Il est vrai que le Racing n'a pas été aidé par Nigel Owens mais ça on le savait avant même que le match ne commence.
Cependant, une telle gestion de l'événement confine à la faute professionnelle. Entre le festival d'Iribaren qui coute à lui seul le match en 10 minutes, le choix de la touche qui fait gagner un mètre à peine à 5 minutes de la fin, alors que les points ou la mêlée s'imposaient, les sautées qui ont gâchées tous les surnombres, les soutiens aux fraises dès que l'action pouvait être décisive dans un sens comme dans l'autre, le travail à la vidéo va être sacrément rude.
Ce match est l’archétype de l'équipe qui faillit intellectuellement. Dommage car il y a avait de la place...
Et oui on le sait avec les arbitres anglais, il faut etre parfait, ne jamais rien louper comme les transformations loupees, le drop non tenté, les scories. Parfait.