Prions pour que "dieu Dupont " vous pardonne !!! Mécréants !!!!
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Je dirais même plus: varois de la rouille et pardon voyou de la rade...
Posté 10 février 2021 - 23:08
Prions pour que "dieu Dupont " vous pardonne !!! Mécréants !!!!
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Je dirais même plus: varois de la rouille et pardon voyou de la rade...
Posté 10 février 2021 - 23:39
une des qualités premières de Dupont, est son humilitude.
Posté 11 février 2021 - 06:21
une des qualités premières de Dupont, est son humilitude.
C'est royal!
Posté 11 février 2021 - 07:15
Bernard Le Roux - Paul Willemse, une deuxième ligne sud-africaine au service des Bleus En un an, l'attelage Le Roux - Willemse s'est rendu indispensable en équipe de France. En apportant ce qui fait la spécificité et la force des deuxième-ligne en Afrique du Sud, leur pays d'origine
Les mauvaises nouvelles voyagent vite. Les bonnes mettent parfois plus de temps, surtout si elles viennent du bout de l'Afrique. Du lieu-dit Moorreesburg pour Bernard Le Roux - au début, il écrivait lui-même le nom de sa ville sur le cahier des journalistes -, de Pretoria pour Paul Willemse. Ça fait une trotte jusqu'à Marcoussis.
L'histoire de cette deuxième ligne, dont le quinze de France ne peut pas se passer, découle d'encore plus loin si on se souvient que « Bernie » (31 ans) n'était pas chaud pour monter dans la cage il y a encore deux ans. Quant à monsieur Paul (28 ans), personne n'osera prétendre qu'on l'attendait comme le sauveur de la patrie.
À l'époque, s'il n'était resté qu'un passeport, on sentait bien qu'il était plutôt destiné à l'ailier Alivereti Raka. Certains experts craignaient que le gargantuesque Willemse, qui a depuis perdu une bonne dizaine de kilos, marche après le troisième ruck, que le rythme d'un match international lui brûle vite les poumons. Il y avait bien Jake White, son entraîneur à Montpellier, pour faire l'article à l'oreille de Guy Novès. « Vous n'avez pas l'équivalent de Paul Willemse en France », répétait-il. Aujourd'hui, alors qu'elle n'a pour vécu que sept titularisations simultanées - la première contre l'Angleterre il y a un an -, cette doublette a fait le vide autour d'elle.
« Au pays, les gens sont fiers d'eux »
Fabien Galthié a trouvé deux fèves dans la galette. Hasard ou coïncidence, elles ont l'accent râpeux que ne perdent jamais tout à fait les exilés sud-africains. « On n'aime pas beaucoup qu'on pense que nous sommes des Sud-Africains qui jouent en équipe de France, signalait sans colère Willemse l'an dernier. On est ici depuis longtemps. » Sept ans pour lui, douze pour Le Roux. « Pour moi, que la deuxième ligne du quinze de France soit formée de deux mecs originaires d'Afrique du Sud, c'est accidentel, présume Dries Van Heerden (59 ans), qui est, depuis le décès d'Eric Melville en 2017, le doyen en la matière. C'est avant tout la consécration de leur courage, de leurs efforts d'intégration, d'identification même. Ça n'a pas dû être marrant pour eux au début. »
« Au pays, les gens sont fiers d'eux, assure Dewald Senekal, Sud-Africain passé par Toulon, Agen et Bayonne, aujourd'hui entraîneur. Dans sa vie d'adulte, Le Roux a passé plus de temps en France qu'en Afrique du Sud. » Robuste deuxième latte du Racing de 2008 à 2017, François Van der Merwe ne s'étonne pas davantage. « C'est le rugby moderne. On ne joue pas toujours là où on est né. L'autre raison, c'est l'excès de très bons deuxième-ligne en Afrique du Sud. » Il suffit de regarder les noms des quatre spécialistes retenus par le sélectionneur Rassie Erasmus à la Coupe du monde 2019 au Japon (Etzebeth, Snyman, Mostert, De Jagger) pour imaginer une sorte de syndrome du pongiste chinois, poussant d'excellents deuxième-ligne sur les routes du déracinement. « Il ne faut pas se mentir, ajoute Senekal. Le taux de change favorise aussi les départs vers l'Europe. Il y a un an, il y avait 287 Sud-Africains dans les ligues pro. »
« Une bonne synergie entre ce que recherche le rugby français et ce que propose de mieux le rugby sudaf »
Flip Van der Merwe, ancien deuxième-ligne de Clermont et des Boks
La rencontre de deux préjudices peut donner de grandes choses. Dépité de ne pas avoir été retenu dans la liste élargie pour la Coupe du monde 2015, l'impatient Willemse a mis les voiles et trouvé un avenir international en France, qui manquait justement de bestiaux de son format. En bon chef de village gaulois, Galthié sait qu'on a toujours besoin d'un forgeron et d'un poissonnier dans son armée. Besoin de dureté, de caractère, de densité physique, de présence intimidante, de dévotion aux tâches de l'ombre.
