5294 réponses à ce sujet

[marco43]

Pour ma part, avec ce qu'il reste en course, j'ai un penchant pour les Blacks !

surtout qu'ils montent en puissance, que les argentins vont se faire marcher dessus, que dans l'autre demi avec des anglais plus que pénibles et heureux d'être en demi, les sudafs quand même un peu rincés par les bleus ne sont pas certains de s'en sortir, ça fait des centaines d'années que les anglais cassent les couilles au monde

 

Je trouve Luke Pearce vraiment très bon et pédagogue, je m'attendais même à le voir arbitrer une demi-finale. Sûrement l'arbitre le plus souriant de cette CDM. (par contre pourquoi Raynal tire une telle tronche sur chaque match ??)

pas facile de continuer à apprendre l'anglais tout en arbitrant même moi j'arrive à comprendre

[Bon Chasseur]

sans manquer de respect à l'équipe d'Angleterre, logiquement c'est une finale Sudaf NZ qui se profile.

 

Si on m'avait dit que ce serait ça au début de la cdm, sans blaguer, je ne l'aurais presque pas suivi. Au mieux, de loin. C'est d'une tristesse et d'une redondance monumentale. J'en ai strictement rien à foutre de qui la remporterait. C'est juste mon sentiment organique. Préférence pour les Blacks pasque Boks 2x d'affilé c'est juste la misère, mais affiche totalement inintéressante.

[el landeno]

Le miracle Jelonch, la ferveur irlandaise, les Boks en familles... sept semaines de souvenirs et d'anecdotes Trois jours après la finale remportée par l'Afrique du Sud contre la Nouvelle-Zélande au bout du suspense, nos reporters reviennent sur les faits marquants qui ont jalonné « leur » Coupe du Monde.

La célébration de Penaud

« La surprise avait un peu fuité sur les réseaux sociaux avant le début de la compétition. Mais lorsque Damian Penaud a inscrit le premier essai de l'équipe de France (le premier de sa carrière en Coupe du monde) face à la Nouvelle-Zélande lors du match d'ouverture le 8 septembre (27-13), les écrans géants du Stade de France ont projeté une mini-vidéo de moins de dix secondes sur laquelle l'ailier des Bleus faisait une belle grimace !

 

 

Une célébration à l'image du joueur, un brin déjanté. Ça change des célébrations classiques. Le rugby est un jeu et Damian Penaud prône le plaisir. Les supporters ont été gâtés puisque le numéro 14 tricolore a inscrit 6 essais durant la compétition. On aurait aimé qu'il en inscrive quelques-uns de plus... » M. R

 

(F. Faugère/L'Équipe)

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Les Springboks côté famille

« Dès leur arrivée en France, les Springboks ont choisi d'être entourés des familles des joueurs ou membres du staff. Loin des équipes qui vivent en camp retranché et pensent rugby du matin au soir, ils ont su garder un côté vie normale à leur aventure. À La Seyne-sur-mer, où l'Afrique du Sud avait son camp de base, on les croisait à la plage, jouant avec leurs enfants sur le sable, les promenant dans les poussettes ou s'échappant pour une soirée au resto.

 

 

Puis dans la phase finale, leur hôtel résonnait de cris de gamins. « Ils ont l'air en vacances ! », s'étonnaient des Varois. Non, ils se disaient qu'ils étaient assez responsables pour ne pas oublier leur objectif sportif, et que l'équilibre que leur permettait cet entourage les aiderait à l'atteindre. Ils n'avaient pas tort. » A. Bo.

Tel est pris qui croyait prendre

« Je me souviens du sourire de Fabien Galthié en conférence de presse, à deux jours du funeste quart de finale des Bleus face aux Springboks (28-29). Ce jour-là, un vendredi 13, le sélectionneur a les yeux qui pétillent lorsqu'un journaliste lui demande son ressenti sur le choix des Sud-Africains de composer un banc des remplaçants en 5-3 (5 avants, 3 trois-quarts), alors qu'ils sont plutôt coutumiers d'un 6-2 voire d'un 7-1.

