Il nous faudrait un staff du genre
Gibbes
Garbajosa
Et roule ma poule. A condition de ne pas leur foutre simon dans les pattes.
Posted 19 March 2019 - 12:51 PM
Il nous faudrait un staff du genre
Gibbes
Garbajosa
Et roule ma poule. A condition de ne pas leur foutre simon dans les pattes.
Posted 19 March 2019 - 12:55 PM
je résume........ pour faire simple... on est vraiment dans la mer.....................................
Mais bon , au point où nous en sommes même si GALTIE, ne sera pas l 'homme providentiel ou de la situation ...que risque t -on ?
Bouger le curseur ? pourquoi pas ! pas sûr que papy BRUNEL le voit ainsi! GALTIE? oui...non un peu dubitatif perso, pas sur l ' entraineur, mais le bonhomme laisse quelques traces partout où il passe..
Ca sent le sauve qui peut tout ça....qaund au sauveur, je vous laisse apprécier !.
Une chose est sure: ce ne peut -être pire!
Posted 19 March 2019 - 14:12 PM
Mais bon , au point où nous en sommes même si GALTIE, ne sera pas l 'homme providentiel ou de la situation ...que risque t -on ?
Bouger le curseur ? pourquoi pas ! pas sûr que papy BRUNEL le voit ainsi! GALTIE? oui...non un peu dubitatif perso, pas sur l ' entraineur, mais le bonhomme laisse quelques traces partout où il passe..
Ca sent le sauve qui peut tout ça....qaund au sauveur, je vous laisse apprécier !.
Une chose est sure: ce ne peut -être pire!
C'est pas d'un technicien dont on a besoin, c'est de gestion humaine et de management positif avant tout. Alors imposer Galthié à Brunel qui n'en veut pas, qui va faire de l'ombre à Bonnaire et Elissalde, arriver avec l'étiquette de parachuté et sauveur potentiel, c'est clair que ça va amener une sérénité totale au staff et au groupe.. Si Galthié peut servir à qq chose (j'en doute), c'est avec les mains libres. Vous l'imaginez imposer le retour en grâce de Parra à Brunel, ou faire d'autres choix forts qui décrédibilisent l'autorité et les choix de Papy ? Pour moi, il n'y a pas 50 scenarios d'ici la CDM :
1. on reste comme ça. On connaît le staff et le groupe, je ne vois pas comment ils peuvent se relever réellement. Donc 0 esprit de groupe, "plans de jeu" réduits à néant, muscu et défense. On sort pas de poule, tout le monde balance sur tout le monde et vide son sac.
2. on ajoute Galthié au staff actuel. Explosion du staff qui se tire dans les pattes, pas plus de constitution d'un vrai groupe, pas plu de de plans de jeu, muscu et explosion du groupe. On sort pas de poule.
3. On vire brunel et on le remplace tout de suite par Galthié ou l'arrivée de Galthié pousse Brunel à partir. esprit commando, groupe plus serein (effet psychologique de libération de brunel), plans de jeu minimalistes (c'est pas en 2 mois qu'on va faire des trucs de dingue), muscu et défense, mais dans un bon esprit. Comme ça, on peut emmerder l'Argentine, on va en 1/4, Laporte et Simon sont sauvés, pas besoin de réformes de fond, tout va bien.
Ma préférence va au 1, mais le 2 peut avoir le charme du foutage sur la gueule et de tous ses rebondissements médiatiques.
Mais bon , au point où nous en sommes même si GALTIE, ne sera pas l 'homme providentiel ou de la situation ...que risque t -on ?
Bouger le curseur ? pourquoi pas ! pas sûr que papy BRUNEL le voit ainsi! GALTIE? oui...non un peu dubitatif perso, pas sur l ' entraineur, mais le bonhomme laisse quelques traces partout où il passe..
Ca sent le sauve qui peut tout ça....qaund au sauveur, je vous laisse apprécier !.
Une chose est sure: ce ne peut -être pire!
Bien sûr que si ! le pire est toujours possible, surtout quand tu as affaire à de tels phénomènes.
