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[Jesus Hans Hubert Vorme]

y'a dans l'équation le risque de se faire gauler, l'epo par exemple c'est plus souple et simple d'usage et moins cher que les stages, mais c'est detectable, accessoirement ca permet d'aller plus haut en hematocrite, mais ca sert à rien vu que l'uci interdit de course au delà d'un certain taux. La seule potion magique potentielle pour moi c'est l'hormone de croissance mais c'est detectable (difficilemznt) et ca se verrait au passeport bio.
La technologie ca donne de résultats quand meme hallucinants pour revenir a l'ingé de rb, il taffait avant chez ineos et il a travaillé sur le record de l'heure de ganna, il a aussi un passe cycliste de haut niveau sur piste, pour valider ses choix techniques il a fait un test grandeur nature avant la tentative de ganna, résultat à sa grande surprise il a battu le record de l'heure.

Tu as la méthode Armstrong : le mécénat des instances de contrôle.

[thurfin]

Tu as la méthode Armstrong : le mécénat des instances de contrôle.

c'était une autre epoque corrompue, ou les contrôles tenaient de la blague, pas de passeport bio, et pas de contrôle epo. Le sommet qui fut évoque ici fut delgado à Clermont.

[Jesus Hans Hubert Vorme]

c'était une autre epoque corrompue, ou les contrôles tenaient de la blague, pas de passeport bio, et pas de contrôle epo. Le sommet qui fut évoque ici fut delgado à Clermont.

Une autre épo-que?

[Very Good Eshvili]

c'était une autre epoque corrompue, ou les contrôles tenaient de la blague, pas de passeport bio, et pas de contrôle epo. Le sommet qui fut évoque ici fut delgado à Clermont.

Dans la foulée 

 

https://www.lefigaro...retter-20250810

[ELSAZOAM]

Dans la foulée 
 
https://www.lefigaro...retter-20250810

Ullrich peut en dire autant pour 1997...
Ils mériteraient qu'on leur retire leurs victoires et pas qu'à ces deux là d'ailleurs, on peut mettre Pantani pour 1998 aussi et bien d'autres encore.

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[Alex chocolatines]

Ullrich peut en dire autant pour 1997...
Ils mériteraient qu'on leur retire leurs victoires et pas qu'à ces deux là d'ailleurs, on peut mettre Pantani pour 1998 aussi et bien d'autres encore.

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Meme le blondinet Fignon en a pris 

[Bougnat et Breton]

Meme le blondinet Fignon en a pris 

Et que dire de Jallabert commentateur vedette actuellement et stroumphé jusqu'au trognon quand il était courreur

[Jesus Hans Hubert Vorme]

Dans la foulée 
 
https://www.lefigaro...retter-20250810

Riss était un coureur moyen, un anonyme de Castorama qui s'est mué à près de 30 ans en coursier de l'espace. Normal qu'il ne regrette pas. C'est comme si il avait passé un an ou deux avec Monica Bellucci en trichant et en échappant à Vierzon.

[Very Good Eshvili]

Riss était un coureur moyen, un anonyme de Castorama qui s'est mué à près de 30 ans en coursier de l'espace. Normal qu'il ne regrette pas. C'est comme si il avait passé un an ou deux avec Monica Bellucci en trichant et en échappant à Vierzon.

Monica à Vierzon j’aurais pris

Meme le blondinet Fignon en a pris 

Anquetil aussi

 

Bobet on ne sait pas mais dans le classement des vainqueurs du Tour n’ayant pas fait de vieux os il est dans l’échappée étant allée au bout

 

Et quand Raymond est mort à 83 ans, je n’ai pas pu m’empêcher de refaire un classement des vainqueurs 

[Underscore]

Et Thévenet qui a réussi a dompter le cannibale ?

[ELSAZOAM]

Et que dire de Jallabert commentateur vedette actuellement et stroumphé jusqu'au trognon quand il était courreur

...de même que ces compatriotes de l'époque (Virenque, Hervé, etc.) et beaucoup de coureurs étrangers !

