john smit avait cette particularité aussi (je sais pas si il était plus pilier gauche ou droit)
Exact il a du jouer quelques matchs à droite en effet ...
Posté 01 juin 2023 - 21:35
john smit avait cette particularité aussi (je sais pas si il était plus pilier gauche ou droit)
Exact il a du jouer quelques matchs à droite en effet ...
Posté 01 juin 2023 - 21:38
le recrutement.........c'était mieux avant..............
Posté 01 juin 2023 - 21:41
Merci RCV
quelqu'un avait mis l'article complet il y a qqs jours
Rougerie dit par exemple qu'il a été mis au placard pendant 3 ans (2018 à 2021 donc avec Dekro Azema)
Donc sa remarque doit concerner effectivement la première partie de saison de l'an dernier avec Gibbes je pense, avant qu'il change de poste en décembre 2022
Peut-être les récrutements Godener / Plisson qu'il regrette ou Jono a du pousser pour avoir Plisson
Posté 01 juin 2023 - 21:44
Posté 01 juin 2023 - 21:50
john smit avait cette particularité aussi (je sais pas si il était plus pilier gauche ou droit)
Posté 01 juin 2023 - 22:00
Je remets
LASM, cest un peu marqué sur mon front » : après les doutes, Aurélien Rougerie veut relancer Clermont
LASM Clermont, qui reçoit le Racing 92 pour la dernière journée du Top 14, va boucler une nouvelle saison blanche. En pleine reconstruction après des changements dentraîneur et de président, le club auvergnat peut toujours compter sur sa légende, Aurélien Rougerie, devenu « team manager ».
Le 28 mai 2023 à 09h37
À la veille de recevoir le Racing 92 ce dimanche (21h05) en clôture de la phase régulière du Top 14, Clermont sapprête à vivre une nouvelle saison sans titre et sans qualification, ni en phases finales ni sans doute en Champions Cup lan prochain. Depuis le Bouclier de Brennus décroché en 2017, lASM a tout du volcan endormi et secoué en coulisses. Après le départ de joueurs emblématiques comme Camille Lopez et Morgan Parra lan dernier, lentraîneur Jono Gibbes a été remplacé en cours de saison par Christophe Urios et le président Jean-Michel Guillon va lui aussi passer la main à Jean-Claude Pats.
Au milieu de ces secousses, Aurélien Rougerie, désormais dirigeant à lASM après sa riche carrière de joueur (419 matchs avec Clermont entre 1999 et 2018, 2 titres en 2010 et 2017, 76 sélections en équipe de France), est un peu le dernier gardien du temple de cette ASM qui a perdu ses repères. La statue érigée de son vivant sur le parvis du stade est là pour rappeler la gloire passée des Jaunards. Comme son club de toujours, « Roro » a aussi un peu traversé le désert, après sa carrière de joueur. Mais, à 42 ans, il y croit à nouveau et a accepté de descendre de son piédestal pour se confier, en chair et en os.
Sa traversée du désert
« Depuis ma fin de carrière de joueur, en 2018, il y a eu trois ans où jai un peu disparu. Jétais là sans être là. Javais un joli placard, cétait un peu compliqué. Je disais quon faisait des erreurs, mais je nétais pas écouté. Puis il y a eu le Covid, je lai passé chez moi comme tout le monde. Au déconfinement, je voulais aller faire des études à Limoges, au CDES (Centre de droit et déconomie du sport). Parce que, avec ma carrière, je ne suis pas trop allé à lécole, même si jai quand même eu le bac. Mais ma femme, qui me suit depuis toutes ces années et a fait beaucoup de sacrifices pour élever nos trois enfants, voulait aussi se reconvertir. Donc je lui ai dit : À ton tour, moi je moccupe des enfants.