« Il existe une bonne synergie entre ce que recherche le rugby français et ce que propose de mieux le rugby sudaf », dit Flip Van der Merwe, ancien deuxième-ligne de Clermont (37 sélections chez les Boks). En associant Le Roux et Willemse, le staff français traquait aussi un chromosome manquant à ce pack français. « Oui, de la dureté, de l'agressivité, convient Flip Van der Merwe. Chez nous, on a coutume de dire que pour jouer deuxième-ligne, tu as besoin d'un peu de barbe. Faut être un homme, pas un garçon. Bernard a grandi. On sent qu'il a plus de maturité, qu'il en impose, qu'il a du leadership, confiance en lui. Dans le rugby, aujourd'hui, tu ne peux pas te tromper avec l'agressivité. Il y a eu une époque bizarre en France où on sélectionnait Lambey (Lyon, 1re sélection à 24 ans), qui n'était pas prêt physiquement à être un deuxième-ligne international. Bernard et Paul ont ce côté guerrier, ils aiment le combat. La première chose qu'on demande à ce poste en Afrique du Sud, c'est l'engagement, le mental. Mais le deuxième-ligne est aussi souvent responsable de la touche alors qu'en France, c'est plutôt les prérogatives d'un troisième-ligne. »
En bleu, Willemse ne saute pas mais ses qualités de « lifteur » font merveille. « Il est aussi déterminant dans la défense contre les mauls, note Senekal. Bernard et lui travaillent énormément pour l'équipe. Ils finissent chaque fois meilleurs plaqueurs. » « C'est fou comme ce poste a évolué, souligne François "VdM". Les mecs font vingt plaquages, portent le ballon, nettoient les rucks, poussent en mêlée et on trouve ça normal. »
« Paul n'allait peut-être pas assez vite pour le Super Rugby, suggère Senekal. Aujourd'hui, on juge un deuxième-ligne sur son activité, les tâches accomplies. Pour l'agressivité, il ne reste que deux endroits possibles : plaquage et ruck. Mais le boulot du deuxième-ligne doit encore consister à provoquer l'adversaire, le fatiguer au sens d'être chiant, le marquer. »
Ce rôle, Bakkies Botha a réussi l'exploit de le rendre cool, du temps de ses années toulonnaises (2011-2015). « Je me souviens d'un des rares conseils de mon père, poursuit Senekal : "Tu joues deuxième-ligne, fils. Si tu ne peux pas être le meilleur du match, il faut que dans le bus du retour, tes adversaires disent que tu étais le plus pénible." Plus jeunes, on rêvait tous d'être Bakkies, d'être Johan Ackermann (ex-Springbok), d'être le shérif, le "hardman". »
Pour ces hommes qui aimeraient bien être enterrés avec leur barbecue, être numéro 4 ou numéro 5, ce n'est pas la même chose. « C'est comme si on te pique ton tour au braai (le barbecue sud-africain), image Flip. Le 4, chez nous, c'est le casse-tout. » « Par rapport à la France, les numéros sont inversés chez nous, dit Senekal. Moi, j'insistais beaucoup pour jouer 4, ça fait partie de l'histoire de notre rugby de porter ce numéro. Le 5, c'est plutôt pour les Jolly Jumpers. Ces dernières années, la France a surtout produit des deuxième-ligne de 110-115 kg, galopeurs, bondissants. » Du temps où Willemse jouait à Grenoble, Fabrice Landreau l'avait promu dans le rôle du pousseur-destructeur et cela avait eu le don d'exaspérer son compatriote et aîné Hendrik Roodt. « Roodt ne voulait pas être la girafe, il voulait être le tank », rigolait l'entraîneur.
