
EDF de Galthié
#7516
Posté 13 juillet 2023 - 07:51
#7517
Posté 13 juillet 2023 - 09:32
Intéressant la partie sur le grattage. Ça pourrait à mon sens redistribuer les cartes au niveau talon. Je trouve Mauvaka supérieur à marchand sur les derniers mois et cela pourrait encore être renforcé par ce genre de consignes
Oui je le pense aussi mais confiance à Galthié pour savoir ce qu'il doit faire.
En revanche, si cette directive est excellente à mon sens car privilégiant l'attaque (j'aurais bien aimé l'avoir en 2013 celle-ci...), il va falloir que tous les arbitres se mettent au diapason parce que si c'est pour avoir zéro grattage en poules et finir avec des quarts à 15 ballons récupérés au sol ça va pas le faire.
Il faudra aussi laisser de la latitude à l'attaque maintenant que les gratteurs seront plus surveillés, pas envie de voir des pénalités en faveur de la défense tous les deux rucks à cause d'un soutien qui plonge en voulant assurer la conservation de la gonfle (hormis faute vraiment flagrante style soutien allongé sur le porteur de balle en planche).
À voir donc, c'est chouette sur le papier mais attendons d'assister à la pratique pour être pleinement rassuré.
- PPR aime ceci
#7518
Posté 28 juillet 2023 - 06:00
Arbitre de la finale de la Coupe du monde 2019 entre l'Afrique du Sud et l'Angleterre (32-12), Jérôme Garcès vit désormais la préparation de l'édition 2023 dans la peau d'un référent discipline et arbitrage dans le staff de Fabien Galthié. Il décortique les entraînements auprès des joueurs, parfois individuellement et en direct, et insiste sur les focus de l'arbitrage mondial. « Entre le début de la préparation et mardi, on aura balayé tous les sujets pour que les joueurs aient un maximum d'informations. » Et de consignes...
Dans ce premier bloc de préparation, les Bleus enchaînent gros travail physique puis du rugby, ce qui permet de mieux repérer les erreurs et fautes commises quand l'oxygène se fait rare. « Sous fatigue, le hors-jeu est la faute qui revient le plus souvent. Quand l'équipe adverse enchaîne les phases dynamiques, que vous devez vous replacer, faire des courses longues, c'est le moment où vous êtes le plus exposé. C'est un secteur qu'on a clairement identifié depuis mon arrivée (en 2021), on doit encore réduire le nombre de pénalités qu'on subit après trois ou quatre phases de jeu adverses. »
Le jeu au sol, c'est le « secteur prioritaire » du travail de Garcès tant la zone est complexe et l'arbitrage évolutif sur le sujet. « En 2021 et 2022, World Rugby a mis un gros focus sur le comportement de l'attaque et notamment des soutiens offensifs. Ce qui rendait plus compliqué de tenir le ballon pendant plus de 45 séquences. En 2012, le curseur s'est redéplacé vers la défense, l'attitude du plaqueur, de l'assistant plaqueur et du gratteur. » Les Bleus sont bien placés pour le savoir, eux qui avaient concédé 18 fautes en Italie en ouverture du Tournoi en février (24-29), comme perdus face à ces nouvelles directives arbitrales.
« Aujourd'hui, elles sont très claires : on rentre par l'axe, on n'attaque pas le sol mais le ballon et on le soulève. On voit sur le Rugby Championship beaucoup de sévérité sur le plaqueur et l'assistant plaqueur. Ça demande de l'adaptation et du travail sur des ateliers de skills le matin et sur les oppositions à partir de la semaine prochaine. »

Combien de cartons jaunes ou rouges subis par ces seconds plaqueurs qui viennent heurter, souvent involontairement, l'adversaire au-dessus de la ligne des épaules ? Beaucoup, et cela peut changer la face d'un match. « Là où le premier plaqueur arrive à maîtriser son geste, le second doit s'adapter à la position du plaqué quand il descend vers le sol. Il faut évidemment protéger le porteur de balle, donc on sensibilise énormément les joueurs sur ce second plaquage. Toucher la tête ou le cou, ce sont des sueurs froides garanties. »
En ce qui concerne le jeu déloyal, World Rugby a d'ailleurs annoncé en début de semaine la mise en place du « bunker » pour les matches de préparation cet été, avec une probable reconduction pendant la Coupe du monde. Le principe, déjà testé en Super Rugby cette année, veut qu'un carton jaune peut passer au rouge dans ses dix minutes d'exécution si l'arbitre vidéo dédié à cette tâche estime que la faute est suffisamment grave pour élever le degré de sanction.
