11085 réponses à ce sujet

[ELSAZOAM]

Il lui laisse le choix dans la date  

Je ne laisse rien, sauf à la boulangère à qui je demande de me laisser le pain chaud !

Envoyé de mon SM-A505FN en utilisant Tapatalk

[Alex chocolatines]

ca devrait très peu tourner.

Surprenant et risqué (?) après l'engagement physique immense contre les sud-africains.

https://www.rugbyram...098/story.shtml

Non mais il n'est pas sérieux le Galtoche ? ou alors RR débloque ? 

Danty de retour sur un terrain après le caramel qu'il a ramassé ..... No comment 

Quand à NTK, meme si ça se joue à Toulouse il serait aussi intelligent de le laisser au repos, retour de blessure pas totalement convaincant, Jalibert largement capable et surtout son compère Lucu à la mêlée    

Et !toujours Macalou Moefana à l'aile ? On n'a pas assez de vrais ailiers dans le pays ? 

Bon je crois que chuis trop vieux pour ces conneries, j'y comprend plus rien 

à quoi sert un groupe de 42 si on en garde toujours qu'une vingtaine et les autres juste pour faire l'opposition à l'entrainement ? Le Japon c'était l'occase révée de donner du temps de jeu à ceux qui bossent fort mais qui regardent toujours depuis les tribune ou la téloche.

[cocotte 63]

ouais il fera moins le malin quand 4-5 de ses tops joueurs vont se faire les croisés ou des hernies...

 

Que Danty puisse jouer samedi, il n'y a que Sexton sur la planète rugby qui puisse comprendre ! 

[ELSAZOAM]

Plus tu pédales moins doucement, plus tu avances moins vite, c'est mathématique !

Tu as perdu les pédales et ton boulot ?!...  

[Eria]

ca devrait très peu tourner.

Surprenant et risqué (?) après l'engagement physique immense contre les sud-africains.

https://www.rugbyram...098/story.shtml

ils  en ont rien a faire ,ils retournent en infirmerie des clubs ensuite...

Raka a explosé sa téloche et l'ordi...

[Gourine63]

Alerte au genou pour Penaud.

[exilé-sud-ouest]

Alerte au genou pour Penaud.

Personnellement je ne porte que peu d’intérêt à l'infirmerie du ST, je préfère me concentrer sur celle déjà bien remplie de l'ASM!!

[Néophyte]

Alerte au genou pour Penaud.

 

Ramoutch envoie des petits coeurs sur Insta. 

[el landeno]

XV de France : les choix surprenants et payants de Fabien Galthié Alors que la tournée d'automne devait sanctifier le retour de l'équipe premium, visage inattendu (Bastien Chalureau) et choix technique étonnant (Sekou Macalou plus d'une heure à l'aile) ont réussi à émerger contre l'Afrique du Sud (30-26, samedi 12 novembre).

 

 

La saison des surprises, on avait cru comprendre que c'était l'été, les grandes vacances, les long-courriers, une fois en Australie, une autre au Japon. Et que l'automne venu, le quinze de France, retrouvant ses cadres sup ragaillardis par une coupure estivale bien méritée, laissait la nouveauté sur le pas de la porte.

 

 

 

Même à moins d'un an de la Coupe du monde, Fabien Galthié continue pourtant de suivre sa voie à double sens : caper un maximum les cadres de cette équipe, tout en l'ouvrant à de nouvelles têtes et débusquer « un ovni par an », comme l'affirmait le sélectionneur l'année dernière.

Derrière l'appellation choisie d'ovni, le patron du Geipan (*) de Marcoussis englobe aussi bien les carrières accidentées, comme celle de Bastien Chalureau qui vient d'honorer sa première sélection à 30 ans, les pures révélations, type Jaminet, que les cursus en marge des filières classiques, type Flament.

