retardé à Barcelone Madrid Valence Est et Malaga Grenade
Almeria ok phase 1
Posted 09 May 2020 - 08:55 AM
retardé à Barcelone Madrid Valence Est et Malaga Grenade
Almeria ok phase 1
Posted 09 May 2020 - 09:23 AM
Je trouve vraiment spectaculaire la différence entre la zone rouge et la zone verte.
C'est vraiment l'art de mettre en route des usines à gaz pour qu'au final la différence se limite à l'ouverture des parcs, des musées, et quelques différés de rentrée scolaire, la technostructure dans toute sa splendeur !
L'appellation vert dans "l’inconscient collectif" je le crains, c'est la porte ouverte à toutes les fenêtres, on va voir ce qu'on va voir.
Avec par ailleurs les exemples donnés hier encore par la représentation nationale, je vois arriver le grand n'importe quoi.
Les soignants épuisés n'auront même pas droit à une trêve significative, les assassins sont au pouvoir.
Posted 09 May 2020 - 09:26 AM
les assassins sont au pouvoir.
tu fais pas dans la demi mesure , mais dans la double dose
Posted 09 May 2020 - 09:52 AM
Perso je n'ai pas le choix et dois prendre obligatoirement la voiture mais vu le trafic densifié que j'ai vu sur le périph Est (pas le plus chiant généralement) mercredi, on se prépare au grand retour des bouchons lundi.
Bon courage, pour avoir vécu 11 ans en région parisienne je compatis et encore c'est pire maintenant.
Je trouve vraiment spectaculaire la différence entre la zone rouge et la zone verte.
C'est vraiment l'art de mettre en route des usines à gaz pour qu'au final la différence se limite à l'ouverture des parcs, des musées, et quelques différés de rentrée scolaire, la technostructure dans toute sa splendeur !
L'appellation vert dans "l’inconscient collectif" je le crains, c'est la porte ouverte à toutes les fenêtres, on va voir ce qu'on va voir.
Avec par ailleurs les exemples donnés hier encore par la représentation nationale, je vois arriver le grand n'importe quoi.
Les soignants épuisés n'auront même pas droit à une trêve significative, les assassins sont au pouvoir.
Je pense que ces zones sont surtout utiles pour le suivi de l épidémie, mais qu elles n avaient pas forcément vocation a être utilisées pour faire de la communication et donc que leur usage a été détourné.
Et comme tu le dis pour ceux qui ne vont pas voir plus loin, le signal vert rouge c'est dangereux car le vert va être interprété comme tout va bien on peut se lâcher.
Posted 09 May 2020 - 10:02 AM
Les guignols ont eu longtemps cette fonction là : mettre en évidence ce que les conseillers en communication essayent de gommer. C'était plus drôle, plus visible, et logiquement dezingué par Bolloré. Bon lui il doit faire moins de monde. Sans doute pour ça qu'il est là.Quant aux interventions de Clément Viktorivitch hébergées sur le chaîne de Bolloré, c'est un mystère qui durera encore longtemps je l'espère.
Posted 09 May 2020 - 10:34 AM
Saint-Denis.
sans vouloir être indiscret , tu habites en 1ère couronne ou intra-muros ?
Ce ne sera pas pire qu'en décembre. Mon dernier jour de boulot avant Noël, j'étais à Necker, il m'a fallu 2h pour atteindre la Porte de la Chapelle.Bon courage, pour avoir vécu 11 ans en région parisienne je compatis et encore c'est pire maintenant.
Posted 09 May 2020 - 10:42 AM
çà flambe de nouveau à Singapour ..
même en y prenant garde , on arrive pas
à maîtriser complètement ..
En Europe et en France en particulier , je me
demande bien comment va t'on procéder pour
retrouver un cours de vie normal ? ne serait-ce
qu'avant la fin de l'année ...
une période d'optimisme arrive , et on espère que
c'est bien fini et pan , une nouvelle couche arrive ..
L'avenir du rugby devient une préoccupation trés
secondaire
Singapour enregistre 753 nouveaux cas de coronavirus
Posted 09 May 2020 - 10:55 AM
Saint-Denis.
Mais la partie terrain de mon boulot est totalement intra-muros avant de rentrer au bureau dans la plaine Saint-Denis. Donc en ce moment, dans un cycle d'analyses d'eau à l'hôpital Cochin, ça fait un petit trajet Sud-Nord.
Ce ne sera pas pire qu'en décembre. Mon dernier jour de boulot avant Noël, j'étais à Necker, il m'a fallu 2h pour atteindre la Porte de la Chapelle.
ben oui , pour allez dans le 14ème c'est Paris Sud ..
alors courage , et on croise les doigts pour lundi ...
Posted 09 May 2020 - 12:14 PM
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Posted 09 May 2020 - 12:28 PM
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Posted 09 May 2020 - 12:30 PM
Hello je veux bien le dossier du monde thanksL'article du Figaro
UNE COMMUNICATION « malhabile », admettent bien volontiers les chercheurs impliqués. Une guerre d’ego « pathétique », glissent d’autres, extérieurs à l’étude. Que s’est-il réellement passé autour de l’essai mené par l’Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) sur le tocilizumab, cet anticorps monoclonal censé s’opposer à la « tempête immunitaire » en jeu dans les cas sévères de pneumonies liées au Covid-19 ?
