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hamdaoui Newsome, c’est bas de tableau top 14.
Et encore, tu es bien généreux
Posté 07 mai 2024 - 05:02
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hamdaoui Newsome, c’est bas de tableau top 14.
Et encore, tu es bien généreux
Posté 07 mai 2024 - 06:05
Si on a 3 Gus, je prends, mais en 10 je sais pas 😃Si il prolonge, on pourra quand meme dire qu'on a une sacrée profondeur d'effectif la saison pro qui arrive au niveau des lignes arrières (bon sauf en 10... Meme si sur le papier on aura 3 gus..)
Posté 07 mai 2024 - 07:01
Si il y a bien une chose dont on ne manque pas ici, c'est les coachs de canapé, on en as tout le tour du ventre.
Et des mecs qui t'expliquent que nos joueurs ont pas le niveau Top14, voire à peine le niveau pro D2, tu peux en faire une bouée.
Posté 07 mai 2024 - 07:12
Et des mecs qui t'expliquent que nos joueurs ont pas le niveau Top14, voire à peine le niveau pro D2, tu peux en faire une bouée.
C'est pas qu'ils n'ont pas le niveau top 14; C'est qu'en top 14 il y a ..................plusieurs niveaux.
Posté 07 mai 2024 - 07:30
Enseignement a tirer : ce staff ne tire pas le meilleur du groupe qu'il a sous la main.Le sujet avec Beria (et Bibi), au delà de leur départ, c'est plutôt ceux qui arrivent qui peuvent générer un peu d'interrogations (voire plus).
En fin de saison dernière et au début de celle-ci, ca parlait quand même de laisser partir au moins un des deux pour se permettre de prendre une pointure non jiff : Scott Sio a visité les installations et avait assisté à un match (soit disant uniquement pour voir ses potes australiens...), Elis Genge et d'autres ont été proposés un peu partout en Top 14 dont à l'ASM... Un mec de cette trempe serait venu, je pense qu'on se poserait moins de questions sur le départ de Beria et Bibi.
Sauf que... arrivent le second choix de l'USAP en qui Azema semble n'avoir que très moyennement confiance, et un bon pilier de Pro D2 mais qui semble avoir un profil d'impact player (comme Bibi) plutôt que de titulaire. Il y a de quoi se poser des questions c'est bien normal.
Quant à la responsabilité du staff (parce que Urios n'est pas seul, il y a un coach des avants tout de même), je veux bien que Beria ne se soit peut-être pas fait voir sous son meilleur jour à l'entrainement en ne montrant pas tout ce qu'il semble être capable de faire. On va pas se raconter d'histoire, jusqu'au début de saison je pensais d'ailleurs par exemple que Bibi avait plus de potentiel (notamment grâce à ce profil d'impact player). Mais est-ce vraiment normal qu'il ait attendu février 2024 pour avoir sa première titularisation en Top 14 cette saison ? Entre la J1 et la J14, c'est à peine 30min de temps de jeu moyen par match et grosso modo 1 match sur 2 joués. Compliqué d'enchainer, de gagner en confiance et de se montrer quand même dans ces conditions là.
D'ailleurs, Bibi a reçu les louanges de Urios et le fameux "s'il avait fait ça plus tôt on l'aurait gardé" (comme pour Beria) au moment où lui aussi a pu un peu plus enchainer... Il n'y a pas de mystères...
Ca rejoint tout un tas de débats et de chiffres postés sur d'autres topic : il y a un problème dans la rotation et dans la confiance relative que le staff accorde à ce groupe. Il y a 20 mecs qui ont les faveurs du staff et on a un peu l'impression que les autres sont des faire valoir.
Alors ça a toujours été le jeu de profiter des absences et blessures de la concurrence, mais si on veut reconstruire, il va aussi falloir être capable de faire de la place aux Beria ou Darricarrère de demain sans qu'il y ait forcément des blessures devant eux.