Posted 19 March 2019 - 14:25 PM
C'est pas d'un technicien dont on a besoin, c'est de gestion humaine et de management positif avant tout.
si, si...c'est bien ca le besoin principal
remet du rugby la dedans et la gestion humaine en sera facilité
quand le coté rugby est a la hauteur, les joueur suivent et ne l'ouvre pas
Posted 19 March 2019 - 15:29 PM
Il nous faudrait un staff du genre
Gibbes
Garbajosa
Et roule ma poule. A condition de ne pas leur foutre Simon dans les pattes.
Au dela du staff c'est plutot ca la cle. N'importe quelle equipe de coachs pros ferait mieux que le staff actuel si Laporte/Simon ne se melaient pas de l'edf.
Posted 19 March 2019 - 15:34 PM
si, si...c'est bien ca le besoin principal
remet du rugby la dedans et la gestion humaine en sera facilité
quand le coté rugby est a la hauteur, les joueur suivent et ne l'ouvre pas
L'œuf ou la poule ??? pas d'accord, mais j'avoue que je serais curieux de voir/savoir à quoi ressemble une séance d'entraînement de l'EDF pour juger entre management et jeu. .
Posted 19 March 2019 - 15:50 PM
L'œuf ou la poule ??? pas d'accord,
et pourtant...
Posted 19 March 2019 - 15:58 PM
C'est pas d'un technicien dont on a besoin, c'est de gestion humaine et de management positif avant tout. Alors imposer Galthié à Brunel qui n'en veut pas, qui va faire de l'ombre à Bonnaire et Elissalde, arriver avec l'étiquette de parachuté et sauveur potentiel, c'est clair que ça va amener une sérénité totale au staff et au groupe.. Si Galthié peut servir à qq chose (j'en doute), c'est avec les mains libres. Vous l'imaginez imposer le retour en grâce de Parra à Brunel, ou faire d'autres choix forts qui décrédibilisent l'autorité et les choix de Papy ? Pour moi, il n'y a pas 50 scenarios d'ici la CDM :
1. on reste comme ça. On connaît le staff et le groupe, je ne vois pas comment ils peuvent se relever réellement. Donc 0 esprit de groupe, "plans de jeu" réduits à néant, muscu et défense. On sort pas de poule, tout le monde balance sur tout le monde et vide son sac.
2. on ajoute Galthié au staff actuel. Explosion du staff qui se tire dans les pattes, pas plus de constitution d'un vrai groupe, pas plu de de plans de jeu, muscu et explosion du groupe. On sort pas de poule.
3. On vire brunel et on le remplace tout de suite par Galthié ou l'arrivée de Galthié pousse Brunel à partir. esprit commando, groupe plus serein (effet psychologique de libération de brunel), plans de jeu minimalistes (c'est pas en 2 mois qu'on va faire des trucs de dingue), muscu et défense, mais dans un bon esprit. Comme ça, on peut emmerder l'Argentine, on va en 1/4, Laporte et Simon sont sauvés, pas besoin de réformes de fond, tout va bien.
Ma préférence va au 1, mais le 2 peut avoir le charme du foutage sur la gueule et de tous ses rebondissements médiatiques.
Bien sûr que si ! le pire est toujours possible, surtout quand tu as affaire à de tels phénomènes.
Ce qu il nous faut c'est un mec capable de mettre un projet de jeu identifiable en place auquel les joueurs adhéreront
Le bordel dans l équipe vient de l amateurisme dans tout ce que fait ce staff, il faut remettre de l ordre, de la maitrise et de la stabilité.
Posted 19 March 2019 - 16:02 PM
Jones s'est pas mal débrouillé avec le Japon, et tu crois qu'il parlait nippon ?
il me semble que oui : sa mère est japonaise ainsi que sa femmes
https://fr.wikipedia...s_(rugby_Ã _XV)
Posted 19 March 2019 - 17:29 PM
quoi qu'il arrive Brunel sera là au moins jusqu'en décembre,Bernie n'a jamais dit qu'il virait sont copain...on a battu l'Italie le contrat est remplit jusqu’à la CDM...
