J'ai moi aussi le "sentiment" que c'est l'après qui se joue et que Parra se verrait bien calife à la place du calife.
Il n'est sûrement pas seul sur ces velléités...
Pour un tel navire il faut un équipage, et dans un premier temps avancé masqué, d'où l'après rugby précisé par De Kro dans son itw ?
Ce n'est pas une première l'ASM a déjà connu des périodes "coup d'état"
Le dernier en date est je le soupçonne à la fin de carrière de Cudmore, d'où la suite et l'avant d'ailleurs.
Mais tout ceci ne s'annonce pas publiquement et l'institution n'a jusque là, jamais laissé faire.
Demain, il en sera je crois de même, dans ce club et c'est heureux, le pouvoir ne se prend pas par cette voie.
Si les choses sont de cette nature je crois que De Kro tiendra la ligne.
Très bien, mais l'endogamie, on peut aussi s'en passer ! Ou tout du moins, qu'il aille faire ses armes avant, parce que si c'est un excellent joueur, encore faut-il qu'il fasse ses preuves en tant que coach.
La qualité intrinsèque elle est là personne n est devenu mauvais du jour au lendemain.
Après quand je vois Lopez qui dit apres match "on a peut etre moins envie" ben faut peut etre pas chercher bien plus loin.
Je veux bien croire que les saisons sont longues mais bon etre joueur de rugby pro c est probablement pas l enfer non plus.
Bref c est pénible cette situation.
Oui, c'est un discours qui est un peu horripilant. Si certains se sentent las, qu'ils laissent leur place, assument et fasse une pause d'1 ou 2 matchs. McIntyre est prêt à jouer, tout comme d'autres qui doivent avoir faim. C'est du discours OK, mais c'est quand même sacrément destructeur dans un groupe, quand le privilégié (celui qui est titulaire) affirme dans les médias qu'il est un peu fatigué et que ça explique ses performances moyennes..
) avec les joueurs. C'est le rôle des adjoints, le manager étant en retrait, pour avoir une vision globale. Mais comme ça a été dit plus haut, Azéma a essayé de passer un match en tribunes, et il n'y arrive pas. Ce recul manque peut-être un peu. Quand on évoque un coach ou adjoint anglo-saxon, c'est peut-être le pragmatisme et le côté détaché qui manque. L'affectif c'est bien, mais ça a aussi ses limites. 
