j'ai l'impression que Falatea à la plainte facile et s'épanche facilement publiquement, non ?
1 seule fois, non ?
Posté 28 février 2023 - 21:47
j'ai l'impression que Falatea à la plainte facile et s'épanche facilement publiquement, non ?
Posté 28 février 2023 - 22:34
1 seule fois, non ?
en janvier
https://www.blog-rct...-lentrainement/
il y avait deja eu une sortie précédemment, non ?
Posté 28 février 2023 - 22:44
J'ose espérer que ce n'est pas le cas, sinon cela signifie qu'on a pas compris l'évolution du poste de pilier.
Posté 28 février 2023 - 23:03
Il y avait.Si Dato n'est consultant que sur ma mêlée, je ne vois pas de problème... Il y a un entraîneur qui est en droit de demander une activité importante aux piliers.
Posté 01 mars 2023 - 17:15
Posté 01 mars 2023 - 17:50
Il est porté disparu ? Pourtant, on ne peut pas dire que les performances de Falgoux et Beria soient transcendantes...
Des infos glanées ce jour il serait blessé à un orteil.
Posté 01 mars 2023 - 17:59
Non pour moi c'est la seule
Il s'est exprimé une seule fois dans le Midol
Dans le sujet Falatea, il n'y a rien entre Mai et Janvier 2023 puis plus rien depuis Janvier 2023
http://www.cybervulc...-sipili/page-66
Posté 01 mars 2023 - 19:57
Des infos glanées ce jour il serait blessé à un orteil.
il s'est blessé hier à l'entraînement car il était 24e dimanche soir.
Posté 01 mars 2023 - 21:40
Non pour moi c'est la seule
Il s'est exprimé une seule fois dans le Midol
Dans le sujet Falatea, il n'y a rien entre Mai et Janvier 2023 puis plus rien depuis Janvier 2023
je vous avais posté ça , extrait de Sud Ouest du 22/02
Il est apparu avec un chiffre de trop dans le dos. En l’absence de Uini Atonio (1), et en qualité de remplaçant au poste de pilier droit lors des sept derniers matchs du XV de France, Sipili Falatea (25 ans, 9 sélections) espérait probablement mettre ses grosses pognes sur le maillot frappé du 3. Auteur d’une entrée en jeu discrète en Irlande, le joueur de l’UBB a pourtant dû se contenter du 18 ce mardi après-midi.
C’est finalement Mohamed Haouas, homme de base des deux premières années du mandat de Fabien Galthié, qui a enfilé la chasuble bleue dévolue aux titulaires probables sur le terrain Pierre-Camou à Marcoussis lors du premier entraînement collectif des Bleus de la semaine.
Les élémentaires règles de prudence dictent qu’il convient encore d’attendre la séance à haute intensité ce mercredi pour en savoir plus sur la volonté du staff tricolore de titulariser face à l’Écosse le Montpelliérain au détriment du Bordelais.
« Déterminé » et guidé par « la volonté de faire les choses », aux dires de Laurent Marti, son président à Bordeaux, « garçon fonctionnant à la confiance » selon son entraîneur en club Julien Laïrle, Sipili Falatea (1,83m, 110 kg) ne sera évidemment pas imperméable au résultat de cette réflexion.
« On avait senti un garçon touché, un peu dans l’incompréhension »
Mais l’épisode ne suffira peut-être pas à jeter une ombre sur la petite histoire que l’oncle de Yoram Moefana écrit avec l’équipe de France. Un lien qui, selon le vertueux principe des vases communicants, participe aussi à sa prise d’envergure depuis quelques mois sous le maillot de l’UBB.
Pour mesurer le chemin qu’il a parcouru, il faut effectuer un bond dans le passé pour revenir au jour où le pilier originaire de Futunua a rencontré les dirigeants bordelais pour la première fois. Alors sous contrat à Clermont, il ne joue pas. Et ne comprend pas pourquoi.
