Si je comprends bien, on a un entraineur qui s'exprime dans un français, disons, bien à lui, et le journaliste - qui ne comprend visiblement pas la phrase en question - plutôt que de demander une clarification ou de ne pas l'inclure, décide de la recopier telle qu'il l'a entendue. Libre ensuite au lecteur de se démerder !
C'est un journal, pas une publication ethnologique, hein...