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[Alex chocolatines]

Je ne connais pas les tenants et les aboutissants du problème avec Gibbes.

Ce que je veux dire, c'est que Galthié n'est pas meilleur que Saint-André.
D'ailleurs, Galthié et Ibanez n'ont pas gagné grand chose en tant qu'entraîneur de top14.

Noves a le plus beau palmarès, et il a plutôt manqué son début de mandat. C'est comme ça.

Sous Saint-André, on avait pas de bons numéros 10.
Aujourd'hui, les meilleurs ouvreurs du top14 sont français. Tout ça pour dire que tu peux avoir le meilleur boulanger du monde, s'il y a une pénurie de blé, de farine et de levure, ça peut pas fonctionner.

Quand t'as un mec véreux comme président et qu'il cherche à te débarquer, ça n'aide pas non plus .

J'attend de voir ce que ça va donner avec la nouvelle présidence. D'ici à ce que Galtoche nous fasse un caca nerveux après l'éviction de son grand copain chauve 

.

[pims]

La liste probable des 42

Piliers : Atonio, Aldegheri, Baille, Bamba, Gros, Laclayat, Wardi.

Talonneurs : Marchand, Mauvaka, Bourgarit.

Deuxièmes lignes : Chalureau, Flament, Verhaeghe, Taofifenua, Willemse, Woki.

Troisièmes lignes : Alldritt, Bécognée, Pa. Boudehent (ou Camara), Cretin, Cros, Ollivon, Macalou.

Demis de mêlée : Couilloud, Dupont, Lucu, Serin.

Demis d’ouverture : Hastoy, Jalibert, Ntamack.

Trois-quarts centre : Danty, Fickou, Gailleton, Moefana, Vincent.

Ailiers : Bielle-Biarrey (ou Lebel), Dumortier, Penaud, Villière.

Arrières : Dulin, Jaminet, Ramos.

 

(le Parisien)

[l'exil]

2 jaunards, pas si mal finalement...

[pims]

2 jaunards, pas si mal finalement...

Laclayat et qui d'autre ?

[Oscar]

2 jaunards, pas si mal finalement...

Pas compris tout de suite !

[RCV06]

2 jaunards, pas si mal finalement...

C'est qui ?

[Gourine63]

Laclayat et qui d'autre ?

Jaminet.

[el landeno]

Comment Fabien Galthié opère pour constituer ses listes de sélectionnés Fabien Galthié communique ce mercredi la liste des 42 joueurs retenus pour préparer la Coupe du monde (8 septembre - 28 octobre). Voici comment le staff des Bleus a procédé jusqu'ici et comment il procédera jusqu'à l'annonce, le 21 août, des 33 sélectionnés définitifs.

Le monde se divise peut-être entre les gens qui établissent des listes pour tout et les autres. Le staff du quinze de France aussi. Parmi les « glazomanes » qui font, refont et défont des listes depuis quatre ans, on retrouve le sélectionneur Fabien Galthié, l'entraîneur de l'attaque Laurent Labit, les ingénieurs spécialisés en conquête William Servat et Karim Ghezal, l'expert du jeu au pied Vlok Cilliers et le contremaître de la défense Shaun Edwards.

 

 

À raison de trente-cinq matches disputés depuis l'entrée en fonction de ce staff, on peut évaluer à la louche que ce sextet a pondu plus de sept cents listes entre celles des 42 (au début de chaque rassemblement voire de chaque semaine de rassemblement), celles des 28 (conservés en vue du match, comprenant les 5 joueurs hors groupe qui peuvent pallier un forfait de dernière minute), celles des 23 (inscrits sur chaque feuille de match) et celles bien sûr des 15 de départ.

Depuis le jour 1, la méthodologie est immuable : chaque membre de ce noyau de techniciens soumet sa liste aux autres. Tout passe ensuite au mixeur jusqu'à ce que le débat d'idées soit épuisé. Après avoir synthétisé toutes les infos, Galthié donne son final cut.

Ratisser large

L'annonce, le 21 août, de la liste de toutes les listes (les 33 joueurs inscrits pour la Coupe du monde, qui commencera le 8 septembre) ne rappellera qu'un vague souvenir à Galthié et Labit, celui d'une scène déjà vécue quatre ans en arrière, du temps où Jacques Brunel était sélectionneur. Officiellement, Galthié et Labit, montés dans le train bleu juste avant le terminus au Japon, ne devaient pas influer sur les listes. Officieusement... Non, rien.

