271 réponses à ce sujet

[Very Good Eshvili]

C'est quoi le rapport entre des morts en zone de combat et ce meurtre abject ?

On n'a pas tous la chance d'avoir eu des parents nazis

[DOUDOU63]

In fine : ne jamais faire une généralité d'un cas. 

oui - Désolé de revenir sur ce sujet, mais l'institution visée comporte également des hommes et des femmes parfaitement respectables et dénués de toutes sympathies fachos!!! 

[Panasonic]

C'est quoi le rapport entre des morts en zone de combat et ce meurtre abject ?

il y a surtout un rapport avec l'affirmation de good shvili sur la nature de l'éducation qui aurait rendu cet assassinat inévitable... je voulais juste dire qu'une même éducation peut produire des salauds comme des héros. au final l'homme décide en grande partie ce qu'il devient même si sur des grands nombres d'individus on voit des differences notables de comportements.

[Very Good Eshvili]

il y a surtout un rapport avec l'affirmation de good shvili sur la nature de l'éducation qui aurait rendu cet assassinat inévitable... je voulais juste dire qu'une même éducation peut produire des salauds comme des héros. au final l'homme décide en grande partie ce qu'il devient même si sur des grands nombres d'individus on voit des differences notables de comportements.

Je n'ai jamais dit que la nature de l'éducation l'avait rendu inévitable. Par contre il aurait pu être un héros sans le choisir, il a tué un mec (entre autres, puisque par exemple il a même torturé un de ses "amis"), et ça c'est lui qui l'a décidé

Enfin, eux: Il y a un article dans l'Équipe qui dit que les deux tireurs auraient atteint Aramburu

[Very Good Eshvili]

Info L'Equipe : abattu en pleine rue à Paris, le 19 mars, l'Argentin Federico Martin Aramburu aurait été touché par les tirs des deux agresseurs qui l'ont visé. Les investigations se poursuivent afin, notamment, de cerner les complicités dont ont bénéficié Romain Bouvier et Loïk Le Priol, les principaux suspects.



Federico Martin Aramburu, ancien joueur du Biarritz Olympique avec lequel il a soulevé le bouclier de Brennus en 2005 et 2006, aurait finalement plié sous les balles de ses deux agresseurs suspectés. Selon nos informations, l'ex-international argentin (42 ans) aux 22 sélections (médaillé de bronze à la Coupe du monde 2007) aurait été touché par les deux tireurs, qui s'en sont pris à lui et à son ex-coéquipier au BO et associé, Shaun Hegarty.

Plusieurs sources concordantes attestent que, contrairement à ce qui a pu être déclaré jusqu'à présent, Romain Bouvier (31 ans), l'un des trois mis en examen dans cette affaire d'assassinat, aurait bien atteint la victime de deux projectiles de calibre 32 Smith et Wesson, après avoir fait usage d'une arme à feu à quatre reprises dans sa direction le long du boulevard Saint-Germain (Paris VIe), vers 6 h 30 au matin du 19 mars. Une scène qui s'est jouée quelques minutes après les échanges de coups entre Aramburu et Hegarty d'un côté, et Bouvier, accompagné de Loïk Le Priol (27 ans), deux ex-militants du GUD (Groupe Union Défense), un groupuscule étudiant d'extrême droite et violent, à la terrasse de la brasserie le Mabillon, distante de quelques dizaines de mètres.

Bouvier aurait tiré à quatre reprises sur Aramburu, le touchant deux fois
Après ce premier accrochage, Romain Bouvier serait monté dans la jeep conduite par Lyson R., la petite amie de Le Priol, avant de se lancer à la recherche de leur comparse. Cet ancien militaire, membre du commando marine de Montfort, se serait, lui, lancé à la poursuite des deux anciens rugbymen pour continuer à en découdre. Romain Bouvier aurait retrouvé Federico Aramburu à la sortie d'un hôtel, dans lequel l'Argentin venait de demander des glaçons pour atténuer les ecchymoses naissantes sur son visage, après les coups reçus lors de la bagarre avec ses deux agresseurs.

Alors qu'il vient de descendre de la jeep de son amie, Romain Bouvier aurait demandé sur un ton véhément au rugbyman où se trouvait Loïk Le Priol. Federico Aramburu se serait avancé vers lui avant d'être visé par deux tirs d'arme à feu, dirigés vers le sol, devant ses pieds. Toujours selon nos informations, le même suspect aurait ensuite tiré à deux autres reprises vers la victime, l'atteignant à une jambe et dans la région du bas-ventre. Le tireur aurait aussitôt pris la fuite à pied en remontant le boulevard Saint-Germain en direction de la rue du Bac avant de héler un taxi, puis de partir en cavale.


En entendant les détonations, Loïk Le Priol, descendu au niveau du carrefour de l'Odéon, aurait alors rebroussé chemin avant de se retrouver face à Federico Aramburu. Une nouvelle empoignade se serait ensuivie avant que l'ex-militaire ne se dégage et fasse feu à six reprises sur l'ancien Puma, l'atteignant de quatre balles de calibre 22LR. « Une certaine confusion a régné sur le fait que Federico Aramburu avait été touché par les tirs de Romain Bouvier, confie une source proche de l'enquête. Shaun Hegarty avait notamment indiqué que son ancien coéquipier ne l'avait pas été. »

En perquisition au domicile de Romain Bouvier, condamné en 2017 à deux mois de prison avec sursis pour des violences remontant à 2015, les enquêteurs de la brigade criminelle auraient découvert plusieurs armes à feu, un gilet pare-balles siglé Police, un exemplaire de Mein Kampf d'Adolf Hitler ainsi qu'une statuette de ce dernier, comme l'a dévoilé le JDD. Mais pas que. Ce proche de la mouvance identitaire, ex-étudiant en Master de carrières judiciaires et de sciences criminelles à la faculté de droit de Paris II Assas, et qui envisageait d'embrasser la carrière d'avocat, aurait aussi détenu des oeuvres concernant Mao et Staline.

