Moi même encore à le voir sur la vidéo...il me fait peur...
Par contre surpris qu'il parle pas plus de R.Barrière en bien...et l'ambiance de l'équipe en dehors du rugby c'était à priori chacun chez soi.
Posted 15 January 2022 - 09:55 AM
Moi même encore à le voir sur la vidéo...il me fait peur...
Par contre surpris qu'il parle pas plus de R.Barrière en bien...et l'ambiance de l'équipe en dehors du rugby c'était à priori chacun chez soi.
Posted 15 January 2022 - 10:08 AM
La vie tout simplement. Entre les erreurs plus tôt et la maladie plus tard.....................
Posted 15 January 2022 - 10:22 AM
Posted 15 January 2022 - 10:48 AM
Les objectifs en terme de destruction physique de l'adversaire et du respect de la notion domicile-extérieur semblaient bien établis.
Posted 15 January 2022 - 17:26 PM
Classement des Français les plus effrayants, non pas de CAT mais du Sunday Times
Un Castrais en tête, c'est bien mérité
1/Gérard Cholley
2/Alain Estève
3/Pascal Ondarts
4/Marc Cécillon
5/Vincent Moscato (effrayant de bêtise sinon lol)
6/Armand Vaquerin (lui je l'aurais mis sur le podium)
7/Laurent Seigne
8/Claude Dourthe (seul pas gros, un Richard dans chaque poil de burne)
9/Fabien Pelous (bof)
10/Michel Palmier (idem sur le podium avec Estève et Vaquerin)
3 des bitterois de la grande époque, et clairement Senal n'a pas eu assez de sélections sinon...
C'est n importe quoi ce classement, il y a même pas Imbernon. et Palmier derrière Pelous
Posted 15 January 2022 - 17:39 PM
C'est n importe quoi ce classement, il y a même pas Imbernon. et Palmier derrière Pelous
Posted 15 January 2022 - 17:41 PM
C'est un classement britannique
Ça doit un CAT anglais
Posted 19 January 2022 - 20:05 PM
Pour vivre à 10mn de Beziers, je peux te confirmer qu'il ne s'agissait pas d'un groupe de copains. Les anecdotes où les primes de finale jouées aux cartes dans le train en montant à Paris pourrissaient fortement la 3ème mi-temps où les joueurs sortaient après sur Paris par groupes de 4 ou 5.Moi même encore à le voir sur la vidéo...il me fait peur...
Par contre surpris qu'il parle pas plus de R.Barrière en bien...et l'ambiance de l'équipe en dehors du rugby c'était à priori chacun chez soi.
Posted 20 January 2022 - 11:50 AM
Pour vivre à 10mn de Beziers, je peux te confirmer qu'il ne s'agissait pas d'un groupe de copains. Les anecdotes où les primes de finale jouées aux cartes dans le train en montant à Paris pourrissaient fortement la 3ème mi-temps où les joueurs sortaient après sur Paris par groupes de 4 ou 5.
Oui, effectivement ! Mais quelle équipe quand même !!!!
Posted 22 January 2022 - 00:53 AM
« Quel a été l'adversaire qui vous a le plus marqué ?
Ce sont toujours les mêmes que tu retrouvais à cette époque, c'est-à-dire Philippe Sella et Serge Blanco... Quand je devais les affronter, je savais que la partie ne serait pas simple car ils étaient super forts. Mais rappelez-vous, dans ces années 80, chaque club du sud-ouest, que ce soit Biarritz, Bayonne, Agen, Toulouse ou nous, à Dax, alignait une ligne de trois-quarts de rêve...
Quel a été le partenaire avec lequel vous vous êtes le mieux entendu ?
C'est mon ami Jacques Bégu... Nous avons vécu des moments fabuleux. C'était un arrière de formation et il est passé à l'aile quand je suis arrivé à Dax. Il avait les crochets, les relances... On se connaissait par coeur sur le terrain. Parfois, il partait à gauche et moi à droite, mais on parvenait toujours à se retrouver au centre du terrain. (Rires.) Au-delà du rugby, on est resté amis.
« Quand tu es international, tu penses avoir touché le Graal et que rien ne sera plus haut que ça. Et puis quand tu es champion de France, tu découvres autre chose de plus fort »
Quelle est l'action de jeu dont vous êtes le plus fier ?
J'ai le souvenir d'une relance, face au Racing Club de France en challenge Yves du Manoir, qui m'a valu une grosse engueulade. J'avais 18 ans et c'était la dernière saison de Jean-Pierre Bastiat (deuxième-ligne, capitaine du XV de France). J'étais parti de l'en-but après l'avoir traversé de gauche à droite, et j'ai relancé de long de la touche sur 80 mètres. J'entends encore Jean-Pierre Bastiat qui gueulait : « Tu vas arrêter de courir et tu vas taper en touche ! »
Quel est votre plus grand regret ?
De ne pas avoir été champion de France avec Dax. En 1981 et 1982, on perd deux fois en quarts de finale (9-16 contre Bagnères-de-Bigorre, 23-33 contre Perpignan) alors qu'on avait le potentiel pour aller au bout. Par la suite, j'ai été champion de France avec Bègles (1991), mais c'était différent. J'avais 31 ans... Tandis qu'avec les Dacquois, on était copains, et presque tous de la même génération (Gachet, Coyola, Bégu, Lescarboura). Ce titre, ça aurait été un truc de fou ! Champion de France après toutes ces finales perdues (1956, 1961, 1963, 1966, 1973), vous imaginez ? On aurait fait les férias de Dax sur un nuage. (Sourire.) Déjà que c'est très bien sans être champion de France, alors avec le titre à fêter, je n'ose imaginer ce que ça aurait donné.
