Je confirme que c'est bien la raison officieuse. Un homme de valeur qui se retrouvent au milieu d'une telle machination.
Il savait que c'était truqué en 93. Ainsi, lors de la négociation de son retour, il a demandé aux dirigeants du CO la garantie que cela ne se reproduirait plus. Il sont acquiescés puis recommencés pour 2018. S'estimant être le dindon de la farce et involontairement associé à des méthodes qu'ils réprouvent (pour ne pas dire plus) il a décidé de quitter le club sans faire de vague.
En quoi le titre de 2018 a t'il été volé?
Le CO a largement dominé les phases finales un peu à l'image du Stade français en 1998 et le Brennus est largement mérité.
* Victoire de 12 points en 1/4 à Toulouse
* Victoire de 5 points en 1/2 contre le Racing 92, vice-champion d'Europe
* Victoire de 16 points en finale contre Montpellier.
Il y a des groupes qui travaillent dure toute la saison pour se construire des émotions et écrire une histoire et un titre donne de la valeur à tout ça puis il y en a confortablement installé dans leur canapé qui medise.
Contester la valeur d'une victoire acquise sur le terrain, c'est insulter les valeurs du sport...
Maintenant, Urios un homme de valeur oui en terme de compétence technique mais moins en terme de management humain et un peu de mauvaise foi aussi.
Je suis pas loin de penser que ses petites provocations par médias interposés notamment envers Servat, l'entraîneur des avants toulousain ont contribué à surmotiver ces derniers qui ont ainsi pris leur revanche en 2019.
Et que dire du dernier match contre Toulon qui nous privé de la qualification où il rejette la responsabilité exclusive de la défaite sur ces joueurs alors qu'il a lui-même mis au repos des cadres?
Et que dire du fait qu'il parte comme un voleur en ne disant même pas au revoir à ses joueurs, refusant même d'aller au barbecue de fin de saison?