« On croise les doigts pour ne pas y être confronté, sourit Garcès, mais c'est bien de le mettre en place dès les matches amicaux pour qu'on voie comment on gère ces dix minutes et comment je peux aider les entraîneurs à anticiper si on va vers un maintien du carton jaune ou vers un rouge. »
Comme en Top 14, les buteurs auront 60 secondes pour taper une pénalité, 90 pour une transformation. Une règle aussi valable pour les matches de préparation et qui sera poursuivie pendant la Coupe du monde. « La bonne nouvelle, c'est que nos joueurs y sont habitués. C'est très bien que le rugby international s'y mette, ça évite beaucoup de discussions sur le temps que prennent parfois les buteurs et ça protège le corps arbitral de ces polémiques. »

Samedi 12 août : France - Écosse, 21h (Saint-Étienne)
Samedi 19 août : France - Fidji, 21h (Nantes)
Dimanche 27 août : France - Australie, 17h45 (Stade de France)
#7519
Posté 28 juillet 2023 - 06:45
Comment les Bleus se préparent aux règles de la Coupe du monde
La préparation des Bleus à la Coupe du monde (8 septembre-28 octobre) passe aussi par des briefings quotidiens sur le comportement des joueurs, tant sur les erreurs constatées dans les entraînements que sur les nouveautés mises en place par World Rugby. Sous les directives de Jérôme Garcès, ancien arbitre désormais dans le staff du quinze de France.
Arbitre de la finale de la Coupe du monde 2019 entre l'Afrique du Sud et l'Angleterre (32-12), Jérôme Garcès vit désormais la préparation de l'édition 2023 dans la peau d'un référent discipline et arbitrage dans le staff de Fabien Galthié. Il décortique les entraînements auprès des joueurs, parfois individuellement et en direct, et insiste sur les focus de l'arbitrage mondial. « Entre le début de la préparation et mardi, on aura balayé tous les sujets pour que les joueurs aient un maximum d'informations. » Et de consignes...
Des hors-jeu à réduire
Dans ce premier bloc de préparation, les Bleus enchaînent gros travail physique puis du rugby, ce qui permet de mieux repérer les erreurs et fautes commises quand l'oxygène se fait rare. « Sous fatigue, le hors-jeu est la faute qui revient le plus souvent. Quand l'équipe adverse enchaîne les phases dynamiques, que vous devez vous replacer, faire des courses longues, c'est le moment où vous êtes le plus exposé. C'est un secteur qu'on a clairement identifié depuis mon arrivée (en 2021), on doit encore réduire le nombre de pénalités qu'on subit après trois ou quatre phases de jeu adverses. »
lire aussi[/size]Blessé, François Cros manquera le match de préparation face à l'Écosse
Alerte maximale sur les rucks
Le jeu au sol, c'est le « secteur prioritaire » du travail de Garcès tant la zone est complexe et l'arbitrage évolutif sur le sujet. « En 2021 et 2022, World Rugby a mis un gros focus sur le comportement de l'attaque et notamment des soutiens offensifs. Ce qui rendait plus compliqué de tenir le ballon pendant plus de 45 séquences. En 2012, le curseur s'est redéplacé vers la défense, l'attitude du plaqueur, de l'assistant plaqueur et du gratteur. » Les Bleus sont bien placés pour le savoir, eux qui avaient concédé 18 fautes en Italie en ouverture du Tournoi en février (24-29), comme perdus face à ces nouvelles directives arbitrales.