Aucun entraîneur étranger qui se respecte, qui a les résultats et en plus l'argent ne viendrait se perdre dans l'incurie organiser par Laporte et consort,il va falloir retrouver un peut de vernis pour attirer les pigeons...
Seul des types sur la touche, Ibanez,Delmas et Galtier ses potes,ou Urios , bien docile ,bien correct pourraient venir prendre un peut d'oseille...
Posted 19 March 2019 - 17:36 PM
y a bien Vern,non ?
j'ai cru lire que Garba irait à Montpellier,ça m'étonnerait que ce soit avec lui
et puis,Altrad est bien pote avec la binocle,alors,un petit coup de pouce au mécène de l'EDF pour se débarrasser de son entraîneur actuel,et hop,le tour est joué
Garba au MHR,Vern en EDF
moi,ça m'irait,parceque c'est pas Vern qui se laisserait dicter sa conduite,ni imposer des choix de jeu(non,j'ai dit une connerie,y en a pas),ni des joueurs(ça,y en a)
Posted 19 March 2019 - 19:07 PM
Posted 19 March 2019 - 19:20 PM
Comment il dit déjà ? "Jean Ba dont je tiens à louer l'investissement"???Laporte : "Ce n’est pas à moi de dire si Galthié peut entraîner avec Brunel"
Dans l’entretien qu’il a accordé, le président de la FFR, détaille ses volontés pour le Mondial 2019 et évoque l’apport de Fabien Galthié dans le staff du XV de franceMidi Olympique : Quelle est votre stratégie pour sauver ce qui peut l’être ?
Bernard Laporte : Je ne veux rien imposer à personne et je vais donc en discuter très vite avec les gens concernés, c'est-à-dire avec Jacques Brunel et les membres de son staff. A mon sens, il faut apporter encore plus de compétences dans l’encadrement. Il faut amener d’autres idées et, à l’image des autres sélections, avoir une véritable addition de compétences. Je veux que Jacques (Brunel) mais aussi ses adjoints partagent ce constat. Cela doit venir d’eux. On va donc se voir cette semaine, pour évoquer tout cela entre nous.
Pendant le Tournoi, Jacques Brunel a déjà fermé la porte à des apports extérieurs dans son staff.
B.L. : Je pense qu’il a répondu à la question pour ce 6 Nations, pas en vue du Mondial.
Et si le staff refuse de nouveau cet apport ?
B.L. : S’ils me disent non, ils prendront leur responsabilité.
Qui aurait le profil ?
B.L. : Vous n'en parlez pas, je vais donc vous parlez directement de Fabien Gatlhié.
Son nom circule depuis bientôt un mois...
B.L. : Encore une fois, je ne veux pas que cela vienne de moi mais du staff. Ce n’est pas à moi de dire si Fabien peut entraîner avec Jacques et « Jean-Ba » (Elissalde) dont je tiens à louer l’investissement. En 2000, quand j’étais entraîneur de l’équipe de France, c’est moi qui avait demandé au président Bernard Lapasset d’agrandir mon staff. J’avais choisi Jacques et voulu l’apport de David Ellis pour la défense ou de Joël Dumé comme arbitre des séances avec opposition et vidéos ! C’est Jacques qui va travailler probablement avec le ou les techniciens supplémentaires dont on parle ! Cela doit venir de lui. L’idée ? C’est d’arriver à faire une bonne Coupe du monde au Japon. Avec ou sans apport supplémentaire.
Qu’est-ce qui ferait pour vous une bonne Coupe du monde ?
B.L. : Vu la composition de la poule, avec l’Argentine et l’Angleterre qui sont deux prétendants déclarés au dernier carré, si le XV de France arrive à se qualifier en quarts de finale sera une réussite.
Pour cela, il faudra que les Bleus montrent un autre visage, bien plus offensif…
B.L. : Je pense surtout qu’il nous faudra faire moins de fautes et mieux défendre.
En Irlande ou face à l’Italie, les joueurs ont défendu leur ligne avec acharnement. La défense est quand même un des rares secteurs satisfaisants.