Posté 07 mai 2024 - 08:03
Si la période des mutations n'a officiellement débuté que le 1er mai (elle se terminera le 7 juillet), la plupart des formations de Top 14 ont déjà quasiment toutes finalisé depuis un bon moment leur recrutement de la saison prochaine. « Aujourd'hui, c'est bouclé à 90 % », selon divers spécialistes déjà tournés vers l'exercice 2025-2026.
Encore une fois, le marché a été marqué par l'arrivée massive d'internationaux britanniques ainsi que par une certaine stabilité pour les joueurs du quinze de France. Les ultimes ajustements s'effectueront une fois que le Championnat, particulièrement serré, aura livré son verdict définitif sur l'identité des membres du top 6 mais surtout des relégués et des promus. Un nouveau marché battra alors son plein puis viendra celui des jokers. En rugby, le mercato ne s'arrête décidément jamais.
Les folies, c'est fini
Contraints par la réglementation sur les JIFF (joueurs issus des filières de formation) et surtout par le salary-cap (gelé à 10,7 millions d'euros), les présidents de clubs doivent se montrer prudents.
D'abord, ils réduisent souvent leurs effectifs professionnels de trois ou quatre éléments en faisant appel à des jeunes de leur centre de formation. Automatiquement, les besoins de recrutement s'en trouvent réduits. Toulouse et La Rochelle, les deux seuls à ne pas avoir enregistré la moindre recrue pour la saison prochaine si ce n'est des retours de prêt, en sont le parfait exemple.
Chez les autres grosses écuries du Top 14, la méthode diffère parfois. Le Stade Français et l'Union Bordeaux-Bègles, coachés par de nouveau staff depuis quelques mois, ont été les plus actifs avec une dizaine de renforts. De son côté, Toulon a choisi de peu recruter mais de frapper fort, à l'image du centre Antoine Frisch (Munster).
En bas de tableau, le Montpellier de Bernard Laporte et Patrice Collazo a multiplié les rendez-vous afin de remanier largement son groupe avec quelques jolis coups, dont Madosh Tambwe, non conservé par l'UBB.
Plus globalement, pourtant, le marché a été relativement calme. Et surtout très réfléchi. « Les clubs n'ont de toute façon pas de solutions, souligne l'agent sportif Pascal Forni, directeur exécutif monde de la société Wasserman. Ils sont complètement assujettis au salary-cap, ce qui les empêche d'avoir une vraie gestion sportive. »
« C'est une gestion de père de famille, complète son confrère Laurent Quaglia. Peu d'internationaux de premier plan arriveront en France alors qu'avant ça se comptait par dizaines. » Et ils viennent quasiment tous d'Angleterre. Owen Farrell (au Racing 92), Billy Vunipola (Montpellier), Manu Tuilagi (Bayonne) ou encore Lewis Ludlam et Kyle Sinckler (Toulon) débarqueront bientôt.
En revanche, les All Blacks et les Boks boudent le Top 14. Désormais, ils acceptent les propositions XXL venues du Japon, sur lesquelles plus personne ne peut s'aligner en Top 14. « Le salaire pour faire signer un gros joueur n'est plus le même qu'il y a quatre ou cinq ans, reprend Quaglia. Ça avait déjà baissé un peu avant le Covid et ça s'est accentué depuis. Un joueur à plus d'un million d'euros, comme Handré Pollard et Eben Etzebeth (à Montpellier et Toulon), ça n'existe plus. »
Des internationaux casaniers
Très rares sont les joueurs du quinze de France, en fin de contrat, qui changeront aussi de crémerie cet été. Parmi les mondialistes de l'an dernier, seul Romain Taofifenua (52 sélections) sautera le pas. Celui qui fêtera ses 34 ans en septembre quittera le LOU pour le Racing, où il retrouvera Demba Bamba (26 sélections) dont la future arrivée dans les Hauts-de-Seine a été officialisée dès le mois d'août.
A contrario, Louis Bielle-Biarrey (11 sélections) et Sipili Falatea (14 sélections) ont fait le choix de la stabilité en prolongeant à l'UBB. Même scénario pour Gabin Villière au RCT. Yoan Tanga est un autre cas à part. Sous contrat jusqu'en 2025, le troisième-ligne rochelais aux 3 sélections prendra la direction du Stade Français pour les quatre prochaines années. Comme pour Frisch, c'est une durée assez classique en raison de l'indemnité à payer.