« Aujourd'hui, elles sont très claires : on rentre par l'axe, on n'attaque pas le sol mais le ballon et on le soulève. On voit sur le Rugby Championship beaucoup de sévérité sur le plaqueur et l'assistant plaqueur. Ça demande de l'adaptation et du travail sur des ateliers de skills le matin et sur les oppositions à partir de la semaine prochaine. »
![]()
Matthieu Jalibert et Yoram Moefana à l'entraînement à Marcoussis jeudi. (A. Réau/L'Équipe)
Second plaqueur, « le danger n° 1 »
Combien de cartons jaunes ou rouges subis par ces seconds plaqueurs qui viennent heurter, souvent involontairement, l'adversaire au-dessus de la ligne des épaules ? Beaucoup, et cela peut changer la face d'un match. « Là où le premier plaqueur arrive à maîtriser son geste, le second doit s'adapter à la position du plaqué quand il descend vers le sol. Il faut évidemment protéger le porteur de balle, donc on sensibilise énormément les joueurs sur ce second plaquage. Toucher la tête ou le cou, ce sont des sueurs froides garanties. »
lire aussi[/size]Thibault Giroud : « On flirte avec leurs limites »
Un jaune qui peut virer au rouge
En ce qui concerne le jeu déloyal, World Rugby a d'ailleurs annoncé en début de semaine la mise en place du « bunker » pour les matches de préparation cet été, avec une probable reconduction pendant la Coupe du monde. Le principe, déjà testé en Super Rugby cette année, veut qu'un carton jaune peut passer au rouge dans ses dix minutes d'exécution si l'arbitre vidéo dédié à cette tâche estime que la faute est suffisamment grave pour élever le degré de sanction.
« On croise les doigts pour ne pas y être confronté, sourit Garcès, mais c'est bien de le mettre en place dès les matches amicaux pour qu'on voie comment on gère ces dix minutes et comment je peux aider les entraîneurs à anticiper si on va vers un maintien du carton jaune ou vers un rouge. »
Des buteurs limités dans le temps
Comme en Top 14, les buteurs auront 60 secondes pour taper une pénalité, 90 pour une transformation. Une règle aussi valable pour les matches de préparation et qui sera poursuivie pendant la Coupe du monde. « La bonne nouvelle, c'est que nos joueurs y sont habitués. C'est très bien que le rugby international s'y mette, ça évite beaucoup de discussions sur le temps que prennent parfois les buteurs et ça protège le corps arbitral de ces polémiques. »![]()
Thomas Ramos et Romain Ntamack, jeudi, à l'entraînement. (A. Réau/L'Équipe)
L'agenda des Bleus avant la Coupe du monde
Samedi 5 août : Écosse - France, 16h (Édimbourg)Samedi 12 août : France - Écosse, 21h (Saint-Étienne)Samedi 19 août : France - Fidji, 21h (Nantes)Dimanche 27 août : France - Australie, 17h45 (Stade de France)
Garcès … rien que le nom me donne des boutons !!!!
#7520
Posté 28 juillet 2023 - 20:02
Le dernier buzzer a retenti vers 13 h 45 vendredi à Marcoussis. Affiché au-dessus du banc du terrain d'honneur du Centre national du rugby, le compte à rebours qui régit les séances d'entraînement des Bleus affichait enfin la série de zéros qui rime avec repos. Devant des centaines de supporters qui ont garni la tribune, les hommes de Fabien Galthié ont conclu une lourde semaine par une séance d'entraînement de 45 minutes en opposition. Plutôt « légère » comparée aux parcours du combattant de lundi, mardi et jeudi après-midi.
Après une rapide séance d'autographes et de remerciements au public, les Bleus ont rapidement quitté Marcoussis. En début de semaine, le staff a décidé de les libérer jusqu'à dimanche soir.
Après les neuf jours de coupure avec du télétravail entre le stage de Monaco (4-14 juillet) et le retour à Marcoussis dimanche, les Bleus vont encore passer du temps avec leurs proches et s'oxygéner le cerveau. « Dans mes Coupes du monde comme joueur, on n'a jamais eu autant de temps libre », souligne avec un sourire le co-entraîneur de la conquête William Servat en rappelant que les familles seront aussi de passage pendant le stage de Capbreton (7-24 août). « Il ne faut pas couper les mecs de tout pendant deux mois », appuie l'entraîneur de l'attaque Laurent Labit.
