Champion du Monde
Posté 24 janvier 2024 - 09:23
Ce sera AUSSI sur les choix des hommes que l'on pourra construire un autre type de rugby... si tu repars 2/3 ans avec Fickou - Danty au centre, faut pas s'attendre à des bouleversements immenses.
Mais bon j'aime bien Arlettaz, et on a du beau monde (joueurs) pour très bien travailler, à voir quelle latitude Galthié lui laissera.
Champion du Monde
Posté 24 janvier 2024 - 09:38
tin Paul Boudehent il a quand même une sacrée musculature pour un mec début 20aine...
un sacré gabarit 
Champion d'Europe
Posté 24 janvier 2024 - 21:56
Les Ntamack. Émile Ntamack (à gauche) était international pendant 6 ans de 1994 à 2000 (46 sélections). Son fils Romain (à droite) en est déjà à 36 à l'âge de 24 ans. Et avec la montée en puissance de Théo au Stade Toulousain, il ne serait pas impossible que 3 Ntamack portent le maillot Tricolore.
Les Penaud. Alain Penaud (à gauche) était demi d'ouverture pour les Bleus de 1992 à 2000. Et pourtant son fils Damian (à droite) l'a déjà dépassé en nombre de points inscrits, ses 35 essais, à trois réalisations du record de Serge Blanco, l'ont bien aidé.
Les Dourthe. Plus jeune international français (18 ans et 7 jours), Claude Dourthe, dit Le Chameau, a 33 sélections (entre 1966 et 1975). Son fils Richard a porté le maillot tricolore à 31 reprises entre 1995 et 2001.
Les Bonneval. Eric (à gauche) et Hugo Bonneval (à droite) ont tous deux porté le maillot tricolore. 18 matches pour le père, 11 pour le fils.
Les Rougerie. Jacques Rougerie (à gauche) possède une cape avec les Bleus, faisant de lui un international pour toujours. Son fils Aurélien (à droite) en compte 75 de plus. Taulier de la sélection durant plus de 10 ans, le nom Rougerie est inscrit dans l'histoire du XV de France.
Les Elissalde. Elissalde, demi de mêlée de père en fils, et international en option. Jean Pierre (à gauche), le père a joué 3 fois sous le maillot Tricolore avant que Jean Baptiste (à droite) reprenne le flambeau avec brio : il dispute 5 Tournois des Six Nations et la Coupe du monde 2007.
Les Skrela. Avec 46 sélections au compteur, Jean-Claude Skrela (à gauche) a marqué les années 70. 30 ans plus tard c'est David (à droite), demi d'ouverture, qui a porté le maillot des Bleus à 23 reprises.
Les Camberabero. Camberabero, une famille rugby. Guy (à gauche), le père, jouait dans les années 60 avec son frère Lilian en Bleus. Comme son père, Didier (à droite) fut le 10 du XV de France, il inscrit 354 points en 36 rencontres.
Les Yachvili. Michel Yachvili (à gauche) a disputé 47 matches avec la France entre 1968 et 1975. Dimitri (à droite) a porté le maillot du XV de France durant 10 ans, inscrivant 373 points. Il est actuellement le troisième meilleur scoreur de l'histoire des Bleus.
Parisien Névrotique
Posté 24 janvier 2024 - 22:13
Champion d'Europe
Posté 25 janvier 2024 - 06:58
Alors que les objectifs scrutaient la résidence du quinze de France en attendant les joueurs pour l'entraînement de la fin d'après-midi, ces derniers ont surgi de derrière, rejoignant directement le terrain d'honneur du CNR de Marcoussis depuis leur salle de musculation. « Ça fait partie des changements qu'on a opérés dans nos structures de journées, en a souri après coup le nouvel entraîneur de la conquête Laurent Sempéré. On utilise la séance en salle pour préparer les séances sur le terrain. Quand on y arrive, les joueurs sont déjà prêts. » Voilà une nouveauté en cours à Marcoussis. Autre exemple : la voix rocailleuse de Patrick Arlettaz, nouvel entraîneur de l'attaque, que l'on a beaucoup entendue mercredi après-midi, et pas seulement pour donner des compliments.
Pendant plus d'une heure, les Bleus, accompagnés de moins de 20 ans venus faire le nombre, ont bossé dur pour cette première journée à haute intensité après deux premiers jours de rassemblement dits de régénération et de clarté dans la sémantique chère au sélectionneur Fabien Galthié.