Des effets siglés Police retrouvés au domicile perquisitionné
Toujours selon nos informations, les armes à feu découvertes chez Romain Bouvier ainsi que celles utilisées au cours des faits seraient des modèles assez anciens. Plusieurs sources évoquent « un revolver à poudre noire » pour celle qui était entre les mains de Loïk Le Priol. Cette arme aurait été retrouvée, dissimulée à hauteur du pont Alexandre-III par son propriétaire. En revanche, celle de son complice n'a toujours pas été retrouvée.

Au domicile de ce dernier, d'autres effets siglés Police auraient également été saisis. Ce qui pose la question de la relation entre les deux ex- « gudards » et certains membres des forces de l'ordre. Toujours selon nos informations, un policier en poste au sein de la Direction régionale de la police judiciaire (DRPJ) de Paris aurait passé une partie de la soirée, puis de la nuit du 18 au 19 mars, avec Loïk Le Priol et Romain Bouvier dans un café parisien, avant de les quitter lorsque ces derniers ont pris la direction du Mabillon. Ce fonctionnaire se serait rapidement fait connaître auprès de ses collègues de la crim'après avoir découvert les circonstances de l'assassinat de Federico Aramburu et l'implication présumée des deux mis en cause.

Les deux principaux suspects ont été interpellés, quelques jours après les faits, à Sablé-sur-Sarthe et en Hongrie, avant d'être mis en examen puis placés en détention provisoire. Sollicités, leurs avocats n'ont pas donné suite.

[bazooka]

C'est quoi le rapport entre des morts en zone de combat et ce meurtre abject ?

Et le rapport entre les morts en zones de paix ?

Parce que des meurtres abjects on en a connu un paquet sans qu'ici même ça fasse trop de bruit.

Le point commun en tout cas, c'est le passage par le système éducatif national avec à la sortie effectivement des trajectoires bien différentes.

[Panasonic]

(...)
En perquisition au domicile de Romain Bouvier, condamné en 2017 à deux mois de prison avec sursis pour des violences remontant à 2015, les enquêteurs de la brigade criminelle auraient découvert plusieurs armes à feu, un gilet pare-balles siglé Police, un exemplaire de Mein Kampf d'Adolf Hitler ainsi qu'une statuette de ce dernier, comme l'a dévoilé le JDD. Mais pas que. Ce proche de la mouvance identitaire, ex-étudiant en Master de carrières judiciaires et de sciences criminelles à la faculté de droit de Paris II Assas, et qui envisageait d'embrasser la carrière d'avocat, aurait aussi détenu des oeuvres concernant Mao et Staline.
(...)

Il aurait du apprécier l'Argentine pourtant... mais il avait un côté "touche pas à mon Pol Pote".
 

[Very Good Eshvili]

Il aurait du apprécier l'Argentine pourtant... mais il avait un côté "touche pas à mon Pol Pote".

C'était ni Imhoff (ils ne l'auraient pas rattrapé) ni Bosch

[Bad Zé]

Et le rapport entre les morts en zones de paix ?
Parce que des meurtres abjects on en a connu un paquet sans qu'ici même ça fasse trop de bruit.
Le point commun en tout cas, c'est le passage par le système éducatif national avec à la sortie effectivement des trajectoires bien différentes.

Si tu parles des attentats, il me semble bien qu'ici comme ailleurs ça avait fait grand bruit.

[pims]

Curieux quand même, c'est déjà la saison des contre-feux ?

[Very Good Eshvili]

Nan mais on va pas s'engueuler sur les faits, on est tous d'accord indépendamment des opinions de base

Je retourne voir mes bêtes, elles sont moins cons que les autres barjots

[Alex chocolatines]

Bon, on va quand meme pas faire un classement des meurtres plus ou moins graves ? 

[exilé-sud-ouest]

Bon, on va quand meme pas faire un classement des meurtres plus ou moins graves ? 

Le seul classement accepté sur ce forum est celui des titres volés par le CO!!

[Gourine63]

Bon, on va quand meme pas faire un classement des meurtres plus ou moins graves ? 

Avec CAT, on sait jamais...

[bazooka]

Si tu parles des attentats, il me semble bien qu'ici comme ailleurs ça avait fait grand bruit.

 

Non, sur le singulier (meurtre abject) c'est Samuel Patty qui m'est venu à l'esprit à ce moment là, les deux étant d'ailleurs des assassinats, et sans vouloir faire un classement de l'horreur l'égorgement se pose là...

Concernant ce malheureux prof, je trouve que le silence a été assourdissant.

Je pensais que la présence enseignante du forum conduirait à une réaction, marquée.

De mon côté, je n'ai pas osé au motif de cette présence justement, de la sidération, des douleurs et craintes ressenties quotidiennement (la fille de mon amie est prof sur Lyon) par une profession très exposée.

Si la "discrétion" est recevable et concevable, la complaisance de certains est à vomir, elle sert la soupe à ceux qu'elle prétend rejeter, un comble !

Quant à l'argument du contre feu (émanant d'un spécialiste) par ailleurs avancé autant en sourire, le dérapage du sujet y trouve son origine avec un : « pour une fois » omettant de rendre un hommage manifestement secondaire, chacun ses essentiels. Les statistiques étant ce qu'elles sont...