Incompréhension« Quand on l’a rencontré avec le staff, c’était en effet quelqu’un qui n’avait pas la confiance de ses coachs : il était numéro 3 à Clermont, témoigne Laurent Marti. On avait senti un garçon touché, un peu dans l’incompréhension par rapport à ce qui lui arrivait. » « Il ne jouait pas, sans savoir pourquoi, selon ses dires », confirme Julien Laïrle.
Une incompréhension qui a d’ailleurs cédé la place à un conflit ouvert avec la direction du club auvergnat lorsque Sipili Falatea a décidé de s’engager en Gironde en même temps que le centre Tani Vili : « J’étais dégoûté », a-t-il témoigné dans « Midi Olympique ».
De l’histoire ancienne. Cette page douloureuse, il dit l’avoir tournée aujourd’hui. « Le point de départ du changement, c’est quand je suis arrivé à Bordeaux, a-t-il déclaré en décembre dernier. Sans ça, je ne serais pas allé en équipe de France. » Ce qui n’est pas tout à fait exact, puisqu’il avait pris part à la tournée de juillet en Australie en 2021. Mais on a bien compris l’idée…
Le tout ne s’est toutefois pas fait en un claquement de doigts. Avant de donner sa pleine mesure en Gironde, Sipili Falatea a d’abord fait l’objet d’un méticuleux travail de reconstruction. « Christophe (Urios) avait entamé un gros travail de management avec lui », rappelle Julien Laïrle : Sipili est quand même un garçon introverti : on l’a responsabilisé pour qu’il prenne de l’ampleur dans la vie de groupe. C’est quelqu’un qui porte beaucoup les ballons, qui est très dominant : il était important qu’il sente qu’il pouvait peser dans l’équipe en amenant ça. Il a besoin de sentir qu’il compte. »
« Impact player »Et aux yeux du technicien bordelais, la même mécanique se cache derrière la récurrence de ses apparitions avec le XV de France depuis la tournée de novembre 2022 : « Que l’équipe de France lui ait fait confiance, qu’il passe devant Mohamed Haouas et Demba Bamba à ce moment-là, c’est revenu à lui donner beaucoup de confiance. Ce statut et la confiance que lui a apportée Christophe, tout ça lui a permis de montrer tout son potentiel. »
Un potentiel fait de force brute. Dans « Midi Olympique », William Servat, co-entraîneur des avants du XV de France, avait déclaré en décembre dernier que « Sipili Falatea avait battu tous les records en matière de musculation ». Julien Laïrle confirme l’impression : « Il est très, très fort avec une grande mobilité : physiquement, il est vraiment impressionnant. »
Ce qui ne fait pas de lui pour autant un produit fini. « C‘est encore un jeune joueur, souligne Laurent Marti. Et pour des jeunes piliers droits, il y a des paliers à passer : tu les passes avec l’âge, l’expérience et les mêlées. » « Il porte les ballons, il plaque fort, renchérit Julien Laïrle. Il doit encore trouver de la stabilité en mêlée, ce qui peut être sa faiblesse. Mais l’équipe de France l’utilise vraiment sur ses forces. Sur ce côté impact player, cette capacité à rentrer fort dans les matchs. » Un rôle qui pourrait lui être une fois de plus confié contre l’Écosse.
(1) Suspendu deux matchs pour un plaquage dangereux en Irlande.
Posté 22 avril 2023 - 16:16
Posté 22 avril 2023 - 16:19
On a pratiquement pas été sanctionné du match , mais heureusement il y avait nos en avant que l'arbitre a bien vu.
Posté 22 avril 2023 - 16:26
Content de le revoir, il a toujours du punch et n'a pas été sanctionné en mêlée
+1 également !
Posté 26 août 2023 - 18:11
Posté 26 août 2023 - 18:21
Posté 26 août 2023 - 18:27
A voir l'évolution de son jeu cette saison et surtout le relationnel avec Urios mais à surveiller car la tendance était plutôt à un départ la saison dernière, la période Gibbes/Zirak ayant beaucoup fait gamberger le joueur.
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