Quasiment au complet. Matthieu Jalibert a travaillé à part mercredi après-midi, victime d'une coupure à une main qui lui a valu la pose de trois points de suture. L'ouvreur bordelais a enchaîné les courses dans un en-but puis les coups de pied sans aucune gêne apparente. Rien d'inquiétant à première vue pour celui qui devrait, sauf pépin, débuter à l'ouverture face aux Irlandais.
Son absence a provoqué quelques remaniements dans l'équipe des présumées titulaires, vêtus mercredi de la chasuble bleue. Thomas Ramos portait le numéro 10, Louis Bielle-Biarrey a glissé à l'arrière et Yoram Moefana sur une aile, alors que la paire de centres Danty-Fickou était associée. Difficile de savoir à neuf jours du premier rendez-vous contre l'Irlande, le 2 février à Marseille, qui profitait de l'absence de Jalibert. Le retour de ce dernier dans les séances collectives permettra d'affiner les premières tendances.
À l'avant, celles aperçues mercredi semblaient plus claires, même s'il faut rester très prudent si loin du match face aux Irlandais. La troisième ligne Ollivon-Alldritt-Cros a travaillé toute la séance ensemble, Paul Boudehent jouant dans le camp d'en face, celui des chasubles blanches, tandis qu'Alexandre Roumat et Esteban Abadie ont été libérés mercredi soir. En blanc également pendant une majorité de l'entraînement le deuxième ligne Cameron Woki et le talonneur Julien Marchand. Au numéro 2, c'est le coéquipier à Toulouse de ce dernier, Peato Mauvaka, qui a joué avec les présumés titulaires. Signe que l'énorme Coupe du monde du Néo-Calédonien a peut-être rebattu des cartes dans la hiérarchie nationale.
En deuxième ligne, alors que le staff doit composer avec les forfaits d'Emmanuel Meafou et Thibaud Flament, ce sont Paul Willemse en 5 et un autre Paul, Gabrillagues, en 4, qui ont travaillé ensemble. Un attelage qu'on pouvait penser improbable il y a encore quelques jours pour défier l'Irlande. La dernière sélection de Gabrillagues remonte au quart de finale perdu contre le pays de Galles en quarts de finale de la Coupe du monde 2019 au Japon (19-20). « Je n'ai pas milité pour lui », a assuré avec un sourire Sempéré, qui l'entraînait ces dernières années au Stade Français. Reste que sa cote est remontée au prix de bonnes performances avec le club parisien. Au point de doubler Woki ? La suite de la préparation permettra d'y voir plus clair.
Quant à Willemse, il revient de très loin, lui qui avait raté la Coupe du monde sur blessure à la dernière minute et n'était pas dans la première liste de 2024. « C'est un joueur du même profil que Meafou et qui arrive encore plus revanchard de par son parcours récent, explique Sempéré. Il a enchaîné des performances très convaincantes avec Montpellier et il pouvait légitimement postuler. » Cadre du début de mandat de Fabien Galthié, Willemse ferait partie de ces joueurs désormais expérimentés au niveau international qui devraient s'empiler sur la feuille de match face à l'Irlande. Comme quoi, on est encore loin d'une grande révolution à Marcoussis.
Joueur de TOP 14
Posté 27 janvier 2024 - 10:58
Champion du Monde
Posté 27 janvier 2024 - 11:49
Est-ce que quelqu'un a l'article du Midol "Tactique: vers toujours plus de dépossession pour les bleus ?" svp
Y aurait pas un article : " les datas se foutent de notre gueule" ? 
Champion du Monde
Posté 27 janvier 2024 - 11:55
Est-ce que quelqu'un a l'article du Midol "Tactique: vers toujours plus de dépossession pour les bleus ?" svp
Ça fait réver 
Champion d'Europe
Posté 27 janvier 2024 - 12:15
Est-ce que quelqu'un a l'article du Midol "Tactique: vers toujours plus de dépossession pour les bleus ?" svp
Comme je sais que le titre de l'article te fait rever à l'avance... 
XV de France - Tactique : Vers toujours plus de dépossession pour les Bleus ?
Quels impacts le vieillissement du XV de France et son profil toujours aussi massif pourraient-ils avoir sur le jeu pratiqué par les Bleus lors du prochain tournoi ? Éléments de réponse, ici...