« En 2019, on cochait des noms sans grandes certitudes, raconte un témoin. Entre un changement de sélectionneur à moins de deux ans de la Coupe du monde (après l'éviction de Guy Novès) et l'arrivée du futur sélectionneur (Galthié), la ligne directrice n'était pas claire. »

 

 

Nourri de cette expérience, placé dans des conditions de travail jamais connues par aucun sélectionneur français, le staff actuel a gardé le cap, malgré le Covid, et su tamiser fin autour de plusieurs grands principes : caper un maximum le groupe premium dans le Tournoi et les tournées d'automne ; découvrir certains profils, les développer, dénicher un ovni ou deux au gré des tournées d'été.

 

Antoine Hastoy (La Rochelle) symbolise ces nombreux joueurs qui comptent peu de sélection mais sont très présents dans le groupe France, donc opérationnels rapidement si besoin. (Laszlo Geczo/Inpho/Presse Sports)

Depuis 2019, 79 joueurs ont ainsi été capés par ce staff et 61 autres intégrés au système en venant travailler in situ. « Le cas typique, c'est Antoine Hastoy, souligne un membre du staff. Il n'a joué qu'une fois avec nous (un test en Australie en 2021) mais il a participé quasiment à tous les rassemblements depuis deux ans. »

Ayant ratissé large, l'apparition dans cette première liste, comme dans celle du 21 août, d'un Chimbonda ou, pour rester plus rugby, d'un Setiano ou d'un Mauvaka, convoqués dans la liste des 37 de Brunel il y a quatre sans avoir jamais passé une tête avant, paraît irréaliste. L'inclusion des jeunes Émilien Gailleton (Pau) et Louis Bielle-Biarrey (UBB), déjà appelés en stage par Galthié, ou le retour des expérimentés Brice Dulin (La Rochelle) et Baptiste Serin (Toulon) ne seraient que de fausses surprises.

« Avant de penser aux 33, on va essayer de ne pas se tromper dans les 42. On va avoir un mois et demi de stage avec les joueurs donc on va se donner du temps

Un membre du staff des Bleus

 

 

 

On pourra y lire des tendances, y deviner des choix et des hiérarchies sans qu'on sache leur durée de vie. Car cette première liste de 42 sera réactualisée avant chaque début de stage ; celle communiquée demain sera valable pour le camp d'entraînement de Monaco (3-14 juillet) mais des changements seront possibles avant celui de Marcoussis (24 juillet-3 août) et celui de Capbreton (7- 25 août). « Avant de penser aux 33, on va essayer de ne pas se tromper dans les 42, indique-t-on en interne. On va avoir un mois et demi de stage avec les joueurs donc on va se donner du temps. Il y a ceux qui sont en train de revenir d'une longue blessure (Vincent et Jelonch), un titulaire en puissance qui va d'arrêt en arrêt (Villière), d'autres qui ont peiné à s'imposer dans leurs nouveaux clubs (Woki, Jaminet). »

 

Le jeune Émilien Gailleton a été laissé à disposition des Bleus par le staff des moins de 20 ans. (Laszlo Geczo/Inpho/Presse Sports)

C'est évidemment la liste des 33 qui rendra plus blanches les nuits. La tension montera d'un cran quand il s'agira de former la liste des joueurs retenus pour le dernier match de préparation contre l'Australie (27 août), juste après celui contre les Fidji (19 août) et avant l'annonce des élus pour la Coupe du monde. Cette semaine-là, il faudra consoler neuf recalés. Ne pas les perdre au cas où.

Pour soulager leurs migraines, Galthié et ses lieutenants possèdent deux alliés de circonstance. Le premier est géographique. Contrairement à une Coupe du monde au Japon ou en Australie, il sera facile de remplacer un blessé et d'incorporer un suppléant opérationnel sans délai. Le second est numérique, World Rugby ayant décidé d'autoriser cette fois des listes de 33 pour la compétition au lieu de 31 auparavant. Simple effet placebo ? « Non, assure-t-on chez les Bleus. Vu qu'on cherche à avoir le plus de solutions et d'équilibres, c'est plus commode de passer de 42 à 33 que de 37 à 31. »

 

Trouver des équilibres: 20-13 ou 19-14?

Sur le chemin de la construction de cette liste finale, le premier des grands équilibres qui sera discuté opposera ceux qui penchent pour 20 avants et 13 trois-quarts à ceux qui préféreraient partir avec 19 avants et 14 trois-quarts. Les premiers pourront plaider pour une surreprésentation des « gros », dans une forme de logique avec l'attachement à un banc à 6 avants et 2 trois-quarts ; les autres qu'il serait plus confortable de travailler avec deux lignes complètes de trois-quarts (donc 14 en tout).

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Chaque membre du staff essaiera d'imposer sa sensibilité, selon son domaine. Parmi les postes spécifiques qu'il faut impérativement tripler, on cite toujours les talonneurs, les demis de mêlée, les piliers gauche et les piliers droit. Le staff des Bleus a réfléchi à n'emmener que cinq piliers. Mais l'oiseau rare capable de glisser de gauche à droite, et vice versa, existe-t-il dans les profils actuels ? Pas évident.

