246 réponses à ce sujet

[julien]

Entièrement d'accord avec cette vision des choses, je rajouterais que l'UBB en ce moment c'est pas la folie, on les bat avec nous aussi un paquet d'absents et en sortant un match très très moyen...

Alors si on revoit le Clermont qui a explosé l'USAP, ça peut le faire.

à l'inverse, il me semble que le LOU est quasi complet .

 

pas de Bamba, R.Taofifenua et Cretin (EDF) + NGatai blessé

Charcosset, Taufete'e et Lambey incertains.

 

Le groupe

(1e ligne) Ivaldi, Charcosset, Taufete’e, S. Taofifenua, Rey, Devisme, Gomez-Kodela, Kaabèche, Lithaud – (2 ligne) Guillard, Kpoku, Mayanavanua, Vignolles – (3 ligne) Fainga’a, Lambey, Saginadze, Taufua, Falcoz – (m/o) Couilloud, Pélissié, Doussain, Berdeu – (3/4) Regard, Barassi, Parisien, Dumortier, Tuisova, Nakaitaci, Niniashvili – (arrière) Arnold, Laporte.

[rueducourage]

Top 
Cest théoriquement possible mais au vue des 18 premiers matchs inimaginable

On pourrait aussi s arrêter au bout de 10 journées en considérant qu il ne va plus rien se passer de différent...or les réalités ne sont jamais linéaires, tant qu'on reste en vie, l espoir demeure !

[arverne19]

les chiffres sont beaucoup à la baisse, quand même;

salut les potes !

[rueducourage]

Pas de Moala d'après LM...
 
Naqalevu-Barraque au centre et Vili sur le banc.
 
Pas bon çà...

Un Barraque un peu moins rincé et un Vili revanchard, ça m interesse...

[jm12]

 

Des difficultés de récupération après son match de reprise post-covid d'après La Montagne.

Et c'est bien dommage....

Ah oui ! Evidemment ! 

[el landeno]

Le tour de France de la Coupe du monde 2023 : Lyon vise de nouveau les sommets avec le LOU Champion dans les années 1930, le club lyonnais a ensuite traversé une longue période de disette, dans l'ombre de l'OL. Installé en Top 14 depuis 2016, il rêve désormais de retrouver le sommet.

`« Le meilleur des marketings, ce sont les résultats. » Yann Roubert, le président du LOU, aime la formule et en use à l'envi. La dernière fois que le LOU a inscrit son nom au palmarès du rugby français, c'était il y a fort longtemps, quand le concept même de marketing n'existait pas, quand le sport se vivait en noir et blanc. Le LOU, club né en 1896, est vice-champion de France en 1931, décroche le titre l'année suivante et le doublé Championnat-Challenge Yves du Manoir en 1933.

Depuis, les pages du livre d'or chapitre Lyon sont restées vierges mais le LOU a poursuivi son chemin avec quelques hauts et beaucoup de bas jusqu'au retour de l'ambition des dernières années. L'histoire n'est pas qu'une froide succession de grandes dates ; elle a ses personnages, ses légendes qui font chair, ses espoirs et ses désillusions. À Lyon, ils ont pour nom Tola Vologe, sportif accompli venu du Stade Français pour rejoindre la zone libre et diriger le LOU durant la guerre, assassiné par la Gestapo ; ses internationaux Lucien Caron ou Louis Junquas après-guerre ; Chris Laidlaw, premier All Black à jouer en France au milieu des années 1970 le temps de ses études à Lyon ; son compatriote Robert Burgess à la même époque...

La passion du rugby dans une région où les clubs et les licenciés sont nombreux. À Lyon, la braise a vécu sous la cendre de l'après-guerre jusqu'au siècle suivant. Au point de faire oublier le passé rugby dans une ville où le football et l'Olympique Lyonnais prenaient toute la lumière. « Il y a eu un long trou noir, reconnaît Joël Chopinaud, président de l'amicale des anciens du LOU et trois-quarts centre lyonnais des années 70. Le foot dominait et Lyon n'était pas le club phare d'une région où Bourg-en-Bresse, Valence, Romans, Oyonnax, Grenoble ou Bourgoin-Jallieu ont connu chacun leur tour leurs grands moments. »

«Tout le monde voyait le potentiel mais les planètes ont été longues à s'aligner.»

Gérald Gambetta, ancien capitaine du LOU

 

 

 

Le premier tournant est le rachat du club par Olivier Ginon et sa société GL Events en 2007. Un peu comme l'a fait Jean-Michel Aulas avec l'OL, le Lyonnais veut réveiller un LOU assoupi. Gérald Gambetta, aujourd'hui team manager du LOU, a évolué dans l'équipe de 2003 à 2012 et se souvient alors d'une « ambition inassouvie. Tout le monde voyait le potentiel mais les planètes ont été longues à s'aligner. Le club a peut-être alors manqué d'humilité en pensant que tout allait aller de soi vu les moyens financiers. Et étant de Villeurbanne, je peux témoigner que le LOU n'était pas aimé, jugé condescendant. En plus de remporter des matches, il a fallu gagner une image. » Un constat que fait Yann Roubert à son arrivée à la présidence en 2012. « C'était le club des Soyeux, de la grande ville bourgeoise. J'ai ressenti comme une forme d'acceptation, y compris au sein du club : l'excellence ce serait le foot, le rugby se contenterait d'être moyen. » Le LOU fait le yoyo. S'il a accédé à la Pro D2 en 2003, le club ne décolle pas ou, quand il y parvient retombe vite. En 2011, il accède au Top 14 mais est relégué au bout d'un an. Même chose en 2014. Lyon a beau faire les efforts, attirer des noms comme Lionel Nallet ou Sébastien Chabal, il ne s'installe pas et les entraîneurs se succèdent sans succès.