''On est dans le monde de la tactique, de la stratégie, et ce n'est pas pour nous déplaire'', lâche notamment Galthié, l'air ravi du type pressé de se lancer dans une partie d'échecs dont il est sûr de sortir vainqueur. Si son sourire et ses mots m'ont tant marqué à ce moment-là, et encore plus rétrospectivement, c'est parce que j'y ai perçu un de ces excès de confiance qui, parfois, nourrissent les plus grandes désillusions. » L. C.

 

Fabien Galthié (avec Antoine Dupont) lors de la conférence de presse avant le quart de finale contre l'Afrique du Sud. (A. Mounic/L'Équipe)

Le bunker

« Je suis allé dès les premiers jours récupérer mon accréditation au centre de presse située à Roland-Garros. Chic, le lieu. Vitrées, les salles. Feutrée, l'ambiance. Et puis, bien caché, le bunker. Inaccessible. Personne n'y entre s'il n'arbore pas le « special pass » des arbitres assermentés, nul n'en sort si ce n'est pour satisfaire urgemment un besoin. Il a fait parler, ce bunker. D'abord, il coûte un bras et sa centralisation à Paris n'a pas beaucoup plu aux arbitres de champ qui aiment bien constituer une équipe autour d'eux.

Signaler ici, par une ironie que les All Blacks n'ont pas dû apprécier - mais le savaient-ils - que cette idée d'un bunker (des arbitres vidéo décident en moins de dix minutes si un carton reste jaune ou devient rouge) a germé dans la tête des dirigeants de l'hémisphère sud, principalement néo-zélandais qui craignaient que les arbitres appliquent trop sévèrement les directives World Rugby concernant les plaquages hauts et dangereux. Quand le jaune (29e) du capitaine San Cane est passé au rouge (34e), certains kiwis ont dû regretter que les meilleures idées obtiennent parfois des effets indésirables... » R. E.

Un peuple qui chante

« Ils étaient venus, ils étaient presque tous là. Au matin du match qu'ils allaient remporter contre les futurs champions du monde (13-8, le 23 septembre), plusieurs centaines de supporters de la verte Erin s'étaient donné rendez-vous au centre culturel irlandais, dans le 5e arrondissement de Paris, pour répéter « Ireland's call », ce chant qui les rassemble tous, comme seul le rugby est en mesure de le faire. On dit que si l'on jette un pavé dans la vitre d'un pub de Dublin, on blesse un poète et un musicien.

On dressa - comment peut-il en être autrement un petit stand avec une pompe à bière. Calmement et en ordre les supporters dessinèrent une immense file de longue attente pour le seul plaisir du partage. Puis se sont mis à entonner leur hymne, épaule contre épaule. Pas d'artifice. Juste un peuple qui chante. » J.-C. C.

 

Les supporters irlandais au Stade de France le 23 septembre. (A. Mounic/L'Équipe)

Le miracle Jelonch

« Quand son genou gauche lâche un 26 février face à l'Écosse, un rapide calcul laisse craindre l'irrémédiable et un forfait pour la Coupe du monde, qui commence dans un peu plus de six mois. Généralement, les croisés, c'est autour de... neuf mois ! Et pourtant, Anthony Jelonch est bien là contre l'Uruguay, il est même capitaine d'une équipe de France remaniée. Un 14 septembre, un peu plus de six mois après son opération (le 6 mars).

Le miracle a bien eu lieu et le troisième ligne toulousain a enchaîné les titularisations face à la Namibie, l'Italie et l'Afrique du Sud, sans la moindre gêne ni appréhension. Le plus marquant dans cette rééducation express, c'est cette détermination teintée d'optimisme qu'il a affiché tout du long, en validant chaque étape. "Je serai prêt le 15 août", nous avait-il surpris à dire après son opération. Le 14, il retrouvait les Bleus à Capbreton. Fin juin, on l'a vu faire six mètres sur trois sauts à cloche-pied sur sa jambe gauche. On avait peur pour lui mais on était bien les seuls. » R. Be.

