23399 réponses à ce sujet

[Un jaune dans un ballon]

[julien]

L'Absurdistan

[Silhouette]

Martin a senti des légers maux de gorge comme 300 jours de l'année.
Il a fait un antigènique (positif)

Son équipe lui a dit "ok tu t'arrêtes là"

Il a demandé un pcr pour connaître son taux et là il n'a pas eu le choix.

 

 

pas de course ni pour les covidés, ni pour les grippés, ni pour les chiasseux

ça me semble être du bon sens

 

Oui, donc voila. On a un coureur qui est clairement contamine (3 tests positifs + des symptomes), donc on l'enleve de la course avant qu'il ne contamine tout le monde ("Les autres coureurs de Cofidis et l’ensemble du staff ont également été testés et leurs résultats étaient tous négatifs."). C'est pas de bol pour G Martin, mais comme dit Pims ca devrait etre le cas pour la grippe, le COVID, ou les gastros, ca parait juste du bon sens.

[Boulard]

Martin a senti des légers maux de gorge comme 300 jours de l'année.
Il a fait un antigènique (positif)

Son équipe lui a dit "ok tu t'arrêtes là"

Il a demandé un pcr pour connaître son taux et là il n'a pas eu le choix.

C'est le médecin qui lui a dit d'arrêter?
C'est quoi la règle, je l'ai plus en tête? Tu sors dès que tu es positif ou tu sors si tu es positif avec symptome?

Parce que ça change un peu la façon de voir les choses.

[Silhouette]

C'est le médecin qui lui a dit d'arrêter?
C'est quoi la règle, je l'ai plus en tête? Tu sors dès que tu es positif ou tu sors si tu es positif avec symptome?

Parce que ça change un peu la façon de voir les choses.

A priori c'est le medecin de l'equipe en concertation avec les medecins de l'UCI. Mais il y a un certain nombre de coureurs qui ont teste positifs et sont restes dans le peloton (indique hier matin par Jean-René Bernaudeau a la radio, qui a indique que c'etait arrive dans son equipe).

[Alex chocolatines]

C'est le médecin qui lui a dit d'arrêter?
C'est quoi la règle, je l'ai plus en tête? Tu sors dès que tu es positif ou tu sors si tu es positif avec symptome?

Parce que ça change un peu la façon de voir les choses.

Y a pas de règle spéciale au sport, PCR positif, c'est 7 jour d'isolement avec possibilité de réduction à 5 si test négatif  au cinquième jour .

[el landeno]

Pourquoi le Tour de France reviendra sans doute bientôt au puy de Dôme Trente-quatre ans après sa dernière visite, le Tour de France rêve à nouveau de l'ascension volcanique et légendaire du puy de Dôme, où Merckx vécut l'enfer, Coppi, Bahamontes, Ocana, Zoetemelk, Van Impe s'imposèrent, et où le duel Poulidor-Anquetil divisa la France en 1964. Mais l'affaire demeure complexe.

Raviver pareils souvenirs s'avère parfois cruel. Ils ne sont plus si nombreux ceux qui peuvent dire qu'ils étaient là, parmi les centaines de milliers de spectateurs qui s'étaient agrippés à la pente vertigineuse, 4 km à 12 % comme l'indique le vieux panneau routier fatigué au pied, pour voir Jacques Anquetil et Raymond Poulidor, épaule contre épaule, s'expliquer ce 12 juillet 1964 dans les derniers hectomètres d'une ascension à couper tous les souffles. Mais combien de millions sont-ils à en avoir entendu parler ou à garder dans un coin de leur rétine les images en noir et blanc d'une caméra explorant le temps ? Ce jour-là, en décramponnant Maître Jacques, Poupou lui reprit 42 secondes et échoua pour 14 autres à lui chiper un maillot jaune dont il ne se parera finalement jamais, éternel dauphin, cruel destin.

 

 

« C'est Poupou qui m'a donné l'amour du Tour. » Dans son petit bureau d'Amaury Sport Organisation (propriétaire de L'Équipe), au 7e étage donnant sur la Seine, le directeur de l'épreuve, Christian Prudhomme, ne fait pas mystère de la place qu'il accorde à cette époque-là. Même s'il n'avait que 3 ans lors de cet épisode, sa foi dans le Tour s'est enracinée très jeune, au point d'en réciter les rebondissements comme d'autres leur catéchisme. Il en avait ainsi 9 quand il écoutait « à la radio » cette folle étape 1975 ou Bernard Thévenet était parti avec Lucien Van Impe dans le puy de Dôme et qu'Eddy Merckx sauvait sa tunique jaune pour la dernière fois de sa carrière au milieu d'une foule hostile, victime d'un coup de poing au foie de la part d'un supporter à 200 m de l'arrivée.