GROUPAMA STADIUM

Capacité : 57 206 places, année d'inauguration : 2016.
Programme
dimanche 24 septembre : Galles-Australie (poule C)
mercredi 27 septembre : Uruguay-Afrique 1 (poule A)
vendredi 29 septembre : Nouvelle-Zélande - Italie (poule A)
jeudi 5 octobre : Nouvelle-Zélande - Uruguay (poule A)
vendredi 6 octobre : France-Italie (poule A)

Deuxième tournant en 2015 avec l'arrivée de Pierre Mignoni, le Toulonnais. Cette fois, les planètes vont s'aligner. Le LOU retrouve le Top 14 dès 2016 pour ne plus le quitter et s'impose enfin comme la place forte régionale. « Le tandem Ginon-Mignoni a permis cela, estime Gérald Gambetta. Le LOU a eu des résultats et recevoir Toulon ou Toulouse, ce n'est pas la même chose que jouer Aurillac, avec tout le respect que j'ai pour ce club. Le regard des gamins change. »

«Entre 1951 et 2017, le LOU n'avait fourni aucun international, aujourd'hui on ne les compte plus.»

Yann Roubert, président de Lyon

 

 

 

Et le déménagement à Gerland en janvier 2017 a été un moment clé. « Pierre (Mignoni) y tenait, même si ça a été un peu du camping au début, se souvient Gambetta. Gerland, c'est dans le coeur de la ville, c'est un lieu connu partout en France. » Et ça sert les intérêts d'Olivier Ginon, qui permet à GL Events d'oeuvrer aussi dans sa spécialité : l'organisation d'événements dans un site dédié. Quitte à se fâcher avec son ami Jean-Michel Aulas, dont le projet à Décines est similaire et entre donc en concurrence là où elle n'existe pas vraiment entre les deux sports. Pour le premier match de Top 14 à Gerland face au Racing 92, Baptiste Couilloud, qui a rêvé gamin devant les exploits de Juninho dans cette enceinte, avait d'ailleurs pris soin d'endosser un maillot de l'OL sous celui du LOU.

Parallèlement, le club a tissé des relations de confiance et de réciprocité avec les clubs alentour via le projet LOU Territoire. Lyon ne pouvait s'installer sans renvoyer l'ascenseur, sans changer son image. Sur le plan sportif, « le LOU s'est invité à la table de ceux qui peuvent avoir des ambitions. Invité, pas installé », précise le team manager lyonnais. Deux demi-finales d'affilée en 2018 et 2019 ont validé le travail de Mignoni et de son staff. « Entre 1951 et 2017, le LOU n'avait fourni aucun international, aujourd'hui on ne les compte plus. On a vu un public plus nombreux, plus divers, ne venant plus seulement de Lyon mais des départements alentour, constate Yann Roubert. Mais le Covid a été un coup d'arrêt (le LOU était deuxième au moment de l'arrêt des compétitions) qu'il a fallu digérer. » Reste la dernière étape, pas la plus simple : atteindre le Graal comme les anciens des années 1930. Et ouvrir une nouvelle ère après l'annonce du départ de Pierre Mignoni en fin de saison.

[Arverne03]

Au centre, cela aura été tendu toute la saison! C'est peut-être même deux recrues qu'il faudrait, parce que Barraque ne convainc pas!

 

Moi je veux un  huit ! C'est trop demander ? 

[Yanos92]

 
Moi je veux un  huit ! C'est trop demander ? 

Lee, Yato et Dessaigne c'est pas ridicule quand même...

Envoyé de mon SM-G970F en utilisant Tapatalk

[Alex chocolatines]

 

pas de Bamba, R.Taofifenua et Cretin (EDF) + NGatai blessé

Charcosset, Taufete'e et Lambey incertains.

 

Le groupe

(1e ligne) Ivaldi, Charcosset, Taufete’e, S. Taofifenua, Rey, Devisme, Gomez-Kodela, Kaabèche, Lithaud – (2 ligne) Guillard, Kpoku, Mayanavanua, Vignolles – (3 ligne) Fainga’a, Lambey, Saginadze, Taufua, Falcoz – (m/o) Couilloud, Pélissié, Doussain, Berdeu – (3/4) Regard, Barassi, Parisien, Dumortier, Tuisova, Nakaitaci, Niniashvili – (arrière) Arnold, Laporte.

Merci pour l'info, je n'avais pas pensé à tous     

[BisonF]

Raka sera titulaire pour nous refaire une 2017 face à Tuitui qui ne nous fait pas peur!

[Sushi]

 
Moi je veux un  huit ! C'est trop demander ? 

Demande toujours, sur un malentendu...

[Mammoth]

 
Moi je veux un  huit ! C'est trop demander ? 

8

[Bad Zé]

Moi je veux un  huit !

t'en veux un neuf ?

[Sushi]

t'en veux un neuf ?

Plutôt un grand ! Une attraction, quoi !

[zimbawe]

t'en veux un neuf ?

sur le plat  ???