 

Anthony Jelonch contre l'Uruguay. (F. Faugère/L'Équipe)

La fraîcheur portugaise

« Difficile d'échapper à l'attrait particulier de ces équipes qui tiennent plus de David que de Goliath. Avec leurs quelques joueurs pros, leurs coéquipiers amateurs qui s'avalent les entraînements sur la digestion de longues journées de travail, leur maestro tricolore Patrice Lagisquet, la fraîcheur des Loups avaient tout pour toucher la corde sensible.

Mais c'est sur place, à Toulouse, qu'on mesurait leur ultime atout : leurs supporters venus des quatre coins d'un Portugal en large majorité désintéressé du rugby. Souvent grimés de la tête aux pieds, ils ont embarqué les allées, les travées du Stadium, le coeur de la ville, ceux des suiveurs rouge et noir et le nôtre grâce à une énergie solaire. » J. S.-S.

 

Les supporters portugais à Toulouse. (N. Luttiau/L'Équipe)

Monumental

« On n'a pas tous les jours l'occasion de voir s'écrire sous nos yeux un chapitre de l'histoire de la Coupe du monde. C'est pourtant l'impression qu'on a eue dans les derniers instants du quart entre l'Irlande et la Nouvelle-Zélande, avec cette séquence finale ahurissante d'intensité, longue de 6 minutes 19 secondes et surtout de 37 temps de jeu (!) durant lesquels les Irlandais, menés de quatre points, sont inlassablement revenus défier la défense des Blacks.

Pourtant électrique ce soir-là, le public - tribune de presse comprise - en est resté figé, le souffle coupé. Jusqu'à l'épilogue de cette scène mémorable : un grattage de Sam Whitelock sous les yeux de Jonathan Sexton, condamné à ressasser éternellement les ultimes minutes de sa carrière de joueur. » Y. S.

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La colonie de vacances anglaise

« C'était leur dernière colonie ensemble. Ils voulaient qu'elle soit belle et dure très longtemps. Ben Youngs, Danny Care, Courtney Lawes, Elliot Daly, Joe Marler et Jonny May ont grandement contribué à la belle aventure du XV de la Rose qui s'est achevée par une troisième place inespérée.

Ils ont été bons sur le terrain, et parfaits en dehors, en conférence de presse où ils ont été généreux, mais aussi dans les rues du Touquet, d'Aix-en-Provence, dans les cafés et les restaurants, sur les terrains de paddle ou sur les parcours de golf. Ils ont croqué dans cette Coupe du monde à pleines dents, pour ne rien rater, ne rien regretter. Comme si c'était leur première... » G. Du.

4-1 pour Aix

« C'était un dimanche matin ensoleillé comme les autres à Aix-en-Provence. Sur le terrain synthétique, juste à côté du stade Georges-Carcassonne, les jeunes footballeurs locaux étaient opposés à leurs homologues de l'AS Monaco en ce 1er octobre. À quelques mètres de là, derrière les grilles, Antoine Dupont faisait au même moment son retour à l'entraînement dix jours après sa fracture maxillo-zygomatique contre la Namibie. Une reprise tranquille en marge du groupe que les curieux ne voulaient pas rater. Quitte à planquer deux heures dans des arbres pour éviter de se faire repérer par les policiers. Et sans pouvoir suivre le succès 4-1 des Aixois un peu plus loin. » J.-F. P.

[Bon Chasseur]

"A L'AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAIDE JE ME FAIS AGRESSER !!!!!!!!!!!!!!!!!!"

 

 

" Damian qui chiale encore lol".

