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[anje]

Akhaladze a pas joué pour Béziers depuis le 1er décembre, est-ce que l'un d'entre vous c'est si c'est pour blessure ou pour choix tactique?

[Luernios]

Akhaladze a pas joué pour Béziers depuis le 1er décembre, est-ce que l'un d'entre vous c'est si c'est pour blessure ou pour choix tactique?

Peut être qu'il s'agit aussi d'une mise à l'écart à cause de son départ

[Asm77]

Akhaladze a pas joué pour Béziers depuis le 1er décembre, est-ce que l'un d'entre vous c'est si c'est pour blessure ou pour choix tactique?

Il nest pas blessé normalement. On reçoit Provence la semaine prochaine qui est juste derrière on verra si il est sur la feuille de match ou non

[nelsTDM63]

Je me disais bien. En 2 heures, ils se sont pas racontés grand chose...

 

Bon y'a des suites à priori, 

 

https://www.lamontag...le_push=4433732

 

Au moins, il ne cache pas ce que Guillon s'était refusé à faire : cela n'enlève rien aux belles années et à ce qu'il a pu apporter au club, d'avoir su gérer la succession de Cotter et d'avoir ramené un 2e bouclier, mais Azema, a partir du moment où il prend les pleins pouvoirs sur le sportif (mise à l'écart de JML, arrivée de Goutta, promotion de Sadourny) a perdu pied et a fait n'importe quoi, sous la (non) surveillance de DeCro...

 

... et quand il s'en est rendu compte, il a décidé de fuir.

 

C'est bien de mettre des mots sur les faits. Pats gagnerait a parler plus souvent. Alors il faudra des actes maintenant, mais dans ce qui sort des différents articles depuis hier, il y a des choses interessantes, même si je ne partage pas tout ce qu'il dit et que comme le dit xdderf, il y a surement un peu de langue de bois derrière.

 

Un point m'interpelle parce que récurrent depuis les années Fontes : on a toujours cette volonté de gagner des titres en espoir. Alors oui, ca fait beau je peux le comprendre, mais la classe espoir n'a qu'une vocation : préparer les joueurs les plus interessants à arriver le plus vite et le mieux possible dans le groupe pro, pas garnir l'armoire à trophées. Les espoirs de l'ASM sont les plus titrés depuis la création du championnat de la catégorie (6 titres depuis 2004), alors qu'un club comme Toulouse n'en a qu'un par exemple. Est-ce que pour autant on sort plus de jeunes qu'eux ?

 

Un Dupont n'a jamais été champion de France espoir, Jalibert non plus, et parmi l'ensemble des Toulousains du XV de France aucune n'est (pour le moment ?) issu de l'équipe de Toulouse championne de France espoir 2021 qui a remporté la finale

 

Si je ne dis pas de betise, lors de leur dernière saison espoir, des mecs comme Iturria et Jedrasiak n'avaient presque pas joué dans la catégorie : programme d'entrainement spécifique notamment sur l'aspect physique et présence accrue avec le groupe pro. C'est ça la clé d'une formation performante. Le lien entre les deux groupes, les titres on s'en tape.

 

Les 6, c'est cette année.
L'an prochain, les 4.

 

Ca c'était l'objectif annoncé. Mais il va falloir se rendre à l'évidence je pense, y compris dans le staff et chez les dirigeants : Un top 8 sera déjà une progression par rapport à l'an dernier et un retour en Champions Cup. Le Top 6 cette année, ca me parait déjà bien compromis. 

[ZACH]

En marge de la présentation du plan de relance et du projet phare qu’est « la cité du rugby », le président de l’ASM a également abordé le sujet du recrutement, de l’attractivité, sportive et économique, de son club qu’il juge aujourd’hui dégradée. Là aussi, Jean-Claude Pats demande du temps pour redresser la barre.
Il n’est plus question de « regarder le Stade toulousain dans les yeux », pas plus « d’étoile sur le maillot en 2025 ». La nouvelle gouvernance de l’ASM et son patron Jean-Claude Pats en tête, n’ont pas moins d’ambitions, ils sont juste réalistes et conscients de la situation critique dans laquelle le club a glissé depuis plusieurs années. Explications.

Partagez-vous l’idée d’une rétrogradation de l’ASM dans la hiérarchie du rugby français ?