Elle a repris des études, en optique. On a passé deux ans un peu délicats. Là, on est arrivé au bout, ma femme a fini sa formation, elle repart sur un nouveau projet. Le club, de son côté, a fait sa mue, il y a eu un nouvel organigramme. Cest là où je suis sorti de mon trou, sinon jallais craquer et passer à autre chose. Si je ne pouvais plus rien apporter au club, si je nétais pas désiré, ce nétait pas la peine dinsister, autant que je men aille. Jen ai fait part au président, et il ma dit non, pas du tout. Et cest reparti de plus belle. »
Ses nouvelles fonctions
« Je suis team manager depuis 2022. Ma principale mission, cest de créer les conditions favorables pour les joueurs et le staff. Tout ce qui est logistique, épanouissement du joueur, intégration des nouveaux On se donne à fond dans le projet, on est là tôt, on part tard, les journées ne sont pas assez longues pour tout faire. LASM, cest un peu marqué sur mon front. Jai fait le choix de la loyauté et de la fidélité. Aujourdhui, je suis content dêtre encore là même si ça na pas toujours été évident. Je navais pas forcément les rênes, je nai pas été écouté pendant un moment. Sur le recrutement de certains joueurs, sur lévolution du club
Aujourdhui, on se retrouve un peu en difficultés, alors que ces choses-là, on les avait vus venir. Il y a eu des mauvais choix, mais je ne veux pas incriminer qui que ce soit. Je suis tourné vers le futur. La cellule recrutement que jai plus ou moins initiée a enfin vu le jour. Ça na pas trop mal marché, on a quand même fait un recrutement digne de ce nom pour la saison prochaine. »
Lavenir du club, la concurrence du foot
« Être champion de France, cest lobjectif tous les ans, on doit partir comme ça. Ça na pas trop marché cette année, il y a eu pas mal de mouvements, le club a besoin de se restructurer, sur le terrain et en dehors. Cest bien initié, cest en cours. Le président Guillon a semé les graines, il faut laisser le temps. Bien sûr la qualité du sportif doit augmenter, mais on doit aussi proposer une refonte de tout ce quil y a à côté : les boutiques, les hospitalités, laccueil au stade.
Il y a aussi la concurrence du foot, inévitablement (monté en 2021, Clermont Foot est aujourdhui 8e de L1). Cest toujours plaisant de voir les stars de ce sport numéro un dans le monde, des Mbappé, des Messi au stade Montpied, à Clermont. Ça serait idiot de dire quil ny a que le rugby. Mais ça reste de la concurrence saine. À nous de développer notre offre pour séduire le public. Le stade est encore rempli. Le public est renouvelé et renouvelable, mais on noublie pas notre histoire. Il faut aussi que les anciens transmettent aux plus jeunes. »
La dernière de Damian Penaud à Clermont
« Il avait usé un peu ses guêtres à Clermont, cela fait déjà huit ans quil est là, de chez les plus jeunes jusquà maintenant. Il a décidé daller sous dautres cieux Je trouve ça dommage, même si je respecte son choix. Je pense quil aurait pu embrasser un truc un peu plus grand, un peu plus fort ici. Et là, il choisit daller à Bordeaux Je nai pas tout à fait saisi la subtilité du pourquoi et du comment. Je pense que sa compagne aussi avait besoin de se projeter sur son avenir, et, à Bordeaux, cétait plus facile. En tout cas les propositions financières étaient équivalentes.
Cest un choix de carrière, de vie. Cest comme ça, il faut le respecter. Je ne vais pas lui cracher dessus parce quil porte un maillot de Bordeaux ! Je lui ferai une petite pique tout de même, quand il le mettra pour la première fois, je lui dirai que le bordeaux ça ne lui va pas au teint ou un truc dans le style. Mais jadore Damian, je ne vais pas lui souhaiter du mal, évidemment. Juste lui dire bravo et quil continue à nous faire rêver. Enfin, plus avec le maillot bleu quavec celui de Bordeaux ! »
Posté 01 juin 2023 - 22:04
Le 12 mai, le procureur s'apprêtait à donner ses réquisitions dans ce qui est aujourd'hui le deuxième procès Haouas. Le joueur comparaissait avec quatre autres prévenus pour des faits de violence aggravée et de destruction de matériel en réunion remontant au 1er janvier 2014 : « Monsieur Haouas, vous faites partie de ceux qui montrent qu'on peut s'en sortir. Mais si on vous avait jugé peu après les faits, j'aurais été prêt à parier plusieurs milliers d'euros sur le fait que vous auriez aujourd'hui un casier judiciaire des plus lourds et un parcours carcéral bien rempli. »
Ce serait donc ça Mohamed Haouas (28 ans), un homme sorti des emmerdes en partie grâce au rugby professionnel, où il s'est fait une place tout seul, à force de travail et de détermination, faisant oublier le grand ado et jeune majeur qui, avec sa bande du Petit-Bard, quartier sensible du Nord-Ouest de Montpellier, a enchaîné les conneries et empilé six mentions sur son casier judiciaire.
