Je me demandais vraiment ce qu'il allait faire là-bas, aussi. Il faut vraiment avoir de l'énergie à revendre pour travailler avec la fédération fidjienne.
Il faut bien "vivre"..................
Posté 04 février 2023 - 07:42
Je me demandais vraiment ce qu'il allait faire là-bas, aussi. Il faut vraiment avoir de l'énergie à revendre pour travailler avec la fédération fidjienne.
Il faut bien "vivre"..................
Posté 04 février 2023 - 09:00
Très bel article dans La Montagne de ce matin : Urios vu par Gaillard
On découvre que Gaillard est allé chercher le joueur à Carcassonne car il l'avait repéré comme un orchidoclaste ( casse-c....... pour parler plus clairement ) le genre de profil dont il estimait avoir besoin à l'époque au CO.
Il est devenu le leader de combat du CO et, installé au talon , il avait pour mission de motiver les piliers qui étaient des nounours (dixit Gaillard).
Il a très bien fait son boulot et il était un gros bosseur qui faisait des séances d'entraînement personnelles et supplémentaires après le travail ou entre 12 et 14heures ( 1990-1995 c'était juste avant le professionnalisme officiel).
Il était surnommé "le Rustique" dans le vestiaire , c'était un taiseux, un taciturne qui ne disait rien ou presque et qui, lorsqu'il parlait, était très direct. Alain Gaillard qui lui était un prof de lettres de formation se dit très surpris pas sa métamorphose en communicant de première force ;"c'est un autodidacte" dit-il .
Il est un peu surpris par le choix d'Urios de la part de l'ASM qu'il a connu en 1995-98 : un club discret où c'était les joueurs qui faisaient ce qu'ils voulaient , sous la conduite de quelques "vedettes" ( dont il ne cite aucun nom mais on doit pouvoir deviner assez facilement qui étaient les vedettes dans l'effectif en 1995-98 )
Posté 04 février 2023 - 09:25
Posté 04 février 2023 - 09:45
Gaillard vs gormen's !
Posté 04 février 2023 - 09:49
Très bel article dans La Montagne de ce matin : Urios vu par Gaillard
On découvre que Gaillard est allé chercher le joueur à Carcassonne car il l'avait repéré comme un orchidoclaste ( casse-c....... pour parler plus clairement ) le genre de profil dont il estimait avoir besoin à l'époque au CO.
Il est devenu le leader de combat du CO et, installé au talon , il avait pour mission de motiver les piliers qui étaient des nounours (dixit Gaillard).
Il a très bien fait son boulot et il était un gros bosseur qui faisait des séances d'entraînement personnelles et supplémentaires après le travail ou entre 12 et 14heures ( 1990-1995 c'était juste avant le professionnalisme officiel).
Il était surnommé "le Rustique" dans le vestiaire , c'était un taiseux, un taciturne qui ne disait rien ou presque et qui, lorsqu'il parlait, était très direct. Alain Gaillard qui lui était un prof de lettres de formation se dit très surpris pas sa métamorphose en communicant de première force ;"c'est un autodidacte" dit-il .
Il est un peu surpris par le choix d'Urios de la part de l'ASM qu'il a connu en 1995-98 : un club discret où c'était les joueurs qui faisaient ce qu'ils voulaient , sous la conduite de quelques "vedettes" ( dont il ne cite aucun nom mais on doit pouvoir deviner assez facilement qui étaient les vedettes dans l'effectif en 1995-98 )
S'il pouvait transmettre ça a nos gentils avants ça serait pas mal.
Posté 04 février 2023 - 10:01
Oui je me rappelle d'Urios comme d'un sacré talonneur, leader de combat, qui avançait bien si je me souviens bien. D'après ce que je vois il n'a même pas une sélection, alors qu'à l'époque beaucoup de bons joueurs de club avaient droit à leur cape, au moins contre la Roumanie. Lui en aurait sans doute mérité plusieurs. Bon il y avait GonzO... Avant Tout.Très bel article dans La Montagne de ce matin : Urios vu par Gaillard
On découvre que Gaillard est allé chercher le joueur à Carcassonne car il l'avait repéré comme un orchidoclaste ( casse-c....... pour parler plus clairement ) le genre de profil dont il estimait avoir besoin à l'époque au CO.