Sans polémique ni flagellation outrancière, qui serait mal venue, on est tous d’accord pour dire que l’ASM reste un nom extrêmement connu, respecté et aimé en France. Il faut tout faire pour garder ça bien évidemment.

Est-ce que le prestige sportif de l’ASM est aussi élevé aujourd’hui que celui qui existait en 2017 ? En France, il a baissé, c’est évident. Moins à l’étranger. Paradoxalement, c’est plus facile pour nous aujourd’hui d’attirer des joueurs étrangers que des Français.

Voilà, nous sommes dans une phase basse, dans un cycle bas, d’un point de vue sportif et économique. Dans ces moments-là, il faut prendre du recul et redoubler d’efforts pour revenir là où nous étions, là où les gens nous attendent, y compris sans doute nos adversaires.

ASM Clermont : Jean-Claude Pats, un président enthousiaste qui aime les challenges

Il y a le classement sportif, le classement économique, l’un entraîne-t-il l’autre ?

Bien sûr, les deux sont étroitement liés. Un club de 111 ans qui n’est pas capable de générer un équilibre économique n’est tout simplement pas pérenne. Ou alors, on bascule dans un autre mode de fonctionnement qui n’est pas celui de l’ASM, qui ne le sera pas, à savoir un mécène qui tous les ans fait un chèque.

Ce modèle est respectable, je n’ai pas de problème avec ça, mais ce n’est pas la vision que nous avons, en tant que groupe Michelin, en tant que club ASM. Notre but est de le pérenniser avec des résultats économiques qui donnent au club les moyens de ses ambitions. Sans dépendre de chèques de quiconque, y compris de Michelin.

Notre attractivité n’est plus la même aujourd’hui"
Le président du Stade Français disait la saison dernière que certains clubs ne respectaient pas forcément les règles (salary cap). Partagez-vous cette vision ?

Je n’ai pas envie d’aller sur ce terrain car je n’ai pas tous les éléments en mains. Après six mois de présidence, je n’ai pas encore fait le tour de la boutique. Je continue à écouter, à essayer de comprendre avant d’arriver à des conclusions définitives.

Moi, simplement, quand on parle de l’économie du rugby en France, je sais que c’est une économie très mauvaise. On a eu connaissance des pertes cumulées des clubs français (64 M€ pour le Top 14), on peut donc parler d’une économie du rugby professionnel qui est malade, qui n’est pas saine. Ça, c’est le constat.

Après, sur la gestion de chacun, il y a beaucoup de rumeurs, de suspicions. Moi, il y a des choses que je comprends et des choses que je ne comprends pas. Je prends du temps pour creuser et quand j’aurais une position plus affirmée sur le sujet, je prendrai peut-être la parole.

Même si vous n’avez rien officialisé, il semblerait que votre prochain recrutement ne se distingue pas vraiment par l’arrivée de « grands joueurs » ?

Je ne vais pas faire de langue de bois. Pour expliquer notre situation actuelle, il faut remonter à 2016-2017. A cette époque, l’ASM possède une équipe très solide, avec de grands joueurs. Pour moi, c’est surtout une équipe très équilibrée, dans les catégories d’âges, et dans la qualité à tous les postes.

Caractéristique essentielle à cette période, l’ASM a 6 ou 7 internationaux français. Dans les années qui suivent, il y a eu des renouvellements de contrats, avec des durées beaucoup plus longues que celles usuellement utilisées, ici à l’ASM ou ailleurs. On s’est donc engagé sur des contrats longs, c’était un pari.

Autre constat, fait dans notre diagnostic, les salaires accordés à un certain nombre de joueurs étaient des salaires décalés, vers le haut. Décalés par rapport au Top 14, y compris les grandes équipes. Tout cela a tenu tant qu’il y avait 7 joueurs avec l’équipe de France. Chaque international offrait à l’époque 200.000 euros (de dépassement du salary cap, Ndlr). Faites le calcul, on pouvait avoir 3-4 très bons joueurs en plus.

"Notre salary cap a baissé et on s'est retrouvé bloqué"
Et ensuite…

L’édifice a commencé à se fragiliser. On a eu moins de joueurs en sélection, notre salary cap a donc baissé et le club s’est retrouvé complètement bloqué. Sans aucune marge de manœuvre pour aller chercher d’autres talents alors que l’on perdait des joueurs qui ont choisi d’autres orientations de carrière.