C’est peu dire qu’en vue de ce Tournoi, Fabien Galthié doit - pour des raisons diverses - faire face à des changements structurels. Un bouleversement (voulu et maîtrisé) de critères de sélection. Un chamboulement (subi) de méthode d’entraînement avec ce passage de 42 à 34 joueurs, qui va forcément réduire l’intensité attendue en semaine. Pas forcément pour déplaire, nous direz-vous, à un groupe qui prend de l’épaisseur et de l’expérience, en même temps que de l’âge ? Précisément. Voilà pourquoi, au vu de ce contexte, le XV de France devrait plus que jamais se raccrocher avant le prochain Tournoi à une valeur sûre : son jeu de dépossession. Parce que celui-ci a fait ses preuves par le passé. Parce que les Bleus n’ont matériellement pas vraiment le temps de mettre en place autre chose. Et surtout, parce que le temps qui passe dans les corps et les articulations ne va pas franchement dans le sens d’un "tout-possession" forcément plus usant physiquement... Imagine-t-on franchement demander aux porteurs de balle privilégiés que demeurent les Baille, Atonio ou Willemse de redoubler d’efforts ballon en main, ou à Charles Ollivon de se montrer encore plus performant dans son rôle de joueur de couloir alors que celui-ci va inévitablement perdre de sa vitesse ? Évidemment pas.
Voilà pourquoi, sachant que la blessure d’Anthony Jelonch entérine encore plus la titularisation de François Cros et que le banc des finisseurs (Wardi, Marchand, Aldegheri, Taofifenua…) apportera davantage de puissance que de capacité de déplacement, on peut avant tout s’attendre à voir les Bleus s’acharner à occuper le terrain, imposer de la pression et bien défendre pour, si possible, se nourrir de ballons de turnovers, comme lors du début de mandat de Galthié, dont la méthode fut couronnée par le grand chelem 2022. Après tout, les Sud-Africains sont devenus champions du monde en ne faisant pas autre chose. Et surtout, les Bleus se souviennent avoir payé l’an dernier à Dublin le prix d’avoir surjoué face à l’Irlande, alors qu’ils avaient su l’étouffer deux ans plus tôt avec un jeu beaucoup plus restrictif…
Les moyens d’amortir l’absence de Dupont
Le hic ? Il est, bien sûr, qu’Antoine Dupont manquera à l’appel, dont la longueur des dégagements (des deux pieds !) demeure un atout incomparable dans le si crucial exercice des sorties de camp. Sauf qu’à bien y réfléchir, lors du dernier Tournoi, les adversaires des Bleus avaient très bien su imposer une forte pression sur le demi de mêlée du XV de France, à laquelle les Bleus n’avaient finalement trouvé des solutions qu’en fin de compétition, notamment en Angleterre. Voilà pourquoi, de par ce prisme, l’absence de Dupont pourrait ne pas être une si mauvaise nouvelle, d’autant que Maxime Lucu a depuis longtemps prouvé avec l’UBB qu’il savait être sobre et efficace pour organiser les sorties de camp avec Matthieu Jalibert. Des automatismes de club qui pourraient être tout sauf superflus en vue du défi qui attend la charnière des Bleus dans dix jours, face à une Irlande qui devra quant à elle relever le gant d’évoluer pour la première fois depuis dix ans sans son stratège Jonny Sexton.
Joueur de TOP 14
Posté 27 janvier 2024 - 16:12
Champion du Monde
Posté 27 janvier 2024 - 16:15
Merci Grospaquet !
Mais lui il ne dit pas merci à Galthié quand il voit arriver ce style de jeu
Champion du Monde
Posté 27 janvier 2024 - 16:58
Champion du Monde
Posté 27 janvier 2024 - 19:02
https://www.lequipe....-france/1444928
Equipe probable: Danty - Fickou au centre. Oh joie. Oh bonheur. Oh contenez moi j'en pleure d'allegresse.
Champion d'Europe
Posté 27 janvier 2024 - 20:01
https://www.lequipe....-france/1444928
Equipe probable: Danty - Fickou au centre. Oh joie. Oh bonheur. Oh contenez moi j'en pleure d'allegresse.
Tu as des boites de kleenex d’avance pour le match?
Champion du Monde
Posté 27 janvier 2024 - 20:09
https://www.lequipe....-france/1444928
Equipe probable: Danty - Fickou au centre. Oh joie. Oh bonheur. Oh contenez moi j'en pleure d'allegresse.
Quand t as deux flèches a l aile c'est la misère de mettre deux coffres au centre. 
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