Mais tant qu'à parler phénomènes paranormaux, comment ne pas y inclure les soixante-sept minutes passées, bille à bille avec Cheslin Kolbe, par ce nouvel ailier de 1,95 m et 108 kg nommé Sekou Macalou ?

 

 

On n'oubliera pas non plus que l'essai de la victoire contre les champions du monde a été aplati par un tonton (Sipili Falatea) poussé du regard par son neveu (Yoram Moefana) qui venait lui-même de donner un sacré coup de corne.

« Ce banc 6-2 avec Macalou qui couvre toute la troisième ligne et le poste d'ailier, c'est une belle trouvaille »

Philippe Saint-André

 

 

 

Que cela constitue sans doute une première mondiale n'est qu'anecdotique. Ce qui ne l'est pas, c'est ce goût pour la recherche et l'innovation qui restera comme l'un des marqueurs importants du premier mandat de Fabien Galthié.

« Ce staff a mis en place un cadre, un modèle d'organisation mais son atout principal, c'est la dynamique de confiance qu'il a réussi à installer, souligne Marc Lièvremont, sélectionneur des Bleus entre 2007 et 2011. Avec ça, tu te gagnes le droit d'une plus grande liberté de choix, d'être novateur, imaginatif, ce qu'ils sont. Là où c'est fort, c'est que leurs choix sont la plupart couronnés de succès. On sent que ce cercle vertueux agit sur tout le monde, notamment sur le nouvel arrivant.

Je ne veux pas nuancer mais tous les sélectionneurs ont eu leurs "ovnis". J'ai appelé des joueurs issus de Pro D2. Quand je lance Fabien Barcella, ou Morgan Parra qui a 18 ans, quand je mets Parra à l'ouverture, ça se rapproche. Mais à l'époque, ça grêlait dur et ces idées ont été prises pour de l'inconscience, qualifiées de choix hasardeux ou suicidaires. Et puis parfois ça n'a pas marché comme avec Benoît Baby en 10 (2009, face au pays de Galles, victoire 21-16), alors que c'était un super joueur, ou Sébastien Chabal en 8, vu qu'on a pris une branlée à Twickenham (2011, défaite 17-9). Il y avait moins de constance dans les résultats qu'aujourd'hui. »

lire aussiLe calendrier et les résultats des tests de l'automne

Les idées du staff de Galthié n'ont pas toutes fonctionné ou duré. La création « Jalimack » (Jalibert en 10 et Ntamack en 12) n'a pas convaincu à l'usage et les premiers ovnis de Galthié (Bouthier et Haouas) ont depuis décroché dans la hiérarchie.

« Il faut reconnaître que ce staff a des idées novatrices et intelligentes, convient Philippe Saint-André, sélectionneur de 2011 à 2015. Ce banc 6-2 avec Macalou qui couvre toute la troisième ligne et le poste d'ailier, c'est une belle trouvaille (avant Macalou, des garçons comme Cretin ou Cros avaient été sensibilisés à ce dépassement de fonction). On remarque que les grandes perfs de cette équipe, c'était avec un banc 6-2, permettant à un cinq de devant tout neuf d'entrer autour de la 50 ou 60e minute Ils ont résolu un vieux problème du quinze de France, celui de l'enchaînement des tâches de notre cinq de devant dans le temps. »

Ces derniers jours, le troisième-ligne rochelais Yoan Tanga a passé du temps aux entraînements... au poste de centre.

(*) Groupement d'études et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés.

 

 

Tu as perdu les pédales et ton boulot ?!...  

Parigot travaille avec André Santini ?

[grospaquet33]

Personnellement je ne porte que peu d’intérêt à l'infirmerie du ST, je préfère me concentrer sur celle déjà bien remplie de l'ASM!!

Putain, encore un blessé a l’UBB!. Pfff on est pas verni 

 

 

ben oui, Urios est parti 

[Alex chocolatines]

Bon allez on lance un défi à Galtoche : 

 

Chiche de mettre Macalou et Olivon aux ailes en meme temps ? 