« Pour les internationaux, la stratégie est de se retrouver en fin de contrat au bon moment, explique Clément Marienval, agent sportif chez SD Management. Ils ne doivent pas être perturbés par rapport à leur situation contractuelle les saisons pré et post-Coupe du monde. »
Autant dire que les prochains mois pourraient être bien plus animés chez les Bleus. Parmi eux, on pense à l'ouvreur de l'UBB Matthieu Jalibert (33 sélections), que son président Laurent Marti souhaite conserver après 2025. Des discussions ont déjà été entamées. À Bordeaux-Bègles toujours, le centre Yoram Moefana (28 sélections) et le talonneur Maxime Lamothe, appelé cet hiver à Marcoussis mais sans jouer, seront également libres dans un an.
Au Racing, il ne faudra pas non plus perdre de temps pour assurer l'avenir de Nolann Le Garrec (3 sélections) avant que des concurrents ne puissent l'attaquer à partir du 1er juillet. La révélation du dernier Tournoi a la cote, comme son homologue lyonnais Baptiste Couilloud (16 sélections).
La Rochelle aimerait pour sa part sécuriser à l'avance ses deux piliers droits Uini Atonio (62 sélections) et Georges-Henri Colombe (2 sélections), alors que l'ouvreur du MHR Louis Carbonel (5 sélections) suscite déjà l'intérêt du Stade Français, Toulon et Clermont. Si la porte est aujourd'hui fermée, il devrait bien aller voir ailleurs dans quatorze mois.
À Castres, le talonneur Gaëtan Barlot (7 sélections) aura aussi des prétendants. Enfin, le Toulousain Emmanuel Meafou (2 sélections) n'a pas encore non plus concrètement prolongé mais l'issue ne fait guère de doute le concernant.
Des contrats longs sécurisants
Le phénomène n'est pas nouveau mais il prend de l'ampleur. Avant même leur dernière année de contrat, beaucoup de joueurs trouvent un accord avec leur président pour prolonger durablement.
Comme l'avaient fait les Toulousains il y a quelques années avec une grille de salaires instaurée par leurs dirigeants, une dizaine de joueurs du Stade Rochelais a récemment paraphé un nouveau bail allant jusqu'à 2028 ou 2029. Cela concerne la plupart des cadres, dont l'ouvreur Antoine Hastoy, le talonneur Pierre Bourgarit, le pilier Reda Wardi et bien sûr le capitaine des Bleus Grégory Alldritt.
Paul Boudehent devrait bientôt les imiter alors que l'avenir de l'Australien Will Skelton est bien plus incertain après 2025. « Ça rassure les joueurs mais aussi leurs familles, pour Marienval. Surtout que de plus en plus de contrats s'arrêtent avant le terme final un peu partout. »
À La Rochelle justement, le troisième-ligne Rémi Picquette a été invité par le staff de Ronan O'Gara à trouver un nouveau point de chute un an avant la fin de son contrat. Il rejoindra Pau cet été, tout comme le deuxième-ligne de l'UBB Thomas Jolmès qui, à l'image du centre Tani Vili, n'entrait pas dans les plans de Yannick Bru.
Une situation similaire à celle vécue par le Montpelliérain Louis Foursans, poussé prématurément vers la sortie, qui rebondira au Stade Français. « Eux ont réussi à trouver un nouveau club mais ce n'est pas le cas de plein d'autres qui ne jouent pas mais qui sont obligés de rester », regrette Forni. Mieux vaut être très prévoyant, donc.
« C'est de plus en plus précaire pour les joueurs, d'où la nécessité de signer sur la durée quand le contrat financier est costaud, concède un de ses confrères. Si le club veut te faire partir, autant qu'il le fasse avec le plus gros chèque possible. »
Joris Segonds (27 ans), lui, peut dormir tranquille. Dès l'été dernier, l'actuel ouvreur du Stade Français s'est engagé pour les cinq prochaines années (la durée maximale possible) à Bayonne. À moins évidemment que le club basque, douzième à quatre journées de la fin, ne se maintienne pas...
