C'est 5 euros que tu as du mal à visualiser ?
Oui j en ai jamais vu, tout ce qui est en dessous de 100€ on connait pas ici
Posté 07 octobre 2025 - 13:51
C'est 5 euros que tu as du mal à visualiser ?
Oui j en ai jamais vu, tout ce qui est en dessous de 100€ on connait pas ici
Posté 07 octobre 2025 - 13:58
Decugis grosse pointure de l'investigation l'a retrouvé...
De cujus ?
Posté 07 octobre 2025 - 15:35
Oui j en ai jamais vu, tout ce qui est en dessous de 100€ on connait pas ici
100€ c'est le prix d'une place de stationnement pour faire 1h de courses en ville
Posté 07 octobre 2025 - 16:04
100€ c'est le prix d'une place de stationnement pour faire 1h de courses en ville
tu veux bien parler de parking et de shopping, hein ?
Posté 07 octobre 2025 - 16:27
tu veux bien parler de parking et de shopping, hein ?
Je ne sais pas, je ne connais pas ces mots dans une phrase en Français
Posté 07 octobre 2025 - 17:39
On a vu ce que ça a donné, leurs combines. S'ils étaient si forts que ça, il ne se feraient pas prendre.
Il m'est d'avis que ça les a sans doute refroidis un peu, du moins pour un moment.
Posté hier, 12:34
Ils se sont fait gauler pour Kolbe et Jaminet et encore si Jaminet ne gueule pas pour avoir son pognon ou si le tahitien paye comme prévu, ni vu ni connu et le Salary Cap Manager est à la ramasse !
Des combines il a du y en avoir des caisses vu les effectifs et faut faire confiance aux Lacroix, Lemaitre et autres pour inventer des trucs que le grand kéké Salary Cap nimagine même pas.
Alors cest vrai que ça a dû les calmer un peut, mais chassez le naturel
Posté hier, 12:41
Avec le fameux projet R360, ça pourrait abonder dans le sens des contestataires. Si il y a un moyen de gagner plus d'oseille avec zéro contraintes... Ce qui laisse penser que la fédé et la ligue risquent de lâcher du lest si ils veulent garder leur part de gâteau.
Posté hier, 14:10
Avec le fameux projet R360, ça pourrait abonder dans le sens des contestataires. Si il y a un moyen de gagner plus d'oseille avec zéro contraintes... Ce qui laisse penser que la fédé et la ligue risquent de lâcher du lest si ils veulent garder leur part de gâteau.
R360, je pense que leur première cible c'est des mecs qui ne sont pas (mais qui sont pas loin ou dans un pays avec bcp de concurrence à leur poste) ou plus internationaux. Et si possible des mecs venant de championnats où ls salaires n sont pas ceux du Top14. Ce qui coupera un peu l'herbe sous le pied des menaces des fédé X ou Y sur le statut d'international. Il chercheront sans doute des têtes de gondole, avant tout en termes d'image plus que de niveau de jeu. Je ne vois pas pourquoi des mecs de 32-35 ans ne se laisseraient pas séduire. est-ce pire que jouer une saison au japon ?
Posté hier, 14:17
Avec le fameux projet R360, ça pourrait abonder dans le sens des contestataires. Si il y a un moyen de gagner plus d'oseille avec zéro contraintes... Ce qui laisse penser que la fédé et la ligue risquent de lâcher du lest si ils veulent garder leur part de gâteau.
En tout cas, ton club nous les casse fortement depuis quelque temps.
Posté hier, 14:48
C est surtout que sans les déclarations de revenu des joueurs in fine il est un peu impuissant face à des montages un peu plus olé olé.
Et ça les joueurs l ont bien compris d ou la menace de grève en début de saison
On m'a garanti que les montages Olé Olé ne rentrent pas sur les comptes en banque des joueurs
Donc c'est quelque part, en attente, ou on peut supposer que pour les joueurs étrangers ça va au pays dans la famille...
Donc forcément que les joueurs ne vont pas les déclarer ces revenus qui ne se voient pas...
C'est pas pour ça la menace de grève (ou pas que, en tout cas, mais ça reste mon avis)
C'est parcequ'en cas de tricherie, c'est plus seulement le club qui sera sanctionné, c'est le club + le joueur
Si une déclaration de revenu du joueur est mal ficelée (en accord avec le club, forcément) : le joueur sera sanctionné => c'est la nouveauté
Quelles sanctions ? (et forcément que ce sont les clubs qui vont leur remplir pour ce qu'ils savent ou veulent montrer au SC Manager)
Ce qu'il faut regarder c'est qu'est ce que ça change pour les salaires ? connus et archiconnus d'année en année pour chaque joueur par le contrôleur
=> Rien pour moi
Qu'est que ça change pour un joueur qui touche une avance avant d'arriver dans le club ?