Autre effet du déséquilibre des tranches d’âges : l’absence des 21-25 ans et 25-29 ans a fait qu’on a sursollicité les plus âgés, d’où le nombre conséquent de blessés et on a fait jouer des jeunes trop tôt. Voilà, la machine infernale s’est mise en marche avec le salary cap qui continue à baisser. Et en plus, il y a la contrainte des JIFF, qui n’arrange pas notre situation.

Vous comprenez quand même la frustration des supporters ?

J’entends dire, oui, le club n’est pas prêt à mettre l’argent. Mais on utilise le maximum de ce que l’on peut faire dans le cadre des 10,7 M€ de salary cap auquel on a droit. On est au max de ce que l’on peut faire et les marges de manœuvre ne sont pas immenses.

Après, il faut trouver les talents. Notre attractivité en France, vis-à-vis de certaines têtes de gondole françaises, elle n’est peut-être plus la même aujourd’hui. Et dans certains cas, on ne peut même pas se les payer.

Quelle issue alors ?

On va régler le problème mais il faut du temps. Cela ne se résout pas en six mois, ni un an. D’où les trois ans dont j’ai déjà parlé avant de retrouver les bases pour redevenir un club au premier plan.

Après, il y a des fragilités à certains postes à combler. Fragilités qui n’existaient pas en 2017.

La relance passera-t-elle aussi par les jeunes et la formation ?
Totalement. Notre centre de formation peut et doit jouer un rôle important dans le business model de l’ASM. Il nous faut attirer à nouveau des talents, auvergnats ou d’ailleurs, bien les entraîner, les équiper mentalement.

Le dernier titre de l’école de rugby, c’est celui des Crabos en 2010 ; les Espoirs, c’est 2018. Les années précédentes, on claquait beaucoup plus de titres. Notre formation a donc perdu un peu de sa puissance.

Voilà, vous rajoutez cela dans le shaker de tout ce que je vous ai dit et on peut comprendre la situation dans laquelle on se trouve. Le recrutement, c’est une question de vouloir et de pouvoir. À l’ASM, on veut faire plein de choses. Après, pour les réaliser, est-ce que l’on a l’argent pour le faire, l’attractivité suffisante, une formation et une école de rugby suffisamment puissantes ?

Merci Guinness. A la tienne

[ZACH]

Bon, désolé, mais ça reste inaudible pour moi 

 

Pas sur qu'il a toutes les billes car il mélange toutes les époques et toutes les bonnes excuses dans le même fourre-tout (contrat trop long, joueur trop payé ça c'est 2019 à Juin 2023, y'en a plus aucun...) on blesse nos vieux joueurs donc on fait jouer des trop jeunes que l'on blesse (c'est la 1ere fois qu'on l'entend celle là, je sais pas d'où elle sort) et on noie le poisson avec le "on a trop de non-jiff" (c'est que cette année) et vas-y débrouille toi avec ça lecteur 

 

Il nous explique ce que Guillon a vécu sur la 2eme saison puis 3eme saison où il avait tous les joueurs sous contrat et où on a eu 2 recrues sa 2eme saison : Lavanini et JJH à la place de Timani et McIntyre... car oui, on avait encore là tous les anciens, cher, que l'on avait prolongé longtemps et blessé grave pour 2 d'entre eux mais pas plus et pas à cause de sur-sollicitation 

 

Bref, 

Pas grave

Moi je m'en fou d'avoir des stars ou des 10 mais le constat qu'il fait, il a été fait il y a déjà 2 ans (après 1 an de Guillon déjà) et il a été réglé puisqu'il reste plus personne

Donc si on peut pas recruter c'est qu'il y a eu d'autres merdes de faite sur les contrats et les montants depuis 2 ans, c'est plus la faute d'avant

Tu as raison 

Pats etait bien parti au début de l’interview sur le projet et puis quand il parle du recrutement, il radote et se remet à deconner avec toujours les mêmes conneries .

Soit il n’a pas de bon test au Bronco et il fatigue vite 

Soit il ne sait pas finir les matchs et dit connerie sur connerie à partir de la 78 eme minute 

Soit il est le plus gros client du Del Sol 

Bref, pour ce qui est du recrutement c’est pas mauvais mais c’est vraiment pas suffisant, mais on ne sait toujours pas pourquoi .