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Le « Cannibale » était redescendu, accompagné par la maréchaussée, pour identifier le dénommé Nello Breton, qui sera condamné par un tribunal à de la prison avec sursis et un franc de dommages et intérêts. Selon le champion belge, les dommages avaient pourtant été bien plus grands puisqu'il attribuera à cette agression de vives douleurs et la perte de son maillot au profit de Thévenet lors de l'étape suivante, terme définitif de son règne sur les routes d'une France qui le malaimait.

 

Un des plus grands duels de l'histoire du Tour de France, le 12 juillet 1964 entre Jacques Anquetil et Raymond Poulidor. (Frédéric Porcu/L'Équipe)

 

Prudhomme est intarissable quand il évoque les grandes heures du Tour sur les rampes du plus haut puy de la chaîne (1 465 m), de la victoire initiale de Fausto Coppi en 1952 à la treizième et dernière arrivée, bien plus anecdotique en 1988, remportée par le Danois Johnny Weltz. Dans l'intervalle, Bahamontes s'y est imposé contre-la-montre en 1959, Luis Ocana et Joop Zoetemelk à deux reprises et Merckx jamais. En 1969, lors de son premier Tour en jaune, le Belge avait même buté sur une lanterne rouge, Pierre Matignon, dernier du général, parti de très loin et premier là-haut, 1'25'' avant Merckx. « Merckx battu par la lanterne rouge... » Prudhomme en sourit tant les derniers, quoi qu'on en dise, sont rarement les premiers. « Quand je suis arrivé chez ASO, en 2004, la première chose que j'ai écrite sur mon ordinateur pour le tester, raconte-il en mimant le geste, tenait en quatre mots : "Objectif puy de Dôme !" » Un voeu alors pieux tant les lieux semblent désormais inadaptés à un événement devenu monstrueux.

Samedi dernier, 250 « Copains », du nom de la grande cyclo auvergnate autorisée à escalader le volcan pour la deuxième fois de son histoire, se sont attendus au sommet du dôme qui surplombe la chaîne des puys et offre des panoramas grandioses. De toute façon, il n'y a pas le choix. On ne peut pas redescendre de là-haut avant que tout le monde n'y soit parvenu. La faute à cet énorme escargot et à son unique route en colimaçon, sans aucune solution de repli. Ce qui en fait un cas à part pour les arrivées au sommet du Tour de France, qui peuvent d'habitude compter au moins sur une route forestière à proximité, comme à la Planche des Belles Filles, pour exfiltrer le gros de la caravane des suiveurs. L'affaire s'est même compliquée depuis l'installation, en 2012, d'un train à crémaillère qui accapare la moitié de l'ancienne chaussée.

La route est désormais si étroite qu'une barrière en interdit l'accès en bas à tout vélo, toute l'année, pour des raisons de sécurité puisqu'il ne pourrait pas croiser un véhicule de secours ou d'un employé. Encore plus complexe, la zone Natura 2000 est inscrite depuis 2018 au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco en raison de son caractère géologique unique, une qualification a priori antinomique avec le passage du grand barnum du Tour.

 

En 1983, malgré une omoplate fracturée, Pascal Simon préserve son maillot jaune lors d'un chrono au puy de Dôme. (L'Équipe)

 

En 2004, tandis que Prudhomme s'installait avec son rêve de volcan dans son fauteuil à ASO, Jean-Yves Gouttebel prenait, lui, place dans celui du président du département du Puy-de-Dôme. Prudhomme se souvient : « Il a toujours accueilli des étapes dans son département, notamment à Super-Besse, mais en septembre 2011 il m'a dit : "Vous m'avez bien compris, vous n'aurez pas l'autorisation pour le puy de Dôme." » Fin de non-recevoir politique. Gouttebel privilégie alors la candidature du site pour l'Unesco et le dossier du Tour reste dormant pendant ses trois mandats, jusqu'à ce qu'il quitte ses fonctions l'an passé et que Lionel Chauvin lui succède.