« Quand tu vas au restau en Afsud et que tu discutes, tout le monde a joué deuxième-ligne (rire). »
Flip Van der Merwe
De Frik du Preez à Victor Matfield, de Mark Andrews à Bakkies Botha, de Hannes Strydom à Kobus Wiese, la preuve a été apportée du savoir-faire sud-africain. « Quand vous pensez rugby sudaf, vous pensez deuxième-ligne, enchaîne Flip. C'est marrant parce que moi, j'ai grandi en ouvrant de grands yeux devant des deuxième-ligne français : Merle, Roumat, Benazzi puis Pelous. Quand je pense équipe de France, je pense à eux. Est-ce que jouer deuxième-ligne ça fait plus rêver un gamin sud-africain ? Ça fait rêver les grands costauds, c'est sûr. Mais pour les filles, c'est plus cool d'être celui qui court vite et qui marque les essais. Mais bon, on a des prédispositions génétiques pour ce poste. Comme les Néerlandais, on est naturellement grands et bien bâtis. Quand tu vas au restau en Afsud et que tu discutes, tout le monde a joué deuxième-ligne (rire). »
Son grand frère François ajoute « qu'il n'y a pas en Afrique du Sud la même concurrence d'autres sports. Les gaillards, chez vous, ils peuvent atterrir au judo, à l'athlétisme, au hand, au basket ». « Des gabarits de 2 mètres et 130 kilos, c'est pas ça qui manque, signale Senekal. Rien que dans les rues, tu les vois. Je reviens de six semaines au pays, je suis passé aux Bulls (la province la plus réputée pour les deuxième-ligne) et j'ai vu de très beaux bébés qui vont arriver. » On dit mince ou on dit chouette ?
Posté 11 février 2021 - 16:59
Posté 11 février 2021 - 17:13
Même Antoine Dupond reconnait qu'il est le meilleur.....
Sinon il parait que Brady après le superbawl et son sixième titre à dit "Ma passe je la dois à Antoine Dupond"
et il se murmurre que Maradona avant de mourir aurait dit "heureusement j'ai vu joué Dupond de mon vivant, quel dieu".
tu peux raconter tout ce que tu veux si çà te fait plaisir
Antoine Dupont c'est le meilleur et de trés loin ...
point barre
Posté 11 février 2021 - 17:17
Même Antoine Dupond reconnait qu'il est le meilleur.....
Sinon il parait que Brady après le superbawl et son sixième titre à dit "Ma passe je la dois à Antoine Dupond"
et il se murmurre que Maradona avant de mourir aurait dit "heureusement j'ai vu joué Dupond de mon vivant, quel dieu".
C'est qui ?
Avec un T
Posté 11 février 2021 - 17:19
même Aaron Smith reconnait qu'Antoine Dupont est le meilleur
Il cherche a l embrouiller, il sait que c'est un français et que s'il le flatte il va prendre le melon et crac en CDM il le nique, elle est un peu grosse la ficelle depuis quand les blacks reconnaissent qu il y a meilleur qu eux
Posté 11 février 2021 - 17:20
tu peux raconter tout ce que tu veux si çà te fait plaisir
Antoine Dupont c'est le meilleur et de trés loin ...
point barre
Non mais sérieusement cette hype autour de Dupont depuis quelques temps commence à sérieusement à me gaver.