Bref, en ce temps-là, le mec n'était pas normal s'il n'était pas dopé et même pas la peine de prendre le départ d'une course, au risque de juste faire de la figuration.

[Baba Yaga]

J'ai pas souvenir qu'on ait fait la moindre remarque a Froome, Jonas, ou Pogi cela dit  Alors que question maigreur, c'est a peu pres la meme

+1

Bardet est ou était aussi fin qu'un cure-dent et on lui faisait aucune remarque parce qu'il est intelligent, qu'il sait ce qu'il fait, qu'il connait ses limites, etc.

Alors que les femmes, y compris une pro multi-championne qui connait son corps et sa discipline par coeur comme PFP, on lui dit "bichette, fais attention, c'est pas bon pour ta santé".

Alors qu'en plus pour le coup, sa silhouette fait moins flipper que Vingegaard et cie.

[zone et beu]

...de même que ces compatriotes de l'époque (Virenque, Hervé, etc.) et beaucoup de coureurs étrangers !

Bref, en ce temps-là, le mec n'était pas normal s'il n'était pas dopé et même pas la peine de prendre le départ d'une course, au risque de juste faire de la figuration.

 

A la limite on peut dire qu'ils étaient tous à égalité      Avec avantage aux pédaleurs des environs de l'altiplano qui eux avaient les globules en surplus  gratuites

[Jesus Hans Hubert Vorme]

 

A la limite on peut dire qu'ils étaient tous à égalité      Avec avantage aux pédaleurs des environs de l'altiplano qui eux avaient les globules en surplus  gratuites

il y avait peu de la feuille de coca au pot belge.

[zone et beu]

Sur ARTE (en replay sur la plate forme dédiée) The Program  de Stephen Fréars 

 

https://www.arte.tv/...-A/the-program/

 

 

Stephen Frears met en scène la descente aux enfers de Lance Armstrong, sept fois vainqueur du Tour de France, dopé jusqu'à la moëlle. Une adaptation nerveuse et prenante de ce qui fut qualifié de "programme de dopage le plus sophistiqué et professionnel de l’histoire du sport moderne". 

 

 

À 21 ans, le jeune Lance Armstrong entame son premier Tour de France au sein de l'équipe, sans voir la tête de peloton. La faute, peut-être, à cet EPO dont parlent les coureurs sous le manteau et qui permettrait de tenir des cadences vertigineuses... Un préparateur sportif, le docteur Ferrari, semble en administrer aux cyclistes. Après un passage en Suisse où l'on peut obtenir le produit légalement, Lance n'a pas le temps de savourer sa première victoire : on lui diagnostique un cancer des testicules. Un long combat s'engage, dont il sort vainqueur, avant de remonter en selle chez US Postal, une équipe mineure qu'il portera bientôt aux nues grâce à un régime strict conseillé par Ferrari : EPO, dopage sanguin, testostérone, cortisone, hormones de croissance… Les titres s'enchaînent mais un journaliste du Sunday Times, David Walsh, commence à poser des questions. 

Train d'enfer 
Les esprits gaulois pourraient grogner : Stephen Frears a privilégié le livre de David Walsh, dont il fait un personnage du film, en oubliant Damien Ressiot, le journaliste de L’équipe dont l’enquête a contribué à faire tomber Armstrong. Peut-être parce que le réalisateur semble plutôt intéressé, dans cette fuite en avant menée à un train d’enfer, par l’addiction du champion – au dopage mais surtout à la victoire –, qui transforme le charmant débutant passionné en être cynique et violent, mentant au monde entier et cherchant activement à détruire tous ceux qui contredisent son fantasme sous hormones. L’excellent Ben Foster, dont Frears filme chaque expression en gros plan, compose un rôle de junky exalté qui le rend par moments terrifiant.