Ccomme on l'a su pour 200.000€ du racing pour Tuisova
Sur l'année en question, le joueur déclare en début de saison son revenu LOU puis en fin de saison il déclare LOU + avance Racing (cette avance compte dans le SC du racing sur la saison suivante)
Qu'est que ça change pour un joueur qui touche encore des sous de prime après son départ ? (et ça pouvait être caché avant ?)
Le joueur déclare avec son nouveau club ce qu'il gagne maintenant en accord avec son nouveau club
Le joueur déclare ce qu'il touche encore de son ancien club ou pas ?
Qu'est que ça change dans le cas d'un transfert type KOLBE (magouille)
Le joueur déclare ce qu'il touche en début de saison de son ancien club, pour 2 mois
Le joueur déclare ce qu'il touche dans son nouveau club (6 fois moins...) pour 10 mois
Le joueur déclare la prime de départ de son ancien club (qui couvre les 6 fois moins) : OK ce qui compte dans le SC de Toulouse
Qu'est que ça change dans le cas d'un transfert type JAMINET (magouille)
Le joueur déclare ce qu'il touche en début de saison de son nouveau club : au salary cap manager de savoir s'il est anormalement bas, anormalement haut (dans ce cas, il peut y avoir dedans le remboursement du prêt mais dans ce 2eme cas ça compte dans le SC de Toulouse de toute manière)
Le joueur déclare ce qu'il touche par un contrat d'image pour le rembourser de son prêt pour s'être libéré (OK, c'est alors au SC manager de demander le contrat d'image au joueur et voir si a un lien avec Toulouse ou non et de demander des explications aux 3 parties
Dans le cas de KOLBE, Toulouse a inventé une Prime pour avoir viré KOLBE donc c'était "réglo" entre guillemet et connu du SC manager et de la LNR puis retoquer par le SC manager suite à investigation et demande de document
Dans le cas de JAMINET, Jaminet aurait un contrat d'image avec un gus qui veut son image avec le maillot de Toulouse. Les clubs + le joueur sont censés être transparents pour les montages. Je suis surpris que USAP qui a touché 450k de la part de Jaminet ne soit pas inquiété dans l'histoire
Mais Jaminet en début de contrat avec Toulouse doit déclarer (avec le nouveau système) ce qu'il touche en droit d'image et c'est plus facile ensuite pour le SC Manager de demander le contrat et d'enquêter pour savoir si Toulouse est le payeur ou pas du tout
Rien n'empêche je pense un millionnaire qui aime de club de CASTRES de payer les joueurs pour les rembourser de se libérer eux mêmes avant la fin de leur contrat et pour les rapatrier à CASTRES. Et aucune raison que l'argent compte dans le SC de CASTRES si ce payeur n'a aucun lien avec le club de CASTRES
Tant qu'il ne paye pas leur salaire pour jouer à CASTRES et que le salaire des joueurs payés par CASTRES n'est pas anormalement bas...
Posté hier, 15:04
En tout cas, ton club nous les casse fortement depuis quelque temps.
Ne sois pas jaloux, l'ASM a connu des heures glorieuses avec pléthore d'internationaux. Vos staffs et directions successives ont loupé la vague sur laquelle ils pouvaient surfer. C'est pas la faute de Toulouse ça.
Posté hier, 17:41
Le lundi 6 octobre 2025 à 23:02 par David Demri
6 Commentaires
En marge de la Nuit du Rugby, le directeur de la Ligue nationale de rugby Emmanuel Eschalier a répondu ce lundi aux déclarations d’Antoine Dupont, lequel demande un assouplissement des règles du salary cap pour que les joueurs puissent être rémunérés par les sponsors de leur club.
Emmanuel Eschalier, comment avez-vous reçu la sortie d’Antoine Dupont, à la Ligue nationale de rugby ?
Est-ce que cette communication était déjà venue à vous, de la part des joueurs – notamment les internationaux – concernant ce volet du salary-cap et de leur contrat avec les sponsors de leur club ?
Le sujet des droits d’image est un sujet de discussion depuis un certain nombre d’années déjà. Après c’est un sujet compliqué parce qu’il n’est pas possible de les exclure complétement en s’agissant des partenaires des clubs. Les droits d’image versés par les partenaires des clubs reviendraient à ouvrir une brèche importante dans la crédibilité et l’efficacité du salary-cap. Maintenant, encore une fois, un débat s’ouvre. Toutes les parties prenantes auront la possibilité d’y participer, le syndicat des joueurs comme tous les autres acteurs.
Ce n’est pas anodin dans la voix d’Antoine Dupont, il parle de chasse aux sorcières. Ça peut vous surprendre un peu ?