 

RCV en PLS 

[Bon Chasseur]

Chiche de mettre Macalou et Olivon aux ailes en meme temps ? 

Même avec ça il évite le match nul contre les Japonais en France, Galtoche

 

Mais non sinon, pas besoin d'Ollivon à l'aile: t'as déjà Moefana qui s'y trouve, on ne sait pas trop comment. Ollivon... en 2èL plutôt. Je suis sûr que ça fonctionne contre un Japon correct mais un peu mince. Tu mets Woki et Ollivon en 2èL. T'enlèves le talonneur. Juste, t'en mets pas. C'est deux piliers devant. Marchand en 3èL.

[el landeno]

XV de France : Sekou Macalou, de la troisième ligne... à l'aile Entré à l'aile ce samedi contre l'Afrique du Sud (victoire 30-26), Sekou Macalou, le troisième-ligne du Stade Français, a bluffé son monde. Et peut-être trouvé une porte d'accès en vue de la liste pour la Coupe du monde.

Le 18 octobre 2021, pour la première fois, Fabien Galthié envisage publiquement de faire de Sekou Macalou un remplaçant hybride, troisième-ligne et ailier.

 

 

 

Le sélectionneur vient de livrer sa liste pour la tournée d'automne et ce jour-là, il est beaucoup question dans sa bouche de ses réflexions pour muscler le banc des Bleus, quitte à y incorporer un cadre (ce sera le cas pour Alldritt contre l'Argentine).

Les commentaires qui vont accompagner l'annonce de la double couverture imaginée pour Macalou iront du sourcil dressé à la crainte d'une déconsidération pour le troisième-ligne du Stade Français.

Treize mois plus tard, il y a eu Marseille. Entré à la place de Jonathan Danty, Sekou Macalou (27 ans, 10 sélections) a joué ailier gauche pendant soixante-sept minutes, dans un tête à tête improbable face à Cheslin Kolbe et ses amis champions du monde.

 

 

Sur le moment, les sourcils dressés ont refait leur apparition. Pour son premier ballon, l'ailier de 1,95 m et 108 kg venait de dévisser un jeu au pied. Jusqu'à ce qu'on comprenne, le temps passant, que ce joueur inclassable était en train d'assurer un dépannage inclassable.

Il y a un an, Galthié disait : « On s'entraîne à modifier l'équipe et à essayer de toucher toutes les éventualités possibles. Car le premier blessé dans un match, c'est le plan de jeu. On essaie toujours d'avoir un plan de secours. »

Contre l'Argentine, il avait déjà placé Macalou dans un banc 6-2. Mais ce soir-là, le « Stadiste » entra en troisième-ligne. Le 2 juillet dernier, au Japon, la prophétie se réalisa. À la 63e minute, Macalou remplaçait Vakatawa et s'en allait à l'aile. Idem une semaine plus tard, à la 64e minute, cette fois en lieu et place de Penaud.

« Sekou s'exprime pleinement dans les couloirs, disait Laurent Labit, entraîneur de l'attaque du quinze de France. C'est là qu'on veut le voir. Il peut mettre beaucoup de pression sous les jeux au pied et en vitesse pure, il est supérieur à la plupart des trois-quarts. »« Sekou monte sur les coups d'envoi à 36 km/h », précise Karim Ghezal, co-entraîneur des avants.

« En phase d'attaque, il a ce qu'on recherche chez un ailier : vitesse, puissance et capacité à faire basculer un match avec pas grand-chose »

Julien Dupuy, ex-coéquipier au Stade Français de Sekou Macalou

 

 

 

Peut-être aurait-il fallu demander à David Smith, l'ancien ailier castrais, auteur d'un triplé le 19 avril 2017 contre le Stade Français. Ce jour-là, Macalou vivait sa première titularisation à l'aile, sur une idée originelle de Gonzalo Quesada.