Il est devenu le leader de combat du CO et, installé au talon , il avait pour mission de motiver les piliers qui étaient des nounours (dixit Gaillard).
Il a très bien fait son boulot et il était un gros bosseur qui faisait des séances d'entraînement personnelles et supplémentaires après le travail ou entre 12 et 14heures ( 1990-1995 c'était juste avant le professionnalisme officiel).
Il était surnommé "le Rustique" dans le vestiaire , c'était un taiseux, un taciturne qui ne disait rien ou presque et qui, lorsqu'il parlait, était très direct. Alain Gaillard qui lui était un prof de lettres de formation se dit très surpris pas sa métamorphose en communicant de première force ;"c'est un autodidacte" dit-il .
Il est un peu surpris par le choix d'Urios de la part de l'ASM qu'il a connu en 1995-98 : un club discret où c'était les joueurs qui faisaient ce qu'ils voulaient , sous la conduite de quelques "vedettes" ( dont il ne cite aucun nom mais on doit pouvoir deviner assez facilement qui étaient les vedettes dans l'effectif en 1995-98 )
Ils tombent de peu contre Bourgoin qui avait également tout pour réussir à l'époque. Une demi quoua...Exactement ça. Sabotage d'une équipe qui avait tout pour réussir en 97.
Posté 04 février 2023 - 10:01
Oui je me rappelle d'Urios comme d'un sacré talonneur, leader de combat, qui avançait bien si je me souviens bien. D'après ce que je vois il n'a même pas une sélection, alors qu'à l'époque beaucoup de bons joueurs de club avaient droit à leur cape, au moins contre la Roumanie. Lui en aurait sans doute mérité plusieurs. Bon il y avait GonzO... Avant Tout.
C'était la période du BO avec la mafia Blanco.
Rien ne change dans le rugby, la mafia Ferrasse, la mafia Blanco, la mafia Laporte .....
Posté 04 février 2023 - 10:19
Du début à la fin de sa carrière, il est quand même tombé sur une ribambelle de cadors. Liste non exhaustive : Dintrans, Dubroca, Tordo, Dal Maso, Gonzo, Tordo, De Rougemont, Marocco, l'autre truffe de Moscato.....Oui je me rappelle d'Urios comme d'un sacré talonneur, leader de combat, qui avançait bien si je me souviens bien. D'après ce que je vois il n'a même pas une sélection, alors qu'à l'époque beaucoup de bons joueurs de club avaient droit à leur cape, au moins contre la Roumanie. Lui en aurait sans doute mérité plusieurs. Bon il y avait GonzO... Avant Tout.
Ils tombent de peu contre Bourgoin qui avait également tout pour réussir à l'époque. Une demi quoua...
Posté 04 février 2023 - 10:22
C'était la période du BO avec la mafia Blanco.
Rien ne change dans le rugby, la mafia Ferrasse, la mafia Blanco, la mafia Laporte .....
Pas facile de pénétrer les forteresses de la mafia...
Posté 04 février 2023 - 10:27
Du début à la fin de sa carrière, il est quand même tombé sur une ribambelle de cadors. Liste non exhaustive : Dintrans, Dubroca, Tordo, Dal Maso, Gonzo, Tordo, De Rougemont, Marocco, l'autre truffe de Moscato.....
Posté 04 février 2023 - 10:38
C'était la période du BO avec la mafia Blanco.
Rien ne change dans le rugby, la mafia Ferrasse, la mafia Blanco, la mafia Laporte .....
Ben si !!! Il y a quelque chose qui change ! Le capo di mafia !!