L'idée de retenir deux ouvreurs (Ntamack, Jalibert) et deux arrières (Ramos, Jaminet), en jouant sur la polyvalence de Jalibert et surtout celle de Ramos, évoluera-t-elle pour faire une place au Rochelais Antoine Hastoy ? Jusqu'où le Rochelais Paul Boudehent peut-il concurrencer le Parisien Sekou Macalou pour le rôle du flanker-ailier volant ? Pendant tout l'été, les questions feront comme les vagues à Capbreton : aller et venir.

[el landeno]

Patrick Arlettaz le futur entraîneur de l'attaque des Bleus est un passionné du jeu et de l'USAP De joueur à manager de Perpignan, sans jamais partir

Beaucoup de choses étaient condensées ce 13 mai. Du jeu, du très beau jeu parfois et beaucoup d'amour. Réception de Toulouse à Aimé-Giral, la dernière à domicile pour Patrick Arlettaz (51 ans) dans le staff de l'USAP. Le maintien est loin d'être acquis - il le sera trois semaines plus tard grâce à une victoire à Grenoble en barrage (19-33), mais Perpignan cherche son salut par le jeu, à l'image des deux essais, en première main derrière un maul et une longue séquence conclue par un magnifique rasant au pied de Jake McIntyre pour Lucas Dubois.

 

 

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La prise d'initiatives - de risques parfois -, l'alternance, la recherche d'intervalles, la possession... Des convictions qui bouillonnent dans la tête de Patrick Arlettaz depuis ses débuts comme joueur et qu'il n'a jamais reniées, peu importe le contexte. Le technicien de génie décrit par ses collègues et ses joueurs va toucher à la reconnaissance ultime en intégrant le staff des Bleus après la Coupe du monde (8 septembre-28 octobre).

« Il n'était pas très branché prépa physique, il jouait tout sur le talent et le mental. Pierre Berbizier insistait sur la rigueur et l'hygiène de vie, donc la cigarette... »

Sébastien Buada, coéquipier de Patrick Arlettaz à Narbonne

 

 

 

« C'est très flatteur pour un garçon comme moi, de Perpignan, qui bataille depuis sept ans », se marrait-il au bout du fil quand son nom était évoqué. Perpignan, on y revient. Une fois Toulouse vaincu, le 13 mai (26-21), Arlettaz enchaîne les accolades, salue les quatre coins d'un stade qu'il connaît par coeur. Difficile de contenir son émotion. « C'est mon club, résume-t-il alors. J'avais 3 ans et je venais ici avec mon grand-père. J'ai joué à 17 ans en équipe première, pour sa plus grande fierté. Et on m'a autorisé à prendre les commandes du club pendant sept ans. »

 

 

En bref

51 ans
Futur entraîneur de l'attaque du quinze de France.
Carrière d'entraîneur : adjoint à Montpellier (2003-2006) ; entraîneur des arrières à Narbonne (2008-2011) ; entraîneur de l'attaque à Perpignan (2012-2014) ; adjoint à Perpignan (2016-2019) ; manager général à Perpignan (2019-2023) ; entraîneur de l'attaque du quinze de France (après
la Coupe du monde 2023).
Palmarès : champion de France de Pro D2 avec Perpignan (2018 et 2021).

Il avait acté son départ l'été dernier - l'équipe de France n'était pas dans les tuyaux -, usé par les années à la tête d'un Perpignan en lutte perpétuelle, pour quitter la Pro D2 ou rester en Top 14. Laisser le club là où il l'avait (quasiment) toujours connu, dans l'élite, était sa mission. « Il arrête sur deux maintiens, c'est encore plus beau, sourit David Marty, autre figure historique du club, intégré au staff de l'équipe première par Arlettaz il y a deux ans et qui sera associé à Franck Azéma la saison prochaine. Si on avait été relégués ? Il ne vaut mieux pas imaginer son état (rires). »

L'enfant de Cabestany, à quelques kilomètres à l'ouest de Perpignan, est parti en paix, au bout d'une histoire pas si linéaire avec l'USAP. Il y a débuté sa carrière de joueur en 1991. « Un centre pétri de talent avec déjà une vision du jeu au-dessus de la moyenne, se rappelle Laurent Arbo, jeune ailier à l'époque. Mais alors pas beau à voir, le dos voûté, un style de course dégueulasse (rires). Mais tellement clairvoyant dans ce qu'il faisait, je ne sais pas combien d'essais je lui dois ! »

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L'histoire se termine en 1996. « Incompatibilité avec un entraîneur, explique Arbo. Sa philosophie du rugby ne correspondait pas à la sienne. Ça lui a arraché le coeur, mais il est parti, avec un beau pied de nez en allant à Narbonne, l'ennemi juré. » Il jouera cinq ans sous le maillot orange (1996-2001), notamment sous les ordres de Pierre Berbizier. L'arrière Frédéric Benazech, le demi d'ouverture Jérémy Valls et le demi de mêlée Sébastien Buada deviennent des potes.