Retour en arrière. Le 27 avril dernier, l’AP-HP organise une conférence de presse en début d’après-midi, en compagnie de Martin Hirsch, son directeur général, et de l’ensemble des investigateurs de l’essai. Le tocilizumab, nous promet-on, « améliore significativement le pronostic des patients avec pneumonie Covid moyenne ou sévère ». Des résultats, rien, absolument rien ne sera divulgué. Les promoteurs de l’essai indiquent qu’ils seront « soumis pour publication dans un journal à comité de lecture », doivent être « confirmés de manière indépendante par des essais supplémentaires », mais que « les investigateurs se sont sentis obligés, d’un point de vue éthique, de communiquer ces informations ».
Difficile d’en savoir beaucoup plus sur ces justifications éthiques. Le tocilizumab n’est pas un nouveau venu, et l’on peut supposer que les médecins hospitaliers susceptibles de le délivrer à leurs patients Covid, ne se laisseront pas convaincre par une promesse sans résultats, même partiels.
Second acte, une semaine plus tard : Le Canard enchaîné révèle que le conseil de surveillance de l’essai a exprimé, le soir même de la communication de l’AP-HP, son mécontentement. « Nous souhaitons partager notre profonde réserve sur les résultats communiqués ainsi que notre inquiétude quant au fonctionnement de la recherche sur cet essai », auraient écrit dans un mail à Martin Hirsch les membres du Comité de surveillance et de suivi des données (DSMB, pour Data Safety Monitoring Board). Groupe d’experts nommés par le promoteur d’un essai clinique, mais indépendant de celui-ci, le DSMB a une mission essentielle (bien que légalement optionnelle) : il analyse au fil de l’étude les données obtenues et doit s’assurer que la sécurité des patients est garantie. Il peut ainsi détecter très rapidement si le médicament testé est dangereux, ou au contraire tellement efficace qu’il ne serait plus éthique de donner un placebo à certains participants. En théorie, le DSMB est le seul à disposer des données tant que l’essai n’est pas achevé ; ceci pour éviter que les investigateurs, naturellement tentés de « croire » à l’efficacité du médicament qu’ils testent, ne soient enclins à favoriser malgré eux l’émergence de résultats positifs. « Nous avons eu accès aux données évoquées en conférence de presse le 27 avril », indique pourtant l’un des investigateurs de l’étude. « Le DSMB n’a pas apprécié et… on peut le comprendre. » La fuite des résultats préliminaires de l’étude, qui auraient été transmis au Haut Conseil à la santé publique, aurait fait craindre au promoteur de l’étude que d’autres n’attirent la lumière en les dévoilant. Une simple affaire d’ego et de calculs politiques ? « Attention, glisse un fin connaisseur du dossier. Il y a aussi des gens qui veulent la peau des dirigeants de l’AP-HP, et je crains que cette histoire ne soit utilisée pour ça… »
Le DSMB de l’essai sur le tocilizumab a présenté sa démission le 30 avril, et l’AP-HP en a aussitôt nommé un nouveau dont elle a, cette fois, divulgué la composition. Un coup de tonnerre qui ne dit rien de l’éventuelle efficacité du tocilizumab. Tous les acteurs de la recherche que nous avons consultés saluent, d’une même voix, le « sérieux », l’« intégrité » et le « très haut niveau scientifique » des chercheurs menant l’étude.
Une ambiance électrique
L’Agence du médicament (ANSM) va, indique l’AP-HP, lancer une inspection pour « analyser les raisons de la démission du DSMB ». Toujours est-il que, dans la droite ligne de l’affaire Raoult et de l’hydroxychloroquine, ce que ces péripéties racontent de la façon dont la recherche clinique est menée n’est pas très reluisant… « L’épidémie a fait perdre le sens commun à beaucoup de scientifiques », lance le Pr Yves Buisson, spécialiste de médecine tropicale et président du groupe Covid-19 à l’Académie nationale de médecine. Manque de coordination entre équipes de recherches, querelles d’écoles, guerres d’ego, lenteurs administratives… « J’ai l’impression que le Covid-19 rend fou !, lâche pour sa part le Pr François Chast, pharmacien hospitalier et président honoraire de l’Académie nationale de pharmacie. La recherche clinique doit se faire dans une ambiance de sérénité, de clairvoyance, de prudence… et surtout, de modestie. Mais il y a dans le monde hospitalier une ambiance électrique, liée notamment au fait qu’il faut publier, avoir des résultats, se mettre en avant. » « L’ensemble du système académique est pourri, souffle un médecin-réanimateur. Les chercheurs produisent des résultats de mauvaise qualité pour la gloire et monter en grade, les journaux publient pour l’argent, et personne n’a intérêt à ce que cela s’arrête. De tout ce que j’ai appris quand j’étais interne, il ne reste… rien. À cause de la mauvaise recherche. J’ai passé des années à tuer des malades. »
« Il ne faut communiquer que si on a des données solides, assène l’épidémiologiste Dominique Costagliola. Sinon on donne de faux espoirs. C’est cruel, anti-éthique. » « La précipitation, c’est le contraire de la vitesse, note le Pr Mathieu Molimard, pharmacologue à l’université de Bordeaux. Quant au prétexte d’aller vite, on travaille sans méthode, on ne peut rien prouver, il faut tout recommencer et au final… on perd du temps ! »
Pour le dossier passionnant du Monde, il est trop long pour être retranscrit ici. Je peux l'envoyer par mp à qui le souhaite
Posted 09 May 2020 - 13:36 PM
Oui, je connais bien, j'ai déjà fait le trajet toute la semaine.
