30284 réponses à ce sujet

[Pilou]

 
Ca fait longtemps qu'il a pas regardé un match de Toulon lui.
Faudrait qu'il se mette à la page ou ça va lui faire bizarre.

On peut se foutre de sa gueule m enfin :

1) au moins le RCT trouve des jokers ou joueurs supplémentaires de haut niveau quand il constate des manques dans son effectif.

2) les dernière comportements de joueurs soit disant attaches a l ASM prouvent que même chez nous l amour du maillot a ses limites.

Et je ne parle pas forcement d Iturria. Mais un Timani ou un Lopez par exemple.

[Alex chocolatines]

 

 

Ca fait longtemps qu'il a pas regardé un match de Toulon lui.

Faudrait qu'il se mette à la page ou ça va lui faire bizarre.

A tous les coups c'est un mec chargé de la com au RCT qui a bricolé cette image

On pourrait penser à un gag de la hyène, mais c'est trop lisse, plat, sans piquant 

[gregouarrrr]

 

Ca fait longtemps qu'il a pas regardé un match de Toulon lui.

Faudrait qu'il se mette à la page ou ça va lui faire bizarre.

ça veut surtout dire que de par son palmarès, Toulon fait partie des grands clubs européens ... 

 

faut arrêter d'être jaloux de tout, surtout dans notre position 

[Alex chocolatines]

ça veut surtout dire que de par son palmarès, Toulon fait partie des grands clubs européens ... 

 

faut arrêter d'être jaloux de tout, surtout dans notre position 

Moi chuis pas jaloux du aircété hein  Tu vas pas me dire que c'est  le top depuis quelques années ? En plus eux, coté recrutement ils se lachent, niveau pognon, les biftons sentent pas le moisi, ça circule, et pourtant 

[Baba Yaga]

 

ça veut surtout dire que de par son palmarès, Toulon fait partie des grands clubs européens ... 

 

faut arrêter d'être jaloux de tout, surtout dans notre position 

 

C'est pas la question de jalousie, ou du niveau et des ambitions de Clermont, juste que Toulon n'est plus le Real du rugby depuis un moment, c'est factuel, comme on ne l'est plus non plus. Suis pas hyper calée en foot, mais le Barça à la limite, c'est déjà moins déconnant comme comparaison il me semble. 

[gregouarrrr]

 

 

C'est pas la question de jalousie, ou du niveau et des ambitions de Clermont, juste que Toulon n'est plus le Real du rugby depuis un moment, c'est factuel, comme on ne l'est plus non plus. Suis pas hyper calée en foot, mais le Barça à la limite, c'est déjà moins déconnant comme comparaison il me semble. 

humm

Toulon a 3 coupes d'Europe, à la suite en plus ( ils doivent être les seuls à l'avoir gagner 3 fois de suite) , seuls Toulouse et le Leinster ont 5 et 4 étoiles ... 

 

à partir de là, niveau palmarès, Toulon fait partie des 3 / 4 plus grands clubs européens du rugby, comme le sont le real et le barca en foot ....

 

je n'y vois rien de choquant. Si Toulon arrive à le faire venir, c'est qu ils sont plus attractifs que nous !!!!

 

Wikipédia nous met meilleur des perdants  

[sud]

Moi chuis pas jaloux du aircété hein  Tu vas pas me dire que c'est  le top depuis quelques années ? En plus eux, coté recrutement ils se lachent, niveau pognon, les biftons sentent pas le moisi, ça circule, et pourtant 

Et quand c'est un Toulousain qui le dit ça prend tout son sens

[el landeno]

Dan Biggar (demi d'ouverture de Toulon) : « L'atmosphère à Mayol incite à se surpasser » L'international gallois Dan Biggar est arrivé lundi à Toulon. Il raconte son exigence et son goût des responsabilités au poste d'ouvreur. Et sa rencontre avec son idole Jonny Wilkinson, à Mayol.

Disponible et souriant. Impatient, surtout, de fouler la pelouse de Mayol. Le Gallois Dan Biggar (33 ans, 97 sélections), arrivé lundi à Toulon, où il s'est engagé jusqu'en 2025, s'est efforcé d'échanger quelques mots en français. « Mon père bossait pour le groupe Total. En deux jours, je me débrouille mieux que lui en deux ans passés à Paris. J'en suis à mon sixième cours. Le plus dur, c'est l'oreille, capter les intonations. »

 

 

 

« Savez-vous à quoi pensent les gens ici quand ils entendent "Biggar" ?
Non.

C'est la marque d'un géant de la boucherie.
Ah, je comprends mieux, alors. Ce matin (mardi), les coaches ont présenté un clip humoristique où l'on me voyait avec une vache. Tout le monde s'est marré. Maintenant, je capte le truc.

lire aussiDan Biggar est-il un bon coup pour Toulon ?

