon, d'entreprendre. Dans une situation comme la nôtre, le réflexe naturel, dans 90 % des cas, c'est de réduire la voilure. Je n'ai pas envie de ça ! Ça ne correspond pas à notre ADN, à notre esprit, à la qualité de nos joueurs. Réduire la voilure, c'est conforter l'adversaire dans ce qu'il attend ! Après, est-ce que nos joueurs sont capables de tenir cette intensité-là ? Ce sont les aspects sur lesquels on travaille. Il faut avoir la caisse, la technique et les ressources mentales pour notre jeu. On fait beaucoup de physique, beaucoup de jeu, plus que dans une saison normale. Il faut en passer par là.
«On anticipe tous les scénarios»
Vous répétez ces derniers temps que vous n'évoquez pas la qualification pour la phase finale du Top 14. Mais avec votre retard, croyez-vous possible de revenir dans le top six ?Je crois en ce que je travaille à l'entraînement. Est-ce que cela aura des effets sur les matches ? On ne fait pas des calculs sur le nombre de points qu'on devrait marquer. Ça, on ne le maîtrise pas. Ce qu'on maîtrise, c'est notre façon de nous entraîner.Avez-vous déjà travaillé sur un scénario de saison blanche ?C'est dans les possibilités. On peut perdre en quarts de finale de Coupe d'Europe comme se qualifier en étant champions ! On anticipe tous les scénarios. Mais nous, on se prépare pour gagner. Devrait-on s'affoler ? Est-on fragiles à ce point ? On nous a longtemps reproché de ne pas avoir de titres, mais pas de ne pas savoir construire notre club petit à petit sur des bases solides.Vous évoquez les "éléments objectifs" qui expliquent votre situation actuelle. Les blessures en font partie ?(Il sourit.) C'est le facteur no 1 ! Là, on a vingt-deux mecs à l'infirmerie ! Mais ne comptez pas sur moi pour me plaindre. On a des sélectionnés et des blessés, on est impactés. On fait le maximum pour les soigner le plus vite possible. Mais surtout, on doit prendre soin de ceux qui sont aptes, optimiser leurs qualités pour continuer à avancer ! On a été champions la saison dernière parce qu'on a travaillé à cinquante.Vous avez des explications sur cette série de blessures ?Elles sont multiples... J'entends dire tout et n'importe quoi, le terrain, la préparation... Les trois quarts des blessures, c'est des traumas. Tu ne te pètes pas un os à cause de ta préparation physique, non ?Et la pelouse hybride ?On s'est renseignés aux États-Unis, dans l'hémisphère Sud... Aucune étude ne fait ressortir une augmentation des blessures à cause de ça. Il faudrait que notre terrain n'ait pas été fait comme les autres ! On a fait vérifier, il y a des gens qui observent la densité, la glisse, etc. On est dans les normes !Après le titre, votre staff a été renouvelé, avec notamment l'arrivée de Bernard Goutta comme nouvel entraîneur des avants. A-t-il été touché par la situation actuelle ?Certainement que ç'a été difficile. Il est rentré dans un groupe champion de France. Je l'ai vécu ici en 2010, tu es toujours en train de te dire "est-ce que je fais bien, est-ce que je suis dans le bon tempo" ? Je peux le rassurer autant que je veux, ça ne l'empêchera pas d'avoir ce raisonnement ! Mais je suis tranquille, et je ne suis pas le seul à voir ça, je n'ai aucun doute sur son investissement et la qualité qu'il apporte.On sent dans votre groupe l'idée que la Coupe d'Europe peut tout sauver de cette saison étrange ?Il n'y a pas notion de quitte ou double. On a perdu en finale l'an dernier et là, depuis qu'on est sortis de notre poule, il y a l'envie de gagner ce titre. On a la culture de cette compétition, elle correspond à notre identité de jeu. Tout le monde disait que ça serait difficile de sortir de notre poule (où figuraient les Saracens, doubles tenants du titre), on l'a réussi, en étant premiers. C'est légitime qu'on ait de l'ambition dans cette compétition. Mais on sait bien qu'on prend un gros morceau en quarts de finale, avec le Racing, certainement l'équipe qui est la plus costaude en ce moment. C'est stimulant ! »
Posté 23 février 2018 - 05:14
Posté 23 février 2018 - 13:52
Posté 23 février 2018 - 17:30
un 10 confirmé de bon niveau et vite pour suppléer Lopez