Quelle a été votre plus grande satisfaction ?
J'ai été champion de France avec Bègles, international à 21 ans (4 sélections entre 1981 et 1982), j'ai remporté le challenge Yves du Manoir (1982)... J'ai vécu tous mes rêves. Certains grands joueurs n'ont pas eu cette chance. Quand tu es international, tu penses avoir touché le Graal et que rien ne sera plus haut que ça. Et puis quand tu es champion de France, tu découvres autre chose de plus fort. Car on joue tous pour soulever un jour le Bouclier de Brennus.
« Nous n'avions plus d'argent sur nous, alors nous avons échangé nos cravates du XV de France contre quelques verres. »
Il y a bien une fois où vous êtes passé à côté du match, non ?
À mes débuts, en 1978, on va jouer à Bourgoin avec Dax, et c'est le dernier match de poule. En fin de match, les Berjalliens tapent en direction de notre en-but, le ballon roule et, au moment où j'arrive tranquillement pour aplatir, il y a un faux rebond : je plonge à côté du ballon et un Berjallien marque l'essai. On perd le match là-dessus et, grâce à cette victoire, Bourgoin est qualifié en phase finale de Première Division pour la première fois de son histoire. On prenait le train le soir à 20 heures et je peux vous assurer que les Berjalliens nous ont bien soignés à l'apéro. Ils étaient tellement contents. (Rires.)
Quelle est la troisième mi-temps la plus mémorable ?
Honnêtement, j'en ai tellement vécues, tous les dimanches soir, qu'il est très difficile de choisir. (Rires.) D'autant que beaucoup ne sont pas racontables. Je n'évoquerai pas la plus mémorable mais la plus chouette : c'est avec l'équipe de France en tournée en Australie, en 1981. On se retrouve en boîte de nuit, Lolo Pardo, Pierre Chadebech et moi. Nous n'avions plus d'argent sur nous, alors nous avons échangé nos cravates du XV de France contre quelques verres. Le patron était tellement ravi qu'il nous a offert des bouteilles durant toute la nuit. Nous étions les rois...
Y a-t-il un club où vous auriez aimé jouer ?
Vous savez, je suis un aventurier. Je suis parti jouer trois mois en Australie en 1984 (à Port Hacking, au sud de Sydney), j'ai joué à Montpellier, à Bègles, et je devais même partir aux États-Unis, à Aspen, mais ça ne s'est pas fait parce que là-bas, il fallait que je travaille, et moi je ne voulais pas bosser. (Rires.)
Quelle est la pire engueulade que vous ayez vécue ?
C'est à Perpignan, quand je jouais avec Bègles, la saison qui suivait notre titre. La tortue avançait moins bien, la preuve, on perdra en seizièmes de finale contre Chalon-sur-Saône. À Aimé-Giral, donc, je récupère le ballon derrière une mêlée chahutée, je tape en touche, je me fais contrer, Perpignan marque sur le coup et on perd. Dans le vestiaire, je me fais engueuler par un joueur de mon équipe. Je ne vous dirai pas de qui il s'agit. Je me suis levé et le ton est monté très fort. Heureusement que je n'ai pas pris une "bouffe" parce que s'il m'avait touché, il m'aurait tué. Je ne m'étais jamais engueulé avec qui que ce soit avant comme ça, aussi violemment.
Quelle est l'anecdote que vous n'avez jamais racontée ?
Si je ne l'ai jamais racontée, c'est qu'il ne fallait pas. (Rires.) Il y a bien mon dernier rassemblement avec l'équipe de France. C'était à Lille, en avril 1986, contre la Roumanie (victoire 25-13). J'étais dans le groupe comme remplaçant. Le lendemain du match, le bus partait de l'hôtel à 8 heures mais moi, je suis rentré un peu plus tard : j'avais fait la fête toute la nuit. Le bus m'attendait. Et après ça, je n'ai plus jamais été convoqué en équipe de France... »
Posted 22 January 2022 - 07:47 AM
En 91, il a échappé le bouclier (qui devait glisser) et il me semble qu'il a eu droit à quelques points de suture et une fracture du pied.. ça c'est la grande classe..
Posted 22 January 2022 - 07:49 AM
En 91, il a échappé le bouclier (qui devait glisser) et il me semble qu'il a eu droit à quelques points de suture et une fracture du pied.. ça c'est la grande classe..
Posted 22 January 2022 - 08:39 AM
En 91, il a échappé le bouclier (qui devait glisser) et il me semble qu'il a eu droit à quelques points de suture et une fracture du pied.. ça c'est la grande classe..
La légende dit que dans l'ivresse (du titre bien sûr...) il s'est blessé en glissant dans la sciure !
Posted 22 January 2022 - 08:56 AM
Intéressant ces reportages. Merci. Pas sur que les souvenirs soient les même dans 30 ans avec la génération actuelle (c'est pas une critique).
Posted 22 January 2022 - 09:08 AM
Intéressant ces reportages. Merci. Pas sur que les souvenirs soient les même dans 30 ans avec la génération actuelle (c'est pas une critique).
Chaque époque est différente ! Mais aujourd'hui le sport est un produit de consommation comme un autre, on le consomme puis on le jette ! De ce fait les souvenirs restent moins ancrés dans l'esprit des gens. Cela me fait penser aux appareils photos numériques. On a tout sur ordinateur mais on ne consulte pas celui ci comme un album photo !
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