Elles commencent en 2011 - il a alors 17 ans - avec une conduite sans permis. Et elles s'enchaînent. Défaut d'assurance, refus d'obtempérer, conduite en état d'ivresse, mise en danger de la vie d'autrui, vol en réunion, vol par effraction, violence avec armes... Les faits les plus graves, cambriolages et violences sur personne dépositaire de l'autorité publique puis violences aggravées et destruction de matériel en réunion, commis en 2014, ont été respectivement jugés en correctionnelle en février 2022 (premier procès Haouas) et donc mai 2023 (deuxième). Des délais extrêmement longs qui n'ont pas aidé Haouas à tourner la page de son passé.
« Non, monsieur Haouas n'a pas changé. Il a déjà des condamnations pour violences. Les faits ont été jugés récemment. Avant même le délibéré, vous tapez votre femme. L'excuse de l'insertion et de la réussite professionnelle ne tient plus. Que se passera-t-il quand il sera à nouveau contrarié ?
La Procureure, mardi en comparution immédiate
Après ces faits de 2014, plus aucune ligne au casier judiciaire. Jusqu'à vendredi et l'effroyable agression sur sa femme Imane, qui lui a valu mardi une comparution immédiate et une condamnation à un an de prison ferme sans mandat de dépôt. « Non, monsieur Haouas n'a pas changé, a chargé la procureure du troisième procès. Il a déjà des condamnations pour violences. Les faits ont été jugés récemment. En février 2022, c'est le premier avertissement judiciaire, mais ce n'est pas suffisant. Vous êtes jugé il y a quinze jours (le 12 mai), pour d'autres faits de violence. Avant même le délibéré (le 30 juin), vous tapez votre femme. L'excuse de l'insertion et de la réussite professionnelle ne tient plus. Rien ne justifie ces faits. Que se passera-t-il quand il sera à nouveau contrarié ? »
Haouas, qui a enchaîné garde à vue et détention provisoire avant son procès, a échappé « miraculeusement », dixit son avocat, Me Gallix, à la prison. Et cette question : comment a-t-il pu retomber aussi bas ? « C'est un geste isolé, une balayette, une gifle. On n'est pas dans le cadre de violences chroniques, assure sa défense. Mohamed, c'est un garçon qui a eu des difficultés dans sa vie quand il était jeune, il a grandi dans un quartier difficile, il reste des séquelles. Il a réussi à se stabiliser sur le plan professionnel mais on n'oublie pas aussi facilement ses mauvais réflexes de l'enfance. »
Né au Havre, abandonné par son père, Haouas est arrivé dans l'Hérault avec sa mère et son petit frère. D'abord à Palavas-les-Flots (Hérault), au bord de la Méditerranée, puis à Montpellier, dans le quartier du Petit-Bard. Il a alors 12 ans.
« À la mauvaise période du quartier, se rappelle Hamza, ami de Mohamed Haouas et qui l'a vu grandir dans ce contexte très hostile. C'était hardcore. On grandissait dans la violence, c'était très difficile voire impossible de ne pas tomber dans des histoires. Dans un quartier comme ça sans père ni grand frère, ce n'est pas évident à 14-15 ans. Vous êtes livré à vous-même. Le miracle, c'était d'en sortir. Lui, il a tout fait pour, sinon il aurait pu très très mal finir. »
« À partir de l'âge de 14 ans, j'ai effectué beaucoup de stages. J'allais à l'école, mais je n'aimais pas ça, racontait Haouas dans nos colonnes en mars 2020. Être assis toute la journée à écrire, ce n'était pas pour moi. Je suis speed ! J'ai donc fait des stages en maçonnerie, en carrosserie, en multiservice. » Il a travaillé dans la carrosserie pendant plus de trois ans puis intégré la Marine nationale à ses 20 ans, au printemps 2014, quelques semaines, voire quelques jours, après ses derniers écarts qui lui ont valu tant de soucis judiciaires.