Une chasse aux sorcières (il sourit)… Il n’y a aucune chasse aux sorcières. Notre objectif est tourné vers l’intérêt général du rugby professionnel. Encore une fois, le salary-cap c’est une option qui nous permet de consolider les modèles économiques des clubs, d’assurer l’équilibre du championnat, tout en gardant un top 14 qui reste de très loin le championnat le plus attractif du monde. Nous on reste concentrés sur les objectifs. Après il y a des débats de façon permanente sur le salary-cap, c’est assez logique. C’est un dispositif essentiel qui a des impacts importants, pour les joueurs notamment, on en a parfaitement conscience. Le débat va s’ouvrir et toutes les voix pourront s’exprimer.
« Pour que le championnat soit incertain et donc attractif »
Vous pouvez peut-être expliquer l’utilité que la manne de ces sponsors individuels, qui sont les sponsors du club, rentrent dans le salary-cap ?
Le salary-cap vise à limiter les écarts de masse salariale entre les clubs pour que le championnat soit incertain et donc attractif. Si on excluait la totalité des droits d’image versés par les partenaires des clubs, on prendrait le risque qu’il y ait des sommes qui soient versées par les partenaires des clubs en lieu et place des clubs eux-mêmes. C’est un risque qu’on ne peut pas prendre par principe. C’est un sujet compliqué.
Ce sont aussi des leçons du passé qui ont fait qu’on soit passé par cette règle ?
Il y a beaucoup de dispositions du salary-cap qui sont des rebonds sur des expériences passées, des tentatives de contournement. Le règlement a gagné en solidité et en robustesse au fur et à mesure que ceux qui sont en charges de son contrôle, le salary-cap manager principalement, étaient face à des tentatives de contournement qui nous ont amené à faire évoluer le règlement. Pas plus sur ce sujet que sur d’autres. Mais c’est un peu la longue marche du salary-cap qui s’est bâtie comme ça.
Vous entendez les joueurs, qui ont des carrières courtes, qui sont aussi le cœur du réacteur de ce rugby et qui veulent bénéficier de ça dans leur carrière ?
Oui, on les entend complètement. Les salaires des joueurs les mieux rémunérés continuent de progresser sur les cinq dernières années. Depuis la fin du Covid qui a été une forme de parenthèse. Le salary-cap n’empêche pas la progression salariale, réduit les écarts entre les joueurs les mieux payés et moins bien payés, mais sans pénaliser les joueurs moins payés. Donc les rémunérations continuent aussi d’augmenter. Je pense qu’il est évidemment très attentif à la situation des joueurs et encore une fois, ils sont complètement associés au débat.
Qu’est-ce qu’on fait avec le salary-cap dans les prochaines années ? Quelle est l’idée ? Les présidents évoquaient une baisse. Quelle est l’idée générale ?
Les débats s’ouvrent. Ce n’est pas à moi de répondre à cette question. Ce sera un choix collectif évidemment.
« Il n’est absolument pas question de remettre en cause le salary-cap »
Vous défendez le côté vertueux ?
On est convaincu que c’est un outil qui est plus que vertueux. C’est un outil qui est nécessaire et qui est essentiel pour la performance et la pérennité du modèle du rugby professionnel français.
Sans ça c’est dangereux ?
Je pense qu’on prendrait des risques évidemment à le supprimer. De toute façon, il n’en est pas question. Les débats portent sur les modalités du salary-cap, pas sur son principe sur lequel il y a eu à plusieurs reprises des votes, à chaque point stratégique. Et à chaque fois, il y a un dispositif qui, même s’il fait débat dans ses modalités, reçoit le soutien unanime des clubs, de toutes les parties prenantes, de la Fédération française du rugby également. Donc il n’est absolument pas question de remettre en cause le salary-cap. Les débats portent sur ses modalités, sur l’assiette, les sommes prises en compte, la façon de le contrôler. Absolument pas sur sa pertinence ou sur son principe.
Tous les présidents ne sont pas d’accord là-dessus ?
Je pense qu’ils sont tous d’accord là-dessus.
Posté hier, 18:27
Ne sois pas jaloux, l'ASM a connu des heures glorieuses avec pléthore d'internationaux. Vos staffs et directions successives ont loupé la vague sur laquelle ils pouvaient surfer. C'est pas la faute de Toulouse ça.
Posté hier, 18:52
Ne sois pas jaloux, l'ASM a connu des heures glorieuses avec pléthore d'internationaux. Vos staffs et directions successives ont loupé la vague sur laquelle ils pouvaient surfer. C'est pas la faute de Toulouse ça.
Garcès a bien un petit peu apporté sa pierre à l’édifice, il aime pas le surf en milieu volcanique
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