Posté 07 mai 2024 - 08:12
Si les gars se trouvent un niveau ou une regain mental après une signature ailleurs c'est pas non plus nécessairement de la faute d'Urios ...
Posté 07 mai 2024 - 08:22
Oui, on en fait déjà un cador incontournable, mais on va attendre.
Posté 07 mai 2024 - 08:45
Grave ! Actuellement je pense que Slimani est même meilleur qu'aalatoa qui est quand même pas une pointure à ce poste.
Posté 07 mai 2024 - 08:50
Attendez.... On débute la saison après le raté Haouas, avec Ojovan et Slimani, le 2nd n'apportant pas les garanties qu'il a apportées depuis. On sécurise rapidement le poste pour l'année suivante avec un mec qui quoi qu'on en dise a fait ses preuves (même s'il n'est "que" numéro 2 au Leinster et international d'une nation "B"), on ne sait alors pas encore s'il faut encore chercher un autre pilier droit (cas Slimani non tranché notamment), on a de gros doutes sur le fait que nos piliers droits du moment puissent suffire à faire une saison entière (on n'a alors personne qui pointe sérieusement le bout de son nez derrière eux) et ce recrutement serait intervenu trop tôt ?
Posté 07 mai 2024 - 08:53
Ce recrutement aussi est difficile a comprendre si le mec avait 26 ans OK. Mais la je suis dubitatif surtout le mec a dit qu il venait chez nous pour mettre sa famille à l abris du besoin.
Et surtout il intervient tôt dans la saison alors que tu as Rabah sous la mains et des problèmes de jiff.
Comme le cas Kiteau quel intérêt de le faire revenir pour qu il passe une saison en tribune.
Je trouve que le salary cap a souvent bon dos à ASM pour couvrir une gestion de effectif qui est quand même très limite
Le cas Haouas a obligé à bricoler
Kiteau aurait pu se révéler; ce ne fut pas le cas
Pour ma part, le reproche sur ce cas est de ne pas travailler assez le spécifique sur ce domaine et de ne pas avoir un entraineur dédié
Poux à UBB par exemple, pour voir ce que ce staff faisait avant.
Je veux bien que Laîrle soit super fort mais quand même, il a les avants, la touche, la mêlée, la défense... donc je suis d'avis de dire que Kiteau aurait pu + travailler et pourquoi pas, progresser sur ses points faibles, soyons fous... Alors pas sur qu'il ait le temps dans tous ça de développer des jeunes et de surveiller les séances supplémentaires
Posté 07 mai 2024 - 08:57
Beria retrouve du niveau car il enchaine les matchs surtout
Mouais...
L'année dernière 26 matchs 9 titularisations 900 minutes de jeu
Cette année à 4 journées de la fin :
21 matchs 10 titularisations 931 minutes de jeu
Si on récupère Falgoux à partir du CO (donc pour 3 journées) je ne sais pas si au final le delta entre les 2 saisons sera si grand que ça....
Posté 07 mai 2024 - 09:03
Comme le cas Kiteau quel intérêt de le faire revenir pour qu il passe une saison en tribune.
Kiteau il n'a pas le niveau et loin de là. Je pense que c'est même trop juste pour la PRO D2.
Posté 07 mai 2024 - 09:07
Mouais...
L'année dernière 26 matchs 9 titularisations 900 minutes de jeu
Cette année à 4 journées de la fin :
21 matchs 10 titularisations 931 minutes de jeu
Si on récupère Falgoux à partir du CO (donc pour 3 journées) je ne sais pas si au final le delta entre les 2 saisons sera si grand que ça....
Ce qui est intéressant de regarder aussi c'est le nombre de titularisation à la suite.
En 22/23 il n'a fait qu'une fois, 2 matchs de suite en tant que titulaire.
Cette saison, sur les 11 derniers matchs. C'est 9 titularisations.
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