Il a donné de la fierté comme aucun autre sportifs à 2 peuples en souffrance, la pauvre Argentine et la pauvre Naples.
1 Coupe du monde suivie d une finale de coupe du monde perdue sur peno à la 86e face aux casques à pointe.
Les 2 seuls titres de champion d Italie et leur seule coupe d Europe.
Idolâtré et le mot est faible.
Une vie digne d un film, faite d excès, de talent, de joies, de peines, de génie, de contreverses...
Je crois que tu as tout dit.
J'ai eu la chance d'aller voir deux fois jouer Boca.
La misère dans les rues autour de La Bombonera étaient aussi impressionnante que la folie furieuse à l'intérieur.
Il fallait traverser à pied une voie ferrée sans aucun passage à niveau évidemment, le quartier te faisait flipper, mais n'était finalement pas si dangereux que ça.
C'était pas un bidonville, une favéla (villa miseria en Argentine ), mais quand tu as vu une fois d'où était sorti ce gamin pour devenir une star mondiale multi milliardaire, tu es forcément un peu moins sévère quand tu dois juger la suite de sa vie.
D'ailleurs, les Argentins ne s'y trompent pas, parce qu'il représente ça aussi.