 

 

Comment êtes-vous venu au rugby ?
J'ai commencé par le foot. À 11 ans, à l'école, j'ai découvert le rugby. Mes parents étaient fans. Moi, j'ai adoré la technique, la vie sociale, la compétition. Si j'ai joué à l'ouverture, c'est grâce à un prof d'école : Monsieur Dean Mason. Il a senti que j'avais cette capacité à exprimer ce que je sentais, que je pouvais challenger les autres en matière d'exigence.

 

Dan Biggar ce mercredi à l'entraînement au Campus RCT, entouré de Mathieu Smaïli et Gervais Cordin. (FREDERIC PORCU/PRESSE SPORTS/Presse Sports)

Le gamin que vous étiez aimait-il ce poids des décisions qu'implique le poste de meneur de jeu ?

C'était tout moi. J'aimais prendre des décisions, quitte à assumer la pression qui va avec. Rien ne me faisait peur. Je n'ai jamais été le genre de gamin à se cacher au fond de la classe. Ce goût des responsabilités, ce tempérament et cette envie de mener le jeu me viennent de ma mère. J'ai hérité de son caractère. Elle aurait fait un bon ouvreur. Elle dirigeait la famille à la perfection. On faisait comme elle disait.

Quel ouvreur vous a le plus inspiré ?
En 2003, maman m'a emmené voir la Coupe du monde en Australie. (Il avait 14 ans.) Je me souviens encore du drop de Jonny Wilkinson (en finale, contre l'Australie, pour donner la victoire à l'Angleterre en prolongation, 20-17). Et puis j'aimais bien aussi Fred Michalak. Comme tous les mômes, je rêvais de lui ressembler. C'est marrant, la vie, parce que me voilà à Toulon où il entraîne les skills. On l'avait croisé, avec l'équipe de France, à l'aéroport de Sydney après la Coupe du monde. Fred (Michalak, chargé du développement individuel des joueurs) m'avait dédicacé mon sweat à capuche. J'ai encore la photo dans un album. Il faut que je la retrouve dès que je rentre au pays, à Noël, pour lui montrer.

 

Dan Biggar en 2010 sous le maillot des Ospreys (avec le bandeau), sous les yeux de l'ouvreur Jonny Wilkinson. (F. Golési/L'Équipe)

Wilkinson est-il toujours un mentor ? Le suivez-vous dans sa démarche sur la santé mentale, le bien-être, le yoga ?
Je n'ai pas trop suivi car j'essaye de me préserver des réseaux sociaux. Mais je me souviens d'un truc fort avec lui : avec les Ospreys, en 2010, on était venus jouer à Mayol (victoire du RCT, 19-14, le 9 octobre). Après le match, Jonny Wilkinson avait pris le temps de me parler. On avait causé de la vie, du rugby. Dix, quinze, vingt minutes... Qu'il m'accorde autant de son temps, c'était énorme pour moi. Après avoir joué contre lui, je me retrouvais à échanger avec lui. Il a toujours été la référence de l'exigence et de l'engagement, le baromètre de ma manière de bosser.

Ce même jour de 2010, vous avez rencontré votre héros et découvert le stade Mayol.
Un truc dingue. Intense. L'atmosphère de Mayol incite les équipes adverses à s'y surpasser. Le "pilou pilou", on n'en revenait pas... Cette foule à l'unisson. Votre Top 14 est incroyable. C'est un des facteurs qui m'ont incité à signer en France. Des stades remplis, des gens passionnés. Voir 33 000 spectateurs rassemblés un dimanche soir à Bordeaux, ça veut dire quelque chose. La force de ce Top 14 explique le succès de votre équipe nationale. Quand tu es un jeune joueur, tu veux ressembler à Cheslin Kolbe. Et il joue où ? Ici, en France, à Toulon. Chez nous, le Championnat a perdu de son engouement. Ça explique aussi les difficultés de notre équipe nationale après dix années de succès, durant lesquels on a remporté quatre fois le Tournoi des Six Nations (2012, 2013, 2019, 2021). On sent bien qu'aujourd'hui, c'est en France que le coeur du rugby mondial bat le plus fort. Je suis curieux de ce que je vais ressentir le jour où je vais arriver au stade les jours de match.

A-t-on besoin de cette adrénaline à 33 ans ?
Je ne me vois pas comme un mec de 33 ans. Je suis un mec qui a faim d'expériences, envie de progresser et de vivre des trucs. J'aurais pu faire un choix de carrière plus facile, j'avais d'autres offres sur la table. Toulon, c'est un challenge pour devenir encore meilleur. J'ai envie de cette pression, de cette excitation les jours de match.