ben oui , pour allez dans le 14ème c'est Paris Sud ..
alors courage , et on croise les doigts pour lundi ...
Posted 09 May 2020 - 13:41 PM
çà flambe de nouveau à Singapour ..
même en y prenant garde , on arrive pas
à maîtriser complètement ..
En Europe et en France en particulier , je me
demande bien comment va t'on procéder pour
retrouver un cours de vie normal ? ne serait-ce
qu'avant la fin de l'année ...
une période d'optimisme arrive , et on espère que
c'est bien fini et pan , une nouvelle couche arrive ..
L'avenir du rugby devient une préoccupation trés
secondaire
Faut vraiment que tu fasses autre chose de tes journées...
1 cas en Chine ou la vie reprend son cours y compris culturel, 0 cas en Slovaquie...
Posted 09 May 2020 - 13:51 PM
Ptolémée, tu n'as pas répondu à mon mp
Posted 09 May 2020 - 13:53 PM
Tirons les leçons du passé
1-Envoyons Ptomlémée à Saint Jacques de Compostelle.
2- Équipons les covidés de clochettes, système moins onéreux que les smartphones, plus sûr et fichiers plus difficile à établir, même si ici, le but originel ne semble pas être de faire fuir le bourgeois sain.
3- Obligeons nos "start up nation" députés à lire les écrits anciens pour les rendre un peu plus modestes
4- Expulsons tous les confinés venus du Nord, ou coupons leurs les oreilles au choix. Pour moi la deuxième proposition est plus intéressante et amusante en ces temps de désert culturel.
L’on a pratiquement toujours pensé que la clochette dont se servait le lépreux avait pour seul but, celui de faire s’éloigner de lui les passants. Ce n’est en réalité qu’un substitut aux déficiences vocales pour solliciter la charité des passants et non pour les éloigner.
Le lépreux doit avoir « une tartarelle pour cacher le nez, un chapeau de camelin, deux paires de drapeaux, une écuelle de bois…». Le prêtre le conduit à sa borde, avec la croix et l’eau bénite, l’introduit dans sa cellule, et dit : « Voici la maison de mon repos, l’objet de mes désirs, celle que je dois à jamais habiter». Au moment de le quitter, le prêtre lui adresse entre autres recommandations : qu’il ne découche point, qu’il ne sorte pas sans lettre de son curé, approuvé par l’official du diocèse. Puis, en face de la porte, on plante une croix de bois à laquelle on attache un tronc pour recevoir l’aumône que le pèlerin dépose en échange des prières du malade solitaire. Tous les Troyens y dépose une offrande,
Lassitude de la ville, rapport favorable des médecins, on ne sait, toujours est-il qu’un bon moyen est trouvé pour écarter un temps un malade vraiment encombrant, on l’envoie en pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle, voyage payé. Il semble que le voyage ne dure pas plus de 6 mois. On ne sait si l’intercession de Saint Jacques y est pour quelque chose, mais la dernière mention de ce malade laisse penser qu’il fut délivré : « Michel revenant du voyage de Saint-Jacques, il fut délibéré et a été trouvé sain et guéri ».
Cette lèpre, maladie affreuse, attaque un grand nombre d’individus, car notre diocèse de Troyes compte jusqu’à 22 léproseries, sans compter les nombreuses bordes affectées d’abord aux lépreux.
La lèpre atteint le plus souvent les classes pauvres et les victimes de malnutrition, alors que les lazarets sont payants et que, en dehors de quelques cas sociaux pris en charge par des œuvres caritatives, la grande majorité des pensionnaires doit subvenir à ses propres besoins.
Aucune personne faisant le métier de barbier, ne peut raser ou peigner un lépreux. En 1374 à Troyes, la cour des Grands-Jours, stipule que nul boucher ne peut acheter des bêtes élevées ou nourries dans les bordes des lépreux,
Le 7 mars 1497, le bailliage prend les mesures pour l’expulsion des lépreux, ordonnant à tous les étrangers atteints de cette maladie de quitter la ville et de n’y rentrer avant la Saint-Remy, « à peine d’avoir les oreilles coupées et d’être chassés de la ville par l’exécuteur de la haute justice ».
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