« Il aurait eu une carrière différente s'il avait joué dix ans plus tôt, estime Buada, car il avait du mal avec le rugby qui devenait professionnel. Il n'était pas très branché prépa physique, il jouait tout sur le talent et le mental. Pierre (Berbizier) insistait sur la rigueur et l'hygiène de vie, donc la cigarette... » « Il aurait pu viser beaucoup plus haut, avoir plus que sa seule sélection en équipe de France (en octobre 1995) et aller jouer dans de plus grands clubs, enchaîne Jérémy Valls. Mais ce n'est pas lui ça. Il met sa famille et sa région avant tout. Montpellier, c'était l'extrême limite géographique (rires). »

« Vu le boulot qu'il a abattu à Perpignan, je suis impatient de voir ce que ça va donner avec les avions de chasse de l'équipe de France »

Perry Freshwater, entraîneur des avants de l'USAP

 

 

 

Il y finira d'ailleurs sa carrière de joueur en 2003 sur un titre de champion de D2, enchaînant presque naturellement sur une carrière d'entraîneur, toujours dans l'Hérault (2003-2006) puis à Narbonne (2008-2011). « Joueur, il était déjà passionné par le jeu offensif, il te parlait de cellules, de répartitions dans la ligne d'attaque, se rappelle Bénazech. Il avait des certitudes sur le jeu et il les appliquait comme joueur, ce qui pouvait fâcher quelques entraîneurs (rires). »

 

Sadek Deghmache juste avant d'inscrire le troisième essai de Perpignan contre Grenoble en barrages (33-19), le 3 juin. (A. Martin/L'Équipe)

L'USAP revient dans son parcours professionnel en 2012, quand Marc Delpoux fait appel à lui comme entraîneur de l'attaque. Il est dans son élément, celui qu'il retrouvera en équipe de France dans quelques mois. « On sent tout de suite le spécialiste, qui fait l'unanimité pour ses compétences, se rappelle le demi de mêlée Tom Ecochard, onze saisons à l'USAP. Mais il a été très dur avec les jeunes comme moi. Il n'acceptait pas un ballon tombé, une mauvaise passe... Mais il a ce charisme, cet affect pour les joueurs, avec ce côté droit, honnête, qui te rendent vite fan du personnage. »

Malgré les pointures dans son effectif, l'USAP est relégué en 2014, pour la première fois de son histoire. Un traumatisme, décuplé pour Arlettaz le Catalan. « Il avait une telle aura dans le vestiaire qu'il aurait pu prendre les commandes, se rappelle Perry Freshwater, ancien pilier et team manager du club à l'époque. Mais il a été solidaire de Delpoux et est parti. » À la formation... à l'USAP, encore.

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Perpignan végète en Pro D2 et Arlettaz revient dans le staff en septembre 2016. Directeur sportif depuis peu, Christian Lanta fait appel à ce joueur qu'il avait entraîné des années plus tôt en équipe de France universitaire, championne du monde en 1996, et avec lequel il n'a jamais perdu contact. Une troisième vie à l'USAP dans laquelle l'ancien joueur puis entraîneur adjoint a pris de l'épaisseur jusqu'à finir manager la saison dernière. Il y aura une première remontée en 2018, une saison de Top 14 à 24 défaites (en 26 matches) mais un projet qui garde le cap pour un nouveau titre de champion de Pro D2 en 2021 et des maintiens en 2022 et 2023.

Perry Freshwater est de l'aventure depuis 2016 dans le staff. « Combien de joueurs quelconques a-t-il rendu bons voire très bons ? salue le camarade de bord de touche. Et l'homme est tellement brillant en société... Je ne l'ai pas vu rater une causerie. Les mots changent mais ils sont toujours justes. Vu le boulot qu'il a abattu à Perpignan et toutes les idées qu'il a, je suis impatient de voir ce que ça va donner avec les avions de chasse de l'équipe de France... » Il s'éloignera alors de sa Catalogne, mais a déjà prévu d'y revenir entre les rassemblements.

 

 

[Codorplusàvie]

Il va faire un bien fou, je pense.

[Bon Chasseur]

[Lima]

Un groupe sans surprises !

[Codorplusàvie]

A part Chalureau, j'en connais pas un.

[cocotte 63]

Cette liste sans surprise, fait quand même très mal pour mon club de coeur !!!     

[Néophyte]

Cette liste sans surprise, fait quand même très mal pour mon club de coeur !!!     

 

On sait, on sait...