« Il est resté avec nous deux ans et je ne peux qu'en dire du bien à cette époque, se rappelle Philippe Vergeladi, son entraîneur dans les équipes militaires. On était au courant de ses problèmes et on tenait justement à l'aider, en plus du rugby, à s'insérer dans un cadre social. Il était venu avec nous pour une tournée en Afrique du Sud au Cap, on l'avait bien prévenu de se tenir à carreau. Il l'a fait. Je n'ai rien à lui reprocher et j'ose penser qu'on fait partie de ceux qui l'ont aidé à se remettre dans le droit chemin à l'époque. »
Il faut croire que Haouas revenait de très loin. De source policière, le Haouas d'avant Marine-rugby pro, c'était le grand costaud (1,85 m, 122 kg aujourd'hui) que les autres suivaient et qui montait en première ligne s'il fallait se battre, jamais intimidé. Lors de son deuxième procès, les images diffusées de vidéo surveillance de la boulangerie où Haouas et ses amis s'en prennent violemment à un autre client de la boulangerie au matin du 1er janvier 2014 témoignent d'une violence incontrôlée.
Haouas prend le premier coup de poing, prétend que son agresseur a tiré deux fois en l'air (hors du champ des caméras). S'ensuit une réponse disproportionnée en deux phases, entre lesquelles le colosse, facilement identifiable vu son gabarit, cherche la victime dans l'arrière-boutique. Victime qui finira lynchée au sol puis traînée en dehors de la boulangerie par Haouas.
Les mauvaises fréquentations n'ont jamais vraiment cessé mais le rugby lui avait fait du bien, sans l'apaiser totalement. Un sport découvert à ses 15 ans et dans lequel tout est allé très vite. Rapidement intégré au centre de formation de Montpellier, passé par l'équipe de France militaire, il signe son premier contrat professionnel en 2016 à 22 ans, débute en Top 14 le 26 août 2017 à domicile face à Agen et découvre les Bleus en février 2020, ovni parmi les ovnis chers au sélectionneur Fabien Galthié.
En équipe de France, avec laquelle il cumule 16 sélections, il est agréablement découvert par un groupe qui en fait vite une mascotte tant le bonhomme a de l'humour et la blague facile. William Servat joue parfois les surveillants en soirée mais la personnalité du pilier fait quasiment l'unanimité.
Manager du MHR de l'été 2019 à début 2021, Xavier Garbajosa est peut-être celui qui avait le mieux cerné le personnage et essayé de l'accompagner. Pourtant, quand l'équipe doit lancer la saison 2019-2020 devant les partenaires du club, Haouas arrive ivre, mis sous une douche froide par un membre de l'encadrement médical. L'alcool fait partie des soucis récurrents de Haouas, qui veille parfois très tard et ça se voit le lendemain matin...
« Une vie de démesure et de débauche, selon un témoin au sein du club héraultais. Le club l'a aidé, parfois trop, mais à un moment, c'était épuisant. » Des policiers qui ferment parfois les yeux, une justice que certains estiment laxiste, un club au soutien... De l'aveu de beaucoup de personnes jointes ces derniers jours, beaucoup de monde a donné beaucoup de chances à Haouas et certains ont fini par baisser les bras.
Ses deux contrôles judiciaires pour ses deux affaires de 2014 ? La police appelait régulièrement le club pour qu'il vienne répondre à ses obligations. Dans la même veine, on a aussi appris à l'audience mardi que Haouas avait des retards de paiement d'impôts, des étourderies selon lui, mais pour lesquelles le MHR lui a avancé de l'argent et que Haouas comptait rembourser grâce à son « plus gros salaire à Clermont ». « Les procès ont mis trop de temps à avoir lieu, certes, mais la célébrité lui a parfois fait croire qu'il y avait une forme d'impunité pour lui, comme s'il allait toujours s'en sortir », regrette aujourd'hui un témoin au MHR.
« Quand il buvait et/ou était énervé, on sentait le côté incontrôlable arriver. Mais il n'a jamais dérapé au club, il avait bien cloisonné sa vie au stade et sa vie en dehors
Un membre du vestiaire montpelliérain
Dans « son » club, on garde aussi le souvenir d'un homme toujours souriant, « pote avec tout le monde », prêt à dépanner. Un souci de voiture ? Appelez "Momo" et il se décarcassera pour vous régler le problème, même si ça doit lui prendre une matinée off.
« Mais il a un autre visage, qu'on connaît très peu mais qu'on pouvait apercevoir de temps en temps, glisse un membre du vestiaire montpelliérain. Quand il buvait et/ou était énervé, on sentait le côté incontrôlable arriver. Mais il n'a jamais dérapé au club, il avait bien cloisonné sa vie au stade et sa vie en dehors. On se dit forcément que c'est un énorme gâchis quand on voit jusqu'à quel niveau il a pu monter. »
Philippe Saint-André, qui a succédé à Garbajosa, a aussi perdu patience, cherchant plusieurs mois une porte de sortie à son pilier droit, moins performant sportivement, alors qu'il était sous contrat jusqu'en 2024. Ce devait être Clermont à partir du 1er juillet mais le club auvergnat fait marche arrière depuis les graves événements de vendredi.