 

Dan Biggar, avec ses entraîneurs Franck Azéma et Pierre Mignoni. (FREDERIC PORCU/PRESSE SPORTS/Presse Sports)

C'est quoi, être Gallois ? Que diriez-vous à ceux qui vous confondraient avec un Anglais ?
C'est très différent ! (Il insiste.) On est une toute petite nation. Contrairement à la France ou à l'Angleterre, qui comptent un nombre incroyable de clubs de rugby. Nous, on est un tout petit pays, on boxe un peu au-dessus de notre catégorie de poids. On est extrêmement fiers d'être Gallois. On aime se mesurer à plus grands que nous. On a ce complexe du petit. Personne ne nous attend. Passion, détermination, implication, c'est notre mentalité. Je déteste arriver deuxième, dans quoi que ce soit. Je me suis construit comme ça. En tant que Gallois, j'ai appris à affronter. Un Gallois sait qu'il devra toujours répondre présent face à plus puissant que lui.

Que pensez-vous apporter au poste d'ouvreur ?
J'espère qu'on se souviendra de moi comme un mec qui était un compétiteur ultime, qui donnait tout ce qu'il avait dans le bide. Je n'ai jamais pensé une seconde que j'étais le mec le plus talentueux et ça me va bien si on dit que j'étais un gros bosseur, un affamé de la gagne. Qu'on se rappelle aussi des obstacles que j'ai surmontés, des difficultés que j'ai affrontées. Tout ce que je suis, je le dois à mes efforts, à un travail sans relâche.

Et si l'histoire ne retient que la "Biggarena", ces vidéos virales de vos tics au moment de buter, saurez-vous être philosophe ?
Au final, c'est positif si ça a amusé les gens. Ça date de 2015, il y a sept ans. À l'époque, je ne réalisais pas que j'avais tous ces tics. J'en ai pris conscience en voyant ces vidéos. Bah, au final, ça m'a bien réussi : je n'ai manqué que deux coups de pied pendant la Coupe du monde. Du coup, si ça marche, il faudra peut-être que je remette ça en Top 14. Je n'ai jamais eu honte de moi. Vous savez, quand je rentre sur un terrain, j'oublie les caméras de télé. Je ne fais pas le beau. Je suis trop concentré sur le job. »

 

[jm12]

Si nous on casse la tirelire pour Jalibert , je ne dirai plus rien....ça fait du bien de rêver ou de se faire du mal....selon...

[Alex chocolatines]

Et quand c'est un Toulousain qui le dit ça prend tout son sens

On va meme pas les chercher, les mecs s'enchainent aux grilles du stade, font des grèves de la faim jusqu'à ce qu'on les embauche ... C'est inimaginable    

[XV63]

Péroné pour Villière, ou jusque fin 2022 (et sans doute un peu plus). J'en parlait avec qq'un récemment, et je sens que ce gars va tirer une longue fin de carrière avec bcp de blessures. C'est subjectif, mais ça, s'enchaîne et surtout c'est un profil qui se donne beaucoup et donc très exposé. 

Quel gâchis si çà se poursuit comme çà pour lui !

Car on parle de Penaud mais dans un registre un peu différent c'est un sacré joueur aussi.

[Un jaune dans un ballon]

Quel gâchis si çà se poursuit comme çà pour lui !

Car on parle de Penaud mais dans un registre un peu différent c'est un sacré joueur aussi.

Son plus gros défaut ayant été d'avoir débuté en amateur / semi pro et donc ne pas avoir eu de suivi médical dès le plus jeune âge contrairement à certain..

 

Nul doute que ça joue aujourd"hui, encore plus avec l'investissement qu'il met sur chaque match

[Bon Chasseur]

pquoi Azéma ça marche pas à Toulon ? Bon ça marche mieux que Collazo, mais c'est une évidence ça. Mais niveau effectif c'est qd mm pas mal ce qu'ils ont la sur la Rade, faut pas déconner. C'est pas de la superstar int'le de 1 à 15 comme y a 7-8 ans, mais c'est correct pour faire du Top 14.

[Alex chocolatines]

pquoi Azéma ça marche pas à Toulon ? Bon ça marche mieux que Collazo, mais c'est une évidence ça. Mais niveau effectif c'est qd mm pas mal ce qu'ils ont la sur la Rade, faut pas déconner. C'est pas de la superstar int'le de 1 à 15 comme y a 7-8 ans, mais c'est correct pour faire du Top 14.

T'as l'impression que Azéma pèse beaucoup sur l'équipe et le système de jeu ? Moi je vois (et j'entend ) surtout le Mignon, le Franky, c'est le water boy 

[Bougnat et Breton]

T'as l'impression que Azéma pèse beaucoup sur l'équipe et le système de jeu ? Moi je vois (et j'entend ) surtout le Mignon, le Franky, c'est le water boy porteur d'eau