[Fanchic]

En 2021, des mecs comme Kuridrani, Kerevi, Genia ou Quade Copper étaient entre 450 et 600 000 $ australiens, soit 275 000 à 360 000 annuels. 
Salaire moyen d'un joueur australien de la Rugby Union étant de 75 000 environ. Si tu places Simone dans une fourchette au-dessous des joueurs cités, ça le menait sans doute autour de 200-250 000 maxi (à mon avis). J'ai donc du mal à imaginer, en effet que ces mecs doublent leur salaire en venant en Europe. Idem pour Newsome. 

 

Ce que tu dis est très intéressant et ça corrobore ce que je crois soit on est loin du SC soit d'autres sont bien au dessus

Ainsi un Simone soit disant tête d'affiche de notre recrutement d'il y a deux ans est au mieux a 350k, on est a la moitié du salaire estimé de Tuisova ou de Penaud et probablement 200k en dessous d'un Faingaku

[Pilou]

Tu as raison 
Pats etait bien parti au début de linterview sur le projet et puis quand il parle du recrutement, il radote et se remet à deconner avec toujours les mêmes conneries .
Soit il na pas de bon test au Bronco et il fatigue vite 
Soit il ne sait pas finir les matchs et dit connerie sur connerie à partir de la 78 eme minute 
Soit il est le plus gros client du Del Sol 
Bref, pour ce qui est du recrutement cest pas mauvais mais cest vraiment pas suffisant, mais on ne sait toujours pas pourquoi .

Rixen ne joue jamais à Brive.
Le pilier gauche de Béziers pas souvent titulaire.
Lotrian pas titulaire. Hemery non plus (joue très peu).
Tauzin joue peu.
Seuls Ceyte (mais pas jeune) et Ala' (pas jeune non plus) sont sur le papier des possibles titulaires.

[l'ours des tavernes]

Ça a peut être était dit, mais je vais quand même poser la question.

Une première liste de recrue à été annoncé sur les rezo

Pas de Montagne dans la liste !

Il vient ou pas ce jeune ?

[Codorplusàvie]

 
Au moins, il ne cache pas ce que Guillon s'était refusé à faire : cela n'enlève rien aux belles années et à ce qu'il a pu apporter au club, d'avoir su gérer la succession de Cotter et d'avoir ramené un 2e bouclier, mais Azema, a partir du moment où il prend les pleins pouvoirs sur le sportif (mise à l'écart de JML, arrivée de Goutta, promotion de Sadourny) a perdu pied et a fait n'importe quoi, sous la (non) surveillance de DeCro...
 
... et quand il s'en est rendu compte, il a décidé de fuir.
 
C'est bien de mettre des mots sur les faits. Pats gagnerait a parler plus souvent. Alors il faudra des actes maintenant, mais dans ce qui sort des différents articles depuis hier, il y a des choses interessantes, même si je ne partage pas tout ce qu'il dit et que comme le dit xdderf, il y a surement un peu de langue de bois derrière.
 
Un point m'interpelle parce que récurrent depuis les années Fontes : on a toujours cette volonté de gagner des titres en espoir. Alors oui, ca fait beau je peux le comprendre, mais la classe espoir n'a qu'une vocation : préparer les joueurs les plus interessants à arriver le plus vite et le mieux possible dans le groupe pro, pas garnir l'armoire à trophées. Les espoirs de l'ASM sont les plus titrés depuis la création du championnat de la catégorie (6 titres depuis 2004), alors qu'un club comme Toulouse n'en a qu'un par exemple. Est-ce que pour autant on sort plus de jeunes qu'eux ?
 
Un Dupont n'a jamais été champion de France espoir, Jalibert non plus, et parmi l'ensemble des Toulousains du XV de France aucune n'est (pour le moment ?) issu de l'équipe de Toulouse championne de France espoir 2021 qui a remporté la finale
 
Si je ne dis pas de betise, lors de leur dernière saison espoir, des mecs comme Iturria et Jedrasiak n'avaient presque pas joué dans la catégorie : programme d'entrainement spécifique notamment sur l'aspect physique et présence accrue avec le groupe pro. C'est ça la clé d'une formation performante. Le lien entre les deux groupes, les titres on s'en tape.
 