[RCV06]

 

Sympa

[el landeno]

Le triomphe du sans-ballon : notre bilan tactique de la Coupe du monde 2023 Malgré les désirs de World Rugby de favoriser l'attaque, la Coupe du monde a sacré une équipe, l'Afrique du Sud, qui utilise peu le ballon. Mais il y a quand même eu de grands matches, et un nombre d'essais en hausse.

La dixième Coupe du monde laisse derrière elle un paquet de frustrés. Il y a ceux, notamment en France et en Nouvelle-Zélande, qui râlent contre l'arbitrage. Parfois avec raison, parfois sans, le plus souvent en oubliant les décisions en faveur de leur équipe, ainsi que ses propres erreurs. Et il y a les déçus de la vérité sportive, qui dit que la meilleure nation du monde est celle qui se fait le moins de passes, et qu'à ce jeu, en 2019 comme en 2023, il vaut mieux ne pas avoir le ballon.

 

 

La tendance du week-end d'ouverture, durant lesquels trois des quatre grosses affiches avaient été remportées par les équipes les moins ambitieuses, s'est confirmée en phase finale : sur les huit derniers matches de la compétition, six ont vu triompher les « sans-ballon ». Et c'est l'Afrique du Sud, la nation avec le moins de possession (41 % au total des phases finales), qui a soulevé le trophée, pour la deuxième fois de rang.

lire aussiDécryptage : la contre-révolution des Boks pour conserver leur titre

Favoriser l'opposition de styles

Cette victoire des Boks doit interroger dans les couloirs de World Rugby. L'instance cherche en permanence des aménagements pour rendre sa discipline plus spectaculaire et accessible au grand public. La dernière fois, en début d'année, elle a demandé à son corps arbitral d'arbitrer les rucks différemment, afin de davantage favoriser l'attaque et d'éviter le flot de coups de pied qui avait noyé les matches de la tournée d'automne 2022.

 

 

 

 

 

 

à savoir ce que regardera World Rugby lors de son analyse : ces données, ou le style du vainqueur.

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Les Boks, champions du ralentissement

Selon les statistiques d'Opta, le trois-quarts Jesse Kriel n'a touché aucun ballon lors de la demi-finale face à l'Angleterre (16-15). Et, sur l'ensemble des phases finales, il n'a pu se dégourdir les doigts que dix fois. Ces chiffres disent bien ce qu'est l'Afrique du Sud : un champion du monde qui n'essaie quasiment pas de faire ce qu'il y a de plus dur en rugby - porter le ballon -, mais qui est incroyablement talentueuse pour réaliser le plus « facile » : presser, empêcher, contrer.

Les Boks pratiquent ce style sans souci du qu'en-dira-t-on, en sachant très bien qu'ils ont des atouts pour faire autre chose mais que ce visage est leur meilleur. Cette conviction est illustrée par l'évolution de leur jeu au fil de la compétition. Lors des phases de poules, ils étaient sur l'idée d'un style plus riche, comme depuis un an. Mais leur léger manque d'efficacité les a conduits à revenir, à partir des quarts, au style pragmatique de 2019.

Leur défense oppressante a fait son oeuvre. On a beaucoup parlé de leurs montées rapides, de leurs plaquages vigoureux et de leurs replacements, mais un autre élément (qui découle en partie des précédents) mérite l'attention : leur capacité à ralentir les rucks adverses. Statistiquement, l'Afrique du Sud est l'équipe la plus forte du Mondial dans ce domaine. La finale, gagnée d'un point (12-11), en est le meilleur exemple : alors que la Nouvelle-Zélande tournait jusque-là en moyenne à 59 % de rucks rapides (sortie entre 0 et 3 secondes), elle n'en a eu que 37 % samedi.