Si « PSA » avait souri quand Haouas l'avait amené au Petit-Bard manger un kebab et lui montrer le milieu dans lequel il avait grandi, l'histoire entre les deux s'est terminée par un clash devant tout le groupe après la défaite à domicile face à Brive le 6 mai (26-27), son dernier match à ce jour. À Montpellier, certains craignent le pire si sa carrière sportive s'arrête. La gravité des faits a rapidement supplanté le personnage attachant. Haouas ne fait plus rire personne.
Peu après l'annonce du verdict, mardi, une condamnation à un an de prison ferme sans mandat de dépôt, Clermont, le club qui a engagé le pilier droit de Montpellier à partir du 1er juillet pour trois saisons, avait communiqué et affirmé : Mohamed Haouas « ne pourra pas porter, sur le terrain, les couleurs de notre club ».
Les mots ont un sens : l'ASM ne fera jamais jouer le pilier de 29 ans mais n'a pas déchiré le contrat le liant à lui à partir du 1er juillet et pour trois ans. Juridiquement c'est de toute façon impossible, notamment parce que la condamnation n'a pas eu lieu pendant l'exécution du contrat. Pour le club auvergnat, le scénario idéal aurait été qu'un appel ait lieu pour qu'une condamnation dans un second procès entre dans ce cadre. Ce ne sera pas le cas.
Deux scénarios sont possibles : 1. Si l'ASM décide de licencier Haouas, ce dernier pourrait réclamer aux prud'hommes la somme prévue par son contrat de trois ans (36 x 36 000 euros brut mensuels) ; 2. Une négociation à l'amiable se conclut entre Clermont et Haouas par une indemnité.
Si rien ne se passe d'ici au 1er juillet, l'entourage du joueur a clairement affirmé que Haouas se présenterait au club à cette date-là. Quitte à venir avec un huissier pour faire constater sa présence. Sachant que le moindre écart pourrait lui coûter très cher, dans tous les sens du terme.
En attendant, depuis mardi, Clermont et son service juridique cherchent une porte de sortie mais le dossier est (très) complexe. Rappelons que l'ASM avait déjà déboursé 200 000 euros pour racheter sa dernière année de contrat à Montpellier.
Posté 01 juin 2023 - 22:05
Posté 01 juin 2023 - 22:13
Si j'ai bien compté ça fait 1.3Meuh d'indemnités
Mohamed Haouas « ne pourra pas porter, sur le terrain, les couleurs de notre club ».
Plus je lis cette phrase et plus je me dis qu'on va avoir une mauvaise surprise
Posté 01 juin 2023 - 22:18
Posté 01 juin 2023 - 22:25
Consternant....
Faut aussi croire que les episodes avec Guiford nous avaient pas trop servie de lecon ..
Posté 01 juin 2023 - 22:27
Putain ça va recommencer le coup de l'huissier à l'embauche ? Déjà il ferait mieux de se la jouer discret un moment le Momo, c'est lui qui déconne et il voudrait foutre l'ASM dans la merde ?
Y a vraiment des jour où on se demande où sont barrée ces putains de valeurs du rugby que l'on rabâche à nos droles avec fierté
Posté 01 juin 2023 - 22:34
Merci pour le partage.
Parmi les récentes "histoires" ça risque d'être la plus impactante. Potentiellement 1 gros salaire pour un mec qu'on ne voudra pas faire jouer + l'impact sur le SC + 1 JIFF à un poste où on est short...
J'aimerais pas à avoir gérer ce cas, je sais plus qui parlait sur le forum de la cellule juridique, elle va avoir du boulot.
Posté 01 juin 2023 - 22:41
Putain ça va recommencer le coup de l'huissier à l'embauche ?
Déjà il ferait mieux de se la jouer discret un moment le Momo, c'est lui qui déconne et il voudrait foutre l'ASM dans la merde ?
Y a vraiment des jour où on se demande où sont barrée ces putains de valeurs du rugby que l'on rabâche à nos droles avec fierté![]()
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