La coupure est d'autant plus appréciée et méritée que les joueurs en ont encore bavé cette semaine, dans la même logique que Monaco, la chaleur en moins, les giboulées en bonus, sauf mercredi où les joueurs étaient off. Les débuts d'après-midi, après des séances de « skills » ou de travail en salle dans la matinée, étaient consacrés aux séances pimentées concoctées par le directeur de la performance Thibault Giroud.
Une partie de badminton - mention spéciale aux smashes des piliers Uini Atonio et Jean-Baptiste Gros - ou de tennis-ballon pour s'échauffer puis une heure en apnée : 30 minutes de « conditioning » - autrement dit de physique - au son de la voix de stentor de Giroud puis 30 minutes de rugby en opposition. Pardon, de « ball in play ».
Mardi, sous les yeux d'un Abdelatif Benazzi de passage à Marcoussis, c'était notamment séance de sprint en côte, d'abord les trois-quarts puis les avants. Entre les efforts, les poumons brûlent mais les vannes fusent. « Attention aux mobylettes », glisse Fickou en voyant s'élancer Émilien Gailleton et Louis Bielle-Biarrey. Physique ou rugby, les minots de 20 ans ont impressionné cette semaine. Les avants prennent le relais et serrent les dents. « Greg, détends-moi le haut du corps, on dirait un Pokémon », envoie Giroud à Alldritt avec un sourire.
Les piliers Uini Atonio et Dorian Aldegheri sont dans le dernier paquet de trois joueurs à s'élancer. Si le second mime un sprinteur dans ses starting-blocks avant chaque départ, les deux n'en mènent pas large. Le Rochelais (1,96 m, 145 kg) est loin des standards des Julien Marchand et Peato Mauvaka - presque impressionnants de facilité - mais il s'accroche. « On s'est toujours posé la question de comment on allait pouvoir l'adapter pour pouvoir l'amener jusqu'au bout. Et il n'a pas loupé une seule séance, il a donné tout ce qu'il a pu donner, salue Giroud. Il n'y a pas une seule fois où on s'est dit qu'on allait adapter parce qu'il ne pouvait pas faire. »

Jeudi, la première demie heure est un véritable enfer pour les avants, qui enchaînent les ateliers entre courses, passages au sol, plaquages et mauls. « Je vous file du repos, alors refilez moi du jus », tonne Giroud, qui finira la séance avec la voix éraillée. François Cros, touché à un adducteur, suit ça du banc. Paul Willemse, gêné par une cuisse, travaille à part (il s'est entraîné normalement vendredi).
Les trois-quarts et quelques troisièmes-lignes (Boudehent, Macalou, Cretin et Ollivon) ont fini leurs exercices éreintés mais un peu plus tôt. Ils viennent encourager les « gros » qui terminent par six fois vingt-deux mètres à réaliser en six secondes, avec cinq de récupération entre les courses. Au bout de la dernière ligne droite, sous les applaudissements du reste du groupe et des moins de 20 ans développement qui viennent faire opposition sur certaines parties de l'entraînement, la grande majorité des avants s'écroule au sol.
Deux minutes pour reprendre son souffle et il faut passer au rugby et au fameux « ball in play » à quinze contre quinze. Jeudi, neuf séquences de deux minutes où le ballon ne s'arrête jamais - à chaque sortie, faute de main ou erreur, il est remis en jeu par un membre du staff - avec deux minutes de récupération entre chacune. Chaque joueur connaît son temps de jeu à effectuer et s'arrange avec son binôme au poste pour tourner. Le terrain est souvent utilisé dans sa totalité, contrairement à Monaco, car le but est d'allonger les courses dans la semaine, notamment pour les arrières.