Samedi dernier, ce dernier accompagnait son fiston et une grosse poignée de collaborateurs du département sur les rampes du puy pour se rendre compte par lui-même. « Avec une assistance électrique en raison d'une prothèse, précise-t-il. Ce qui m'a permis de m'arrêter de temps en temps, sans quoi je n'aurais jamais pu repartir dans cette pente. » Là-haut, un café à la main, il affirme qu'il aurait fait comme son prédécesseur pour ne pas hypothéquer la labellisation à l'Unesco. « Depuis, on est devenu mature, et nos équipes n'étaient pas en stress quand je leur ai parlé du Tour, plutôt dans une démarche positive pour voir comment faire. »

Depuis que Prudhomme a posé le mois dernier au sommet du puy de Dôme avec Chauvin et Laurent Wauquiez, le président pro-Tour de la région Auvergne-Rhône-Alpes, l'issue ne fait guère de doute. Il ne s'agit plus de savoir si la plus grande épreuve cycliste reviendra un jour sur cette ascension mythique, mais comment et quand. « Là où il y a une volonté commune, il y a un chemin, fût-il étroit », image Prudhomme. Signal fort, Chauvin a autorisé une première compétition cycliste au puy de Dôme, le 3 septembre prochain, un contre-la-montre amateur dans le cadre du Trophée des grimpeurs, qui escalade les plus grandes ascensions auvergnates.

« On ne reverra jamais 400 000 spectateurs sur les pentes du Puy »

Lionel Chauvin, président du Conseil départemental

 

 

 

Lorsqu'on interroge son organisateur, Gérard Cabantous, sur la difficulté que représenterait une arrivée du Tour sur ce sommet, il développe : « Là-haut, il n'y a pas la place pour les voitures, juste pour la télé et des moyens allégés. Vu l'étroitesse de la route, je ne vois qu'un contre-la-montre, mais sans voiture, seulement des motos. Et même des motos auraient du mal à redescendre. Nous, on nous l'interdit en tout cas. Sauf pour un problème médical. On en aura une avec un docteur au péage, en bas, prête à monter si un coureur a un problème. C'est compliqué, mais si on veut la cerise sur le gâteau, ça se mérite. On va essuyer les plâtres et on invitera ASO à venir voir. »

En raison de l'espace restreint en haut, Prudhomme écarte lui d'emblée un contre-la-montre. Alors ? Étant donné l'étroitesse de la route, il faudra probablement que le peloton emprunte au préalable des difficultés pour se présenter émietté sur ces derniers 4 km infernaux. Et pour éviter que tout le monde n'attende des plombes l'arrivée du grupetto au sommet, le plus probable demeure une étape courte et nerveuse. Pour le gros de la logistique, on a soufflé le circuit automobile voisin de Charade à l'oreille de Prudhomme. Mais quid du public ? Le précipice d'un côté, la voie ferrée de l'autre, il faudrait lui organiser un stade d'arrivée alors que la place y est comptée. « On ne reverra évidemment plus jamais 400 000 spectateurs sur les pentes du Puy-de-Dôme, tranche Chauvin. C'est hors de question. Je viens d'annoncer la fermeture du cratère du puy de Pariou au public (130 000 visiteurs par an) en raison de son érosion, ce n'est pas pour annoncer n'importe quoi au puy de Dôme ! Mais sur ces 4 km terribles, sans public, ce sera intéressant, il faudra un gros mental. »

 

Depuis l'inauguration de rails accaparant la moitié de la chaussée, en 2012, le retour du Tour est encore moins évident. La seule route menant au sommet du puy est d'ailleurs barrée aux cyclistes. (Frédéric Porcu/L'Équipe)

Pour les collectivités locales, l'enjeu de l'organisation risque de tourner autour de la montagne et des 10 km de circonférence de son pied pour en interdire l'accès aux passionnés, un peu comme les gendarmes qui verbalisent régulièrement les cyclistes qui contournent l'interdiction d'emprunter le chemin de la gloire et du souvenir. Quant à la date des retrouvailles... « Un anniversaire se profile », sourit Prudhomme. En 2024, les Jeux Olympiques reviendront à Paris cent ans après et le Tour pourrait, lui, fêter les soixante ans du duel Anquetil-Poulidor au puy de Dôme. Le directeur de la Grande Boucle mettrait ainsi fin à une quête née dans les mythes de son adolescence... mais pas que.

« C'est aussi devenu très personnel », confesse-t-il, très ému. Il évoque une promesse secrète faite à sa soeur, prématurément disparue. Il dit que depuis la fenêtre de sa cuisine, à Clermont-Ferrand, on avait vue sur le puy de Dôme. Raviver les souvenirs s'avère parfois cruel mais il est temps pour le Tour, qui s'est renouvelé avec de nouveaux défis depuis dix ans, de relever celui-ci. Samedi dernier, quand seul le cliquetis mélodieux des rayons des roues des montures et le souffle court de leurs cavaliers trouaient parcimonieusement le silence de la montagne apaisée, on se disait que ça ferait forcément tout drôle d'assister ici à une arrivée de haute volée sans la foule qui a tant participé à sa renommée. Mais les belles histoires ont toutes un prix.