Un mois plus tard, rebelote en barrages de Coupe d'Europe face à Cardiff. « Je jouais ce match, se souvient Julien Dupuy, qui fut ensuite entraîneur à Paris et à Toulon. Ce match, Sekou, il en a fait un truc énorme (doublé personnel, victoire 46-21). Face à lui, il y avait pourtant l'international gallois Cuthbert, un monstre.

Quand j'ai vu qu'il entrait si tôt contre les Springboks, je n'étais pas trop inquiet. Il s'en est super bien sorti parce qu'il a des qualités athlétiques hors norme. Plus que sa vitesse de course, c'est son explosivité qui m'a toujours scotché. Sur trois mètres, il sort du plaquage et ça fuse. En phase d'attaque, il a ce qu'on recherche chez un ailier : vitesse, puissance et capacité à faire basculer un match avec pas grand-chose. Sekou, il a besoin de deux ballons. C'est un vrai facteur X. »

On a perdu le compte des matches de la dernière chance de Macalou avec les Bleus. Décevant en Australie, il avait de nouveau perdu du crédit l'automne dernier contre la Géorgie. Ce nouveau rôle qu'il dit accepter (« J'ai juste dit que ça ne me dérangeait pas ») est possiblement une bénédiction pour lui. Décroché du peloton de tête des troisième-ligne, il a peut-être trouvé une autre porte d'entrée dans la liste pour la Coupe du monde.

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Le nombre de mètres parcourus par Sekou Macalou face à l'Afrique du Sud samedi.Entré à l'aile gauche suite à la blessure de Jonathan Danty (12e), il est le Tricolore qui a le plus progressé balle en main, sur la rencontre, devant Thomas Ramos (56 m) et Yoram Moefana (43 m).opta

« Par son style de jeu fait de fulgurances, Sekou Macalou a finalement un profil d'ailier, dit l'ancien sélectionneur Marc Lièvremont. Son éventuel défaut en troisième-ligne, c'est de manquer de constance. C'est vraiment un joueur particulier. »

« C'est un troisième-ligne qui aime le champ, plus que le petit périmètre, poursuit Dupuy. À Marseille, il a fait un gros match, mais c'est comme quand, pour telle ou telle circonstance, un 9 vous fait un gros match à l'ouverture. Ailier, c'est un poste complexe. Ce n'est pas comme quand on était petit et qu'on y mettait le gars le plus rapide.

Sekou n'a pas encore les repères, il peut être attiré par le ballon, manqué des replacements défensifs. Sur le b.a.ba du poste, ça me paraît compliqué, surtout si l'adversaire commence à analyser cette option. Mais s'il continue de passer du temps à le travailler à l'entraînement, si on met en place des mouvements pour qu'il vienne en premier attaquant, ou qu'il défende en premier défenseur, ça peut être une arme. »

 

 

[Rugby ?]

Plus tu pédales moins doucement, plus tu avances moins vite, c'est mathématique !

Heu ! je sais pas trop.

Mais Il me semble quand même que l'invention du dérailleur n'est pas arrivée à Paris. C'est mécanique!  

[Guédel]

Cest un scandale la gestion des internationaux. Remettre Danty cest vraiment se foutre de sa santé. Jai lu un édito dans le midol dun médecin du sport repris par des entraîneurs de top 14 qui disait en substance que ça va, le match de samedi dernier était rude mais personne na fait de KO, cest un sport de combat et il comprenait de façon misogyne et condescendante que « les mamans » peuvent avoir peur pour leur fils. Si cest du MMA ou de la boxe on ne joue/combat pas tous les we. Danty a pris un autobus dans la tête, il ne va pas se plaindre car sinon on en sélectionne un autre, il vient dêtre papa donc pas forcément vigilant ou concentré mais balek tu retournes sur le terrain car des japonais cest des petits asiatiques qui jouent au toucher. Franchement cest pas professionnel.