Après une heure à une intensité folle, certains n'ont qu'une envie, rentrer à la résidence du XV de France à une cinquantaine de mètres. « Je n'ai même plus la force d'enlever mes crampons, glisse le deuxième ligne Bastien Chalureau. Cette semaine, ils nous ont soignés... » Les Woki, Macalou, Tanga, Vincent, Verhaeghe et autres Ollivon ont eux la force de s'emparer de la voiturette de golf du staff pour se lancer dans un éclat de rire sur un tour de la piste d'athlétisme qui encercle le terrain.

Le travail est corsé mais la bonne ambiance transpire de ce groupe. « Les mecs sont devenus des potes, assure Giroud. C'est facile de le dire quand ça va bien mais quand ça pique et qu'il faut baisser la tête et foncer comme on le fait cette semaine, on le voit clairement. » Le maître d'oeuvre de la partie physique de la préparation sort très satisfait de ce premier bloc.
Mis à part François Cros, aucun joueur ne s'est blessé. « On savait qu'on aurait moins de pépins qu'en 2019 car on a amené les joueurs depuis quatre ans et demi vers ce qu'on voulait pour être au top sur cette préparation. Contrairement à il y a quatre ans, les joueurs ne partent pas de zéro. On flirte avec leurs limites mais les gars répondent présent. Je dis chapeau ! »
Désormais, place à partir de lundi au deuxième bloc consacré aux quatre matches de préparation (Écosse les 5 et 12 août, Fidji le 19 et Australie le 27). Le rugby va revenir au centre du travail avec des semaines type de match et notamment la séance à haute intensité du mercredi. Chaque jeudi ou vendredi, 28 (ou 29) joueurs partiront jouer le match amical, les autres resteront sur le site du stage « pour continuer un développement spécifique », dixit Giroud.
« Le physique, ce n'est pas la partie la plus plaisante. Nous, on est là pour jouer au rugby, glisse Gaël Fickou avec le sourire. On va attaquer les matches, prendre du plaisir, mettre en place la stratégie, ça va faire du bien... » Et rapprocher le groupe de la date fatidique du 21 août, où il passera de 42 à 33 joueurs.
- ZACH et Lourugby aiment ceci
#7521
Posté 31 juillet 2023 - 19:59
Le XV de départ probable selon l'équipe pour affronter l’Écosse (samedi 16H15, TF1) :
Gros Bourgarit Bamba
Woki Chalureau
Boudehent Tanga Macalou
Couilloud Jalibert
Dumortier Moefana Gailleton Bielle-Biarrey
Dulin
#7522
Posté 31 juillet 2023 - 20:09
Le XV de départ probable selon l'équipe pour affronter l’Écosse (samedi 16H15, TF1) :
Gros Bourgarit Bamba
Woki Chalureau
Boudehent Tanga Macalou
Couilloud Jalibert
Dumortier Moefana Gailleton Bielle-Biarrey
Dulin
Bah c'est nul !
#7523
Posté 31 juillet 2023 - 20:37
Je pense que la priorité était clairement de faire souffler les toulousains et les rochelais, dans la mesure du possible, puisque ces joueurs ont eu peu de repos et ont beaucoup enchainé l'an passé. Ce qui impacte forcément une équipe issue en grande partie de ce réservoir.
Ceci dit, cette équipe reste intéressante avec pas mal de joueurs qui devraient disputer le mondial (Gros, Jalibert, Bamba, Bourgarit, Moefana...) et des joueurs très prometteurs (Boudehent, Gailleton, Dumortier qui fut titulaire lors du tournoi...). Il y a quand même du potentiel dans ce XV.
#7524
Posté 31 juillet 2023 - 20:45
Je pense que la priorité était clairement de faire souffler les toulousains et les rochelais, dans la mesure du possible, puisque ces joueurs ont eu peu de repos et ont beaucoup enchainé l'an passé. Ce qui impacte forcément une équipe issue en grande partie de ce réservoir.