 
Ca c'était l'objectif annoncé. Mais il va falloir se rendre à l'évidence je pense, y compris dans le staff et chez les dirigeants : Un top 8 sera déjà une progression par rapport à l'an dernier et un retour en Champions Cup. Le Top 6 cette année, ca me parait déjà bien compromis. 

On est qu'à mi-saison donc l'espoir est permis pour les 6.
Et une IA a prédit qu'on perdrait en 1/4... Hé hé.
Pour ce qui est d'avoir des titres en espoirs, c'est surtout un levier pour attirer des jeunes je pense.

[zebdomes]

Il ne dit pas que dans 3 ans on sera un club de premier plan. Il dit que dans 3 ans, on aura retrouvé les bases pour le redevenir.

Il n'y a que moi qui le lit ainsi ?

J'ai compris la même chose.

Pour ce qui est d'avoir des titres en espoirs, c'est surtout un levier pour attirer des jeunes je pense.

Mouais, ce qui attire les jeunes c'est la perspective de jouer en Pro. À ce titre, imbriquer beaucoup plus fortement L'EDR, les espoirs et les pro, l'objectif de One ASM, est la bonne direction. Après un outil est un outil, il faudra voir ce que ceux qui l'utiliseront en feront.

[Pilou]

Ça a peut être était dit, mais je vais quand même poser la question.

Une première liste de recrue à été annoncé sur les rezo

Pas de Montagne dans la liste !

Il vient ou pas ce jeune ?

Personne ne sait.

[Arverne03]

Personne ne sait.

 

...........si : Dieu ! 

[ESQ4]

Disons qu'on sait dorénavant avec l'interview du président que le recrutement est ultra limité, voir terminé, au moins les choses sont claires.

 

Je ne reviendrais pas sur Tauzin, j'ai déjà dis tout le bien que je pensais de ce recrutement mais j'ai quand même la désagréable impression que l'on a ciblé uniquement du caractériel, du "couillu", enfin du profil Urios.

Le taiseux testostéroné c'est bien, mais un peu de talent ne nous ferait pas de mal non plus.

Wait and see...

[InASMWeTrust]

Xxderf63, merci, tu as pris le temps d'exprimer ce que je pense, et que j'aurais dit dans un langage différent.
Je crois simplement que, comme avec Simone, Urios fait vraiment les choix qui lui conviennent, point. Le reste, c'est du pipeau pour noyer le poisson.
Sur le fond, pas de problème, mais à un moment, quand il aura viré tout le monde, choisit tous ceux qui seront encore là, il aura plutôt intérêt à avoir des résultats probants.

Oui, d'accord avec vous 2 (et d'autres).

1. Le passage de JMG avait un but avant tout financier et structurel = audit global du club + redresser financièrement

2. on a fait appel à CU sur la base d'un diagnostic sportif peut-être incomplet (JMG n'étant pas connaisseur, on lui a peut-être travesti, en interne, la réalité des manquements de tout un organigramme). 

De fait, on lui a donné un chèque en blanc sur le sportif. 

3. il fait des choix forts. On a tous nos étonnements suivant le prolongement de X, le recrutement de Y ou la non-conservation de Z. Ce sera toujours le cas, quelque soit l'entraîneur et le club. Lui seul, avec son staff et le Big Five, ont les raisons de ces choix (liens humains, compétences techniques, salaire, statut Jiff ou non, expérience, talent, etc., etc.). 

4. L'année prochaine, il aura en effet un effectif dessiné par lui-même à 90%. Parmi les mecs qui sont encore en contrat (donc sur lesquels il n'a pas de prise cette année), il y aura Simmons, Delguy, Fischer, Yato, PGS, Belleau et Jurand). Tous ayant, vu leur utilisation cette année, les faveurs de CU. 

Donc oui, je veux bien que ça tangue encore cette année, collectivement, mais l'année prochaine je ne le comprendrais pas. sachant qu'on a peut-être pas un effectif taillé pour le titre ou les 4, mais on est pas des pouilleux non plus. 

5. comme d'autres, j'attends que le signal soit fort pour nos jeunes, en termes d'intégration aux pros. Là encore, je veux bien attendre l'année prochaine qu'on sécurise notre place en Top14, mais on ne peut pas alimenter le centre de formation en montrant de façon parallèle qu'on ne garde presque personne ensuite. 

 

Une fois cela dit, on ne peut que faire confiance et penser que ces choix sont bien pensés dans un plan d'avenir.