B.L. : Ne confondez pas défendre et plaquer ! Quand je dis bien défendre, c’est parvenir à agresser dans le bon sens du terme l’adversaire, progresser en défendant. Plaquer en reculant, ce n’est pas bon ! Et puis, nous sommes trop pénalisés et toujours plus que nos adversaires. C’est aussi une piste qu’on doit améliorer. Pourquoi n’avons-nous pas un arbitre présent dans le staff qui, chaque semaine, dispense des cours de règlement aux joueurs ? Cela nous aiderait à progresser.
En résumé « Je ne veux rien imposer. La décision que j'ai prise doit venir naturellement de Brunel en toute liberté de conscience (vers un nouvel âge réminiscent) ».
Posted 19 March 2019 - 20:09 PM
si si ça peut une bonne petite cdm avec en plus des 2 défaites annoncées une autre contre les tonga et hop emballé c'est pesé 🤣Mais bon , au point où nous en sommes même si GALTIE, ne sera pas l 'homme providentiel ou de la situation ...que risque t -on ?
Bouger le curseur ? pourquoi pas ! pas sûr que papy BRUNEL le voit ainsi! GALTIE? oui...non un peu dubitatif perso, pas sur l ' entraineur, mais le bonhomme laisse quelques traces partout où il passe..
Ca sent le sauve qui peut tout ça....qaund au sauveur, je vous laisse apprécier !.
Une chose est sure: ce ne peut -être pire!
Posted 19 March 2019 - 21:47 PM
Bernard Laporte vise Warren Gatland pour le quinze de France
C'était lundi soir, le Grand Chelem du pays de Galles avait déjà quarante-huit heures, mais tout Cardiff continuait de s'enivrer de ses effluves autour du Senedd, l'assemblée nationale locale. À son parvis, les héros du XV du Poireau, dont le capitaine, Alun Wyn Jones, et l'entraîneur, Warren Gatland. Devant des milliers de supporters, le Néo-Zélandais, rayonnant, a été innocemment interrogé sur ses plans pour le futur, alors que toute la Principauté sait que Gatland quittera Galles, qu'il entraîne depuis 2008, après la Coupe du monde 2019 (20 septembre - 2 novembre). Après un petit rire gêné, il a répondu : « Rien pour le moment... Je n'ai rien prévu, on doit disputer la Coupe du monde, puis je couperai un peu et... peut-être qu'avec un peu de chance quelqu'un m'offrira un travail ! »
Fausse modestie : cette éventualité n'aura rien à voir avec la chance ! Le troisième Grand Chelem (2008, 2012, 2019) en dix Tournois fait de Gatland un des entraîneurs les plus convoités pour l'après-Japon. Selon nos informations, des contacts ont déjà été noués avec la France, et le président de la Fédération, Bernard Laporte, est très intéressé par son profil (*), même si pour la FFR il présente deux petits problèmes : il ne parle pas français, et devrait vite s'y mettre, et surtout... il coûte cher !
C'est que la concurrence est rude pour se l'arracher. Son nom circule beaucoup en Angleterre. Dernier plaidoyer en date pour qu'il succède à Eddie Jones, de l'autre côté de la Manche ? Will Greenwood, l'ancien centre champion du monde 2003, sur Sky : « Il est brillant, alors si le poste est libre et s'il l'est aussi, faites venir Warren ! » L'hypothèse fait frémir chez le voisin et ennemi gallois, et lundi, un supporter a hurlé cette supplique : « Ne va pas en Angleterre ! » Gatland s'en est sorti par une pirouette : « On ne me permettrait plus jamais de traverser la Severn Bridge ! », du nom du pont qui sert de frontière entre les deux voisins.
Un profil qui correspond aux besoins des BleusSon prestige est grand aussi au pays, alors qu'il a quitté la Nouvelle-Zélande il y a plus de vingt ans. En janvier dernier, il avait laissé entendre à l'émission The 1014 Rugby qu'il voulait s'impliquer dans le rugby chez lui, pourquoi pas dans le Super Rugby. Il ne citait pas les All Blacks, qui seront pourtant à prendre en 2020, puisque Steve Hansen ne les entraînera plus. Et Gatland fait figure de candidat crédible au poste le plus prestigieux pour un Kiwi...