Ceci dit, cette équipe reste intéressante avec pas mal de joueurs qui devraient disputer le mondial (Gros, Jalibert, Bamba, Bourgarit, Moefana...) et des joueurs très prometteurs (Boudehent, Gailleton, Dumortier qui fut titulaire lors du tournoi...). Il y a quand même du potentiel dans ce XV.
oui, on s'en bat les couilles de perdre un match amical contre l'Ecosse lors d'un mois d'Aout si c'est pour mieux préparer la cdm.
Après je ne sais pas si c'est jamais une bonne idée de foutre TOUS les seconds choix ensemble de 1 à 15, sans les encadrer avec qqs habitués des grands matches non plus.
#7525
Posté 31 juillet 2023 - 20:50
#7526
Posté 31 juillet 2023 - 21:04
J'ai hâte de revoir Villière et Vincent par ailleurs.
Accessoirement la compo confirme si il y avait besoin la débilité du calendrier, l'idéal aurait été quand même de voir quelques titulaires Toulousains et Rochelais en plus... Mais en effet la finale du Top14 n'est pas loin et les vacances absentes (ou très courtes ?)
D'après ce que j'ai compris, conscient que les vacances seraient très courtes (7-10 jours), le staf a donné pour consigne de faire une vraie coupure. Vous me direz, ils ont pas le temps de prendre 10 kilos

À l'inverse, les autres devaient se démerder pour arriver avec leur poids de forme. Je sais pas si ils ont beaucoup plus profité

#7527
Posté 31 juillet 2023 - 21:06
oui, on s'en bat les couilles de perdre un match amical contre l'Ecosse lors d'un mois d'Aout si c'est pour mieux préparer la cdm.
Après je ne sais pas si c'est jamais une bonne idée de foutre TOUS les seconds choix ensemble de 1 à 15, sans les encadrer avec qqs habitués des grands matches non plus.
J'aurai bien titularisé un Willemse qui n'a pas joué les phases finales, ou Taofifenua, voire Lucu à la mêlée pour densifier la seconde ligne et apporter davantage d'expérience et de garanties. Si sa forme physique le permet, j'aurai également beaucoup apprécié revoir Villière que je trouve phénoménal à l'aile.
#7528
Posté 31 juillet 2023 - 21:06
Il y a quatre matchs à jouer, perso je trouve ça bien de faire jouer tout le groupe, même si avec Boudehent, Gailleton et Bielle-Biarey on prépare 2027!

#7529
Posté 31 juillet 2023 - 21:27
J'aurai bien titularisé un Willemse qui n'a pas joué les phases finales, ou Taofifenua, voire Lucu à la mêlée pour densifier la seconde ligne et apporter davantage d'expérience et de garanties. Si sa forme physique le permet, j'aurai également beaucoup apprécié revoir Villière que je trouve phénoménal à l'aile.
oui c'est vrai. Reposer les Dupont Ntamack Alldritt Baill Marchand Atonio tout ça pasque c'est les Toulousains/Rochelais, il faut qu'ils soient frais et à tt prix éviter les blessures.
Mais après pourquoi pas mettre des choix 1,5 qui sont pas tout à fait premiers choix récemment mais pas des 2è choix non plus et quand même des cadres (Villière, Willemse...).
On verra bien les choix dans qqs jours, mais je me demande ce que Galthié va mettre pour les Wallabies.
- Alex chocolatines aime ceci
#7530
Posté 01 août 2023 - 11:15
Bah c'est nul !
T'y connais rien
Bien sur que c'est une bonne idée de faire tourner, déjà y a pas d'enjeu, ensuite on implique les joueurs qui s'entrainent dur sans avoir de temps de jeu sur les gros matches, du coup ils peuvent procurer de belles surprises, ensuite on repose les mecs déjà bien usés par la Champions cup et les phases finales de top 14, on se préserve de blessures cons, et enfin le plus important, on ne dévoile pas notre état de forme et nos systèmes de jeu avant la CDM.
Bref comme dit le chat - sseur, on s'en balèk de perdre ou gagner les tests matches, vaut mieux avancer masqués.
- bazooka aime ceci
1 utilisateur(s) li(sen)t ce sujet
0 members, 1 guests, 0 anonymous users