Après demandé à Aaronn Smith si Dupont est le meilleur c'est complétement débile, d'où ma réponse ironique....
Et j'espere bien que De Klerk ou Aaron Smith ont un peu d'amour propre et se considère comme les meilleurs eux même tout en étant reconnaissant du talent de leur adversaire.
Posté 11 février 2021 - 17:24
Non mais sérieusement cette hype autour de Dupont depuis quelques temps commence à sérieusement à me gaver.
Après demandé à Aaronn Smith si Dupont est le meilleur c'est complétement débile, d'où ma réponse ironique....
Et j'espere bien que De Klerk ou Aaron Smith ont un peu d'amour propre et se considère comme les meilleurs eux même tout en étant reconnaissant du talent de leur adversaire.
Depuis le temps qu il cherche une téte de gondole pour vendre le rugby, en plus il a une tête de gendre idéal et c'est pas un caractériel mais un gentil garçon, il coche toutes les cases pour plaire aux mamans des futurs recrues.
Posté 11 février 2021 - 17:28
Non mais sérieusement cette hype autour de Dupont depuis quelques temps commence à sérieusement à me gaver.
Après demandé à Aaronn Smith si Dupont est le meilleur c'est complétement débile, d'où ma réponse ironique....
Et j'espere bien que De Klerk ou Aaron Smith ont un peu d'amour propre et se considère comme les meilleurs eux même tout en étant reconnaissant du talent de leur adversaire.
attend ! c'est pas moi qui dit ça ...
c'est bien l'échange entre les deux numéros 9 qui
s'envoient des amabilités ...un poil hypocrites comme
le signale RCV
perso à la limite je m'en fout .. j'ai juste un ressenti
trés favorable sur notre 9
Posté 11 février 2021 - 17:36
Non mais sérieusement cette hype autour de Dupont depuis quelques temps commence à sérieusement à me gaver.
Après demandé à Aaronn Smith si Dupont est le meilleur c'est complétement débile, d'où ma réponse ironique....
Et j'espere bien que De Klerk ou Aaron Smith ont un peu d'amour propre et se considère comme les meilleurs eux même tout en étant reconnaissant du talent de leur adversaire.
Posté 11 février 2021 - 17:36
Posté 11 février 2021 - 17:41
Non mais sérieusement cette hype autour de Dupont depuis quelques temps commence à sérieusement à me gaver.
Après demandé à Aaronn Smith si Dupont est le meilleur c'est complétement débile, d'où ma réponse ironique....
Et j'espere bien que De Klerk ou Aaron Smith ont un peu d'amour propre et se considère comme les meilleurs eux même tout en étant reconnaissant du talent de leur adversaire.
De Klerk c' est une quiche, trainée en haut de l' affiche par le XV Sud AF.
Je le vois jouer avec Sale assez souvent sur RMC Sport, ben y a pas de quoi se taper le cul parterre.
Posté 11 février 2021 - 17:47
A MON TOUR MAINTEANTANNT !!
Ah pardon. Non mais, juste mon avis.
Antoine Dupont est dans le Top 3 indéniablement là. Pour ne pas dire directement -le- meilleur joueur du monde car c'est compliqué au Rugby niveau positions, mais disons Kolbe Radradra et Dupont et t'es à peu près dans le mille.
Aaron Smith son comm. c'est tout simplement du narcissisme. Beh si. Personne ne parlait d'Aaron Smith récemment, et d'un coup, ce post inclus, on parle de Aaron Smith. Vanter les autres publiquement sur les réseaux sociaux est une manière de ré-apparaître dans le paysage et de diriger l'attention vers soi-même. Avant son tweet, silence radio, après son tweet, AAAARRRON SMIIITH. HUMMILITEE. tRop lA clLASSsse !^¨!
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