Posté 04 février 2023 - 10:47
Oui je me rappelle d'Urios comme d'un sacré talonneur, leader de combat, qui avançait bien si je me souviens bien. D'après ce que je vois il n'a même pas une sélection, alors qu'à l'époque beaucoup de bons joueurs de club avaient droit à leur cape, au moins contre la Roumanie. Lui en aurait sans doute mérité plusieurs. Bon il y avait GonzO... Avant Tout.
Ils tombent de peu contre Bourgoin qui avait également tout pour réussir à l'époque. Une demi quoua...
Posté 04 février 2023 - 10:56
Oui je me souviens que tu l'avais déjà raconté. Après difficile de l'extérieur d'en déterminer les bons et les méchants. Saint-André cite souvent François Anne et son rugby total, comme étant son propre meilleur entraîneur. Peut-être que le pragmatisme de Gaillard heurtait sa sensibilité de l'époque. Bon comme entraîneur, force est de constater qu'il est devenu plus Gaillard que Anne.Demie préparée et vécue dans un climat délétère. J'ai une eu une discussion personnelle en soirée avec JML qui m'a bien expliqué que Gaillard avait mis en place un jeu, qui n'etait pas du tout du coup de la team St André, qui a tout fait pour lui savonner la planche. De la bouche même de JML, Gaillard était le meilleur entraîneur qu'il ait connu. Après, chacun se fait son idée. On perd 21 à 17 contre Bourgoin, de mémoire, dans une indifférence presque totale, tellement tout le monde sentait les tensions arriver depuis des semaines. Et, pourtant cette année là, on avait un pack qui, pour le coup, marchait vraiment sur tout le monde.
Posté 04 février 2023 - 12:25
Houla, DG est un poste éminemment politique, je ne vois pas du tout Jules dans ce rôle. Un Lhermet beaucoup plus...
Normalement oui dans une structure de grosse boite ,mais l'asm c'est pas une grosse boite mais une PME ,et ce poste de DG c'est pour aménager la sortie de Jean Mimi ,donc le coté connaissance du rugby de la boite ok! mais il faudra développer c'est un mot qui n'existe plus dans ce club ,aller a la pèche au très gros porte feuille ,aller un peu plus loin que les "Bony,Volvic,Jacquet" partenaires locaux ,c'est a notre époque le nerf de la guerre puisque Michelin ce retire peut a peu ...
le profil : un mec type Lacroix, du terrain qui connais le rugby et le commerce...
Posté 04 février 2023 - 14:12
Très bel article dans La Montagne de ce matin : Urios vu par Gaillard
On découvre que Gaillard est allé chercher le joueur à Carcassonne car il l'avait repéré comme un orchidoclaste ( casse-c....... pour parler plus clairement ) le genre de profil dont il estimait avoir besoin à l'époque au CO.
Il est devenu le leader de combat du CO et, installé au talon , il avait pour mission de motiver les piliers qui étaient des nounours (dixit Gaillard).
Il a très bien fait son boulot et il était un gros bosseur qui faisait des séances d'entraînement personnelles et supplémentaires après le travail ou entre 12 et 14heures ( 1990-1995 c'était juste avant le professionnalisme officiel).
Il était surnommé "le Rustique" dans le vestiaire , c'était un taiseux, un taciturne qui ne disait rien ou presque et qui, lorsqu'il parlait, était très direct. Alain Gaillard qui lui était un prof de lettres de formation se dit très surpris pas sa métamorphose en communicant de première force ;"c'est un autodidacte" dit-il .
Il est un peu surpris par le choix d'Urios de la part de l'ASM qu'il a connu en 1995-98 : un club discret où c'était les joueurs qui faisaient ce qu'ils voulaient , sous la conduite de quelques "vedettes" ( dont il ne cite aucun nom mais on doit pouvoir deviner assez facilement qui étaient les vedettes dans l'effectif en 1995-98 )
Quelqu’un de charitable pourrait il poster l’article de La Montagne de ce matin : Urios vu par Gaillard?
Merci beaucoup
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