Les Blacks en marathoniens

On pronostiquait des temps de jeu effectifs de 40'pour cette Coupe du monde. Finalement, cette barre n'a été dépassée qu'à trois reprises. Et ce n'est pas un hasard si, à chaque fois, la Nouvelle-Zélande était sur le terrain. Leur volonté de porter le ballon, leur jusqu'au-boutisme même, a amené les All Blacks à étirer leurs temps de possession lors des phases finales. Quand ils ont affronté l'Argentine et l'Irlande, deux équipes animées des mêmes idées, cela a débouché sur les deux rencontres les plus « longues » du Mondial.

Matches de la Coupe du monde avec le temps de jeu effectif le plus important
1. Nouvelle-Zélande - Argentine (demies) : 43'15''
2. Nouvelle-Zélande - Irlande (quarts) : 41'54''
3. Nouvelle-Zélande - Afrique du Sud (finale) : 40'11''

En finale, c'est la Nouvelle-Zélande, meilleure attaque de la compétition (49 essais), qui a très largement porté le poids de la possession (24'avec le ballon, contre 16'pour les Boks). Sans doute trop. À noter que, pour les Bleus, les trois principaux matches ont « plafonné » autour des 34'de temps de jeu effectif (34'56 contre l'Afrique du Sud).

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Les Bleus peuvent avoir des regrets

Pour le quinze de France, ni le nom du champion du monde, ni les statistiques globales de la compétition n'apaiseront la douleur. Commençons par le quart de finale perdu face à l'Afrique du Sud (28-29). De toute la compétition, c'est lors de ce match que la défense sud-africaine a été la plus bousculée. Pour les Bleus, deuxième meilleure attaque du Tournoi (30 essais inscrits), de meilleurs choix près des lignes, notamment en début de deuxième période, aurait sans doute permis de mieux convertir cet allant offensif.

Il aurait aussi fallu plus d'efficacité défensive, notamment sous les ballons hauts. Cette faillite en l'air a saboté un taux de réussite aux plaquages élevé (82,8 %), le meilleur du tournoi.

Au rang des stats favorables, on ajoutera que la discipline (7 pénalités par match, 1re), la capacité à mettre l'adversaire à la faute (12 par match, 1re), la touche (93 % de ballons conservés, 1re), des ailiers incisifs (3,3 breaks par match pour Damian Penaud, 1er ; 2,5 pour Louis Bielle-Biarrey, 2e)... Mais ça n'a pas suffi.

En quarts de finale, les Bleus ont développé un rugby de possession (166 passes, 2e plus haut total de l'ère Galthié) dont ils n'avaient pas l'habitude, délaissant en seconde période des options de jeu au pied qui avaient pourtant marché en première.

 

 

[Bon Chasseur]

ça vous fait rêver, les joueurs Sudafs ? Je ne sais pas, tout le monde encense Kolisi actuellement. Vous trouveriez ça génial s'il devenait sélectionnable pour les Bleus ? Vous le mettez à la place de Jelonch Ollivon ou Cros par ex ?

 

La 2èL Eben + Mostert vs Woki Flament je veux bien, mais

Faf ou Dupont ?

Pollard ou Jalibert Ntamack ?

Kitshoff ou Baille ?

Mbonambi ou Mauvaka ?

De Allende et Kriel plutôt que Danty Fickou ?

[steph]

ça vous fait rêver, les joueurs Sudafs ? Je ne sais pas, tout le monde encense Kolisi actuellement. Vous trouveriez ça génial s'il devenait sélectionnable pour les Bleus ? Vous le mettez à la place de Jelonch Ollivon ou Cros par ex ?
 
La 2èL Eben + Mostert vs Woki Flament je veux bien, mais
Faf ou Dupont ?
Pollard ou Jalibert Ntamack ?
Kitshoff ou Baille ?
Mbonambi ou Mauvaka ?
De Allende et Kriel plutôt que Danty Fickou ?

A la place de Jelonch, je n'hésite pas une seconde. Faut y arrêter 5 minutes avec lui, il a été bon face aux Italiens, et comme prévu, transparent face à la puissance supérieure des sud'afs. Kolisi, c'est un leader assez exceptionnel je pense.