Son palmarès, en club avec les Wasps par exemple (champion d'Angleterre, champion d'Europe) comme en équipes nationales (Irlande, Galles, Lions britanniques), plaide pour lui. Pour la France, un fait explique pourquoi les Bleus pourraient croire en lui : en 2008, il récupère une nation dixième mondiale, traumatisée par la Coupe du monde 2007 quittée dès les quarts de finale. Et il la mène illico au Grand Chelem !
C'est que Gatland a le don pour créer un groupe, et vite. L'ancien talonneur resté dans l'antichambre des Blacks (17 matches, mais aucun test sous la tunique à la fougère argentée) a tanné son cuir d'entraîneur à Galway, dans l'ouest de l'Irlande, à la fin des années 1980. Capable de créer « un esprit de corps » aux Galwegians, petit club amateur du Connacht, selon son ancien joueur Joe Healy, il est resté fidèle à cet état d'esprit partout où il est passé. Chez les Gallois, « tout tourne autour des joueurs et de leur famille », insistait-il ces derniers jours, après le triomphe.
Gatland est prêt à se plier en quatre pour eux. À condition qu'ils répondent à ses propres exigences, énormes. Sa première ? Des joueurs en parfaite condition physique. Une grosse lacune chez les Bleus, qui courent après la forme, épuisés par le Top 14... Ses stages de préparation sont réputés pour leur dureté. Et même les entraînements de rugby sont tournés vers cette philosophie. Ils sont courts, autour de quarante-cinq minutes, mais intenses. « De la première à la dernière minute, tout est fait à pleine vitesse, avec du tempo, se souvient l'ex-flanker Martyn Williams. Quand tu t'entraînes si dur, tu sais que tu peux tout donner jusqu'à la dernière minute d'un match. »
Lui qui a cherché à rester loin des intrigues politico-économiques du rugby gallois a réussi aussi sa collaboration sportive avec les clubs. « Par exemple,explique Bernard Jackman, ex-coach des Dragons (2017-2018), c'est la Fédé qui fournit les GPS et les personnes qui en exploitent les données. Quand on avait une séance à midi avec les Dragons, vers 13 heures Gatland avait déjà toutes les infos. Ils ont instauré ce qu'on appelle un "data passport". Le staff sait ainsi comment doser individuellement le travail de chaque joueur, pour les pousser sans les cramer. »
Gatland est aussi passé maître dans le choix des joueurs, paramètre capital du succès d'une sélection, où les Bleus sont en errance, en témoignent les quatre-vingt-dix-sept joueurs « essayés » par Guy Novès puis Jacques Brunel depuis 2016. Le Néo-Zélandais ne se soucie pas des réputations, déjà. Il a été capable de se passer sans états d'âme de la légende vivante Brian O'Driscoll pour le match décisif de la tournée 2013 (victorieuse) des Lions britanniques et irlandais. « Il nous a apporté une mentalité de vainqueurs, décrypte son ancien demi de mêlée Mike Phillips. Son premier match, on avait battu l'Angleterre à Twickenham et, en général, après un succès de ce genre, un entraîneur va garder le même XV ! Mais lui, il a fait des changements, parce que certains joueurs n'avaient pas été assez performants à ses yeux. Il a établi ce standard immédiatement. La génération d'après a profité de cette exigence. »
C'est pour ça que le XV du Poireau, chaque année depuis 2008, se sentait capable de décrocher le Tournoi, et que la demi-finale de la Coupe du monde 2011, perdue d'un rien contre le France (8-9), avait laissé un goût d'inachevé. Les joueurs gallois sont libérés et ambitieux quand leur entraîneur sait absorber toute la pression, médiatique et sportive. Et ça, ça ne serait pas la dernière de ses forces, alors que la France s'élancera à partir de 2020 vers une Coupe du monde à domicile, en 2023, où elle se devra de réussir.
(*) Bernard Laporte ne s'interdit pas de recruter un sélectionneur étranger, ce qui serait une première, mais il a dit qu'il ferait d'abord valider le principe par référendum auprès des clubs amateurs.