Etape 9
1-Milan
2-Merlier
3-Groves
4-Girmay
5-Ackermann
Jk : Van Aert
MF : Penhoet
Posté hier, 07:11
Etape 9
1-Milan
2-Merlier
3-Groves
4-Girmay
5-Ackermann
Jk : Van Aert
MF : Penhoet
Posté hier, 07:30
Posté hier, 08:36
Posté hier, 08:43
Posté hier, 08:59
Posté hier, 09:11
Posté hier, 12:28
VDP dans ses œuvres, en pleine paix
Posté hier, 12:42
Tiens, j'aurais pu mettre ça dans l'excellent topic "Pâté aux patates ou pompe au grattons"...
Mais collons à l'actualité !
Cyclisme : retour sur le premier passage du Tour de France en Auvergne, en 1903, à l'occasion d'une étape dantesque Il faut remonter à 1903 pour trouver trace de la première édition du Tour de France. Mais aussi du premier passage des coureurs en Auvergne, le 1er juillet à Moulins, où avait lieu le deuxième contrôle fixe de la première étape entre Paris et Lyon.
Vous savez quel âge a ce feuilleton qui anime tous nos étés ? Il s’apprête à fêter son 112e anniversaire. Sa première édition remonte même à 1903. Autant vous dire qu’il a eu le temps de changer depuis, ou plutôt d’évoluer avec son temps.
À l’époque, le Tour de France, créé par Henri Desgrange, le directeur du journal L’Auto, comportait six étapes de 268 à 471 km. Inimaginable de nos jours, où rares se font les tracés de plus de 200 bornes pour favoriser le spectacle. C’était un autre monde où les coureurs, des amateurs pour la plupart, roulaient sur des machines en acier de 16 kg, sans frein, équipées d’un pignon fixe et de jantes en bois. Mais ils parvenaient tout de même à réaliser des moyennes remarquables.
La toute première étape de la Grande Boucle reliant Paris et Lyon (467 km) a été remportée par Maurice Garin en 17 heures et 45 minutes d’effort, soit à près de 26 km/h de moyenne.
Garin pique une grosse colère à MoulinsCe jour-là, les coureurs étaient passés en Auvergne, à Moulins plus précisément, où un contrôle fixe fut installé à l’Hôtel de Paris. Les cyclistes, qui avaient déjà 281 km dans les pattes, devaient y signer une feuille de route et, s’ils le souhaitaient, profiter du ravitaillement (poulet, œuf, chocolat, orange, vin, lait, eau de Vichy...) et des lits de repos. «?Henri Desgrange (le directeur de L’Auto) a établi son parcours du Tour et placé les contrôles en fonction des gares du train et du kilométrage. Moulins était bien positionné par rapport au départ à Paris?», révèle Jean-Paul Vespini, auteur du livre 1903 - L’épopée du premier Tour de France.
La tête de course, un duo composé de Maurice Garin et son coéquipier Emile Pagie, a débarqué au beau milieu de la nuit, à 1 h 13 du matin, et ne s’est même pas accordé le droit de profiter tranquillement de ce luxe. Garin est arrivé très en colère. Victime d’une chute quelques kilomètres plus tôt, le grand favori et futur vainqueur de la course continuait avec quelques éraflures et un vélo cassé.
Surpris par l’obscurité, il avait touché la roue arrière de son compagnon de fugue. «?Il avait un sacré caractère le Garin. Il fallait le servir comme un seigneur et il était très exigeant avec ses équipiers?», affirme Jean-Paul Vespini. Après avoir avalé illico presto un bol de bouillon, Garin avait emporté avec lui deux bouteilles, l’une de lait et l’autre d’eau de Vichy, en plus de remplir d’oranges la sacoche qu’il accrochait à sa ceinture. Puis, il était remonté directement sur sa machine pour poursuivre son bonhomme de chemin en direction de Lyon.
Aucouturier abandonne à LapalissePendant ce temps-là, Hippolyte Aucouturier traînait sa misère, lui qui était présenté comme le rival numéro 1 de Garin au départ. «?Avec sa moustache, c’était un personnage très attachant car il lui arrivait plein de galères mais il ne s’avouait pas vaincu. Si je pouvais faire une comparaison maladroite, je dirais que Garin est Merckx et Aucouturier Ocaña?», s’amuse le journaliste et écrivain.
Surnommé «?Le Terrible?» en raison de sa carcasse imposante, le Bourbonnais a vu ses rêves de victoire finale s’envoler dès le premier jour de course. Quand il est enfin parvenu à atteindre Moulins, il comptait déjà plus d’une heure de retard sur la tête, se plaignant de maux de ventre.
«?Tous les journalistes avaient déjà pris le train pour aller voir l’arrivée. Seul Géo Lefèvre a attendu Aucouturier. Il l’aperçoit dans un état terrible. Il vomissait et ne voulait plus repartir dans son maillot bleu et rouge, souligne l’historien du Tour. Il faut dire qu’il n’a pas de chance car il avait cassé la selle de son vélo un peu plus tôt. Mais Géo lui dit de repartir?». Aucouturier reprit donc la route mais, à bout de force, il abandonna une cinquantaine de kilomètres plus loin, à Lapalisse, un village de son département natal de l’Allier, ce qui ne l’a pas empêché de s’offrir deux étapes car en 1903, un abandon privait les coureurs de classement général mais pas de participer aux autres étapes.
«?On comprendra plus tard qu’il a avalé une boisson qui l’a détraqué au contrôle de Nevers (km 227). Son empoisonnement est le premier fait divers du Tour. On ne sait pas qui en a été l’auteur, mais il y avait des intérêts. Aucouturier courait pour un consortium américain alors que Garin courait pour La Française, développe Vespini. On suppose que le coup bas vient de là?». Une autre époque on vous disait...
Posté hier, 13:12
1 Milan
2 Merlier
3 Groves
4 Van Aert
5 de Lie
joker Girmay
MF Coquard
Posté hier, 13:31
Tiens, j'aurais pu mettre ça dans l'excellent topic "Pâté aux patates ou pompe au grattons"...
Mais collons à l'actualité !
Né à la Celle le Hippolyte
==> Intelligence situationnelle naturelle
Exceptionnellement j’ai fait l’impasse sur VDP aujourd’hui, mais je le kiffe lol
Posté hier, 13:49
Posté hier, 15:30
Né à la Celle le Hippolyte
==> Intelligence situationnelle naturelle
Exceptionnellement j’ai fait l’impasse sur VDP aujourd’hui, mais je le kiffe lol
T as le nez fin y a rien a dire !
Posté hier, 15:36
T as le nez fin y a rien a dire !
Il m’épate
Posté hier, 15:45
Il m’épate
Posté hier, 15:48
J’y croive bordel
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