[Alex chocolatines]

A la place de Jelonch, je n'hésite pas une seconde. Faut y arrêter 5 minutes avec lui, il a été bon face aux Italiens, et comme prévu, transparent face à la puissance supérieure des sud'afs. Kolisi, c'est un leader assez exceptionnel je pense.

Jelonch a repris en étant loin de sa meilleure forme, il semble ne pas avoir repris sa masse musculaire et meme si il est courageux, après une blessure y a une légère appréhension inconsciente.

La connerie vient du staff, le joueur est loin d'etre un nul, il n'était pas à sa place à ce moment c'est tout. 

[steph]

Jelonch a repris en étant loin de sa meilleure forme, il semble ne pas avoir repris sa masse musculaire et meme si il est courageux, après une blessure y a une légère appréhension inconsciente.
La connerie vient du staff, le joueur est loin d'etre un nul, il n'était pas à sa place à ce moment c'est tout. 

Déjà, oui. Ce qui n'empêche pas qu'il est très loin d'être le joueur majeur que certains s'évertuent à essayer de nous vendre.

[Alex chocolatines]

Déjà, oui. Ce qui n'empêche pas qu'il est très loin d'être le joueur majeur que certains s'évertuent à essayer de nous vendre.

Moi je l'ai vu sortir de beaux matches chez nous, ça me va bien. Qu'il ne soit pas "exceptionnel" je veux bien mais je le classe quand même dans les bons joueurs. ( quand il est à 100 % de ses capacités bien sur). 

 

ça vous dépannerait bien à Clermont un mec comme lui non ? 

[Jesus Hans Hubert Vorme]

Moi je l'ai vu sortir de beaux matches chez nous, ça me va bien. Qu'il ne soit pas "exceptionnel" je veux bien mais je le classe quand même dans les bons joueurs. ( quand il est à 100 % de ses capacités bien sur). 
 
ça vous dépannerait bien à Clermont un mec comme lui non ? 

A Clermont, c'est compliqué de critiquer qui que ce soit. Il faudrait même oublier qu'il y avait une équipe.

[Gourine63]

Moi je l'ai vu sortir de beaux matches chez nous, ça me va bien. Qu'il ne soit pas "exceptionnel" je veux bien mais je le classe quand même dans les bons joueurs. ( quand il est à 100 % de ses capacités bien sur). 
 
ça vous dépannerait bien à Clermont un mec comme lui non ? 

Je le touche pas avec un bâton votre Jelonch Galthié là.

Par contre si vous ne savez pas quoi faire de Cros, là ça se négocie.

[Bon Chasseur]

A la place de Jelonch, je n'hésite pas une seconde. Faut y arrêter 5 minutes avec lui, il a été bon face aux Italiens, et comme prévu, transparent face à la puissance supérieure des sud'afs. Kolisi, c'est un leader assez exceptionnel je pense.

très bon leader et présence qui apaise les troupes. On dirait.

Mais après c'est qd mm pas un monstre sur le terrain, si ? Je sais pas. Je pense à des monstres de 3èL récemment, je pense à des mecs comme Pocock en forme, le Hooper d'il y a 5 ans, S.Armitage autour de 2015, Warburton... ou plus récemment, Jack Willis de l'an dernier, ou Ardie Savea. Pour moi ce n'est pas la même pointure "Siya", seulement il est bien entouré.

[Gourine63]

Jack Willis c'est ultra banal comme troisième ligne pour moi, tu secoues un arbre à Lannemazan y'en a 15 qui tombent.

Ok pour Armitage, Savea ou Pocock, ça c'est de véritables troisième lignes "facteur x". Tout comme Alldritt ou Doris par exemple qui sont monstrueux et qui changent complètement la gueule de leur équipe par leur simple présence sur la pelouse.