 

 

[Bart Simpson]

C'est le médecin qui lui a dit d'arrêter?
C'est quoi la règle, je l'ai plus en tête? Tu sors dès que tu es positif ou tu sors si tu es positif avec symptome?

Parce que ça change un peu la façon de voir les choses.

positif avec symptômes tu sors
Positif sans symptômes tu sors si en fonction du résultat du pcr le taux de le refiler est élevé (ce qui est arrivé à Martin)

[xdderf63]

Y a pas de règle spéciale au sport, PCR positif, c'est 7 jour d'isolement avec possibilité de réduction à 5 si test négatif  au cinquième jour .

Si
Tous les sports s'adapte et provoque des séries de tests
Si tu n'es jamais testé comme toi ou moi, comment tu sais ?
A priori au tennis on a annulé les tests ou réduit. On est quand même très peu au contact du public ou de son adversaire...
En cyclisme c'est adaptation avant le tour.
Tout le monde est testé au même moment
Symptomatique et positif, tu arrêtes mais pas ton équipe
Asymptomatique il faut faire un test PCR poussé qui donne la charge virale
Si elle dépasse un seuil, dit contagieux, il faut arrêter pour protéger les autres.
Si elle est inférieur à ce seuil, c'est le médecin qui décide si le coureur peut continuer ou non
Donc c'est adaptation et non systématique idem qu'une personne lambda

[Alex chocolatines]

Si
Tous les sports s'adapte et provoque des séries de tests
Si tu n'es jamais testé comme toi ou moi, comment tu sais ?
A priori au tennis on a annulé les tests ou réduit. On est quand même très peu au contact du public ou de son adversaire...
En cyclisme c'est adaptation avant le tour.
Tout le monde est testé au même moment
Symptomatique et positif, tu arrêtes mais pas ton équipe
Asymptomatique il faut faire un test PCR poussé qui donne la charge virale
Si elle dépasse un seuil, dit contagieux, il faut arrêter pour protéger les autres.
Si elle est inférieur à ce seuil, c'est le médecin qui décide si le coureur peut continuer ou non
Donc c'est adaptation et non systématique idem qu'une personne lambda

Merci pour tes précisions, mais les bras m'en tombent ... Si on admet l'idée d'isoler les positifs chez le "Français moyen", pourquoi différer chez les sportifs ? admettons qu'ils aient des conditions physiques optimales et un suivi médical quotidien, le risque de transmission me parait tout aussi important que pour n'importe qui    

[xdderf63]

Merci pour tes précisions, mais les bras m'en tombent ... Si on admet l'idée d'isoler les positifs chez le "Français moyen", pourquoi différer chez les sportifs ? admettons qu'ils aient des conditions physiques optimales et un suivi médical quotidien, le risque de transmission me parait tout aussi important que pour n'importe qui    

Ma question est : combien de français sont positifs et ne le savent pas ? Car il ne se testent pas et sont asymptomatiques
Plus que de positifs, c'est sur...
Donc l'isolement...

J'ai un collègue en Allemagne où le protocole est différent qui a découvert au test du matin 4 de ses opérateurs machine positifs... dernier jour sur site.
Lui un peu mal a la gorge se teste depuis 5 jours
Pas positif mais il est presque sur de l'être...
Masque FFP2 + télétravail au max depuis son retour. Mais combien prennent le métro le matin avec ce petit mal de gorge, sans masque ?

Tu n'as pas bien compris ma comm. Et les décisions prises
Les coureurs qui ont le droit de continuer sont non contagieux car charge virale faible mesurée par un test. Donc risque de contamination sans doute nulle.
Le lambda ne connait pas sa charge virale avec les tests ouvert au public

Déduction : GMartin avait sa charge virale importante suite aux tests et d'autres qui continuent l'avaient faible

[Bart Simpson]

Merci pour tes précisions, mais les bras m'en tombent ... Si on admet l'idée d'isoler les positifs chez le "Français moyen", pourquoi différer chez les sportifs ? admettons qu'ils aient des conditions physiques optimales et un suivi médical quotidien, le risque de transmission me parait tout aussi important que pour n'importe qui    

Moi la question qui m'en tombe les bras c'est pourquoi il faut obligatoirement s'isoler pour le.covid en juillet 22?

[Alex chocolatines]

Moi la question qui m'en tombe les bras c'est pourquoi il faut obligatoirement s'isoler pour le.covid en juillet 22?

Demande à Silhouette, il explique bien    

[Bart Simpson]

Les Jumbo c'est quoi leur objectif?

Faire 2,3, 4, 5 et 6 au général?

[Mammoth]

Tibo 🤩